Appel pour la Traduction d’un Jeune Tunisien!

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URGENT! Une traduction s’il vous plait! Nous avons un besoin urgent d’une traduction du tunisien au français pour notre webdoc sur les révolutions arabes.

EXPORT SON DE RAZI À TRADUIRE

Les reporters citoyens ont rencontrés Razi, un étudiant de l’école de journalisme de Tunis (Ipsi).

Voilà ce qu’on sait dans les grandes lignes de ce qu’il nous dit: Il témoigne de sa méconnaissance en matière de journalisme pendant la révolution de 2011. Il n’a pas pas su couvrir ces évênements pour cette raison. Il évoque le manque de pluralité politique qui n’a pas facilité ce travail. Il parle aussi d’une formation auprès de l’organisme Ifex, pour apprendre à utiliser un blog.

Merci pour votre aide!

L’équipe de LaTéléLIbre

PS: Coller la trad dans les commentaires!

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Les commentaires (2)

  1. Nous avons contribué à la révolution en secouant l’opinion publique, à travers Facebook. Nous avons également participé à des manifestations, à la Kasba 1 et la Kasba 2. Chaque jour, nous allions à la Kasba.
    En vérité, lorsque nous avons rejoint la révolution, nous arrivions de la « première année ». Nous ne connaissions ni partis, ni opposition, ni groupements, ni régime de Ben Ali. Nous connaissions le régime du parti unique, jusqu’à ce que IPSI nous apprenne qu’il existait 4 partis d’opposition et le parti du Rassemblement Constitutionnel Démocratique (RCD), qui était le parti au pouvoir, le parti dominant.
    Nous n’avions pas de culture politique. Personnellement, j’ignorais même ce que voulait dire « opposition ». Les programmes scolaires sous l’ère de Ben Ali étaient vidés de toute éducation civique qui, normalement, devait nous apprendre ce genre de choses.
    Personnellement, je ne mesurais pas l’importance des blogs et de Twitter en particulier. Dernièrement, j’ai suivi une formation avec IFEX (International Freedom of Expression eXchange) à Tunis, sur la façon de créer un blog et d’utiliser Twitter. D’ailleurs, en Tunisie, seule une minorité utilise Twitter, la majorité des tunisiens préfèrent utiliser Facebook.
    J’ai donc crée un blog et, aujourd’hui, je blogue.

    J’espère que cela vous aidera.
    Bravo pour votre travail.
    Une marocaine proche des tunisiens, également par la langue.