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LE LIBAN UN AN APRÈS LA GUERRE # 5/5

Publié le | par


TAREK, COMÉDIEN RÉSISTANT

Pour ce dernier portrait de la série, Caroline Libbrecht et Marian Naguszewski nous emmènent à la rencontre Tarek, pour lui, dans ce Liban en crise, continuer à monter sur les planches, c’est aussi un acte de résistance en soi.

Tarek a 27 ans. Il a choisi d’être comédien. Une décision difficile puisqu’au Liban, très peu d’artistes parviennent à vivre de leur passion. Mais Tarek y croit même s’il sait qu’il devra travailler à côté. Caroline et Marian le rencontrent le soir de l’unique représentation de sa pièce, toutes les autres ont dû être annulées en raison de la reprise des attentats à Beyrouth. Le nom de sa pièce : « la légende du maître d’école ».

Un reportage de Caroline Libbrecht et Marian Naguszewski

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Les commentaires (7)

  1. Encore une fois merci pour ces reportages de trés bonne facture.

    Le Liban ne fait apparament pas recette ici, c’est dommage. Même les plus prompt à invoquer « la terre et les morts » oublient notre implication actuelle et passée dans l’histoire de ce pays, nos soldats sur le terrain, nos réseaux et les réseaux communs. Sauf l’echec de ses tentives (plusieurs conférences se sont déroulées sur notre sol, Kouchner a participé à au moins une d’entre elles) son action au Liban aurait pu être l’une des étoiles médiatiques au firmament de Notre Président (loué soi sa VelSatis).

  2. Merci de vous être intéressé au Liban dans sa diversité.
    Un pays qui parut, un temps (lointain), être un exemple de paix civil dans une région du monde meurtrie par des combats fratricides permanents,
    aujourd’hui à nouveau manipulé & condamné au cahot par des voisins sans scrupule.
    Triste…

  3. Le Liban ne fait pas recette comme le dis Aslan.
    J’entends Bernard(le french docteur des salons) parler de guerre.
    A t-il pris le temps de regarder le Liban ?
    Pays magnifique sacrifié par manque de courage politique et d’avidité financière..
    Est ce que la guerre a servie ce pays ?
    Ou en sommes nous aujourd’hui ?

    Qui se souvient des soldats français morts sur le sol Libannais ?

    Toi Bernard ? Non je ne le crois pas, tu ne parlerais pas si légèrement d’une chose si grave,si tu avais laissé une partie de ta vie un jour de 1983.

    En mémoire de tous les soldats Français de la FINUL morts sur le sol Libannais et en particulier à ceux inconnus et amis assassiner le 23 octobre 1983 à Beyrouth dans l’attentat du Drakkar.
    « Je veux, je peux »

  4. J’ai beaucoup aimé cette série sur le liban. A chaque petit reportage j’avais envie d’en apprendre plus, à chaque fois j’aurais aimé en connaître d’avantage.
    C’était en tous cas très instructif. Merci.

  5. Merci bcp Caroline, Marian et la télélibre pour ces 5 portraits tres representatifs !!

    J’y étais il y a 6 ans, et je suis tombe sous le charme de ce pays et de ses habitants, tres courageux et dignes…
    il faut absolument se rende la bas pour comprendre ce pays, la mentalité, les differentes religions qui cohabitent, on a du mal a se rendre compte de notre point de vue occidental, mais au retour on en revient changé et on relativise bcp de choses…
    esperons que les prochaines élections feront évoluer les choses favorablement…

    Merci pour ce voyage…