PREM… TROISIÈME ÉMISSION D'@RRÊT SUR IMAGES

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Ca y est, après le lancement du site début janvier, Daniel Schneidermann est de nouveau sur un plateau de télé, mais sur Internet!

Celui qui a reçu plus de 300 000 signatures de soutien après l’arrêt brutal de son émission sur France 5 est enfin de retour. L’équipe annonce déjà 30 000 abonnés. Chapeau et longue vie à @rrêt sur images!

Voici donc en gratuit, le « best of » de cette première troisième (!) émission, intitulée « sans durée fixe », tournée dans la rédaction, sous la lumière des néons et sans maquillage. De la télé austère et rigoureuse, du pur Scheidermann en somme…

Deux invités: Laurent Fabius et Jean-Michel Dumay, président de la Société des rédacteurs du quotidien Le Monde. Pour voir la suite, vous devrez vous abonner

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Les commentaires (14)

  1. ASI et Télélibre..même combat vers une info sans muselière …!

    voir aussi le site de Mermet http://www.la-bas.org où l’on retrouve la saveur des reportages bien ficelés, modestes et géniaux , qui réconcilient avec l’univers impitoyable de la journalisterie.

    Merci , les gars , de ne pas nous laisser tomber !

  2. Bravo à Daniel Schneidermann pour sa tenacité. Ses analyses et ses commentaires me manquaient… Nous avons tous besoin de prendre du recul par rapport aux médias…!

  3. Ben alors là, si Laurent Fabius n’est pas maquillé ça change tout !

    Avis à la population : Elisa Jacques est aussi sur le Post.

  4. Vous verrez que le style « dépouillé » du décor de « Sous les pavés » et de celui d’ « ASI version internet » deviendra très « tendance » sur les chaines institutionnelles. A quand un « vivement Dimanche » ds la chambre de M. Drucker ?
    __

    Je me demandais justement ce que tu devenait, Miss Jacques ; j’ espère que ta présence sur « Le post » n’ a rien à voir avec les footbaleurs argentins (cause > conséquence).

  5. 30€ par an c’est une bonne offre d’appel, quelqu’un est déjà abonné pour nous donner une idée du volume de contenu produit?

    La politique tarifaire du taulier est assez sympa aussi:
    « Pour les chômeurs, précaires ou étudiants, sur simple déclaration, l’abonnement annuel coûte 12 euros.
    Enfin, si vous êtes vraiment sans ressource, vous pouvez demander, par courrier motivé, un abonnement gratuit d’un an, au titre « d’ami fauché ».
    L’équipe d’arrêt sur images décidera, souverainement, de vous accorder ou non la qualité « d’ami fauché ». »

  6. merci à la télé libre à asi de nous donner un espace de veritable journalisme ça fait vraiment du bien et bonne continuation à tous

  7. J’en profite pour faire une petite mise au point sur Le Post. D’abord il faut savoir que Guy Birenbaum est sur Le Post et que tous ses articles sont en UNE. Bonjour l’amitié version Daniel Schneidermann.

    Ensuite, c’est vrai parfois Le Post est futile. Les reprises en UNE concernent des articles pas trop dérangeant. Si vous écrivez en tant que posteur que Nicolas Sarkozy est un menteur, l’article restera sur votre page perso. Il n’y aura pas de promotion de la part du Post.

    Mais, j’ai au moins un de mes articles dont je suis fière. Dans lequel je livre une réflexion qui s’est retrouvée en UNE. En plus, quand j’ai voulu en savoir plus sur le nouveau contrat de travail, l’essentielle des informations étaient sur Le Post et pas ailleurs.

    Enfin, la diversité des posteurs issus de toutes origines sociales permet un étayage interressant de points de vue. C’est tout à fait enrichissant.

    Laissez donc Daniel Schneidermann a sa « valorisante » condescendance.

  8. Vous savez John Paul ce qui dérange DS dans le Post ? La même chose qui vous dérange vous. Tous ces gens qui s’expriment et qui jouent aux journalistes sans faire partie du sérail.

    Au même titre que les débats télévisés pendant la campagne durant lesquels n’importe quels clampins pouvaient poser ses questions.

    Alors, j’ai deux choses à vous dire :

    – La première est que les journalistes font partie d’une corporation au même titre que tous les autres corps de métier. Ils ont leur culture, leur pouvoir d’achat, leur style de vie qui leur sont propres. Quoique vous vouiiez en dire, le système s’auto-alimente de lui-même. On ne peut pas être dehors quand on est dedans. Chacun a la conscience éclairée à la lumière de sa vie.

    – La deuxième est que par conséquent, il est très important que n’importe qui puisse exprimer ses réactions et ses préoccupations par rapport à la politique ou l’actualité. Chacun avec sa conscience éclairée à la lumière de sa vie peut faire part de ses préoccupations et élargir le champs de conscience de chacun.

    Car même si vous le désirez vous n’êtes pas toujours représentatif de l’ensemble des français.

  9. Découvert par hasard votre travail. (Interview de L. Fabius). Bien, le côté « ça dure tant qu’on a quelque chose d’intéressant à dire ». Ton mesuré, analyse lucide, pas mal!