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[TIBÔ-DOC] Auroville : Musiciens Sans Frontières

Publié le | par

Thibault Pomares s’est lancé dans un tour du monde musical qui va le conduire jusqu’au Sud-Est de l’Inde, à la découverte de la cité utopique d’Auroville. C’est dans cette ville-monde, à quelques kilomêtres de Pondichéry, que Thibault fait la rencontre de Krishna. Musicien à ses heures, cet Anglais de 39 ans est agriculteur dans une ferme biodynamique, Solitude Farm. Thibault rejoint ensuite Nadaka, guitariste québécois, installé à Auroville depuis les débuts de l’utopie. Un documentaire sur les Hommes et les rêves en musique.

Première diffusion le 25 août sur France Ô

AFFICHE-AUROVILLE-ONYVAMEDIA-LATELELIBRE

AUROVILLE
MUSICIENS SANS FRONTIÈRES

Durée : 26 minutes

Un documentaire de Thibault Pomares & Joseph Haley

Image : Joseph Haley
Montage : Julien Chalais, Mathias Darfin
Musique originale : Thibault Pomares, Moonpix Recorder

© ON Y VA ! media – LaTéléLibre – France Télévisions – 2012-2013

 

Photos de tournage et making of du documentaire

Carnet de Route


 

Thibault Ô Tour Du Monde : le concept

Joseph-thibault-LTL

Thibault Pomares (23 ans), journaliste et musicien, Joseph Haley (28 ans) et Clément Montfort (26 ans) cameramans, partent ensemble à la découverte du monde. Avec sa mèche rebelle et ses lunettes noires, Thibault promène son gros micro rouge à la rencontre des musiciens de rue, des jeunes rappeurs et des pros des studios. À travers ces rencontres, il construit la bande-son de ce road-movie urbain et part à l’aventure dans les villes, de préférence hors des sentiers battus. De Rio à Bangkok, en passant par Oran ou Istanbul, il se confronte aux différences tout en cherchant ce qui rassemble les peuples. La générosité de sa démarche et la fraîcheur de son regard s’accompagnent de questions franches et directes mais toujours avec grâce car, comme chacun sait, « la musique adoucit les mœurs ».

 

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Les commentaires (2)

  1. Fusion des amitiés respectueuses et des cultures, d’où émergent ces musiques aux accents de free jazz parfois.
    Ce qui en fait le ciment, comme la boue rouge des bâtisseurs de huttes, c’est le sens du sacré, via la spiritualité mais aussi la sacralisation des instants quotidiens où le moindre geste devient initiatique…Ouverture des coeurs et des esprits : ça fait rêver !!!

  2. Sans rien enlever à la beauté de ce qui peut exister à Auroville en terme de creuset artistique, je trouve un peu court de ne pas revenir un tout petit peu plus longtemps sur la création de ce lieu, la vie de la Mère et le sectarisme qui a prévalu pendant des années pendant lesquelles elle fut séquestrée…

    Socialement,