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REPORTER-CITOYEN, APPEL À CANDIDATURE

Publié le | par

UNE FORMATION POUR 30 FILLES ET GARÇONS
DE 3 QUARTIERS POPULAIRES D’ÎLE DE FRANCE :
BOULOGNE, CRÉTEIL ET STAINS

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avant le 15 janvier 2010

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Les commentaires (18)

  1. BRAVO !! GENIAL !! Enfin ce qui fut une idée se voit concrétisée de fort belle manière, avec l’esprit qu’il convient. L’envie, des compétences, pas forcément un diplôme.

    Je suis sûr que non seulement cette expérience va voir naître de véritables talents, des perspectives d’avenir pour beaucoup, mais constitue surtout une véritable occasion pour certains de souffler un vent libérateur sur tous les archétypes que véhiculent inexorablement les medias majoritaires qui orientent leur propos girouettes selon ce que leur insuflent les pouvoirs politiques.

    ça c’est de l’éco-journalisme citoyen !!!

  2. Voilà une magnifique initiative en train de se concrétiser. Souhaitons un plein succès à « Reporter-Citoyen » !

  3. Excellente initiative, intéressante expérience pour les jeunes qui vont la vivre et pour les médias traditionnels qui sont dans une auto-censure permanente, ceci dit il faudra veiller à ce que les travers des écoles de journalisme ne soient pas reproduits mais pour ça on doit faire confiance à la Télé libre…

    (merci pour les deux docus sur les gitans et les corses, ça faisait chaud au coeur ! )

  4. Bonjoir,

    Juste un commentaire pour dire que j’ai renouvelé mon « inscription » sur le site latélélibre.fr après avoir vu le reportage :
    John-Paul : je t’aime !!!
    Merci pour ce site
    Merci à vous de m’informer autrement…

    P.S. / Je m’excuse auprès des afghans qui doivent etre expulé ce soir… je n’ai pas voté pour eux…
    A bientôt je l’espère…

  5. Bravo et merci pour votre engagement citoyen : on serait presque amenés à penser que demain peut être mieux qu’aujourd’hui !

  6. Bonjour,
    En lien avec cette initiative journalistique et citoyenne que nous suivrons de près et expérimentons aussi à Nantes, je vous renvoies à un petite note écrite suite à un débat sur « l’avenir de la presse locale » à Nantes hier. Nous y avons interpellé par un journaliste sur la légitimité de l’existence de médias citoyens.
    À lire donc : CitiZen Nantes sur la défensive lors du « débat sur l’avenir de la presse locale »
    http://www.citizen-nantes.com/article-citizen-nantes-nantes-daguin_monteil_avenir-de-la-presse-locale-41323871.html
    YM

  7. BRAVO !!! Belle initiative, urgente, indispensable !!!

    La TLL va faire des petits !!!

    Enfin une bonne nouvelle, une lueur dans l’info ténébreuse du jour, entre Copenhague et l’Afghanistan.

  8. Enseignante en lycée depuis trois ans après sept années de collège et mère de deux enfants, je suis vraiment très inquiète pour l’avenir de notre école, de nos enfants et de notre démocratie.

    Certains de mes collègues sont des battants, motivés et parfois totalement habités par leur mission et qui persistent à croire qu’il est possible d’éduquer et de former à la réflexion des générations toujours plus larges et plus sollicitées par des sirènes contraires. Ceux-ci s’investissent parfois au-delà de leur mission première et montent divers projets pour soutenir et susciter l’intérêt des élèves. Ils sont rarement reconnus ou remerciés que ce soit par l’institution ou les parents.

    Il arrive en revanche assez fréquemment qu’on reproche à un enseignant qui fait du mieux qu’il peut la mission qui lui a été confiée dans le cadre institutionnel de ne pas faire plus, de ne pas organiser de voyage ou de sortie pédagogique comme si ce supplément d’âme était un dû.

