LIBRE COURT N° 5

Publié le | par

Cinquième édition de Libres Courts, et force est de constater que La Télé Libre est maintenant très connue ! En effet, Sylvain Dardenne, le réalisateur du seul et unique film de cette émission, nous a envoyé un email il y a quelques semaines nous disant qu’il avait un court à nous proposer. J’ai donc pris contact avec lui et il s’avère que c’est la bouche-a-oreille qui l’a guidé jusqu’à nous ! L’occasion de vous présenter « Chicago Blues », un film plein de tendresse qui aborde de façon très poétique le rapport à la mort. N’ayez crainte, il ne s’agit pas de mort glauque ou violente (cf. Libres Courts n°3 et le fameux court sur le cannibalisme qui vous a tant fait réagir), mais plutôt de celle que l’on explique aux enfants lorsqu’ils ne sont pas encore en âge de comprendre. A l’affiche, quatre grands comédiens : Eric Legrand, Céline Monsarrat, Lucie Dolène et Max Renaudin, tous professionnels et très complices à l’écran. Je ne vous dévoile rien mais faites bien attention aux voix des deux comédiens principaux, je pense qu’elles vont vous rappeler quelque chose. Par ailleurs, restez bien attentifs puisque juste après le film, nous vous dévoilerons quelques secrets sur les acteurs qui vont vous étonner à plus d’un titre !

LOÏC LANDRAU

Chicago Blues de Sylvain Dardenne

Eric Legrand :
http://auborddeleau.info/
http://eric.legrand58.free.fr/
http://leko58.free.fr/

Envoyez-nous vos courts !

Loïc Landrau
La Télé Libre
16-18 Boulevard de la République
92100 Boulogne-Billancourt

Partager cet article

Laisser un commentaire

Laisser un commentaire

Les commentaires (42)

  1. trés bien ficelé en qq minutes on s’accroche et on attend la fin si même on la devine …. chapeau !

  2. Pour ma part, je l’avais déja vu sur grand écran mais ca fais plaisir de le revoir encore une fois. En plus sur un site internet, c’est cool pour toi Sylvain. En esperant que ce site va te permettre de te faire connaitre un peu mieux. Bonne chance a toi et ….. A quand le prochain!?

  3. Un chemin de mille lieues commence toujours par un premier pasLa couleur pour moi également , l’ambiance est mieux restituée …

    tele libre c’est devenu mardi cinema?
    bon courage les gars

  4. Un suicide par jour au travail : pourquoi pas de réaction du « Président » ?
    de Gérard Filoche

    Il ne va plus voir ceux qui se lèvent trop tôt, se couchent trop tard, et s’épuisent au point de se suicider au travail.

    A force qu’il se déplace partout, s’occupe de tout, fasse des projets et des lois sur tout, faits divers, accidents de la route, feux de forêts, tour de France, infirmières bulgares, comment ne pas s’étonner par les questions qu’il « laisse tomber », sur lesquelles il n’intervient pas, ne parle pas, ne réagit pas, ne légifère pas ?

    Pas de photo, pas d’image, pas de flash info, pas de visite d’entreprise, sur le dernier des suicides au travail… Rien.

    Il y a eu 360 cas de suicides liés directement au travail l’an passé, un par jour. Cela concerne des employés, des ouvriers, et les cadres, manuels et intellectuels, le stress au travail, la souffrance au travail, la violence des rapports d’exploitation, les rapports de « management » hiérarchiques, le chantage à l’emploi et au salaire…

    … Plus grave que la délinquance criminelle, ce phénomène est pourtant ignoré : Rachida

    Dati ne fait pas de loi, pas d’enquête, on n’envisage pas de remède, rien. Pas visite dans une entreprise, pas de déclaration au Journal télévisé, pas de visite à la famille, pas de rendez-vous express, pas de « petite phrase », rien.

    Pas de proposition ! Parce que n’est-ce pas, dans le régime où nous sommes, si le Président ne réagit pas en personne, ne propose rien, c’est que le sujet n’est pas important.

