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Qui à Peur des Gitans ? [Road-Doc]

Publié le | par

JPL EN CAMPING-CAR

ROAD-DOC AVEC LES « ÉTRANGERS DE L’INTÉRIEUR »

Après « Un toit pour moi! » qui explorait la débrouille des jeunes face à la crise du logement, suivi en juin dernier d’une conversation européenne sur le sexe et l’amour avec « C’est çà l’amour?, voici notre troisième documentaire pour France 4. Du beurre dans les épinards pour l’équipe des permanents de LaTéléLibre, et une exploration sensible de notre société.

Grâce à ce film nous avons brisé quelques idées reçues et découvert des défauts et des qualités insoupçonnées chez nos compatriotes du voyage.

D’abord, nous constatons que les gitans ont d’abord peur de nous, les sédentaires, car ils ne nous connaissent pas. Ensuite, et c’est une information importante de ce doc, les gens du voyage sont particulièrement attachés à l’hygiène. Ils lavent l’extérieur de leurs caravanes plusieurs fois par semaine, ne font jamais la cuisine à l’intérieur de la caravane où ils dorment. Quand ils font la vaisselle, ils rajoutent toujours une petite rasade d’eau de javel. Enfin, ils ne lavent jamais les torchons et les serviettes dans la même machine. Surprenant, non?

Qui a peur des gitans ?

Une co-production ON Y VA! et France 4

Documentaire Inédit de John Paul Lepers
Images: Matthieu Martin
Montage: Thomas Courcelle
pré-montage et images additionnelles: Anthony Santoro
Directrice de production: Caroline Lançon
Musique originale: Romain Dudek


LaTéléLibre – ON Y VA!
France • (2009)• 60’•

qui-a-peur-des-gitans2

John Paul Lepers et son équipe sillonnent les routes de France à la rencontre de ces 400 000 « étrangers de l’intérieur », et pour la plupart, Français depuis des siècles. À bord de leur camping-car, ils s’immergent dans la vie des gens du voyage pour mieux comprendre leur quotidien, leurs préoccupations mais aussi leurs espoirs. Une enquête intime et sans complaisance qui les mènera de la région lyonnaise à la banlieue de Perpignan.

« Voleurs, affreux, sales et méchants », les préjugés sont ancrés en nous depuis la petite enfance, nous les sédentaires ou gadjés comme ils nous appellent. C’est vrai qu’ils sont un peu sauvages, et qu’au nom de leur liberté, certains ignorent les règles de la majorité. Le problème, c’est que l’Etat non plus ne respecte pas la loi les concernant.

Depuis l’an 2000, la loi Besson oblige toutes les communes de plus de 5000 habitants à fournir un terrain pour les gens du voyage. Presque dix ans plus tard, à peine 20% des communes appliquent ce texte, en toute impunité. John Paul Lepers et son équipe, sillonnent les routes de France à la rencontre de ces 400 000 « étrangers de l’intérieur », pour la plupart, Français depuis des siècles. À bord de leur camping-car, ils s’immergent dans la vie des gens du voyage pour mieux comprendre leurs préoccupations et leur espoirs. Une enquête intime et sans complaisance qui les mènera de la région lyonnaise à la banlieue de Perpignan.

qui-a-peur-des-gitans

Interview de John Paul Lepers

France 4: Pourquoi un film sur les gitans ?

Lors du premier documentaire en camping-car, sur le logement des jeunes, nous avons fait une halte sur un terrain réservé au gens du voyage à Nîmes. La première appréhension passée, nous avons été frappé par la générosité et la joie de vivre des voyageurs qui vivent au jour le jour dans leurs caravanes. J’ai aussitôt eu envie de leur consacrer un documentaire. Non pas un film sur les Roms qui viennent d’Europe de l’Est, mais sur les 400 000 Français qui sont toujours considérés comme des étrangers de l’intérieur.

Qu’est ce qui vous a le plus surpris lors de votre immersion dans le monde des gitans ?