    J’entendais Ariane Mnouchkine nous appeler « héros de la culture » et c’est vrai qu’il faut souvent du courage pour tenter d’instiller dans les cerveaux de nos bambins, le ferment de la culture, de la science et de la poésie, la graine du civisme et de la réflexion. Il est vrai aussi que ce combat est parfois vain et que des pans entiers de nos classes sortent mal ficelés, peu préparés à s’adapter aux changements du monde contemporain, encore moins à les penser. Ils pourront- si toutefois ils trouvent un emploi- les consommer ou être broyés par eux sans résistance. Certains seront sauvés certes… Mais ce choix – cette sélection – a de plus en plus un lien direct avec l’origine sociale alors les héros de la culture sont fatigués et un peu désespérés.

    Ce gouvernement détricote progressivement notre école qui déjà ne sait plus du tout réparer les inégalités sociales initiales. Un seul objectif, louable certes, la réduction de la dette publique, guide les mesures qui se succèdent et s’ajoutent, créant à chaque fois des oppositions mais sans susciter de contestation efficace et solidaire.

    Que voulons-nous donc : une génération qui n’aura pas de dettes mais pas trop de tête non plus ? Il suffit bien que certains – les chefs – pensent ; ils diront aux autres ce qu’ils doivent faire – telle semble être la philosophie implicite de mon ministère. Les enfants de ceux qui ont un capital économique et/ou culturel pourront toujours aller se former dans des écoles privées où on leur apprendra le maniement de la langue qui permet éventuellement le maniement des autres, ou recevront à la maison les bases nécessaires à leur bon développement et à leur épanouissement personnel.

    Quant aux autres, s’ils sont en difficulté dès la maternelle ou la primaire, ils ne pourront plus être aidés par des psychologues ou des rééducateurs formés, qui dans les RASED parvenaient souvent à dénouer des situations complexes. C’est proprement insulter ces professionnels et bien des recherches en psychologie et sociologie de l’éducation, que de croire qu’en regroupant une demi-heure par semaine les élèves en difficulté, le maître d’école va pouvoir sans changer d’outil ni de regard, sans formation, débloquer les situations les plus difficiles. C’est pourtant le choix qui a été fait en primaire et que le ministre s’apprête à étendre au lycée. Des fédérations de parents et des syndicats enseignants ont alerté, tenté de résister mais peu ou prou l’affaire est passée. Les dégâts sont à venir. Mais des postes ont été supprimés et seront supprimés. Cela seul compte.

    De même l’intégration croissante des élèves en situation de handicap dans le système « normal » se fait bien souvent au détriment de la qualité de leur accueil, faute de formation des personnels. Là encore derrière les belles déclarations d’intention se cache la suppression des budgets nécessaires pour payer des personnels réellement formés pour accueillir et encadrer ces élèves « à besoin spécifique ». Là aussi, les dégâts et les déceptions sont à venir.

    On sent désormais une lutte idéologique s’associer à l’objectif budgétaire pour supprimer ou diminuer l’influence de matières qui pourraient aider les élèves à réfléchir par eux même, c’est à dire contre l’idéologie dominante (celle du marché et de ses pseudo-lois naturelles qui permettent le maintien des hiérarchies existantes), partout présente sous des formes apparemment anodines : sont visées en premier lieu les sciences économiques et sociales qui permettent de construire un regard distancié et potentiellement critique sur notre société et l’histoire géographie qui s’est vivement défendue et a recueilli beaucoup de soutiens dans les mondes universitaires et médiatiques.

    Les langues ont en amont déjà été quasiment vidées de leur contenu culturel au profit d’un enseignement en « compétences » qui ne donne pas vraiment les fruits escomptés. L’enseignement du français, base de tous les autres enseignements est lui même réduit et rendu plus difficile alors que tous les professeurs s’accordent à reconnaître l’urgence d’une meilleure maîtrise de la langue maternelle.

    Sans doute suis-je pessimiste et évidemment ma position s’inscrit dans une analyse consciemment ancrée à gauche, mais je pense qu’il ne déplaît pas – de façon consciente ou non -, à ceux qui nous dirigent que la majorité des élèves ne parvienne pas à développer un niveau de réflexion suffisant pour résister aux manipulations médiatiques, pour analyser un discours politique et/ou économique et apprendre à construire un argumentaire, pour se réunir et croire en sa capacité de résister ou d’inventer quelque chose. Là-aussi les dégâts sont à venir et peuvent véritablement inquiéter.