    En France, on utilise les mots « burn out » (anglais) ou « karochi » (japonais) pour parler de l’auto destruction par la travail… n’y a t il pas de mot français ? Pourtant cette violence au travail concerne plus de 22 millions de personnes…

    Ah si ! Le Ministre du travail Xavier Bertrand a dit qu’il « suivait, qu’il se tenait au courant » et a parlé du « Chsct » de la dernière entreprise où il y a eu un suicide…

    Les Chsct sont en général réduits à une peau de chagrin. Il n’y en a que 22 000 pour 1,2 million d’entreprises ayant au moins un salarié. Ils n’ont droit d’exister que dans 3 % des entreprises, celles de plus de 50 salariés, mais même là, dans la majorité des cas, il n’y en a pas.

    Ne parlons pas des 97 % de plus petites entreprises (8 millions de salariés) où le taux d’exposition aux risques est pourtant plus grand.

    Lui, le Président, si prompt d’ordinaire en tout, il n’a pas proposé, par exemple, d’élargir les pouvoirs et d’augmenter les moyens des Chsct (Comité d’hygiène, sécurité, conditions de travail), ces institutions qui devraient normalement être en charge de réagir à de tels risques !

    Créés en 1982, les Chsct ne disposent pratiquement pas de « crédits d’heures » pour leurs membres, sauf par accord exceptionnel, dans les très grandes entreprises. Ils n’ont pas de budget propre. Leurs membres ne sont pas élus mais cooptés, ce qui diminue l’impact de leur action auprès des salariés. Ils ne disposent presque pas de formation pour appréhender les immenses sujets qu’ils doivent aborder, en matière d’hygiène, de sécurité, de conditions de travail (alors que ces sujets ont été considérablement étendus depuis 1982, avec la prise en charge du harcèlement sexuel et du harcèlement moral). Seulement 1 % des Chsct font appel à une expertise comme ils y ont droit, et dans la majorité de ces cas, cette demande est contestée par l’employeur.

    Surtout, les Chsct, n’ont pas de moyens d’imposer leurs décisions, ils rabâchent des recommandations de réunions trimestrielles en réunions trimestrielles, que l’employeur n’est pas tenu de respecter, il n’y a pas d’avis conforme, ni d’obligation de faire…

    Si bien qu’aucun contre pouvoir, en dehors des faibles et impuissants moyens de l’inspection du travail, de la médecine du travail, n’est en mesure, dans l’entreprise, de pouvoir stopper les folies managériales qui exigent chaque jour toujours plus de rentabilité, de productivité, d’objectifs de plus en plus inatteignables, avec une pression de plus en plus féroce sur chaque salarié, avec des heures supplémentaires en nombre exponentiel et non déclaré, non payé, non récompensé.

    Même les syndicats, dans un tel contexte, sont conduits à sous estimer les Chsct, à pas investir dans de l’énergie perdue car inefficace.

    Pourtant il existe des propositions, des mesures, de quoi faire un projet de loi, plus utile, plus vital, plus impératif pour la vie de millions de salariés, que d’autres actuellement priorisés au Parlement pour « l’affichage ».

    Mais le président a décidé de ne pas « afficher » cela, ne de pas légiférer, de ne pas réagir, de ne pas se pencher sur le sujet. Dans le régime actuel, les suicides au travail, à cause du travail peuvent continuer à raison de un par jour…

  5. Vachement bien ce film, j’adore, c’est vraiment ce que j’aime : bon jeu, bonne réalisation, bonne musique (on le souligne jamais assez je trouve) et puis c’est touchant, tendre … wé, moi c’est le court que je préfère depuis le début de l’émission.
    Par contre, je comprends pas l’intervention de Esclavage Moderne, c’est trop long jsuis même pas allé jusqu’au bout … et puis bonjour le rapport avec libres courts …

  6. j’ai zappé le post 9 ( trop long hors sujet ) mais j’ai bien aimé le ptite vidéo tendre et si humaine… continuez ….

  7. @rocambol
    MOI c’est fred post 16 regarde comme c’est long et zap

    La guerre au Darfour tue 75 enfants par jour !

