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Ainsi, en mai, il y a eu 350 000 visites pour atteindre le chiffre symbolique de 1million de pages vues! Depuis le lancement, le 24 janvier, latelelibre.fr a été visitée 800 000 fois pour 2,5 millions de pages vues. Voici réactualisé au 1er juin 2007 le classement des vidéos les plus vues depuis la création de latelelibre.fr. Alors chers nouveaux visiteurs si vous voulez découvrir davantage notre site, cliquez sur les liens ci-dessous . Présidentielle : la "bonne blague" au karcher de Rachida Dati vu 170 000 fois Correspondants : la maternelle de la rue Rampal ( Par Juliette Warlop) vu 95 000 fois Presidentielle : Nicolas Sarkozy, 1 heure à la cité Beauval à Meaux (Par Allan Rothschild, Ludovic Tourte, Bruno Martin et Julie Lalande), vu 60 000 fois Présidentielle : Nicolas Sarkozy et les enfants (Par Allan Rothschild, Jérôme Mignard, Matthieu Daude et Jean-Sebastien Desbordes), vu 25 000 fois Bastille-Gare de Lyon, larmes à l'oeil (Par Christophe Tisseyre, Henry Marquis, Matthieu Martin, Matthieu Daude et Philippe Ernewein), vu 18 000 fois Pour Farrugia, c'est Sarkozy (Par Allan Rothschild, Henry Marquis, Matthieu Daude et Julie Lalande), vu 17 000 fois Interview : Jean-Marie le Pen est-il gentil ou méchant ? (Par John Paul Lepers, Henry Marquis, Eric Ferroud-Plattet et Jean-Sebastien Desbordes), vu 16 000 fois Nicolas Sarkozy Président , le 6 mai 2007 ( Par l'équipe de la telelibre.fr), vu 13 000 fois Article en vue : Alain Soral, un rouge au FN ( par John Paul Lepers, Henry Marquis, Matthieu Daude et Julie Lalande), vu 11 000 fois Interview : John Paul Lepers invité chez Jean Marie le Pen ( Par John Paul Lepers, Henry Marquis, Eric Ferroud-Plattet et Jean-Sebastien desbordes), vu 10 500 fois Kouchner ministre de Sarkozy, pourquoi pas? (Par John Paul Lepers, Henry Marquis, Matthieu Daude et Julie Lalande), vu 10 050 fois Valleraugue: la campagne vue par Françoise, 87 ans (Par Philippe Maréchal), vu 10 011 fois N'hésitez pas à copier-coller ces liens pour nous aider en faisant découvrir latélélibre autour de vous... Merci à tous! 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En ce moment plusieurs centaines de milliers de personnes sont en train de se faire massacrer au Darfour. Cette pétition a été mise en place au niveau européen et il faut récolter un million de signatures en France avant le 1er juin (idem pour les autres pays européens) pour que l'ONU soit obligée de se rendre sur place afin de faire cesser les hostilités et d'amener des vivres et des médicaments aux quelques rescapés qui arrivent à échapper aux massacres. europetition-darfour.fr/europetition

