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La Libre Interview de Cédric Klapisch

Publié le | par

Il y a quelques jours, nous avions rencontré Cédric Klapisch à propos de « Paris » son nouveau film qui sort aujourd’hui, et de sa lettre ouverte à Nicolas Sarkozy.

Cette fois, Cédric Klapisch répond aux 3 questions de La Libre Interview. “Une télé libre?”, “Une presse libre?”, Une info, une idée, un point de vue… Libre?”

Cédric Klapisch, 46 ans, est l’auteur d’une dizaine de films dont plusieurs grands succès populaires (Le péril jeune, Chacun cherche son chat, un air de famille, l’auberge espagnole, les poupées russes), il est également président le da SRF (Société des réalisateurs français).
C’est à ce titre qu’il a adressé le 6 novembre dernier une lettre à Nicolas Sarkozy publiée dans Le Monde, pour l’alerter sur les difficultés du cinéma d’auteur en France et sur le risque plus général d’appauvrissement de la production culturelle française si les institutions politiques n’inversent pas la vapeur à court terme.

Nathalie Leruch
Images et montage: Joseph Haley

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Les commentaires (23)

  1. Je ne lis rien sur Sarko-Bruni, ça me barbe …
    Ouf, je ne suis pas malade ! C’est Klapisch qui l’a dit .

  2. Interview passionnante.
    Klapisch est vraiment lucide, ouvert intellectuellement, intéressant et intéressé.
    Ça fait du bien dans un contexte politique où on s’insulte de « terrorisme intellectuel » à tout va, où on cultive les dogmatismes, et où on se peopolise sans réfléchir…

  3. des choses profondément ininterressantes prennent les pas sur des choses intérréssantes, et ca c’set tragique !
    Voila qui resume bien la politique actuelle, qui, pour ne pas froisser les gens et leurs conscience, les gavent de conneries obselètes cachant ( !! ) la réalité désastreuse du néolibéralisme en matiere de social

  4. Quel bonheur de l’entendre, je boycote tout ce qui s’écrit sur la sarkopeople, de Belgique c’est un peu plus facile et comme je ne lis pas de magazines « féminins »! ça me fait déjà un fameux écrèmage.

  5. Klapisch est un bon bougre censé, on s’y retrouve. Merci mon gars !

    Que tous les bons bougres se concentrent maintenant sur l’enfoncement de la deuxième ligne, Fillon, trés probablement, et son deuxième gouvernement. Sarkozy devrait les y aider.

    p.s: gardez un oeuil sur Olivier Todd, démographe et pronostiqueur à qui on doit cette analyse :

    « [Sarkozy va descendre dans les sondages] là où jamais un président n’est allé [car] les Français vont se rendre compte qu’ils n’ont pas de président ». Bien vu l’aveugle, d’habitude c’est le premier fayot le fusible, pas le président.

  6. Et j’ ai entendu ce matin, à la radio, que cette chute est d’ autant plus particulière -en dehors de sa rapidité d’ apparition -Mitterand avait attendu 1984 pour connaître un score du même genre- qu’ elle ne se produit pas en période de crise sociale, comme toute bonne chute sondagière.

  7. Salut à vous,
    Pour donner une idée à la sienne, comme lecture d’une presse totalement indépendante, je vous recommande vivement le mensuel « Le Tigre », sans pub, pas cher, très fourni et varié, parlant de l’actualité mais attention! pas de l’actualité insipide et polémique que vous rencontrez chaque jour, une belle et sobre mise en page, des plumes intelligentes, de l’humour, de l’intimité non exhibée, bref, un bol d’air nouveau bien qu’on puisse y sentir une certaine nostalgie. Un régal!

    Ne peut-on pas imaginer à ce propos de presse indépendante, un regroupement des journaux, sites et médias en général qui font d’une absence de pub et de pression de l’argent/audimat une de leurs raisons d’être? idée, comme ça… libre; un collectif efficace qui ferait alors pression juste par son existence sur les gloutons éléphants de l’encre et de l’hertz.

    Bien à vous

    Ahoj!

  8. Merçi Mr Klapisch pour votre cinéma, pour le choix des sujets et des acteurs. Vous avez l’art de faire des films différents et en même temps très proches. Dernièrement j’ai revu « Ni pour ni contre (bien au contraire) ». Le personnage de Vincent Elbaz et de Marie Gillain sont comparables à certains pipolitiques d’aujourd’hui, partir de « rien » et aimer les belles pompes (ou montres c’est pareil) et puis faire son choix entre deux routes et y aller à fond. C’est sans doute le plus politique des films que vous ayez réalisé parce qu’il est le plus noir comme l’est la politique d’aujourd’hui. Vincent Elbaz utilise les autres personnages comme un leader politique utilise ses proches collaborateurs, et quand ils ne sont plus tout à fait d’accord ils les renvoient dans leur foyer, les laissent mijoter, les manipulent à nouveau. L’argent comme le pouvoir rend aussi rude et rusé.
    Je vous aime Mr Klapisch. Merçi encore.

  9. Bof, klapisch est un réalisateur correct, je ne trouve pas ses propos particulièrement lucides ,j’ai meme été décu de l’entendre dire qu’il achetait le journal du traitre Val. Ces films sont plaisants mais je ne comprend pas pourquoi c’est lui que la télélbre a interogé au sujet de la presse. Pourquoi ne pas avoir été voir Godart par exemple?
    Au fait Bourreau et aslan c quoi votre radio?

  10. Je trouve les propos de M. Klapish d’une triste banalité (évoquer la liberté de la presse en citant Le Figaro et sans citer Le Canard Enchaîné m’étonne!), il a le droit comme tout un chacun de s’exprimer, mais là, ça n’aura pas servi à grand chose! Il me semble qu’un cinéaste s’exprime avant tout en faisant des films… ce qu’il fait plutôt bien. Ecouter cette « interview » ne donne pas forcément envie de les voir, dommage!

  11. J’ai vu son film Paris hier soir et c’est encore un grand moment d’humour, de finesse et d’intelligence. Le parallèle entre les différentes vies des personnages, la pertinence des dialogues, des situations, l’intimité qui se dégage de ce film est tout bonnement géniale. Un vrai film intelligent et fin comme je les aime et je trouve plutôt bien que ce soit lui qui ai écrit à Sarkozy.

  12. La vraie liberté, zoomental, c’est de pouvoir s’intéresser à tout et de ne pas s’imposer de tabous inutiles .
    Monsieur Klapisch lit le Figaro, non pas pour s’informer des faits, mais pour se rendre compte de la pensée et de l’état d’esprit des gens de droite .
    Il faut connaître ses adversaires pour lutter efficacement .
    Sinon c’est de l’enfermement idéologique auto-stérilisant .

  13. A ceux dont je suis qui sont pas fan de Klapisch et veulent du frais quand même je conseille Juno, trés bien servi ce petit plat US est un régal.

    P.S: J’ai dit petit, attendez pas l’extase non plus.

  14. Bonjour,
    Bon reportage ; je ne lis plus les journaux et je ne regarde plus la télé. En effet, la « peoplisation » de la presse et de la politique appauvrit les débats … et la culture. Le pire c’est que ce n’est pas délibérément que cela se fait mais nous vivons dans un monde qui se devient médiocre culturellement !

  15. Très intéressante ces interviews libre, d’autres sont-elles prévu ? La dernière semble dater de 2008.

    Cordialement,

    Tomi