    Les violences perpétrées par l’armée soudanaise, les milices et groupes rebelles continuent, provoquant de nouveaux déplacements de populations et privant les enfants d’un accès régulier aux soins de santé et à l’éducation. L’Unicef dresse un état alarmant de la situation.
    La « guerre » du Darfour a déjà fait 200 000 victimes depuis 2003. Aujourd’hui, l’Unicef déplore la mort quotidienne de 75 enfants, victimes du manque de soins, d’accès à l’eau potable et aux vivres. L’insécurité rend le soutien aux déplacés chaque jour plus difficile. En effet, la multiplication des groupes rebelles, du banditisme, les attaques de convois de secours et, surtout, la dispersion des populations sur quelque 150 sites compliquent l’acheminement et le suivi de l’aide et concourent à la dégradation des conditions de vie des familles.
    L’Unicef alerte également sur la grande vulnérabilité des femmes déplacées, alors qu’elles sont seules à la tête de la famille : agressions sexuelles et viols, tant des mères que de leurs filles, sont dénoncés aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur des camps. Mais l’actuelle polarisation des acteurs politiques internationaux sur la notion de « génocide » au Darfour, loin d’aider à la compréhension des enjeux et de faciliter l’assistance comporte un risque majeur d’aggraver l’insécurité des travailleurs humanitaires et donc de dégrader encore les conditions d’aide aux enfants. Or c’est d’une aide au moins équivalente à celle qui est déployée aujourd’hui dont ont surtout besoin les enfants du Darfour ( lire « guerre ou génocide ? ».
    LES SOINS POUR LES DEPLACÉS
    Afin de réduire les risques de maladie qui mettent ainsi en péril la vie des enfants : ’Unicef multiplie les campagnes de vaccination. En un an, 1,3 million d’enfants ont été immunisés contre la polio et 1,7 million contre la rougeole grâce aux 260 points de santé fixes et mobiles, pouvant assurer aussi les soins de santé de base, les soins d’obstétrique, le conseil et les tests sanguins volontaires pour le dépistage du VIH/sida (3 centres spécialisés en conseils pour le sida ont été récemment créés au Darfour). L’Unicef distribue du lait thérapeutique et des médicaments pour traiter chaque mois environ 1 000 cas de malnutrition sévère et 4 500 cas de malnutrition modérée. Enfin, 1,1 million d’enfants ont pris de la vitamine A, 337 000 femmes et 257 000 enfants des capsules d’huile iodées. L’autre secteur d’activité de l’Unicef concerne l’eau et l’assainissement. La réhabilitation des points d’eau pré-existants et l’entretien régulier des 1 304 installations, dans les camps, les écoles et les centres de santé, ont permis d’assurer l’eau potable à 1, 1 million de personnes au cours des 12 derniers mois. Enfin, plus de 400 000 personnes sont concernées par la construction de 21 000 latrines communes et familiales et la réhabilitation de plus de 10 000 autres.
    L’ÉCOLE DANS LES CAMPS
    Ecoles, espaces de jeux « amis des enfants » ont une importance vitale pour assurer la protection des enfants vulnérables et fragilisés psychologiquement. Le principal remède aux désordres et à l’insécurité reste l’espace d’apprentissage et de loisirs. Même installée en plein air, une école reste le lieu le plus stable pour un enfant. L’Unicef a donc construit :

    192 salles de classe en briques et ciment, 2 096 en bambou ou roseaux pour scolariser 25 000 élèves supplémentaires ; il a formé 2 300 enseignants et 700 volontaires, puis distribué 71 000 uniformes aux filles, 75 000 manuels scolaires et des kits écoles permettant d’assurer la scolarisation de 450 000 élèves par 2 300 maîtres. 2 700 enseignants et agents de santé ont été formés au soutien psychologique. 67 000 élèves y ont eu recours, qu’ils aient été témoins de violences ou victimes d’agressions sexuelle.
    http://www.unicef.fr/accueil/sur-le…
    http://www.unicef.fr/accueil/sur-le…
    http://20six.fr/basta/art/24396375/…

  8. Je ne sais pourquoi cela évoque en moi, l’ euthanasie !!!!!!!.

    Si cela était permis en France, les personnes pourraient mourir de leur vivant, ( comme dirait Coluche ) , accompagnés par leur famille dans leurs derniers instants, voulus, souhaités, acceptés par ses plus proches après de difficiles, longues discutions.

    Le futur défunt choisirait son jour, s’ évitant parfois des souffrances physiques, morales. L’impuissance des familles devant la maladie, les souffrances des malades.

    Le deuil commencerait avant le fameux voyage, ce pourrait être le premier enterrement , suivrait l’autre ……… .

    Quand au voyage à Chicago ??, y a t’ il seulement un voyage ?, un aller simple, c’ est sûr .