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Pas très original, le général de Gaulle, Georges Pompidou et François Mitterrand avaient également choisi la bibliothèque de l'Elysée comme cadre de la photo officielle La photo officielle, qui sera présente dans toutes les mairies et les écoles, le représente avec un drapeau français et, pour la première fois pour la photo officielle d'un président français, avec un drapeau européen. C'est Cécilia Sarkozy qui a suggéré le photographe, Philippe Warrin. Il y a trois ans à la demande d'un magazine pour faire une série de photos d'elle, alors que son époux était ministre des Finances. Les photos avaient plu à Madame Sarkozy qui s'y connait en photo "people". Du coup, c'est Philippe Warrin qui avait également réalisé l'affiche du candidat pour le premier tour de la présidentielle. La photo officielle de Jacques Chirac avait été prise par Bettina Rheims, celle de François Mitterrand par Gisèle Freund. La photo officielle du Président Charles de Gaulle de-gaulle.jpg La photo officielle de François Mitterrand mitterrandpresident.jpg [post_title] => LA PHOTO DU PRESIDENT, LA VOILA ! [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => la-photo-du-president-la-voila [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2007-05-23 11:08:56 [post_modified_gmt] => 2007-05-23 09:08:56 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://www.latelelibre.fr/index.php/2007/05/la-photo-du-president-la-voila/ [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 81 [filter] => raw ) [3] => WP_Post Object ( [ID] => 643 [post_author] => 2 [post_date] => 2007-05-21 17:53:35 [post_date_gmt] => 2007-05-21 15:53:35 [post_content] => Mieux vaut tard que jamais...voilà la composition du nouveau Gouvernement. 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Qui est Romain ? Romain a 29 ans. Originaire de Valenciennes où ses parents enseignants demeurent toujours aujourd’hui, il affiche un parcours sans tâches et un casier judiciaire vierge. Après des études de droit et de journalisme, ce fan de musique est amené à travailler pour MCM, M6, Europe 2 TV et divers sites web musicaux. Musicien, bassiste dans un groupe de rock, il joue régulièrement sur Paris. Une personnalité attachante, un grand timide, rêveur, parfois naïf, un Gaston Lagaffe… Mais certainement pas un militant ou un casseur. Les faits : Domicilié vers l’hôtel de ville, Romain arrive place de la Bastille vers 22h avec 4 amis. Deux d’entre eux étaient avec lui lors de l’arrestation vers 23h50. Qu’ont-ils fait de 22h à 23h50 (heure de l’arrestation) ? D’abord simples observateurs, ils ont participé à un sit-in, ils ont pris des gaz lacrymo dans les yeux et se sont retrouvé pris au piège entre casseurs et CRS. Ils ont bien tenté de rentrer chez eux mais les accès menant à Hôtel de Ville étaient bloqués (rue Saint-Antoine et Boulevard Beaumarchais). Romain a été interpellé par un policier en civil qui a déclaré l’avoir vu envoyer 3 pavés en direction des policiers (sans blesser personne). Or les 4 personnes qui ont passé la soirée avec lui sont formels sur ce point : Romain n’a pas envoyé de pavé et ils sont prêts à en témoigner. Le soir même, ils ont tenté d’intercéder en sa faveur mais n’ont récolté que des menaces d’être embarqués eux aussi. A 23h50, il faisait nuit et il y avait beaucoup d’agitation et Romain ne se distinguait pas de la masse avec son gros pull kaki. Romain a effectivement ramassé un pavé et l’a gardé avec lui comme un « trophée », un témoin des événements qu’il allait ramener chez lui. Logique pour un jeune homme qui se fait dédicacer des disques quand il rencontre un groupe ou un artiste qu’il admire. Logique aussi pour quelqu’un qui avait par exemple fait un reportage photo sur les manifestations anti-CPE avec un ami journaliste Mercredi 9 mai, comparution immédiate Nous avons été plusieurs à nous déplacer, amis et collègues, sans nouvelles de lui depuis dimanche soir. Tout l’après-midi d’autres cas ont été jugés, vol de portable, bagarre pour une fille, « émeutiers », et pour tous, la procureur a requis 6 mois ferme, quels qu’en soient les antécédents judiciaires. L’avocat commis d’office partait perdu d’avance, résigné, nous expliquant que le juge était le même qui avait donné 6 mois ferme pour l’affaire de Gare du Nord début mai. Plusieurs faits nous ont interpellés : Inutile de citer les témoins, pas le temps et pas la peine (selon l’avocat), alors même que ceux-ci étaient présents à l’audience. L’audience a ressemblé à du badinage de justice et a été vite expédiée. Une évidente présomption de culpabilité pesait sur Romain Le salaire et le statut d’intermittent de Romain ont été mentionnés et on ne l’a pas pris au sérieux Précisons que Romain a été humble, qu’il s’est exprimé clairement et s’est excusé de n’avoir pas saisi la gravité de la situation dimanche soir. Et maintenant ? Au lieu du sursis ou des TIG que nous attendions, Romain a écopé de 4 mois ferme. Son cas a interpellé les journalistes présents au tribunal, certains ont pu relayer l’information nationalement. Il n’est pas seul à faire les frais et à servir d’exemple pour les émeutes du 6 mai. 39 majeurs et 12 mineurs ont été placés en garde à vue pour cette seule soirée (cf Le Parisien) Au mauvais endroit, au mauvais moment, Romain a servi de bouc émissaire pour un événement dramatique qui le dépasse. Honnêtement nous aurions tous pu être à sa place et le voir repartir menottes aux poignets nous a profondément choqués. Nous ne comptons pas en rester là. Tous les soutiens et relais d’information sont les bienvenus. Fabienne Pietrus, amie et journaliste Voir le reportage sur les évenements de Bastille, le 6 mai 2007 diffusé sur notre site Lien vers une dépêche Reuters diffusée par Yahoo : http://fr.news.yahoo.com/09052007/290/quatre-mois-de-prison-ferme-pour-des-violences-a-la.html [post_title] => BASTILLE LE 6 MAI: 4 MOIS FERMES POUR ROMAIN [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => bastille-le-6-mai-4-mois-fermes-pour-romain [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2007-05-10 19:02:25 [post_modified_gmt] => 2007-05-10 17:02:25 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://www.latelelibre.fr/index.php/2007/05/bastille-le-6-mai-4-mois-fermes-pour-romain/ [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 208 [filter] => raw ) [6] => WP_Post Object ( [ID] => 621 [post_author] => 2 [post_date] => 2007-05-09 11:28:37 [post_date_gmt] => 2007-05-09 09:28:37 [post_content] => Le documentaire sur la campagne électorale intitulé "Jour de gloire" réalisé par john Paul Lepers et Jean-Sebastien Desbordes sera diffusé le 13 mai sur Canal+. 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EXTRAIT DU LIVRE « PUTAIN VOTONS », John Paul Lepers et Thomas Bauder
Editions « PRIVÉ »

