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LE LIBAN UN AN APRÈS LA GUERRE # 3/5

Publié le | par


SOUHEIL EL-NATOUR, RÉFUGIE PALESTINIEN

1948, la guerre israélo-arabe provoque la fuite des palestiniens vers le Liban. Depuis lors, enfermés dans leurs camps, ils sont privés de tout droit de citoyenneté ou de propriété.

Du nord, au sud, le pays du Cèdre est parsemé de camps de réfugiés palestiniens.
Ceux de Sabra et Chatila sont devenus tristement célèbres, suite au massacre perpétré en septembre 1982 par la milice chrétienne libanaise, dans le secteur de Beyrouth-Ouest occupé par l’armée israélienne. Bilan, suivant les sources, entre 700 et 3500 victimes.

Plus récemment, c’est le camp de Nahr Al-Bared qui défraya la chronique. Après plus de 3 mois de combat, l’armée libanaise déloge le 2 septembre 2007, les hommes armés du groupe Fatah Al-Islam qui s’y étaient implanté.

La plupart de ces camps sont en autogestion, la Police et l’armée libanaise n’y pénètrent théoriquement pas. Certains sont immenses comme Ein Al-Bared, d’autres tout petits comme Mar Elias. Construit dans les années cinquante par des religieux pour les réfugiés palestiniens chrétiens, il est aujourd’hui peuplé majoritairement de musulmans.

C’est dans ce camp, situé en plein cœur de Beyrouth que Caroline Libbrecht et Marian Naguszewski ont rencontré Souheil El-Natour, pour le troisième portrait de notre série, le Liban un an après la guerre.


Caroline Libbrecht :
Souheil El-Natour, diplômé en droit, vit à Mar Elias, une ville dans la ville, ou il y travaille comme directeur d’une ONG, le Centre de protection des droits de l’homme. Il dresse le constat d’une situation de plus en plus difficile pour les Palestiniens. Une vie très précaire. Il nous emmène dans une visite guidée de ce petit camp qui abrite 3000 personnes…

On compterai aujourd’hui plus de 400 000 réfugiés palestinien au Liban.

Jean Seb

Un reportage de Caroline Libbrecht et Marian Naguszewski

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Les commentaires (2)

  1. Merci aux auteurs de nous faire toucher du doigt cette diversité dans la réalité du pays. Format entre le portrait et la tribune libre, efficace et esthétique.

  2. Bonjour, pour la population du camp de Mar Elias : est-ce 1500 ou 3000 personnes ?

    merci