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ITV NOUVEAUX REGARDS « CORSE(S), L’AMOUR VACHE! »

Publié le | par

ROAD-DOC-INTERVIEW

L’excellent Samuel Etienne interroge le réalisateur John Paul Lepers sur son dernier film en camping-car: « Corse(s), l’amour vache ! », diffusé dimanche 8 novembre 2009 à 20h35 sur France 4.
Merci à Grégoire Olivereau et toute l’équipe d’Eden, qui produit les plateaux de Nouveaux Regards.

VOIR LES 5 PREMIÈRES MINUTES:

EXTRAIT : CORSE(S), L’AMOUR VACHE !

UN ROAD-DOC CHEZ LES CORSES Voici les 5 premières minutes du doc. Lisez les critiques en bas de l’article. Après “Qui a peur des Gitans ?”, John Paul Lepers et son équipe partent à la rencontre des Corses. Pas facile! La Corse, l’île de Beauté. La … [suite…] Publié le 5 novembre 2009

VOIR LE DOC EN ENTIER

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Les commentaires (12)

  1. Sacré J.P.L. je peux t’assurer que le coup du révolver , c’ était une plaisanterie !
    Malgré ta franche bonne volonté , tu es resté dans les sentiers battus !!
    Vas fumer un joint dans le Périgord profond ou dans les montagnes savoyardes ( pas celles fréquentées par les touristes )
    Vas dans nos campagnes isolées ETC…ETC …. avec une boucle d’oreille , tu seras traité d’  » homo « !
    La Corse de plus est une ile où tout le monde se connait ou presque !
    Sais-tu qu’il y a plus de Corses à Paris qu’en Corse ?Saurais-tu les reconnaitre par la différence que tu affiches ?
    La Corse , comme la Corrèze et d’autres départements, est très pauvre et les Corses survivent grâce à une agriculture mégrichonne et artisanale souvent que les sbires de la Commission Européenne veulent voir disparaitre ! et par trois ou quatre mois de tourisme ! Ils ne veulent la « baléarisation » de leur ile que pourtant certains maffieux souhaitent !!
    Vas en Calabre ou même en Sardaigne , pourtant gagnée par le fric des rupins et tu feras la différence , si tu la trouves !
    J’ai souris car à la fin tu as failli refaire la blague de Guy BEDOS
     » Ah , le Maroc , c’est un pays magnifique , mais c’est plein d’arabes !!  »
    Rassures tes lecteurs et tes téléspectateurs les Corses sont bien français mais ,ils souhaitent être considérés comme tels pour la grande majorité d’entre eux !
    aime la Corse J.P.L ? Je t’y invite , elle te passionnera !

  2. ça tombe bien; je ne suis pas encore parti en vacances cette année…
    Quant John Paul Lepers et Samuel Etienne à suivre…

  3. Intervention d’Amira Hass à la réception de son Prix du Courage en Journalisme 2009 (*)

    Permettez-moi de commencer par une correction. Correction ô combien impolie, allez-vous penser à juste titre, mais de toute façon, nous, les Israéliens, nous sommes pardonnés pour bien pire qu’une impolitesse.

    Ce qui est si généreusement appelé aujourd’hui par la Fondation internationale des femmes dans les médias (IWMF) l’œuvre de ma vie doit être requalifié. Parce que c’est un Echec. Rien de plus qu’un échec. L’échec d’une vie.

    Pensez-y, c’est juste cette partie de ma vie qui pose question : après tout, c’est environ un tiers de ma vie, pas plus, que j’ai consacré au journalisme.

    Aussi, si cette période de ma « vie » vous donne l’impression que je vais bientôt prendre ma retraite – alors cette impression il faut la dissiper. Je n’envisage pas d’arrêter très vite ce que je fais.

    Qu’est-ce que je fais ? On me définit en général comme journaliste pour les questions palestiniennes. Mais en réalité, mes articles portent sur la société et la politique israéliennes, sur la Domination et ses ivresses. Mes sources ne sont pas des documents secrets ou des comptes rendus divulgués de réunions de personnalités de Pouvoir et au Pouvoir. Mes sources sont les chemins ouverts à tous par lesquels les opprimés sont dépossédés de leurs droits à l’égalité en tant qu’êtres humains.

    Il reste tant encore à apprendre sur Israël, sur ma société, et sur les décideurs israéliens qui inventent des restrictions comme interdire aux étudiants de Gaza de s’instruire dans une université palestinienne de Cisjordanie, à quelque 70 kilomètres de chez eux. Autre interdiction : interdire aux jeunes (de plus de 18 ans) d’aller voir leurs parents à Gaza, pour s’enquérir de leur santé. S’ils venaient à mourir, des responsables israéliens respectueux des ordres permettraient la visite. S’il s’agit de jeunes de moins de 18 ans, la visite serait autorisée. Mais, d’un autre côté, les parents au second degré ne sont pas autorisés à rendre visite à des frères et sœurs mourant ou en bonne santé à Gaza.