sarkozy page 107

TOUS LES JOURS EN SE RASANT
« Le problème de Nicolas, ce ne sont pas ces adversaires. Le problème de Nicolas, c’est Sarko. » Cette phrase ne m’a pas été dite par un ennemi du candidat UMP, mais par un de ses proches, qui le connaît bien et le voit presque tous les jours.
Hyperactif dans ses fonctions de ministre depuis maintenant presque cinq ans, omniprésent dans les médias, il est longtemps apparu comme le prochain président de la République, le seul qui pourrait répondre aux problèmes des Français. Dans beaucoup de réunions familiales, au café, au boulot, les discussions tournaient autour de ce prodige de la politique, qui agissait là où les autres baissaient les bras.
À l’UMP, il a très vite incarné une nouvelle fierté, celle d’oser revendiquer son appartenance à la droite ; enfin un responsable qui n’a plus honte et qui n’est pas non plus plombé par les affaires qui paralysèrent son camp pendant des années. Même si elles avaient fait « pschit ! », pour cause d’immunité présidentielle, les casseroles de Chirac étaient lourdes à porter. Même à gauche et chez les abstentionnistes, Nicolas Sarkozy recueillait au moins la curiosité qu’on accorde à celui qui fait ce qu’il dit. Pendant environ trois ans, celui qui y pensait « tous les jours en se rasant le matin » semblait invincible. Mais la fascination n’a qu’un temps, et son échec partagé au référendum sur la Constitution européenne a commencé à brouiller les cartes. Alors que Jacques Chirac tirait son épingle du jeu sur la politique internationale, Nicolas Sarkozy était confronté à son bilan moins spectaculaire qu’il ne l’avait tant annoncé. Et surtout « l’homme » est apparu ! Aux qualités de Nicolas se sont ajoutés les défauts de Sarko. Avec ses visites et ses déclarations intempestives en banlieue, le candidat est apparu agressif, véhément, en proie à une impulsivité qu’il ne contrôle pas. Le champion a commencé à inquiéter.

Sarko n’est pas un facho, comme certains, par facilité, essayent de nous le faire croire. Jamais dans ses discours ou ses actes politiques nous n’avons pu déceler le racisme ni la xénophobie. Certes Nicolas Sarkozy drague ouvertement les électeurs du Front national par ses déclarations au « Kärcher », certes ses attaques répétées contre les magistrats qui « ne mettent pas assez de délinquants en prison » le rangent dans la catégorie des démagogues qui, pour flatter le « bon sens populaire », simplifient volontairement des réalités qu’ils savent plus complexes… Il n’en reste pas moins un républicain particulièrement attaché, de par ses fonctions ministérielles, au respect de l’ordre ; et puis jusqu’ici il s’est montré soucieux, en tant qu’élu de la République, du respect de la volonté populaire exprimée par suffrage universel.
Au risque de choquer, et en premier l’intéressé lui-même, qui à longueur de discours fustige le « laxisme » issue des idées de 68, je dirai que Sarko est pour moi plutôt un « gauchiste de droite ». Oublions donc un instant le ministre de l’Intérieur, forcément du côté de l’ordre – c’est son boulot –, pour nous consacrer au bonhomme…
Comme les gauchistes de Mai 68, Sarkozy est un rebelle à l’autorité en place. Comme eux, il prône la rupture et prétend briser les tabous. « Il est interdit d’interdire », pourrait-il taguer sur les murs, lui qui estime ouvrir les débats que les autres, qu’ils qualifient de « conservateurs », ont jusque-là étouffés. « Jouir sans entrave », clamaient les baby-boomers qui en avaient assez d’une société qui considérait le plaisir comme un péché… Pour Nicolas, ce serait plutôt « réussir sans entrave », car la comparaison s’arrête là. Pour les utopistes du printemps de mai, il s’agissait de construire une société de l’amour et du partage ; Sarko, lui, c’est la société de la réussite individuelle, et la sienne en particulier, qu’il met en avant…