    Comment réagissons-nous devant les suppressions massives de postes qui se traduisent par les aberrations évoquées ci-dessus, sans compter le massacre de la formation des enseignants.

    Il y a là véritablement de quoi hurler : pour qui sait combien il est difficile d’entrer dans ce métier et que les premières années se font dans une douleur, variable selon les tempéraments, jusqu’à ce que l’enseignant trouve son rapport personnel à l’autorité et à la transmission des savoirs, il est évident que ce à quoi on veut réduire la formation des maîtres est une horreur et qu’on envoie sciemment des jeunes collègues au casse-pipe psychologique, sans leur donner la possibilité de se ressourcer ou de se construire ni même de préparer correctement leurs cours, car cela s’apprend aussi et qu’en début de carrière cela prend énormément de temps.

    Je plains sincèrement mes jeunes collègues qui vont faire les frais de cette nette régression. Et je regrette le peu de solidarité des collègues en place, qui, parce que l’IUFM était loin d’être parfait, acceptent assez facilement la suppression d’une formation digne de ce nom pour nos futurs collègues. De toute façon, le ministère a déjà recours depuis bien longtemps à des vacataires qui ne sont ni formés ni payés correctement et qui pourtant doivent assurer la même tâche que les titulaires recrutés sur concours. Alors advienne que pourra. Les dégâts sont à venir chez les professeurs et les élèves.

    Et ce sera là mon dernier motif d’écoeurement, les salles des profs à quelques exceptions près ne sont plus des lieux de solidarité et d’engagement. Elles sont encore souvent faites d’individus agréables et qui s’investissent dans leur métier et auprès des élèves mais la majorité est en retrait en ce qui concerne la réflexion et la lutte syndicale ou politique pour la construction d’une école plus démocratique et plus juste. Les aînés sont probablement lassés d’avoir lutté en vain et dû subir de nombreux revers, les nouvelles générations ne sont pas formées à la lutte ni même simplement à l’existence d’une possible parole collective et se méfient « spontanément » (après tout de même un beau travail de sape médiatique) de tout mouvement syndical.

    La dernière mouture de la réforme du lycée rondement menée par le ministère a suscité, hélas, des prises de position par discipline, chacun cherchant à tirer la couverture à soi alors qu’il eût fallu faire front commun, car là encore le seul objectif est budgétaire. Les syndicats ont fait ce travail mais ils ne sont plus majoritaires dans les salles des professeurs et malgré de belles mobilisations par matière ou par endroit, la « réforme Chatel » ne paraît pas pour l’instant en danger. Un glissement vers le centre et la droite s’est opéré. Tant mieux pensera notre bon vieux pays de droite. Tant mieux ou tant pis c’est selon, mais il est sûr que si l’on ne veut pas de l’école qui se dessine là en creux par petites touches décidées, il faudrait le dire haut et fort dans la rue, dans les forums et surtout dans les urnes, il faudrait inventer de nouvelles formes d’action ou retrouver le chemin des luttes traditionnelles.

    Les héros de la culture sont fatigués et ont besoin du soutien des usagers de l’école, parents et élèves et même employeurs qui accueillent les nouvelles générations et mesurent parfois amèrement les dégâts d’une éducation au rabais. Il est certain en tout cas qu’ils ne peuvent pas compter sur leur hiérarchie proche ou lointaine.

    L’école est l’affaire de tous. Sans soutien ni reconnaissance, des professeurs qui se battent pour donner une véritable instruction à tous, se lasseront. Nombre d’entre eux songent déjà à quitter un métier exigeant et difficile mais dévalorisé et souvent décrié. Alors il n’y aura plus pour élever nos enfants que des adultes gardiens, qui ne leur apprendront que la soumission à l’autorité en répétant mal les discours à la mode ou des adultes animateurs qui les occuperont gentiment (ou pas) en tâchant de ne pas se faire trop déborder pendant que nous irons travailler. C’est déjà parfois le cas. Mais le pire est devant nous. Rassurez-moi : le pire est-il toujours certain ?

  9. moi j’habite à toulouse , et j’aimerais bien participer à la télé libre .
    mais bon, apparement il faut être à paris ..