Avec l’équipe (Matthieu Martin à la caméra, Anthony Santoro au pré-montage, puis Thomas Courcelle au montage), nous avons été profondément surpris de constater que les gitans et les manouches de France avaient autant peur de nous les gadjés (sédentaires) que nous avons d’appréhension envers eux. Un seul exemple, l’hygiène. Nous pensons (à tord) que les gens du voyage sont peu regardant sur la propreté, sachez qu’ils pensent exactement la même chose de nous. Ils craignent les maladies que nous pourrions leur transmettre, et appliquent des règles d’hygiène draconiennes. Ils ne font jamais la cuisine dans leur caravanes, réservées à l’habitation, et à chaque vaisselle, ils rajoutent une touche d’eau de javel. Enfin, pour la lessive, ils ne mélangent pas les torchons et les serviettes !

Quelle conclusion tirez-vous de votre enquête ?

Qu’il est urgent d’appliquer la loi Besson obligeant les communes à proposer un terrain d’accueil digne de ce nom. Qu’il faut également aider ceux qui souhaitent se sédentariser afin que les jeunes puissent aller à l’école. L’illettrisme est le principal obstacle à toute prise de conscience citoyenne des gens du voyage. Des efforts sont à faire des deux côtés, sinon je crains que la situation ne se dégrade. En période de crise, ce sont toujours les minorités que l’on pointe du doigt. Comme dans l’Italie de Berlusconi, où les milices viennent d’être autorisées, les Gitans, les Manouches ou les Roms, sont les bouc émissaires les plus faciles à désigner…


VOIR LES AUTRES ROAD-DOC EN CAMPING-CAR


C’EST ÇA L’AMOUR?

ROAD-DOCS : LATÉLÉLIBRE-FRANCE 4 JPL en camping car C’est ça l’amour ? Documentaire inédit John Paul Lepers et Jérôme Mignard Montage: Smaïn Belhadj France • (2009)• 52′• Production ON Y VA! media … [suite…]

Publié le 30 juin 2009


UN TOIT POUR MOI!

ROAD-DOCS 56 minutes de road-doc, en cadeau sur LaTéléLibre et Dailymotion. Un toit pour moi ! Documentaire de John Paul Lepers et Henry Marquis Montage: Smaïn Belhadj Production ON Y VA … [suite…] Publié le 16 avril 2009

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Les commentaires (36)

  1. Excellente vidéo, surtout la fin sur les terrains inondables. J’aimerais pouvoir acheter le DVD de cette émission. A qui demander?
    Répondez-moi SVP, c’est important! Beaucoup de gens du voyage n’ont pas Internet et c’est important de pouvoir montrer ce film aux personnes concernées par les difficultés évoquées.
    D’avance MERCI!

  2. Encore un reportage « camping-carisé » de JPL qui rappelle à tout un chacun la nécessité d' »ouverture » intellectuelle et humaine.

    Le format carnet de voyage produit un effet terroir des plus sympathique ; mais il est indispensable de le tempérer par un refus plus strict de complaisance avec les interviewés. JPL il faut poser plus de questions qui fachent – comme vous le faisiez avec les politiques – au risque de tomber dans la démagogie sociale.

    Bonne continuation !!!

  3. beau témoignage que vous nous offrez. merci.Qui est le dernier intervenant? il restera néanmoins une barrière tant que la société persistera a ne pas s adapter .a bas les terrains de camping!vive le camping sauvage!!donc plus de terrain.

  4. Les gens du voyages devrait avoir des représentants maires et député, quand on pense que les morts des villages disparus ont encore des maires. Trés belles los images.

  5. Excellent, le reportage !

    J’aurais aimé savoir ce qui les motivent à aller dans tel village plutôt que dans un autre…comment se décide la destination et en fonction de quoi ?
    J’ai l’impression que les familles ont un circuit qui se reproduit (selon les saisons ?)…car quand j’enseignais, je retrouvais les gamins d’une année sur l’autre…

    Si c’est le cas, il serait possible de leur attribuer une adresse dans le village leur choix…ils pourraient ainsi voter,et alors, peut-être seraient-ils davantage reconnus comme citoyens par les politiques ?

  6. dans ma région , les gitans ont un terrain en propre .
    chaque année,ils se réunissent pour les fêtes de Pentecôte .
    La religion est très importante ,Il y a des baptêmes …
    cette année, selon les journaux, ils étaient 22000 .
    Les difficultés créées par cette affluence sont essentiellement des difficultés de circulation… C’est tout !
    Les enfants aux grands yeux et aux joues colorées se repèrent facilement et quand ils y viennent , le supermarché tout à coup
    s’anime et résonne de partout .
    et les femmes au grand rire réussissent à vendre quelques beaux paniers et toutes savent rendre imminent le futur écrit dans nos mains !