photo sarko
Photo : Matthieu Mouraud (droits reservés)
J’AI VU SARKO PRÉSIDENT

J’étais présent aux côtés de Nicolas Sarkozy la veille du jour où il fut élu président… de l’UMP. Le lendemain, le 28 novembre 2004, il allait être élu triomphalement au Bourget avec 85 % des voix des militants de l’UMP ; impossible alors de l’approcher. Le soir même, il avait voulu réunir les jeunes de son parti, avec Faudel en people jeune, deux ans avant Doc Gynéco. C’était à La Bodéga, une boîte de nuit sous le chapiteau d’un ancien cirque, en lisière du parc de Saint-Cloud, un rendez-vous habituel de la jeunesse dorée de l’ouest parisien. Au terme d’une enquête de trois mois sur l’étoile montante de la droite, j’ai eu, ce soir-là, l’occasion d’observer la bête politique à son zénith. Un Nicolas décrispé, sincère, presque transparent, en un mot : radieux. C’était juste avant ses déboires amoureux avec Cécilia.
Deux ou trois milliers de jeunes (un succès !) se pressaient autour de la piste ronde. Ils étaient tout excités à l’idée de toucher celui qui devait, à coup sûr, les mener à la victoire.
Nicolas était au centre de ce cercle, sous les projecteurs, devant toutes les télés. Henry Marquis était à la caméra et nous étions restés bloqués juste derrière Sarkozy, qui s’apprêtait à entamer un discours alors que les militants en délire scandaient : « Sarko PrÉsident ! »
Le problème, c’est que, vu la taille du leader, un mètre soixante-dix selon le ministère de l’Intérieur, en réalité un mètre soixante-huit sans les talonnettes, personne ne pouvait le voir. Une petite estrade avait bien été prévue, mais elle ne suffisait pas… Sarkozy eut alors l’idée de faire asseoir tout le monde. D’abord les photographes qui étaient juste devant, puis les jeunes : « Allez, essayez de vous asseoir », répétait-il en abaissant ses bras de haut en bas, « et jusqu’en bas », dit-il à ceux qui voulaient rester accroupis. Son épouse, Cécilia Sarkozy, fut une des premières à s’exécuter, et bientôt le calme s’installa sous le chapiteau de toile.
– Vous savez ce qu’on va faire ensemble ? On va rajeunir la vie politique française !
– Nicolas ! Nicolas !
La ferveur est palpable, l’image est étonnante. À 50 centimètres de l’objectif, Nicolas nous tourne le dos, et comme lui nous avons les projecteurs en plein dans les yeux. On voit bien sa main droite qui rythme ses paroles. Tout le reste de l’image, embué par la lumière des projecteurs, est rempli par des visages de jeunes disciples illuminés.
– Si vous voulez conquérir des galons, si vous voulez prendre des responsabilités, vous allez les gagner avec votre travail, par votre mérite et par vos efforts. Ce sont des valeurs républicaines et ce sont les nôtres !
– Nicolas ! Nicolas !
Cette fois, les jeunes sont en délire. Henry tourne sa caméra vers le bas. Ils sont là, agenouillés, comme en transe. Cécilia Sarkozy est au premier rang, par terre, elle tend son téléphone au-dessus de sa tête pour prendre une photo, et elle n’est pas la seule. Devant cette assistance, presque couchée au sol, Nicolas Sarkozy est enfin comme un géant. Des gouttes de sueur scintillent sur son visage en contre-jour. Son bonheur est immense.
– Moi aussi, j’ai été comme vous, un jeune qui n’avait pas de relations, il y a presque trente ans !
– NICE ! répondent quelques voix dans la salle.
Les jeunes militants connaissent par cœur la carrière politique de leur mentor. C’était effectivement à Nice, le 15 juin 1975, sa première heure de gloire. En tant que délégué des jeunes de l’UDR dans les Hauts-de-Seine, il était invité à prendre la parole dans un meeting. « C’est toi, Sarkozy ? », lui demande un certain Jacques Chirac, « tu as cinq minutes ? » Il n’a que vingt ans, et déjà l’ambitieux Nicolas ne va pas obéir. Il va tenir la tribune pendant vingt longues minutes et il ne pourra s’arrêter que devant un tonnerre d’applaudissements. Des instants de plaisir intense, dont il reparle encore aujourd’hui avec émotion. Ce soir-là, à La Bodéga, Nicolas Sarkozy revoit sans doute tout le film de sa vie politique.

– J’ai besoin de jeunes libres ! Pas des jeunes à qui on explique ce qu’ils doivent penser, je ne veux pas que vous soyez prisonniers, y compris de ce que je pense moi-même ! Mes chers amis, je compte sur vous ! Merci !
– Nicolas PrÉsident !
Demander aux jeunes militants l’autonomie intellectuelle et politique vis-à-vis de leur idole et nouveau leader, voilà qui ne manquait pas de sel ! Car la famille gaulliste, depuis l’époque du général jusqu’à Jacques Chirac, s’est toujours constituée en suivant un « chef ». Mais peut-être le jeune militant de Neuilly en avait-il souffert. En tout cas, sur ce point-là comme sur d’autres, il marquait sa différence, peut-être même son humanité, de toute façon son intelligence. Mais, manifestement, les jeunes de l’UMP n’avaient pas ce soir-là entendu cette phrase si étonnante. Non, ce qu’ils voulaient tous, c’était voir et aussi toucher leur nouveau gourou, celui qui allait les amener à la victoire.

