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UNE ANNÉE DE "LIBRES COURTS"

Publié le | par

ANNIVERSAIRE

Et voici le premier anniversaire de Libres Courts ! L’occasion de jeter un coup d’œil en arrière et de voir ou revoir les onze derniers épisodes de cette émission qui accompagne La Télé Libre quasiment depuis son lancement.

« Libres Courts » !une émission proposée et présentée par Loïc Landrau, vous plonge tous les mois dans l’univers de la fiction, version court métrage. Le principe est simple. Une fenêtre de diffusion de films courts-métrages, sur internet, donc accessibles à tous, pour des réalisateurs indépendants, des associations, collectifs, etc. Au fil des mois, l’émission a évoluée, et Loïc a souhaité organiser des débats à l’issue de la diffusion d’un court-métrage.

« Je me souviens très bien de la naissance de l’émission : après avoir rencontré Jérôme Mignard lors d’une conférence-débat sur l’indépendance des médias, j’ai décidé de proposer mon émission à cette toute jeune télé qui promettait de faire trembler le net. Je me suis donc fait inviter à la soirée de lancement qui réunissait le gratin de la profession dans un cinéma du 14e arrondissement de Paris en présence d’Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri (nos parrains !). J’ai ainsi pu présenter mon projet à Henri Marquis qui m’a dit oui quelques jours plus tard. Libres Courts était né… Depuis, beaucoup de réalisateurs, d’invités, de caméramens, de preneurs de son, d’assistants, de coordinateurs et de monteurs se sont succédés pour me venir en aide sur ce programme. Qu’ils en soient sincèrement remerciés.

J’espère ainsi pouvoir continuer à vous faire aimer le court-métrage, qui ne bénéficie pas d’une visibilité suffisante à mon goût, et vous contenter par des sujets intéressants et à minimum polémiques. Merci à vous télé-libre-spect’acteurs, enfin, car vous êtes les premiers acteurs de cette émission. A très vite donc pour la prochaine édition et longue vie à la Télé Libre. »

Loïc Landrau
Caméra : Mélanie Pasquier
Musique/ logo : Julien Fricero

LIBRES COURTS N°1

rammesteinr

Pour essuyer les plâtres avec nous pour cette première, « SDF » de l’association 1000 Visages réalisé par Uda Benyamina, « Katremille Cinsenvintedeu » signé Guillaume Tauveron, « To be or not to be » de Sarah Gurévick et « On s’en fiche » réalisé par Emmanuel Fricero de l’Association Fricero Films.

LIBRES COURTS N°2

Loïc Landrau nous emmène cette fois dans les coulisses d’un long métrage réalisé par Frédéric Cerulli et tourné dans la région niçoise qui s’intitule « Le Commun des Mortels ». A l’affiche de cette comédie noire, entre autres, Chantal Lauby, Gérard Meylan, Noëlle Perna, Sandrine Senes, Floriant Azoulay et Antoine Coesens. Mais si Libres Courts vous propose de découvrir l’envers du décor, c’est tout simplement parce que l’auteur de « Marie », le premier court de cette émission, n’est autre que Marc Geoffroy, le producteur et l’assistant réalisateur de ce long métrage.
Au programme donc, un film engagé sur le viol et l’inceste signé Marc Geoffroy et un clip incitant à aller voter de Uda Benyamina de l’association 1000 Visages, que vous avez découvert lors de la première émission avec « SDF ».

LIBRES COURTS N°3


Pour fêter le 60e anniversaire du Festival de Cannes, c’est depuis la croisette que Loïc Landrau présente deux nouveaux courts-métrages. Tapis rouge, montée des marches, plages privées, affiches de films, animations de rue, flashs crépitants, tenues de soirées et plus de 4000 télévisions réunies, Cannes c’est tout cela à la fois. Mais malheureusement, nous ne vous ferons vivre que le côté « touristique » de l’évènement. Nous n’avons pas pu nous faire accréditer pour assister aux projections, colloques et conférences de presse que nous aurions voulu vous faire partager. Et côté courts, des films moins engagés que les précédents suite à une demande de plus en plus pressante de votre part : « Accroc » de Jérôme Mettling, l’histoire d’un enlèvement qui tourne en bain de sang, et « Mémoire(s) » de Nicolas Hauser, une fiction poétique sur les rapports familiaux. Libres Courts continue donc son immersion dans l’univers cinématographique de nouveaux talents qui, pourquoi pas, graviront peut-être un jour les marches du festival…