    J’espère que vous continurez vos initiatives, et que vous irez plus au sud !

    parce que bon, j’ai dix neuf ans , j’adore ce site et j’ai un camescope. je fais des films , je monte parfois … mais j’aimerai de l’aide!

    de l’aide pour créer plus , pour réaliser, pour sensibiliser…`

    à toulouse aussi y a des choses à faire , des choses à dénoncer .
    moi je veux faire des films sur les gens, sur les autres …

    Travailler à la télélibre , c’est mon rêve !

  10. ca veut dire quoi un « quartier populaire »?
    Ah la charité judéo-socialiste…

    @sarah et aux autres : prenez une caméra et filmez autour de vous, tant de choses aberrantes sont à montrer, suffit de jeter un oeil dessus… Videz vous déjà l’esprit pour avoir un regard neuf ;)

  11. Super idée !
    Dans mon bled « où les clés demeurent toujours », la culture et lieux culturels sont au centre d’un bras de fer qui annonce de la consistance et de la créativité dans le combat.
    C’est assez frustrant de ne pas pouvoir créer de témoignage…
    Vivement qu’un réseau de formation se mette en place dans nos « provinces » !
    Bravo, continuez !

  12. Le samedi 26 décembre à Houdan. ACADEMIE DES ARTS DE LA SUBVERSION – CEREMONIE DE REMISE DES QUENELLES d’OR DE LA SUBVERSION.

    Pour les fêtes, Dieudonné organise une grande soirée, avec son spectacle, des lectures de de Céline, de la musique (avec d’ailleurs d’excellents musiciens d’ER), le samedi 26 décembre à Houdan. La soirée qui se déroule de 18 h à 1 h nous est proposée à 10 euros, repas inclus. Bar sur place, plusieurs salles etc…

    Une liste de nominés aux « Quenelles d’Or » sera présentée et le public votera. Cette liste, concoctée entre autres par Alain Soral, ne manquera pas de sel.

    Il me semble que c’est là une opportunité qui nous est offerte de nous retrouver dans une ambiance festive. Alain sera présent, ainsi que votre serviteur. 2000 personnes sont attendues et c’est donc également une opportunité pour nous de recruter.

    Si des camarades de province souhaitent faire le déplacement nous essaierons de leur trouver un hébergement militant.

    Le RV est donné à Houdan et le lieu ne sera communiqué que sur place. Une navette (le Dieudobus) assurera la liaison à la gare avec le lieu des festivités. Mais le plus pratique est évidemment la voiture. En ce cas le RV est à Houdan, où des fléchages auront été apposés un peu partout.

    La gare d’Houdan est desservie par la gare Montparnasse depuis Paris.

    La réservation est obligatoire. Pour tout contact Tél au 06 46 46 61 66.

    Et pour tout le monde,

    Bonnes fêtes !

    NOMINES DANS LA CATEGORIE COMIQUE

    – Georges Frèche, pour son discours à l’occasion de la journée de Jérusalem

    – Groland, pour son sketch : Finkielkraut pourfendeur des antisémites

    – Claude Sarraute, pour son sketch sur la Shoah des Arméniens

    – Le Président Sarkozy, pour son apologie de l’anti communautarisme et l’identité nationale

    – Les Guignols de l’info

    – Le Président Obama, pour son prix Nobel de la Paix

    – La LDJ, pour ses différents clips burlesques incitant à la haine raciale, à la violence et à l’assassinat

    – Olivier Besancenot, pour son rôle de pleurnichard dans le film Tout le monde en parle, réalisé par Thierry Ardison

    NOMINE POUR UNE PERFORMANCE SUBVERSIVE

    – Kémi Séba pour sa marche héroïque, symbolique et non violente de la rue des Roziers et l’ensemble de son combat au sein du MDI
    NOMINES DANS LA CATEGORIE SITE INTERNET

    – Le site michelcollon.info, consacré au décodage des médias et à l’analyse de la mondialisation

    – Le site Voltaire.org, réseau de presse non aligné

    – Le site (et non le mouvement) Egalité et Réconciliation.fr, sans exclusivité politique, sociale, religieuse ou philosophique

    – Le site La Banlieue s’exprime.org ; qui, comme son nom l’indique donne la parole aux banlieues, mais sans demander la permission à quiconque