Sous les ovations, Nicolas Sarkozy descend alors de son petit piédestal. Voici maintenant les bousculades, les poignées de main et les embrassades ; et puis les sourires et les « merci », dont il est un spécialiste : « merci beaucoup », « merci, c’est gentil d’être venu », et surtout le « merci, hein ! », qui lui est si particulier. Une jeune fille, elle aussi en sueur, lui tend un livre et un stylo. C’est son dernier ouvrage à l’époque : La République, les Religions, l’Espérance.
– C’est grâce à vous que j’ai rejoint l’UMP, lui confit-elle dans un sourire rougissant.
– Merci, merci beaucoup !
Je sors mon micro :
– Ce sont vos nouveaux fidèles, ces jeunes ?
– Ils sont libres, ils sont formidables ! Merci à vous tous !
La ferveur militante dépasse le simple cadre de la raison politique. Et Nicolas Sarkozy le sait bien, lui qui plusieurs fois après cette soirée me fera en complément cette réponse définitive : « Je ne dirige pas une secte. » Une dénégation intéressante quand on la rapporte à la certaine clémence dont a bénéficié l’église de scientologie – c’est sa représentante française qui le reconnaît – de la part du ministère de l’Intérieur et des Cultes depuis que Sarkozy en a pris la tête. N’oublions pas non plus l’admiration de Nicolas Sarkozy pour le célèbre acteur américain Tom Cruise, VRP de la scientologie s’il en est…
Pas bête, Nicolas Sarkozy sait que son rapport à la religion m’intéresse. « Et alors, il serait interdit de parler de religion quand on fait de la politique ? », répond l’intéressé, en renvoyant, comme à chaque fois qu’il est en difficulté, une question au journaliste qui lui fait face.
Car c’est à l’époque la première fois qu’un homme politique parle ainsi de l’intime de l’individu, de ses craintes existentielles, de sa mort, et ce par-delà son action politique en faveur de l’intégration de l’islam. Mais pourquoi parle-t-il ainsi de Dieu ? Celui qui se débrouille pour serrer la main de George Bush devant un photographe suivrait-il les leçons de son nouvel ami de la Maison-Blanche ? On sait que Bush fait souvent appel à son Dieu pour l’aider dans sa politique, il ne s’en cache pas. C’est d’ailleurs un argument électoral, qui lui a sans doute donné la victoire pour son deuxième mandat. Face aux dangers du monde, il y avait Dieu et Bush. C’est pas mal quand les électeurs ont peur. Nicolas Sarkozy s’en défend, bien sûr, mais une fois je l’ai vu tomber dans cette dérive dangereuse.
La scène se déroule le 5 novembre 2004, lors du baptême d’un navire méthanier (transport de gaz liquide) sur les Chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire. Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Économie et des Finances, est fier d’inaugurer le méthanier Energy, un nom anglo-saxon pour un fleuron de l’industrie française, en compagnie des élus de la région, du P-DG d’Alsthom et de la marraine du cargo, la sprinteuse Muriel Hurtis. Au moment où le prêtre termine sa bénédiction (c’est une tradition), qui est censée porter bonheur au bateau et aux marins, Nicolas Sarkozy, ministre d’État, spontanément fait le signe de la croix, sur son front, son sternum et ses épaules. Un choc ! Jamais un élu de la République de ce niveau-là ne s’était signé en public, sachant en plus qu’une dizaine de caméras le filmaient. Ce jour-là, Sarkozy venait de briser le tabou de la laïcité et de la séparation de l’Église et de l’État.

– Sarkozy PrÉsident ! Sarkozy PrÉsident !
Sous le chapiteau, les ovations du jeune public sont bientôt couvertes par la musique. De fait, Sarkozy est déjà Président, et il est aux anges. Il fend la foule et parvient péniblement à s’extraire du chapiteau chauffé à blanc, pour rejoindre la salle de presse.
Le président de l’UMP s’est installé sur une banquette de molesquine au fond de la salle. Très vite, les journalistes se placent à ses côtés. Autant entendre ce qu’il va dire… Nous sommes une bonne trentaine. Je parviens à me caser juste derrière lui, à 10 centimètres. Je suis toujours derrière, et cette fois je vois bien mes consœurs et confrères qui cherchent le regard du responsable politique. Ce n’est pas la ferveur de tout à l’heure, mais les regards sont quand même lumineux. Cette proximité est le plus souvent réservée à quelques journalistes triés sur le volet. Sarkozy est calme, reposé, il parle avec un large sourire. Il a le teint clair, les joues pleines, l’œil vif. Je ne l’ai jamais revu aussi détendu depuis.
– À ce jour, nous avons quatre cent douze parlementaires inscrits, et on a passé tout à l’heure les six cents journalistes accrédités. Il faut dire qu’il y a beaucoup de suspense dans ce congrès…
Il rit de bon cœur de sa blague, et tout le monde avec lui. Avec une gourmandise évidente, il nous détaille le menu de la fête du lendemain, au Bourget – « Le sacre de Sarkozy », va titrer la presse.
– Vraiment, c’est magnifique ! Il y aura une petite surprise pour les militants, ils repartiront avec mon discours. Ce congrès va être un succès, contrairement à ce que vous disiez il y a quelque temps. Je me souviens d’un article de Bruno [un journaliste du Parisien], où il disait : « Vraiment, ce Sarkozy est banalisé, ça n’intéressera plus personne. »
Il rit encore.
– On va essayer de faire quelque chose dont les gens se souviendront. À la fois moderne et simple. Moderne, très moderne. Vous verrez, à la fin, j’espère que ce sera beau…
Il marque un temps, comme dans un rêve, puis se reprend :
– Bon, je suis assez heureux, pour tout dire !
À cette époque, deux ans et demi après la présidentielle de 2002, et autant avant la suivante, Nicolas Sarkozy est au faîte de sa gloire. Omniprésent sur le terrain, l’homme agit tous azimuts et occupe l’ensemble de l’espace médiatique. Rien ni personne ne semble pouvoir lui résister, à droite comme à gauche. Depuis, les choses ont changé. À gauche, son bilan est contesté, notamment sur les chiffres de l’insécurité ; à droite, c’est sa « rupture » avec la tradition gaulliste et chiraquienne qui inquiète certains, autant que son libéralisme économique.