    Comment avoir peur des gitans ?

  7. Salut ,

    Merci pour votre film , sur ces hommes et femmes épris de liberté, qui vivent comme ils l entendent, c est tres rare de nos jours d avoir ce courage là.
    Mr Lepers , vous insister sur le fait de scolariser les enfants du voyage, je me pose la question, est ce que savoir écrire et lire est t il primordial, vital?
    Ne peux t on pas vivre et communiquer aussi sans celà, peut t il avoir un autre mode d apprentissage qui soit autre que l école?
    Je sais pas si je formule bien la question, si je me fais bien comprendre, en tout cas j aimerais bien connaitre votre réflexion à ce sujet et l échanger avec vous, vous avez mon e mail, alors si vous en avez le temps , , je suis disponible.

    N existe t il pas de temps pour la société du non écrit?

    Bougli

  8. Méconnaissance des sujets traités qui ne s’accordent pas en genre et en nombre (surtout avec l’école), lieux communs, clichés et maladresses. Digne de Thalassa à Barcelona…
    Bon retour à la télé ZZZZ!

  9. Bonjour JPL,

    Travaillant sur le sujet depuis 4 ans et ayant réalisé un mémoire sur les difficultés d’application de la loi Besson, je souhaitais réagir après la diffusion du reportage.

    Tout d’abord, bravo car comme vous le dites dans le doc, vous avez compris pas mal de choses en peu de temps. Le documentaire montre bien que les craintes et idées reçues existent chez les gadjés mais aussi chez les voyageurs. M Besson explique bien qu’à force de ne percevoir la société que par l’angle du rejet, les voyageurs se sont finalement construits en oposition par rapport à elle.

    Il également agréable de voir la famille vivre et j’ai retrouvé dans cet exemple celui de nombreuses familles que j’ai pu rencontrer.

    Concernant les aires officielles, elles ne sont pas toutes gardiennées 24h/24 et elles n’hebergent pas toutes le gestionnaire sur place dans un logement de fonction. Il existe d’autres aires officielles qui proposent un véritable lieu de vie au voyageur et non un parking surveillé.

    La difficulté est surtout dans la définition de la sédentarité. Comme vous l’avez constaté, de nombreux voyageurs souhaitent pouvoir bénéficier d’un ancrage territorial fort, en d’autre terme d’une parcelle sur laquelle ils puissent jouir d’une duree de séjour illimitée. Or, les schémas départementaux d’accueil des GDV (qui fixent les objectifs des communes) ne sont orientés que pour l’accueil du passage. De fait, cela revient à considérer que chaque voyageur doit se déplacer, et ca tous les 5 mois.

    Je pense donc que la solution rédise dans une offre diversifiée d’habitat auprès des voyageurs. Il faut des aires d’accueil de passage et des terrains familiaux pour ceux qui souhaitent rester sur un territoire mais conserver l’habitat caravane. Ce type de dispositif existe, le voyageur a alors un statut locatif classique, avec loyer mensuel et abonnements fluides à son nom…

    Enfin et pour conclure, les dernières minutes du reportage m’ont fait bondir! Lorsqu’on voit le ptit Rom nettoyer les parebrises de voiture sur une porte du périphérique, cela est très dangereux car cela alimente la confusion latente entre Roms et GDV francais. La problématique sociale est toute différente et la loi Besson s’adresse aux voyageurs Francais pouvant justifier d’un carnet ou livret de circulation ou d’une CI. Il faut donc faire attention car l’accueil va etre tout autre pour les Roms et de nombreux maires que je rencontre ne percoivent pas du tout cette différence pourtant cruciale.