LIBRES COURTS N°4

Attention, humour au 25e degré recommandé pour ce 4e opus de Libres Courts ! Je vous propose de partir à la découverte du cinéma n’importekiste : humour noir, parodie, dérision, absurdité, des modes de réflexion qui sont chers aux membres de ce collectif qui fait du « deal spirituel » une véritable religion. Et pour voir en images à quoi ressemble ce mouvement n’importekiste, 4 films : Habeas Corpus, un court très déconcertant sur une nouvelle taxe mise en place dans un futur proche, et 3 clips très courts de Fitch, un « dealer spirituel » déjanté qui développe sa « Fitchosophie ». Parfois Internet réserve vraiment de drôle de surprises… Et la pelouse des Invalides s’en souviendra longtemps !

LIBRE COURT N° 5

Cinquième édition de Libres Courts, et force est de constater que La Télé Libre est maintenant très connue ! En effet, Sylvain Dardenne, le réalisateur du seul et unique film de cette émission, nous a envoyé un email il y a quelques semaines nous disant qu’il avait un court à nous proposer. J’ai donc pris contact avec lui et il s’avère que c’est la bouche-a-oreille qui l’a guidé jusqu’à nous ! L’occasion de vous présenter « Chicago Blues », un film plein de tendresse qui aborde de façon très poétique le rapport à la mort. N’ayez crainte, il ne s’agit pas de mort glauque ou violente (cf. Libres Courts n°3 et le fameux court sur le cannibalisme qui vous a tant fait réagir), mais plutôt de celle que l’on explique aux enfants lorsqu’ils ne sont pas encore en âge de comprendre. A l’affiche, quatre grands comédiens : Eric Legrand, Céline Monsarrat, Lucie Dolène et Max Renaudin, tous professionnels et très complices à l’écran. Je ne vous dévoile rien mais faites bien attention aux voix des deux comédiens principaux, je pense qu’elles vont vous rappeler quelque chose. Par ailleurs, restez bien attentifs puisque juste après le film, nous vous dévoilerons quelques secrets sur les acteurs qui vont vous étonner à plus d’un titre !

LIBRES COURTS 6

La plage, la Grande bleue et les mouettes, on pourrait croire que Libres Courts est en vacances…
Eh bien il n’en est rien ! Nous ne vous oublions pas et c’est depuis Villeneuve-Loubet, à une dizaine de kilomètres de Nice près de la fameuse Baie des Anges, que cette 6e édition de Libres Courts vous propose deux nouveaux courts. Le premier, «L’imperméable », est l’œuvre d’un réalisateur que vous aviez découvert lors de Libres Courts numéro 3 : Nicolas Hauser.Le second est signé Pierre-Toussaint Jounieaux, un Corse passé par Nice qui travaille aujourd’hui à Paris et qui nous propose une reconstitution minutieuse de l’ambiance d’une maison à la fin du 18e siècle confrontée à un mal mystérieux et invisible. « Les vampires n’existent pas » ou comment la jalousie mène aux plus vils instincts… Bonne dégustation !

LIBRES COURTS N°7

On est en septembre, c’est la rentrée pour tout le monde, même pour les
festivals de courts-métrages. En cherchant quelques évènements
cinématographiques à vous faire vivre à travers cette émission, je suis
tombé sur le Festival Silhouette, un grand rendez-vous d’une semaine autour
du court avec chaque soir, un concert et de la diffusion de films selon
plusieurs catégories: sélection française, internationale, focus
Royaume-Uni et Espagne, etc. Le concept me paraissait ambitieux et novateur,
et d’autant plus intéressant qu’il avait lieu dans le joli parc des
Buttes-Chaumont à Paris. Marie Drollon, journaliste et camerawoman à la Télé
Libre et moi-même nous y sommes rendus pour ce Libres Courts spécial
rentrée. Au programme de cette émission, un court-métrage belge
qui était en compétition internationale le soir du tournage. Il s’agit de
«Mademoiselle Chloe» de Rémi Durin, un film d’animation qui raconte
l’histoire d’une petite fille et de son père qui vont transformer une
vieille usine désaffectée en instrument de musique géant.