Je pose une question.
– C’est votre fête ?
– Mais non, il ne s’agit pas de ça, ce n’est pas ma fête, me répond-il agacé. Il ne s’agit pas de faire le parti de Nicolas Sarkozy, ça n’a pas de sens.
Désolé. Pourtant, personne n’est dupe. Il vient de s’emparer du parti unique de la droite, la machine de guerre imaginée par Juppé et Chirac : l’UMP, qui doit lui servir à conquérir le pouvoir. D’ailleurs, il reparle tout de suite de sa propre personne.
– Je vais passer une nouvelle étape de ma vie politique, qui est une étape où je dois rassembler. Tout l’enjeu et le vrai défi pour moi, c’est d’être libre et en même temps responsable. Et j’étais très intéressé de voir le sondage du Figaro. C’est tout à fait à contre-image des codes de la vie politique actuelle. [80 % des gens disent qu’il doit rester libre.] Voilà, j’ai voulu partager ce moment, vous avez compris que ce n’était pas une conférence de presse. Pour moi, c’est magnifique !
– C’est tout du off ?
Une journaliste vérifie si elle peut écrire ce qu’elle vient d’entendre.
– Oh, tu parles, et puis je m’en fous. Je vais vous dire une chose, je m’en fous.
– Parce que ce n’est pas moderne ?
– Non, ce n’est pas ça, c’est parce que je pense que la vie politique… Si moi, j’arrive à faire la différence, c’est parce que les gens, ils disent : « Il dit ce qu’il pense. » Vous savez, l’émission de TF1 que j’ai faite, là, mercredi. On commence à 8,2 millions de téléspectateurs, on termine à 9 millions et demi. Ce n’est pas une question d’arrogance, c’est une question d’authenticité. Regardez les jeunes qui sont là, ils savent qu’il va se passer quelque chose demain. Ils viennent là parce qu’il se passe quelque chose. Les partis politiques ont oublié que, quand il n’y avait plus de vie, il n’y avait plus de gens. Bon, alors, j’ai commis des erreurs, je me suis trompé, j’étais à terre, mais j’ai toujours été sincère dans ce que j’ai voulu faire. Ils savent qu’il y a quelque chose qui va se passer… Et vous aussi, sinon vous ne viendriez pas. Il n’y a pas un journaliste qui dit : « Ah, la barbe, demain il y a le congrès de l’UMP ! »
Ça y est, il a fini. La fausse vraie conférence de presse a duré environ dix minutes et la plupart du temps Sarkozy n’a parlé que de lui. Il s’est levé. L’opération de séduction continue, mais en plus intime cette fois. Nicolas prend congé des journalistes les plus influents ou de ceux qu’il préfère. Il demande des nouvelles, les tutoie et les remercie d’être venus.
– Merci, hein ! C’est magnifique, hein ?… Où est ma femme ?… C’est magnifique, non ?
Il embrasse une blonde qui passait par là pour le féliciter.
– C’est magnifique, non ?… Où est ma femme ?
Elle est juste là, elle termine une interview en anglais pour la BBC. Nicolas la félicite pour son excellent anglais. Ce sont parmi les dernières images du couple avant la tempête. Cécilia a déjà rencontré Richard Attias, un des organisateurs de la fête du lendemain au Bourget ; plus tard, on les verra en une de Paris-Match, en amoureux à New York.
Mais jusqu’ici tout va bien.
Demain la cérémonie sera grandiose et la famille Sarkozy sera à l’honneur. Il paraît que c’est moderne de vendre sa famille en politique. Même leur fils Louis sera mis à contribution. Sur une dizaine d’écrans géants, le petit Louis s’adressera à son père et à la France entière à travers les télévisions qui reprendront l’image : « Bonne chance, papa ! » Un nouveau tabou est brisé. Mais, à sept ans, le fils n’a pas pu vraiment donner son avis, et ce n’est pas la première fois qu’il aura été utilisé par son père pour construire son image politique.

OÙ VEUT-IL NOUS MENER ?