    Bien à vous et bravo pour votre travail que je suis depuis quelques années…

  10. Je suis formatrice et je m’occupe de la scolarisation des EdV au niveau de l’Académie de Toulouse… Vaste programme aux facettes multiples très bien abordé dans votre vidéo. J’aimerai me procurer le DVD pour les formations des enseignants / associations / gestionnaires des AAGDV… élus et administrés… Merci de m’indiquer les démarches à suivre. Votre reportage est une porte ouverte au débat argumenté. Merci à vous.
    P/S J’approuve la remarque d’Udyto… l’amalgame est contre productif pour des 2 « populations »…
    Pat

  11. merci merci merci
    enfin un doc eclairant sur les gens du voyage! ils ne me font pas peur ils m’intriguent et me peinent souvent

    petit bémol aussi sur le lavage de carreaux final mais sinon j’ai vraiment appris beaucoup

    c’est un univers que j’iamerais approcher j’aimerais pouvoir les aider mais je ne sais pas comment

  12. .

    JPL,

    Belle tentative, Pia est en périphérie de Perpignan, et St Jaque est en centre ville de perpignan.

    « St Jaque, la plus grande comunauté gitane d’europe »(?)

    Comprend pas ce passage sous silence, comprend même pas qu’il n’y ai pas un petit clin d’oeil.

    Etrange mystère que ce lieu bien Français et pourtant invisible aux reportèrs de chocs, y compris de Visa pour l’image…

    .

  13. .

    Cela dit j’ai beaucoup aimé les passges avec le Mr le maire de Pia, un homme de dialogue comme on aiment en rencontrer ici, la voisine des Gitans qui s’enfuit à l’idée du « qu’en diras t-on ? »,
    et le témoin du « choix de vote » pour son terrain qui se vois couper les compteurs aprés coup, excellent !

    Merci JPL pour ce petit extrait des « affaires local », vu du dedans, on se demande si on est parano, en vidéo, ça parait déjà plus objectif.

    Merci JPL.

    .

  14. J’ai la solution:
    Chaque pays où il y a une grande population de gitans l’état devrait mettre un térritoire (un pays dans le pays) équivalent à un petit département avec une gérance pour les gens du voyage ainsi ils auraient un point de ralliement, les enfants pourraient faire des études, ils pourraient au moins voter pour les scrutins nationaux…

    Et pour ceux qui veulent s’installer définitivement rien de plus simple, il y a des centaines de villages qui meurent en france, des écoles ferment par manque d’élèves, il suffit de voir avec la municipalité car 3 ou 4 familles peuvent faire revivre ou sauver un village et il seraient beaucoup mieux *acceptés*….

    A BON ENTENDEUR….

  15. @ camarasa / bougli (post 6): Vous laissez un commentaire pour notamment proposer un échange de mails pour discuter de votre suggestion concernant l’éventualité d’une possibilité de se passer de l’écrit? Je ne suis pas sûr de saisir…

    Et oui, parmi les gitans il y a des bons et des mauvais, des gentils et des méchants (dont certains profitent de la « réputation du gitan »), des bons des cons, etc. Tiens, comme dans toutes les autres « catégories », c’est marrant! Bref, comme pour des humains, quoi!
    Perso, pas peur, et pas plus méfiant qu’envers d’autres.

    « Ils craignent les maladies que nous pourrions leur transmettre » ? Non seulement il ne s’agissait là que d’une famille, mais aussi ils se ne méfient pas uniquement des gadjés…
    A part ça et le semblant de regret, dans le ton, en évoquant le fait qu’il n’y ait pas eu de mort parmi les gadjés (c’est juste l’impression que ça donnait, pour moi), je n’ai pas grand-chose à y redire… Encore un documentaire très intéressant.

    @ Colibri: La première solution… bof bof. Faire en sorte qu’ils aient des adresses fixes, ouais, mais un « territoire gitan »… J’y vois bien trop d’inconvénients.

  16. Merci pour ce bel article. Je prie pour en avoir d’autres et plus particulièrement sur le génocide du million de tziganes (rom, gitans, manouches…) dans les camps de concentration de la 2ème guerre mondiale. Génocide dont personne n’en dit mot aujourd’hui. Et pourquoi donc ?

  17. Bravo pour ce film réussi et touchant sur une communauté décriée. On attend la suite avec les Corses :)

  18. Bonjour JPL,

    Je vous invite à venir dans ma ville quand les gens du voyage sont de passage et d’interroger les gens, commerçants alentours.
    Je peux vous garantir que vous risquez de ne pas avoir de bons compliments.
    Personnellement, je n’ai jamais eu affaire directement à ces personnes mais je suis systématiquement scandalisé par l’état des terrains de foot après leur passage, la recrudescence de vols quand ils sont présents (non, je ne plaisante pas, mon père a été victime).