    – Le site Mécanopolis.org, pour son décryptage des mécanismes du mensonge et de la domination

    – Le site Politique de vie.net, pour son travail authentiquement écologique pour le respect et le développement de la vie de la planète

    – Le site entre la plume et l’enclume, pour son combat de la défense de la liberté d’expression

    – Le site Allain Jules.blogspot.com, pour sa défense de la liberté d’expression, même pour les Français d’origine africaine

    – Le site Alterinfo.net, pour son information alternative et son regard critique sur l’actualité

    NOMINES DANS LA CATEGORIE ESPOIR

    – Jean-Marie Bigard, pour ses débuts prometteurs sur internet et le 11 septembre

    – Frédéric Taddeï, pour encore oser organiser des débats avec les intervenants qui ne pensent pas tous pareil

    – Patrick Sébastien, pour son projet de « rassemblement humaniste » afin de faire pression sur les politiques

    – John Bastardi Daumont, pour son courageux travail d’avocat et pour avoir gagné contre la LICRA

    – François Cluzet, pour sa courageuse défense, devant Jean-Francois Copé silencieux, du Franco-Palestinien Salah Hamouri, illégalement emprisonné en Palestine

    – Julien Coupat pour être parvenu à détourner un jugement en épousant une amie que ledit jugement lui interdisait de voir

    NOMINES DANS LA CATEGORIE ESSAIS ET LITTERATURE

    – Paul-Eric Blanrue, pour son essai : Sarkozy, Israël et les Juifs, livre dans un premier temps non distribué en France, puis distribué sous la pression d’internet et des lecteurs

    – Alain Soral, pour son roman : Chute ! Eloge de la disgrâce, totalement boycotté par les médias, mais qui vient de sortir en édition de poche

    – Maria Poumier, pour son essai : Proche des Neg

    – Tariq Ramadan, pour son essai : Mon intime conviction

    – Anne-Sophie Mercier, pour sa pseudo enquête sur Dieudonné, sa malice, son vice sa rouerie et ses calomnies

    – Caroline Fourest, pour sa Tentation obscurantiste

    – BJL, pour son roman : A mous dé, On se calme

    – Mohamed Sifaoui, pour Ben Laden dévoilé

    NOMINES DANS LA CATEGORIE CREATION AUDIOVISUELLE
    (musique, chanson, clip, film, documentaire…)

    – Keny Arkana, pour Cinquième soleil

    – Olivier Mukuna, pour : Est-il permis de débattre avec Dieudonné ?

    – Le Libre Penseur, pour l’ensemble de ses vidéos pédagogiques postées sur internet

    – La Rumeur, pour : Affreux, bêtes et dangereux

    – Sarkasme, pour son rap suisse corrosif

    – Shoah Nanas, le dernier clip de Dieudonné M’Bala M’Bala, avec la participation de Jacky

    – Béatrice Pignède et Francesco Condémi, pour leur documentaire : Sans forme de politesse

    – Orelsan, pour les persécutions qu’il subit

    NOMINES POUR L’ENSEMBLE DE L’ŒUVRE

    – Ginette Skandrani, pour sa fidélité à la cause palestinienne

    – Marc-Edouard Nabe, pour son authentique parcours subversif et atypique

    – Julien Dray, pour avoir sauvé le racisme qui, sans lui et SOS Racisme, aurait pu disparaître en France au tournant des années 80

    – Roman Polanski, pour son parcours du ghetto de Cracovie à la prison de Sing Sing aux Etats-Unis

    – Thierry Meyssan, pour avoir été le premier à nous éclairer sur le 11 septembre

    – Eric Besson, pour avoir quitté la Gauche pour l’UMP, afin de pouvoir plus franchement s’en prendre aux immigrés

    – Carlos pour son combat révolutionnaire

    – Alain Finkielkraut, pour être passé en 20 ans de la Gauche antiraciste à l’extrême droite sioniste

    Pour tout contact Tél au 06 46 46 61 66

  13. Ce serait pas du prosélytisme, votre intervention qui n’a rien à voir avec le sujet ?

    A moins que vous ne réserviez un prix à JPaul, prochainement ?