LIBRES COURTS N°8

Ce Libres Courts a mis un peu plus de temps que d’habitude à voir le jour et pour cause, il s’agit de sa nouvelle formule et elle a demandé du travail ! Pour tout vous dire, après sept émissions, j’ai ressenti le besoin d’évoluer. Il m’a fallu un peu de temps pour éprouver le concept, tester mes capacités personnelles et voir comment vous réagissiez à ce programme qui accompagne La Télé Libre depuis le mois d’avril et j’ai estimé, en cette fin d’année, qu’il était temps de passer un cap. Je ne voulais pas rester englué dans de la présentation type Jean-Pierre Foucault avec des plateaux un peu stéréotypés, je souhaite amener un peu de fond à cette émission.
En quoi consiste donc cette nouvelle formule ? Eh bien dorénavant, nous nous recentrerons autour d’un seul court, ou alors de deux si vraiment ils sont très courts, et on se retrouvera juste après avec plusieurs invités qui réagiront et débattront sur le thème du film. Pour ce huitième opus, nous nous sommes donnés rendez-vous au Pinup, un bar electro/rock situé rue Tiquetonne à Paris. Dorothée Blancheton, journaliste pour le magazine Psychoenfants, Tessa Volkine, comédienne et animatrice de télévision, ainsi que Eiji Ieno et Uda Benyamina, co-créateurs de l’association 1000 Visages ont répondu à l’invitation. Cette dernière est également la réalisatrice du court que nous vous présentons : « Un clou en chasse un autre », l’histoire de trois hommes qui vont se voir proposer l’achat… d’une femme ! L’occasion de parler avec mes invités de la domination masculine, l’émancipation des femmes et la difficulté pour l’un et pour l’autre de trouver leur place dans la société. Ce sera ensuite à vous de continuer le débat…

LIBRES COURTS (N°9) ET LE MONDE DU SILENCE

« Chers amis Télé-Libre-Spectateurs, voici un moment d’humour dans ce monde de brutes! Combien se sont aperçus que vient de s’achever la semaine pour l’emploi des personnes handicapées ? Peu, malheureusement. À cette occasion, Libres Courts vous propose une immersion dans le monde du silence, à la découverte des problèmes que rencontrent les sourds et malentendants dans la vie quotidienne. À l’affiche de ces deux courts pleins d’humour (oui, cette fois je vous en propose deux donc l’émission sera un chouïa plus longue que d’habitude) : Jean-Claude Dreyfus et Claude Piéplu. Et pour parler avec moi des problèmes d’intégration des sourds : Christiane Fournier de l’Action connaissance Formations pour la Surdité (Acfos), linguiste et auteur d’un dictionnaire de la langue des signes, Martine Lejeau Perry, directrice du CAT Jean Moulin et du Café Signes (le lieu qui nous a accueilli), et l’expertise teintée d’humour de Joël Chalude himself.
Je vous laisse donc découvrir cette 9e édition de Libres Courts tournée dans des conditions un peu difficiles mais qui, je l’espère, vous fera réagir.
Petite précision : la disposition des invités pourra vous paraître étrange, mais elle a une raison d’être. Joël Chalude lisant sur les lèvres pour nous comprendre, il fallait qu’il soit en face des deux autres intervenantes pour réagir et enchaîner sur leurs propos, et puisse lire sur les miennes les questions.
À vous maintenant de faire que cette émission ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd ! »

LIBRES COURTS (N°10) LES MÉDIAS ET LA BANLIEUE

Loïc Landrau et son équipe sont à Pantin, en banlieue parisienne, pour parler des relations difficiles entre les médias et les habitants des quartiers.

« Ce soir-là, rien de spécial, des gens me croisent avec le camaraman et me glissent quelques mots amusés et sympathiques, alors que je pensais réellement avoir des réflexions plutôt hostiles. C’est l’agression de Laarbi et Miguel, nos deux confrères et amis de la Télé Libre, à Villiers-le-Bel qui m’a décidé à avancer l’élaboration de cette dizième édition de Libres Courts. J’avais pris contact avec l’association Les Engraineurs, dont les membres ont réalisé le film que vous allez voir, en novembre et j’avais prévu d’organiser cela pour janvier ou février.