    Après avoir vu le documentaire, j’avoue être perplexe. Je suis touché par les commentaires des personnes interviewées, par le scandale des terrains mais j’ai quand même toujours un goût amer dans la bouche.

    Je pense que ce « conflit » larvé ne cessera jamais. Nous sommes en plein milieu du conflit israélo-palestinien : des efforts de part et d’autre mais jamais en phase et finalement un trop grand fossé culturel qui ne peut pas être comblé.
    La France est un pays de sédentaire majoritairement et les voyageurs deviennent de facto des marginaux (qui peuvent aussi confirmer leur statut de marginaux comme dit plus haut).

    Motcha

  19. jaimeré répondre a se comentaire laissé par cette personne la:par camarasa / bougli ,oui c est primodiale de savoir ecrir de nos jours moi je sait de koi je parle jai appris a 11 ou 12 ans a écrire car on voyager bocou avec mon pere et ma mere donc les école jen et vu défiler devant mes yeux alors pas le temp pour moi d apprendre si aujourd hui jarrive a me débrouiller c est que mes parents un jours on dit stop au voyage et il son mis en maison alors jai ete tous les jours a lécole et je suis tomber sur une tres bonne ecole qui ne mon pas mis au font de la classe comme d habitude donc OUI c est tres important de savoir ecrir et lire .

  20. Bonjour et merci de tant de justesse ! Travaillant depuis des années auprès des gens du voyage de la région paloise, je reconnais les mots, les ambiances (ah, les grillades !) mais surtout les mêmes problématiques, les mêmes injustices, les mêmes revendications légitimes.
    Quelques documentaires ont été réalisés ici par un centre de formation et de jeunes manouches, ainsi qu’un journal des terrains ; ça peut être des contributions intéressantes pour LaTéléLibre…
    Est-il possible d’obtenir un CD de cette vidéo ? Afin de pouvoir la diffuser sur les terrains… où il y a rarement internet !!
    Encore bravo et bonne continuation !

  21. Bonjour

    Reportage très intéressant pour un néophyte et je partage pas mal de chose avec cet état d’esprit de liberté, je reconnais les injustices pour les avoir vécues avec des amis,mais un sujet reste quand même tabou, c’est comment peuvent il s’acheter des caravanes qui coute au minimum 25 000 € plus la voiture dans les même tarifs au bas mots et dire ne pas pouvoir acheter un terrain de campagne.
    Bravo encore pour des reportages dans ce style qui donne une autre image que les clichés habituels.
    On n’a tous à apprendre les uns des autres.

  22. c’est genial tout le monde il est beau tout le monde il es gentil, pas de fausse note si seulement si.

  23. jai regardé le filme qui a peure des gitants sais supère car je connais bien les gitants de perpignan la famolle de 11 enfans qui passe me voire a osseja 66340 cest des amie de longue date mai a qui demandé le dvd de ce documentère merci d’avance de me le dire jaime les gitants jai été élevé dans dance ce millieux a biento yves de osseja non michel 66340

  24. Bonjour,
    Je viens de découvrir votre chaine et je trouve que vous faites un travail formidable. Il est temps d’éduquer les gens, de surpasser les idées reçus et de vivre tous simplement ensemble. Ce film traduit bien le sens du proverbe:
    Ce qui empêche les gens de vivre ensemble c’est pas leurs différences, c’est leur connerie.
    Je vous met dans mes favoris.
    Bravo à votre équipe!
    Solidairement

  25. Bonjour et merci pour le film.
    Le téléchargement semble indisponible ? Peut-on encore se le procurer ? Que doit-on faire ?
    Merci.

  26. J’ai trouvé ce reportage très approximatif…
    Pourquoi ne pas avoir parlé de la culture de ces gens du voyage, de leurs traditions et us et coutumes ?
    Pourquoi avoir interrogé 2-3 maires au lieu de 10 ?
    Quelles sont leurs sources de revenu, à part 1 ferrailleur ?
    Pourquoi ne pas avoir utilisé plus de statistiques (hospitalisation, police, éducation, naissances…) ?
    Bref, je suis très déçu par ce manque de profondeur.