Les commentaires (7)

1. C’est une citation de Jean Gabin qui a dit.
   pour faire un bon film il faut:
   1- Une bonne histoire.
   2- Une bonne histoire.
   3- Une bonne histoire.

2. Il y a eu de bonnes choses, dont le bois de Vincennes qui avait une importance nécessaire.
   Mais ce petit poulet est vraiment sans intéret.
   Reprenons la salade de tomate et changeons la en :
   un caca de vieux chien plein d’ascaris est-il plus joli sur une assiette de Limoges posé sur un mesclun sur une plage à cocotiers ou sur une table de cuisine en formica ?
   Mieux vaut ne pas avoir de bonne histoire que d’en utiliser une mauvais pour ne pas pouvoir la valoriser.
   Dans l’art et la manière, l’art aura toujours le premier et le dernier mot.
   La manière, c’est Beigbedder, Marc lévy etc. Mauvais-mauvais.

3. Ben voui, Sarko l’a bien compris: le fond n’a pas d’importance, ce qui compte c’est la forme! :)s

4. Super, le passage ou le logo LaTéléLibre.fr revient à l’horizontale. Non, vraiment.

5. Que les hommes et femmes de bonne volonté s’associent -comme à La télé Libre ou dans le journal Sarkophage- s’associent.
   Les uns pour donner le fond, la connaissance, l’expérience, les faits, les réflexions, la pensée… Les autres pour mettre tout cela en forme. Une forme bien plus puissante que celle de tout publicitaire et autre Sarko. Une forme puissante qui touche et séduit, et un fond de vérité et d’humanisme qui fait écho chez chaque être humain
   Et là, c’est une révolution par la tête et par le coeur qui aura lieu.

6. pas d’accord ! S’il en est ainsi,alors on peut nous faire avaler n’importe quoi si c’est servi dans une vaisselle d’or ! Une belle histoire mal racontée vaut mieux qu’une non-histoire bien emballée ! A ce prix,c’est n’importe quelle info , pourvu qu’elle soit bien présentée!
   Jetons Guernica, les fleurs du mal et autres ringardises et vautrons-nous avec délices dans cette culture du rien, du vide, du néant ! de l’emballage .!

7. Le pire Lucifer, c’est que malgré ta colère et tout ce qu’on pourrait écrire sur le sujet, c’est la vérité. Dans notre société, une belle merde dans un bel emballage conviendra toujours mieux qu’une vague bonne idée brutalement exprimée et dénuée d’atours. C’est ainsi. On peut le regretter, mais c’est malheureusement ainsi… Mais tout n’est pas aussi triste, car individuellement nous pouvons être touchés par la beauté d’un moment, un mot, un trait de crayon, une voix… C’est collectivement que nous transformons notre sensibilité en connerie.