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LE PIQUE-NIQUE DE NICOLAS SARKOZY

Publié le | par

Dimanche 15 avril. Aix-en-Provence. A une semaine du premier tour, Nicolas Sarkozy a convoqué près de 2 000 militants provençaux pour un pique-nique, sur le splendide site du château de Grand Saint-Jean. Entouré de sa famille de campagne (Fillon,Alliot-Marie, Gaudin…), le candidat UMP, chemise entre-ouverte, a profité du soleil et de l’ambiance conviviale pour « se lâcher » un peu en lançant quelques piques à ses adversaires. Bien plus détendu que lors de son passage à la cité Beauval deux jours plus tôt, l’ancien ministre de l’Intérieur a rassuré ses partisans, plus confiants que jamais quant aux chances de succès de leur « nouveau Napoléon ».

Un reportage de Michaël Bertrand et Anthony Jammot

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Les commentaires (19)

  1. Quelle crapule intellectuelle ;..
    « on ne sait pas leurs projets  » n’importe quoi t’a qu’a lire un peu ducon plutôt que te pavanner de ton autosuffisance morveuse..

    DANS trois jours MOBILISATION générale
    TSS
    TSS
    TSS
    Faut pas que ce roquet soit président …

  2. « segolene royale est si mal accompagnée qu’elle ne les sort jamais ». Donc il considere son equipe de campagne comme ses petits toutous, qu’il faut sortir pour leur faire prendre l’air…

  3. Ce sujet a été réalisé avant ou après qu’il a battu Cécilia, son ex femme et actuelle employée?

  4. « Mais si bien moi ca fait 14 ans que j’ai refait ma vie en angleterre,j’ai apris mon metier en france avec les meilleurs de ma profession et je suis parti,c’est dommage a dire mais debrouillez-vous bon courage….. » la loupe – 19 avril 2007

  5. C’est l’histoire d’une ile déserte ou vivent 10 personnes. Il y en a 5 qui sont plutôt costauds, et 5 qui sont plutôt frêles. Si bien que rapidement, les 5 costauds remarquent qu’en les menaçant de coups, ils pouvaient obtenir des faveurs des plus faibles, leur demander de faire les tâches les plus difficiles et éprouvantes et se contenter eux de ce qui est agréable. Et rapidement, les plus faibles deviennent un peu les esclaves des plus forts. Pendant que les uns vont chercher du bois, les autres en profitent pour se baigner. Puis une fois le bois ramené, les plus forts s’amusent à imaginer leur maison idéale, à dessiner les plans sur le sable, et à en commander ensuite la construction à leurs ouvriers qui s’exécutent. Alors, pendant que les esclaves construisent, les autres vont diner. Et quand ils ont fini de construire, les esclaves doivent aller ramasser les restes et les déchets, se nourrisant du peu de viande qu’ils auront réussi à grignoter sur l’os jeté nonchalament. Ils nettoyent, emballent les poubelles dans une grande feuille d’arbre, et vont bruler ça à l’autre bout de l’ile.
    Mais ce monde “parfait” ne pouvait pas durer indéfiniment. Et un beau jour le volcan qui dominait l’ile commence à gronder. Le ciel s’assombrit. Les yeux se lèvent vers la cime du volcan. L’athmosphère est lourde et pesante, et les esprits coupables chargés du poids d’une interrogation : “Est ce que c’est dieu qui nous punit ?”
    Et là c’est la panique, une détonation retentit à travers toute l’ile et un geyser de feu jaillit du sommet du mont divin. Et c’est sous un orage de grèle que les hommes quittent le campement et commencent à courir en tous sens dans la panique la plus totale, et essayant chacun de s’écarter le plus possible du danger finissent pas se retrouver regroupés sur la plage. De la plage, ils voient le volcan exploser littéralement, des coulées de laves en dévaler les flancs et la forêt qui entoure sa base commencer à s’embraser. Cette vision toute nouvelle pour eux de l’enfer sur terre finit de les rendre fous. L’un des costauds se tourne alors vers les frêles :
    “Allez nous chercher notre bateau de pèche que j’ai créé !” les esclaves s’executent, vont chercher le bateau, le mettent à l’eau et les costauds commencent à s’y installer.
    “Mais ? Et nous ?? Il n’y a que 5 places dans ce bateau !! demande l’un des esclaves.
    -Et bien vous n’avez qu’à fabriquer un autre bateau !
    -Mais nous n’auront jamais assez de temps ! Cela nous a pris plus d’une journée pour faire celui-là et à la vitesse ou la lave arrive, dans une demi-journée, elle aura atteint la mer. Aidez nous à construire un deuxième bateau s’il vous plait ! Tous ensemble, cela ira 2 fois plus vite et nous auront le temps de tous nous sauver.
    -C’est hors de question, on a déja perdu assez de temps à discuter, si vous vouliez un bateau, vous n’aviez qu’à vous en construire un.
    -Mais c’est NOUS qui l’avons construit ! hurle alors spontanément le frêle dans un sentiment mélangé de peur et de colère.
    -Comment oses tu, ESCLAVE, te permettre une telle arrogance ! répond le fort outré.
    Si JE n’avais pas fait les plans, VOUS n’auriez JAMAIS construit ce bateau ! Je devrais te battre à mort pour ce que tu viens de dire !
    -Et bien si vous n’étiez pas toujours en train de nous battre et de nous forcer à faire toutes vos tâches ingrâtes, on aurait largement eu le temps d’apprendre à faire des plans et de faire notre propre bateau. Et puis vous auriez pu nous apprendre aussi ! Rétorque l’esclave que la peur de mourir poussait enfin à se rebeller.
    -Bah écoutes, qu’est ce que vous voulez que je vous dise ? Je n’y peux rien moi si vous êtes frêles, c’est la vie, c’est comme ça. Je n’y suis pour rien moi dans vos problêmes, c’est à la génétique que vous devez vous en prendre. Sur ce, adieu, nous avons déja perdu bien assez de temps comme ça.”

