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[Clip] Je Suis Revenu Vous Dire

Publié le | par

Et si Serge Gainsbourg revenait nous rendre visite, 20 ans après sa mort ?
Comment réagirait-il à toutes ces commémorations convenues ?
C’est en prenant le parti d’un Gainsbourg en 2011, combatif et toujours aussi subversif et provoquant, que Jean-Sébastien Desbordes (un des fondateurs de LaTéléLibre) et Zebra avec la participation de Christophe Brunet ont décidé de réaliser « Je suis revenu vous dire » .

HOMMAGE A GAINSBOURG

La caméra suit ses fameuses chaussures Repetto blanches, guidées par des phrases symboliques de Serge mixées à des bootlegs (mixs mélangeant ses chansons à d’autres interprétées par Oasis, NTM, Prince, Michael Jackson et Billy Ze Kick).
Il est le premier d’une série originale autour de personnalités décédées et revenantes, porteuses d’un message.
Prochains épisodes : Bob Marley, Jim Morrison, …

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Les commentaires (17)

  1. Si il revenait, il se ferait pas de la mousse des petits mickey maousse qui se font mousser en se prenant pour lui.

    Gainsbourg n’était pas spécialement de gauche, il aurait peut être soutenu Nicolas Sarkozy, petit président d’un petit pays.

    Mais pendant qu’ici l’on souffre d’engelures testiculaires (on se gèle les couilles, quoi), lui est ds la blanche écume varech, sur la plage de Malibu

  2. Dans son regard absent
    Et son iris absinthe
    Tandis que Marilou s’amuse à faire des vol
    Utes de sèches au menthol
    Entre deux bulles de comic-strip
    Tout en jouant avec le zip
    De ses Levi’s
    Je lis le vice
    Et je pense à Caroll Lewis.

    Dans son regard absent
    Et son iris absinthe
    Tandis que Marilou s’évertue à faire des vol
    Utes de sèches au menthol
    Entre deux bulles de comic-strip
    Tout en jouant avec son zip
    A entrebailler ses Levi’s
    Dans son regard absent et son iris
    Absinthe dis-je je lis le vice
    De baby doll
    Et je pense à Lewis
    Caroll.

    Dans son regard absent
    Et son iris absinthe
    Quand crachent les enceintes
    De la sono lançant
    Accord de quartes et de quintes
    Tandis que Marilou s’esquinte
    La santé s’éreinte
    A s’envoyer en l’air…

    Lorsqu’en un songe absurde
    Marilou se résorbe
    Que son coma l’absorbe
    En pratiques obscures
    Sa pupille est absente
    Mais son iris absinthe
    Sous ses gestes se teinte
    D’extases sous-jacentes
    A son regard le vice
    Donne un côté salace
    Un peu du bleu lavasse
    De sa paire de Levi’s
    Et tandis qu’elle exhale
    Un soupir au menthol
    Ma débile mentale
    Perdue en son exil
    Physique et cérébral
    Joue avec le métal
    De son zip et l’atoll
    De corail apparaît
    Elle s’y coca-colle
    Un doigt qui en arrêt
    Au bord de la corolle
    Est pris près du calice
    Du vertige d’Alice
    De Lewis Caroll.

    Lorsqu’en songes obscurs
    Marilou se résorbe
    Que son coma l’absorbe
    En des rêves absurdes
    Sa pupille s’absente
    Et son iris absinthe
    Subrepticement se teinte
    De plaisirs en attente
    Perdue dans son exil
    Physique et cérébral
    Un à un elle exhale
    Des soupirs fébriles
    Parfumés au menthol
    Ma débile mentale
    Fais tinter le métal
    De son zip et Narcisse
    Elle pousse le vice
    Dans la nuit bleue lavasse
    De sa paire de Levi’s
    Arrivée au pubis
    De son sexe corail
    Ecartant la corolle
    Prise au bord du calice
    De vertigo Alice
    S’enfonce jusqu’à l’os
    Au pays des malices
    De Lewis Caroll.

    Pupille absente iris
    Absinthe baby doll
    Ecoute ses idoles
    Jimi Hendrix Elvis
    Presley T-Rex Alice
    Cooper Lou Reed les Roll
    Ing Stones elle en est folle
    Là-dessus cette Narcisse
    Se plonge avec délice
    Dans la nuit bleu pétrole
    De sa paire de Levi’s
    Elle arrive au pubis
    Et très cool au menthol
    Elle se self contrôle
    Son petit orifice
    Enfin poussant le vice
    Jusqu’au bord du calice
    D’un doigt sex-symbole
    S’écartant la corolle
    Sur fond de rock-and-roll
    S’égare mon Alice
    Au pays des malices
    De Lewis Caroll.

  3. moi j’adore la totalité de gainsbourg, un mec auteur compositeur irremplaçable,avec sa façon unique de s’exprimer!!!
    réaliste, juste, visionnaire !!!quel homme!!!j’aime les révoltés provocateurs qui séme le trouble par la vérité,de se qu’ils disent, montrent, chante, joue, bravo monsieur gainsbourg!!!!

  4. Sympa ce ptit croquis de Lucien Ginsburg, qui aurait peut-être, Bourreau, soutenu le candidat Sarkozy, mais non sans arborer pour l’occasion sa plus belle cravate de gerbe.

  5. A mon avis, même s’il penchait plutôt du côté de son portefeuille, il était suffisament malin pourne pas se con-promettre avec un zom politique… d’ailleurs, je ne me rappelle pas qu’il l’ait fait du temps de son vivant ??…
    Profiteur, provocateur, touche à tout de talent, emprunteur de génie, écumeur taciturne de rade, ancien para et nouveau paria, amuseur showbizenesque et tritureur littéraire, gainsbourg… caméléon gitanophile, adepte du 102 et de campari…
    Qui connaît vraiment gainsbourg?? lucien ginzburg s’est -il réellement reconnu un jour ??

  6. Si, Cazo : Gainsbourg a appelé à voter Giscard. L’accordéoniste rance représentait la modernité ; un peu comme Sarkozy représentait la rupture … mais peut être ce dernier aurait il semblé trop vulgaire et grossier pour le précieux et cultivé homme à tête de choux fumeur de havanes.

  7. Gainsbourg, oui, sûrement. Mais Gainsbarre? C’est maintenant qu’il commencerait à le soutenir, quitte à se torcher tellement pour ce faire qu’il s’urine dessus et sur le canapé de Michel Drucker.