C’est une des questions récurrentes que je pose à M. Sarkozy, depuis des années, sans jamais avoir de réponse.
Où va-t-il ? Vers la victoire, c’est sûr, il s’y prépare depuis toutes ces années. Mais surtout, où veut-il nous mener ? Un jour, devant mon insistance, il m’avait fait cette réponse plutôt méprisante : « Vous n’avez qu’à adhérer à l’UMP ! »
Depuis, il a d’abord précisé qu’il voulait « la France d’après », avant de se raviser pour préférer « construire ensemble », sans pour autant dire avec quelles idées, quelle idéologie.
Plus ou moins d’impôts, plus ou moins d’État ? Plus ou moins de déficit ? À l’heure où j’écris ces lignes, le programme électoral du candidat se précise. Je n’en ferai pas le détail ici, les promesses de campagne vont évoluer au fil des semaines jusqu’au premier tour, mais il est troublant de constater que l’Institut de l’entreprise, un organisme indépendant mais issu du patronat, met le doigt là où ça fait mal. Fin 2006, leurs experts chiffraient le coût du programme socialiste à 46 milliards d’euros, mais celui de Sarkozy n’est pas loin : ses promesses coûteraient, au bas mot, 35 milliards d’euros à l’État français ! Un paradoxe pour celui qui nous rabâche depuis cinq ans que la France, avec plus de 1 000 milliards de dette publique, vit au-dessus de ses moyens. Entre les multiples exonérations fiscales (charges, impôts, droits de succession) d’un côté et de l’autre les nouvelles dépenses comme l’aide à la recherche et à l’Éducation nationale, la construction de centres pour mineurs ou le droit au logement opposable, la dette de la France ne semble pas prête de baisser sous la présidence Sarkozy.

« Je suis pragmatique, pas dogmatique. » D’accord, mais vous croyez dans le libéralisme économique ? lui ai-je demandé début septembre 2006 à l’université des jeunes de l’UMP à Marseille. « Historiquement, je suis issu de la famille gaulliste, je ne suis pas un idéologue ; ce qui m’intéresse, c’est d’être compris des Français et de trouver des solutions aux problèmes des Français, et je ne ferai pas ce cadeau à la gauche d’une caricature de la droite. »
C’est inattendu que Sarkozy fasse encore référence au général de Gaulle. Lui, l’ancien balladurien, libéral déclaré, qui aujourd’hui conteste la politique étrangère de Jacques Chirac. Lui qui remet en cause la loi de 1905, qui garantit la séparation de l’Église et de l’État, lui qui favorise par ses paroles et ses actes politiques l’émergence de communautés. Le 9 novembre suivant, alors qu’il n’est pas invité à Colombey-les-Deux-Églises pour l’anniversaire de la mort du général, il précise que le de Gaulle dont il se réclame, c’est celui « qui a été l’homme de toutes les ruptures. Il a toujours refusé la continuité, les conformismes, l’habitude et les situations acquises. »

Au sein de l’UMP, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur les motivations profondes de cet homme bourré d’énergie. Les plus sceptiques sont ceux qui justement se réclament du vieux mouvement gaulliste. Michèle Alliot-Marie, fin 2006, semblait vouloir être le fer de lance de cette opposition interne, organisée depuis Matignon et l’Élysée.
Mais ils sont peu nombreux à s’exprimer librement : Sarkozy passe pour être plutôt rancunier et, au moment des nominations, il se souviendra de ce que chacun a dit. J’en ai trouvé un qui n’a pas peur, car il n’a pas vraiment d’ambition ministérielle ou autre. Il est un des cadres du Forum des républicains sociaux, le mouvement de Christine Boutin, un parti politique associé à l’UMP. Vincent You, à Angoulême, est un des jeunes vice-présidents du FRS ; il se dit profondément « gaulliste et humaniste ». « Je vibre à une idée universelle de la France », m’a-t-il dit. Il semble qu’il n’ait rien à perdre, car voici comment il m’a raconté son expérience avec Nicolas Sarkozy :
– C’était il y a quelques années. Je faisais partie de l’école des cadres du RPR et j’y suivais une formation qui était donnée à une centaine de jeunes militants. Et je me souviens de la conférence inaugurale de Nicolas Sarkozy. Elle avait duré deux à trois heures. Pendant tout ce temps, il nous a parlé d’un seul thème : comment prend-on le pouvoir ? Comme aujourd’hui, il faisait preuve de dynamisme, mais à aucun moment il n’a dit que l’objectif de cette prise de pouvoir, c’était de défendre des convictions pour agir pour son pays, pour autre chose qu’une ambition personnelle. Ça m’a marqué que devant ces jeunes il n’ait même pas ce souci d’habillage. Cette impudeur, ou ce sans-gêne, ça m’a glacé pour la vie. 50 % de la salle était comme moi, l’autre moitié lui était totalement acquise.
– C’est normal en politique d’avoir de l’ambition, mais vous trouvez que Sarko n’a pas d’idéologie, pas de fond ?
– Moi, je crains que son efficacité soit uniquement orientée vers la prise de pouvoir, pas au service de quelque chose qui le dépasse. Personnellement, je défends un gaullisme social, je pense que les Français ont besoin d’un projet collectif qui les porte et qui fasse qu’on se retrousse les manches, qu’il y ait une fraternité. Le projet de Sarkozy, lui, est issu d’une démarche marketing. Il sait qu’il faut un souffle, mais je crains qu’il puisse aujourd’hui défendre certaines choses et demain défendre l’inverse parce que le vent aura tourné. Cette conception opportuniste de la politique ne m’intéresse pas.
Voilà, « Super Sarko » est un self-made-man qui croit dans la réussite par l’effort. Il aime les États-Unis, car il admire ce modèle de libéralisme qui donne aux entrepreneurs la liberté de réussir. En fait, Sarkozy est, comme un chef d’entreprise pragmatique et courageux, persuadé que le plus important, c’est de vouloir et d’agir pour parvenir à la réussite. La méthode, agressive et conquérante, est souvent gagnante quand il s’agit de vendre un produit. Mais, pour ces élections, il s’agit de choisir un président pour notre pays.
Alors, une question : Nicolas Sarkozy a-t-il une vision politique pour la France ? Au gré des circonstances, le candidat s’est adressé aux contribuables, aux musulmans, aux buralistes, aux électeurs d’extrême droite puis à ceux de gauche. Pourquoi pas aux grands et le lendemain aux petits, aux maigres et aux gros ?…
Peut-on présider la France, un pays qui a toujours revendiqué des valeurs universelles, avec uniquement un moteur et le plein de super ? Pour aller où ?
Depuis cinq ans qu’il est au pouvoir, j’ai, comme beaucoup de mes compatriotes, été surpris par sa volonté et la force de son action, mais je n’ai pas encore senti le souffle de la réconciliation ; un projet qui, au-delà de nos différences, de nos peurs et de nos haines, pourrait nous aider à vivre ensemble. Depuis quelques mois, le candidat tente de s’assouplir, d’apparaître plus doux, moins agressif. Réussira-t-il sa « rupture tranquille » ? En quelque sorte le mariage de la carpe et du lapin. La synthèse de Nicolas et de Sarkozy.