    Et le bateau commença a prendre le large sous le regard dépité des frêles. Ils restaient là, debouts sur la plage, droits comme des i, comme paralysés. Leurs yeux remplis de terreur fixés sur le radeau de la méduse qui lentement se dirigeait vers l’horizon. Ce n’est qu’au bout d’une bonne minute que les forts apperçurent au loin, les frêles se baisser. Puis se relever brutalement, et commencer à courir vers le large, chacun une pierre à la main qu’ils jetèrent en vain en hurlant : “Enculés ! Fils de putes !” Mais c’était trop tard, la petite ile commença à disparaitre à l’Horizon, et les forts ne la revérèrent jamais. Les faibles ont ils survécu ? on t’il réussi à s’abriter de la lave ? Sont ils libres aujourd’hui ? Ils ne le sauront jamais.

    En revanche, pour eux, l’enfer ne faisait que commencer. Cela faisait maintenant 6 jours qu’ils naviguaient quand une tempète éclata et fit danser le frêle esquif pendant quelques heures avant de le faire finir sa course contre un minuscule récif rocheux. L’embarcation explosa littéralement à l’impact, et les 5 forts qui perdirent connaissance découvrirent au réveil qu’ils avait échoués sur un minuscule cailloux. La seule végétation présente était de la mousse et une algue répugnante qui encerclait et envahissait tout les environs du rocher, repoussant les poissons et le reste de la faune aquatique à plusieurs centaines de mètres autour du rocher. Les forts étaient audacieux et ne se découragèrent pas. De l’eau, ils en auraient par la mousse, et des poissons, ils arriveraient bien avec la faim à aller en chercher à la nage. Mais dés les premières tentatives, le moral fut atteint. Ils avaient grattée et pressée quasiment toute la mousse du rocher mais cela avait à peine rempli la petite flasque que l’un d’eux avait sauvée du naufrage. Quant aux poissons : ils avaient passé une demi-journée à nager et à s’épuiser avant de réussir à en attrapper un seul. A ce rythme là, ils n’auraient bientôt plus de force.
    Puis quelques jours passent, ils finissent l’eau de la mousse, lancent ensemble une grande expédition poisson, mais ils n’ont plus autant de force qu’au début. Alors ils s’épuisent, et manquent de se noyer pour revenir au rocher sur lequel ils s’écroulent sans forces, sans nourriture et sans eau. C’est là que, dépité, l’un d’eux se met sous les yeux des autres à récolter de ces algues repoussantes qui les entouraient, à en faire une boule dans le creux de sa main, et à se l’envoyer directement dans le fond de la gorge pour éviter le goùt de l’eau de mer. Quelques secondes plus tard, il vira au blanc, puis commença à cracher avant d’être pris de vomissements. Les autres se contentèrent de rabattre doucement leurs paupières sur des yeux résignés. Pendant un instant ils avaient eu l’espoir que ces algues soient comestibles…