    C’est une question philosophique curieuse, pas seulement journalistique. Pensez-y : qu’y a-t-il de si dérangeant pour le système israélien, dans le fait de savoir si des pères ou des mères sont en bonne santé ? Qu’y a-t-il de si dérangeant dans le fait qu’un jeune choisisse et acquiert une meilleure instruction ? Et ce ne sont-là que deux parmi une longue, longue liste d’interdictions israéliennes.

    Et quand j’écris sur le territoire palestinien de Cisjordanie, qui est petit à petit détruit et morcelé, ce n’est pas seulement sur des gens qui ont perdu leurs biens familiaux et leurs moyens de substances ; ce n’est pas seulement sur des opportunités de plus en plus rares pour un peuple coupé de tout dans des enclaves surpeuplées. J’écris en réalité sur l’habileté des architectes israéliens. C’est une manière de faire savoir comment l’urbanisme israélien sur le terrain contredit les proclamations officielles, un phénomène qui caractérise les actes de tous les gouvernements israéliens, d’autrefois comme d’aujourd’hui. Bref, il y a tant de choses pour me tenir occupée pendant une autre vie, ou au moins pendant le reste de ma vie.

    Mais, comme je l’ai dit, la véritable correction est ailleurs. Ce n’est pas d’une réussite dont nous devrions parler, mais d’un échec.

    C’est l’échec de ne pas avoir amené l’opinion publique israélienne et internationale à utiliser et à accepter les termes et les mots justes – ceux qui reflètent la réalité. Et non pas le nouveau langage orwélien qui prospère depuis 1993 et qui a été adroitement imposé et propagé par ceux qui y ont intérêt.

    La terminologie du processus de paix, qui a dominé, brouille la perception des véritables processus en cours : un mélange particulier d’occupation militaire, de colonialisme, d’apartheid, d’autonomie palestinienne limitée dans des enclaves, et de démocratie pour les juifs.

    Ce n’est pas mon rôle en tant que journaliste de faire accepter par les juifs et mes compatriotes israéliens que ces processus sont immoraux et gravement imprudents. C’est mon rôle, par contre, d’exercer le droit à la liberté de la presse afin de donner les informations et de faire que les gens sachent. Mais, comme je ne l’ai que trop découvert, le droit de savoir ne signifie pas un devoir de savoir.

    Des milliers de mes articles et des millions et des millions de mes mots se sont envolés. Ils ne pouvaient rivaliser avec le langage officiel qui a été adopté volontiers par les médias de masse, et qui est utilisé afin de décrire de façon trompeuse la réalité. Un langage officiel qui encourage les gens à ne pas savoir.

    En effet, un échec retentissant pour un journaliste.

    AMIRA HASS – info-palestine.net

  4. @papi cracra Pace Salute,
    c’est vrai, qu’en Corse , les villageois scrutent le nouvel arrivant parfois d’un drôle d’oeil ! C’est bien pareil dans d’autres régions de France où les braves gens savent jauger le comportement des Parisiens…Quant à la violence je crois bien que le visiteur Pinzuti court moins de risques que dans les iles Italiennes plus au sud.
    La Corse, c’est « une montagne dans la mer » , d’où pour ces gens des villages, comme à Ota, une vie difficile-comment bien gagner sa vie en 2009 dans une exploitation agricole de montagne ? De celà on n’en parle jamais dans les médias, à Paris pas seulement à Bruxelles. Cette situation n’a rien à voir avec les profits exceptionnels de l’activité touristique, à Porto-Vecchio par exemple. La Sardaigne-à 12 km de Bonifacio-bien plus grande, moins accidentée que la Corse, a de bien meilleures ressources agricoles et industrielles.
    J’ai bien aimé la réplique de Stella quand elle minimise les prétentions des propriétaires de résidences secondaires, « ils sont chez eux, mais ils sont en Corse ». Le sentier du littoral entre Bonifacio et Propriano, je m’y sens bien comme chez moi !

  5. de toute façon Samuel Etienne donne toujours l’impression de se moquer du monde !!!J.P.L. seul aurait pu arriver à quelque chose de plus solide politiquement parlant et non pas aller à la  » découverte  » des Corses , comme celle des Pygmés !!

  6. OUAIS mais en Corse on est pas en Tchétchènie ou à Gaza !…..ou
    même en Papouasie !! sans évoquer le pays Basque Espagnol ou
    l’ I.R.A. !!