Mais cet événement a déclenché mon envie d’aborder le sujet au plus vite. De quoi va-t-on parler ? De la relation entre les médias et la banlieue. De ce “je t’aime moi non plus” entre les journalistes et les jeunes de quartier. D’un côté, des professionnels de l’information qui ont de plus en plus de mal à exercer leur métier dans les banlieues, de l’autre, des jeunes qui constatent des manipulations et des approximations graves dans les reportages qui les concernent. C’est donc pour parler de ce problème que j’ai réuni autour d’une table, à la maison de quartier des Courtillières de Pantin, deux membres de l’association Les Engraineurs, et un journaliste, Jean-François Téaldi, grand reporter à France 3, secrétaire général du SNJ-CGT, ancien rédacteur en chef, et organisateur de colloques sur le traitement de l’information dans les quartiers.
Une discussion pleine d’enseignements sur le point de vue des uns et des autres, en espérant que de moins en moins, les journalistes de bonne foi se fassent agresser dans les quartiers et que l’on puisse travailler intelligemment sans chercher à faire du sensationnalisme à tout prix. La banlieue c’est autre chose que des voitures qui flambent. Il faut le dire et le redire.
 »

LIBRES COURTS (N°11) LE PEN, L’OCCUPATION ET LES NAZIS


Trois mois de prison et 100 000 euros d’amende : Jean-Marie Le Pen condamné. Pour avoir affirmé en 2005 dans l’hebdomadaire Rivarol que “l’occupation allemande n’avait pas été particulièrement inhumaine”, le leader du Front National a été reconnu coupable de “complicité d’apologie de crimes de guerre et de contestation de crimes contre l’humanité” le 8 février 2008 dernier.

Au jour où nous avons tourné l’émission, la justice n’avait pas encore tranché. Ce qui n’a pas empêché mes invités d’avoir leur avis sur la question et d’appuyer sur l’horreur de l’occupation de la France par les Allemands. Car c’est bien cela le thème de cette onzième édition de Libres Courts : la guerre 39-45, l’occupation, la résistance, la libération et le nazisme. Une émission pour le devoir de mémoire : ne jamais oublier ce que ces Français de tous horizons ont fait, chacun à leur niveau, pour libérer l’Hexagone et faire de notre pays ce qu’il est aujourd’hui.
C’est pour ces raisons que j’ai décidé d’engager le débat. Un débat précédé d’un court-métrage réalisé par Quentin d’Hainaut, ancien élève de l’École supérieure de réalisation audiovisuelle de Paris (ESRA), qui s’intitule « Mort aux Boches » et qui met en scène un allemand traqué par des Français lors de la libération. Spécificité de ce film : pour une fois, le soldat est montré dans toute son humanité, relativisant son côté sanguinaire pour également montrer que sous l’uniforme, il y avait aussi des hommes que l’on avait poussés au front, qui étaient obligés de faire cette guerre.

Pour réagir à ce film : Christine Levisse-Touzé, directeur de recherche associé à l’université de Montpellier et directrice du Mémorial du Maréchal Leclerc de Hauteclocque et de la libération de Paris/ Musée Jean Moulin de la ville de Paris, et Pierre Morel, président du Comité d’action de la résistance et liquidateur du réseau Burckmaster. “La guerre est quelque chose qu’il faut surtout éviter” affirme-t-il dans l’émission. Comme il a raison…

Loïc Landrau
La Télé Libre
16-18 Boulevard de la République
92100 Boulogne-Billancourt

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Les commentaires (6)

  1. bravo pour tout ces courts souvent trés originaux et qui amènent à réfléchir sur des sujets variés tel le racisme la mort …
    bonne chance pour la 2e année de diffusion
    continuez!

  2.  » jaime plus Paris … » j’aime plus le ciné !
    on y voit toujours les mêmes acteurs sous des habits variés !
    la violence , le fric, et le sexe … C’est d’une banalité !

  3. Bon courage pour la suite et encore bravo.Tes reportages sont interressants et font « couler beaucoup d’encre »Ca serait bien de reunir sur un plateau les 5 ou 6 internautes les plus virulents et de les confronter sur un sujet(j’imagine Bourreau face a rantanplan) on peut toujours rever.

  4. bonjour,
    votre projet « libre court » est trés sympas!
    super de l’avoir créer!
    je suis maquilleuse cinéma et éventuelement je peux vous laisser mes coordonnées si jamais lors d’un cours vous avez besoin d’une maquilleuse ?
    merci d’avance
    et vive la création le cinéma et continuons à rêver et à faire rêver
    Laureen maquilleuse