    Un jour passe encore, puis 2, puis 3. Ils sont mourrants, allongés les uns à coté des autres, agonisants. Gisant sous un soleil qui leur brûle les parcelles de peau que le sel n’a pas encore brulées. Ils ne parlent presque plus, se comprennent et partagent leur douleur d’un simple regard. Sauf celui qui a mangé des algues. Lui a l’air encore plus mal que les autres. Il râle, il gémit, et son visage est devenu aussi vert que les algues qu’il a mangé. Au début, les autres le plaignent, ressentent de la compassion pour leur ami. Mais rapidement, ses hurlements de douleur deviennent insupportable. Il sont eux même souffrants et pendant une journée, puis 2 journées entières, ils l’entendent cracher, se racler, avoir des spasmes comme si il aurait voulu vomir mais que son estomac était vide depuis bien longtemps. Chacun commence alors à sentir monter en lui un sentiment inavouable. Chacun ne supporte plus d’entendre le malade, d’entendre cette souffrance. Chacun se met alors à implorer le bon dieu qu’il le fasse taire, puis à ressentir la pulsion de lui tapper dessus en lui disant : “Mais tu vas la fermer oui !!” et puis à se surprendre à avoir cette idée qui leur glace le sang : “Qu’il crève vite putain ! Je ne le supporte plus !! Sinon c’est moi qui vais le butter.”
    Et cette faim ! Toujours cette faim qui ne vous lâche jamais. Qui vous brûle autant l’âme que le ventre et vous tord de douleur !
    C’est à ce moment là que l’un d’eux demanda en se tournant vers le malade et en le regardant fixement : “Vous croyez que sa viande serait encore comestible ?”
    Aucun mot, aucun son, ne vint lui répondre. Alors il osa se retourner vers ses camarades. Ceux-ci, toujours allongés sur le dos, avaient relevé et tourné la tête dans sa direction.
    Ils n’eurent que quelques regards à échanger. Leur décision, ils l’avaient déja prise… ce fameux jour où ils livrèrent 5 âmes à un volcan.
    Sans ne rien se dire, Ils avaient alors tous compris qu’ils allaient pouvoir survivre…
    quelques jours de plus…

  6. Salut John Paul et la compagnie !

    Ce serait sympa de rediriger un peu de trafic avec une annonce vers le site du jt de Karl Zéro il a mis en ligne un enregistrement off de Sarkozy lors d’une rencontre avec des jeunes et ce qu’il dit n’est pas piqué des hannetons.. Il y a bien un discours on et off de la part du candidat de la ‘tolérance’

    Voilà je pense que ça méritait le coup de pouce ce pourquoi j’ai posté ce commentaire à deux endroits

    http://peuplequicause.canalblog.com

  7. En cas de non -élection, il est rassurant de voir que la reconversion de M. Sarkozy est toute assurée, une brillante carrière humoristique l’attend. De plus, je suis sur que pour lancer sa carrière, Arthur le prendra pour ses premières parties!!

  8. Ambiance cul serré, chapeaux à trois mille euros, puanteur de fric, mèche sur le côté et pantalon à pince, chemisette mais ouverte pour faire décontracté, on pique nique par terre mais on n’a pas oublié la poche plastique pour poser son cul :
    CHEZ LES COINCES DU FION, ON VOTE QUI? ON VOTE SARKOZY !!
    A gerber pour l’ambiance en tout cas.

  9. Chez Sarko y’a tout ce qui faut, du bourge et du facho, de l’ignare et du populo, du fric et du culot,
    Au secours!

  10. pourquoi n’a-t-il jamais organisé un tel pique-nique rue d’Enghien? Il se serait fait plein de nouveaux amis…

  11. FRANCHEMENT MESDAMES ET MESSIEURS NE VOTER ABSOLUMENT PAS POUR LE TIRANT SARKOZY? SINCEREMENT VOUS ALLEZ VOUS TUER!!!!!!!!!!!!!!!!

  12. Même ses partisans voient en lui un « petit » Napoléon, c’est tout dire!!! Jusqu’où sa conquête du pouvoir absolu va-t-elle s’arrêter?? S’il est élu, quel souci pour tous!! Ce petit extrait du « pique-nique » est profondément écoeurant : cela pue le fric et le mépris!!