PORTRAIT SARKOZY

Au milieu des années 1950, un personnage d’écolier facétieux fait son apparition dans la presse française : le Petit Nicolas de Sempé et Goscinny. À peu près au même moment, le 28 janvier 1955, Nicolas, Paul, Stéphane Sarközy de Nagy-Bócsa voit le jour à Paris. Lui aussi, on l’appellera plus tard « le Petit Nicolas », non seulement parce qu’il n’est pas très grand, mais aussi pour bien marquer l’opposition avec celui qu’on surnomme « le Grand » : Jacques Chirac.
Nicolas naît dans une famille assez marginale pour l’époque. Son père, qui a fui son pays en 1944, est issu de l’aristocratie hongroise. Publicitaire le jour, mari volage le soir, il abandonne sa famille du jour au lendemain. La mère de Nicolas, Andrée, se retrouve seule avec trois garçons, Guillaume, François, le petit dernier, et Nico, qui n’a que cinq ans. La famille s’installe dans le XVIIe arrondissement à Paris, chez le grand-père maternel. Maman reprend ses études et deviendra avocate.
Enfant de la bourgeoisie gaulliste, Nicolas est, comme pas mal de gosses, perturbé par le départ de son père. Petit garçon turbulent, boudeur, il se bagarre souvent avec ses frères. Élève moyen, il devra même redoubler sa sixième. Alors que son père se remarie trois fois de suite, Nicolas refuse de le voir pendant trois ans.
En mai 68, il possède déjà des convictions gaullistes, mais, comme il n’a que treize ans, sa mère refuse qu’il aille manifester son soutien au général sur les Champs-Élysées.
En 1973 il obtient son bac et veut devenir avocat. À la fac de Nanterre, il côtoie les gauchistes, mais lui est de l’autre bord et adhère à l’UDR, le vieux parti gaulliste. « Un jour, je serai président de la République », confie-t-il à ses proches, stupéfaits. Charles Pasqua, baron de Jacques Chirac dans les Hauts-de-Seine, le prend sous son aile. En 1977, il impose Nicolas sur la liste municipale de Neuilly. Mais, six ans plus tard, Nicolas va le trahir en se faisant élire à sa place à la mairie de la ville la plus riche de France. Nous sommes en 1983. Nicolas Sarkozy a vingt-huit ans. Député à trente-trois ans, il sera réélu à chaque consultation.
En 1994, il prend le parti d’Édouard Balladur contre Jacques Chirac : c’est sa deuxième trahison. Raison invoquée : Chirac prône la rupture alors qu’il faut à la France de la continuité, incarnée par Édouard Balladur… Nicolas était le fils spirituel de Chirac, il est désormais surnommé « le petit Connard ». Aux élections européennes de 1999, la liste du RPR menée par Nicolas fait le score le plus bas de son histoire. Sur cet échec, Nicolas se retire de la vie politique pendant presque deux ans. À partir de 2001, Bernadette Chirac le fait revenir en prévision de la campagne présidentielle. Son énergie le rend indispensable à la majorité. En 2002, il est nommé ministre d’État, mais il gardera, violant ainsi la loi sur le cumul des mandats, la présidence du conseil général des Hauts-de-Seine.
Quant à sa vie privée avec Cécilia Ciganer-Albeniz, qu’il avait rencontrée alors qu’il était maire le jour de son mariage avec l’animateur de télévision Jacques Martin, elle a été médiatisée jusqu’en mai 2005, date de leur première séparation. De leur union est né un fils, Louis. Lors du sacre de Nicolas à la tête de l’UMP, le petit bonhomme était apparu dans un film à la gloire de son père. Il lui disait : « Bonne chance, papa ! ».

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