Prenez deux chômeurs picards longue durée, un milliardaire onctueux et son barbouze audiardesque. Faites-les revenir dans une intrigue de pieds nickelés. Saupoudrez de loufoquerie et de machiavélisme. Ajoutez un zeste d’impertinence et le talent de François Ruffin. Laissez mijoter une heure et vingt-quatre minutes et vous obtenez un film inclassable, à ne pas louper, avec de vrais morceaux de vraie vie dedans. Et ce film social, LaTéléLibre l’a vu en avant-première !

La romancière Virginie Despentes, qui vient de sortir son nouveau roman « Vernon Subutex », a livré dans les Inrocks, ses impressions sur les attentats contre Charlie Hebdo et la semaine qui a suivi. Christophe Morau, reporter à LaTéléLibre, revient lui aussi sur les réflexions qui l’ont animé pendant ces événements et nous explique pourquoi il a choisi de réagir à la tribune de Virginie Despentes.

Une expo de photos mettant en scène des couples homosexuels « fictifs » a été vandalisée. Pour lutter contre l’homophobie, des personnalités comme François-Xavier Demaison et Antoine de Caunes, ou Roselyne Bachelot et Audrey Pulvar, ont acceptées d’incarner des « couples imaginaires », le temps d’une photo. Les homophobes n’ont pas aimé.

Ce sont des gens bien. Ils animent une revue qui parle des arts et de la société. Du beau, du laid et de nous, qui sommes comme l’art, à la fois laids et beaux. Ils définissent l’Art, comme « un principe actif ». Ils ont (comme nous à LaTéléLibre, mais on vous en parlera un autre jour) des problèmes financiers. Voici leur appel à soutien. Si vous le pouvez, achetez leur journal.