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LE QUIZZ#40-VOUS DECLAREZ COMBIEN ?

Publié le | par

Le quizz est une série de questions posées aux candidats à la présidentielle, à presque tous les candidats à la présidentielle. Destinées à LaTeleLibre, mais aussi à l’écriture du livre « Putain Votons », Thomas Bauder et John Paul Lepers ont imaginé ces 46 questions, et les ont proposées à tous les candidats.

A compter du 3 avril 2007, et jusqu’au premier tour des élections, le 22 avril 2007, vous retrouverez 3 épisodes par jour, mis en ligne à 11 heures, 17 heures et 22 heures. 46 épisodes sont prévus pour 46 questions posées. Waouwh!

Vous pourrez consulter tous les épisodes diffusés dans la catégorie « surprise ».

Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy n’ont pas désiré se prêter à cet exercice.

Gérard Schivardi et José Bové n’ont pas trouvé le temps pour nous rencontrer.

Le quizz, une façon originale de cerner les candidats et leurs personnalités plus intimes.

Invitation à la découverte d’une autre facette des candidats, avec des moments graves et d’autres plus légers.

Question 40 : vous déclarez combien de revenus ?

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Les commentaires (6)

  1. Site Schivardi : http://www.schivardi2007.com pour approfondir la question, car oser ou ne pas oser telle est la question. Comme dirait Joséphine. :)))

    N° 790 – L’éditorial du 19 avril
    Et les travailleurs dans tout ça ? http://www.parti-des-travailleurs.org/index.php

    La presse a fait grand bruit, voilà quelques jours, d’une prétendue croissance spectaculaire de l’économie dans l’Union européenne, et tout particulièrement en Allemagne, laquelle ferait jeu égal, nous dit-on, avec l’économie des Etats-Unis. Et, bien sûr, de laisser entendre (comme c’est le cas depuis des décennies) que cette croissance serait bénéfique à toute la société, y compris aux travailleurs.

    Qu’en est-il en réalité ?

    Le Monde (14 avril) livre un petit bout de la mèche : « C’est tout d’abord la restriction salariale négociée entre les syndicats et le gouvernement Schröder (coalition entre le parti social-démocrate et les Verts — NDLR) pendant près d’une décennie qui a permis aux industries allemandes de regagner de la compétitivité. »

    Le journal anglo-saxon International Herald Tribune (12 avril) vend l’autre bout de la mèche : « La croissance que connaît l’Allemagne la distingue de ses voisins européens (…). La thérapie a été souvent brutale, incluant des vagues de licenciements et des réductions de coûts entre 2002 et 2005. Mais après avoir repoussé toute augmentation des salaires sur le marché national et délocalisé des industries manufacturières vers des marchés où le coût du travail est plus faible, de nombreuses industries allemandes réalisent des profits records. »

    Et les travailleurs dans tout ça ?

    « Les consommateurs allemands, ébranlés par les vagues de licenciements, n’ont pas encore rouvert leurs porte-monnaie. Selon les économistes, si la consommation n’est pas relancée, la croissance pourrait s’éteindre. La hausse ininterrompue de l’euro va commencer à avoir des conséquences. »

    Résumons : la « croissance » — c’est Le Monde et l’International Herald Tribune qui le disent — procède pour l’essentiel de la destruction des forces productives, aussi bien des usines, des capacités matérielles de production que de la principale force productive, celle du travailleur, chassé de son emploi, réduit au chômage, à la misère, ou encore au travailleur dont le salaire est bloqué et les garanties collectives démantelées.

    Où peut nous conduire un système où « croissance » devient un synonyme de destructions et d’appauvrissement généralisé ? Poser la question, c’est y répondre.

    Faut-il le préciser ? Les directives européennes, qui, sans exception, enjoignent de ne jamais s’opposer aux licenciements et aux délocalisations (pour cause de « concurrence libre et non faussée ») et de toujours bloquer les salaires, de remettre en cause les garanties collectives et les régimes de protection sociale (au nom du pacte de stabilité et de la recherche de la compétitivité) ne sont pas pour rien dans ce résultat.

    Pour qui veut s’opposer à la dérive ininterrompue vers la barbarie et la destruction, peut-il y avoir vote plus utile, dimanche 22 avril, que le vote pour le seul candidat qui ose prôner la rupture avec l’Union européenne, son traité et ses directives comme la condition d’une véritable relance de l’économie fondée sur la satisfaction des besoins du plus grand nombre ?

    Daniel Gluckstein

  2. Chère Télé Libre,

    alors ? le pen et de villiers ont-ils communiqué leurs déclarations ?

    impatiemment…

  3. Olivier Besancenot n’autait il pas confondu les francs et les euros ? Moins de 12000€ net imposable par ans, c’est moins que le SMIC, non ? Et presque 12000€ par mois, c’est impensable pour Mr Besancenot.

    Olo

  4. ah ! ils beaux, les Lepen ,de Villiers et meme notre béarnais national .le menhir a un modeste potefeuil d’action une petite participation (50% quand meme ) dans une maison de champagne et peut ètre un petit cabanon à St cloud !pour le vi-« compte » demandez à son ministre des finances ,lui,il ne sait pas . L’homme au tracteur à bien une petite propriété pour loger ses chevaux ,et son outillage, ainsi il est dispensé de payer L’ISF. Bon en me relisant je vois que j’ai oublié « sont » avant beaux LE se sont envolés de portefeuille sorry!

  5. en lisant les commentaires sur les deux sujets abordant les revenus des candidats et leur patrimoine je comprends que les réponses des trois « fauchés » de bretagne ,de vendée et du béarn ,puissent laisser

  6. erreur de manipe !!je débute, je reprends .puissent laisser les internautes qui vous suivent sans voix .souhaitons qu’ils la retrouve Dimanche !!!