  9. @ fred! mélange pas tout sinon t’es pas crédible …. va donc à Chicago !!! et fais nous un post de là bas

  10. pour FRED !!!
    allez donc sur  » URGENCE HUMANITAIRE AU TCHAD  » et lisez le post 15 !!! ça éclairera votre lanterne

  11. Mais euu sinon quelqu’un à quelque chose d’interessant à dire sur le film ou sur l’émission ? C pas mal hors sujet là quand même …

  12. Tres belle prestation de Loic en ce qui concerne l’interview et un grand bravo a toute l’équipe de Chicago Blues !

  13. Bonjour ! Je n’aime pas ce film. Rien à redire sur le plan technique bien sûr mais sur le fond, je ne suis pas du tout d’accord avec votre présentation : « la mort telle que l’on peut la présenter aux enfants quand ils ne peuvent pas encore comprendre ». Aucune émotion ne transparaît dans le jeu des acteurs. Ce n’est sans doute pas un manque de talent et dans ce cas, il s’agit problablement d’un choix du réalisateur qui ressemble fort à du déni. Elliot se demandera sûrement plus tard, pourquoi ses proches ne l’ont pas associé à leur peine… Pourquoi ceux-ci ne l’ont pas exprimée.. D’ailleurs, ont-il eu de la peine ? se demandera-t-il…Beaucoup d’angoisses en perspective pour le jeune garçon, l’adolescent et l’homme qu’il va devenir…. Un futur client à psy !
    Un enterrement ce n’est pas spécialement la place d’un enfant c’est sûr, mais c’est tout simplement la place de tout le monde, eux compris. Il est choquant dans le film de voir le peu d’empathie que l’entourage a avec cette femme qui meurt, le déni de ce qui va arriver, puis de ce qui est arrivé. Je ne trouve pas ce film léger du tout mais au contraire très angoissant. On peut aussi partager la peine dûe à la perte d’un être cher avec les enfants. C’est ce qui contribue à les inclure dans la communauté. C’est leur permettre de surmonter leur peine en évitant qu’il restent seuls sans rien comprendre vraiment. C’est leur éviter une terrible désillusion quand il découvriront qu’ils sont seuls à ignorer ce qu’est vraiment la mort. Pauvre Elliot ! Sa famille lui apporte bien peu de réconfort !

  14. La caméra lors de la présentation donne quelquefois le mal de mer… Loïc Landrau toujours au top avant et après le Court. Bons commentaires directs rapides interessants, puis interview réussie. auprés d’un acteur et d’un auteur très sympathiques.
    Le court par lui-même nous a fait passer un agréable moment de rêve, mais je suis tentée de penser comme tanteclodine, car dans mon expérience personnelle la Vérité me semble toujours la meilleure voie, pour que l’enfant ait une compréhension du monde immédiat et plus tard de son passé.
    Ceci dit, peut-être existe-t-il des parents pour lesquels les mots sont difficiles à dire : alors pourquoi pas Chicago… Sauf qu’à tout moment l’enfant que je suis restée au fond de moi ( j’ai 50 ans), et qui regardait Eliott, avait envie d’aller à Chicago….
    Continuez de nous faire découvrir d’autres espaces. Merci

  15. Je ne suis pas d’accord avec tanteclodine. A mes yeux c’est un film « fantastique », et l’interprétation donnée me semble bien terre à terre. J’aime beaucoup l’idée que la grand-mère retrouve son mari, qui n’ pas vieilli, et qui lui tend une lettre. Et puis le « déni » est évoqué par la mère dans un dialogue me semble-t-il.
    De même je ne suis pas d’accord pour dire qu’aucune émotion ne transparaît. La retrouvaille me semble pleine de sensibilité, tout comme la scène entre le père et sa mère par exemple.
    Bravo à tous.

  16. Bonjour !
    Je suis absolument d’accord avec tanteclodine : la vérité est toujours ce qu’il y a de mieux à dire (la façon de le faire étant importante, bien entendu). Les enfants y ont droit et doivent, d’une manière ou d’une autre, être associés au deuil.
    Mais… Mais ! Où voit-elle un manque d’empathie de la part des parents ? Sans parler du jeu (c’est toujours discutable et je ne me mêlerai évidemment pas d’en discuter) il est clairement exprimé à plusieurs reprises, de la part à la fois du père et de la mère, qui réagissent certes différemment mais avec autant de peine. Et si je suis le premier à ne pas admettre le discours du père qui me choque terriblement, j’ai en revanche du mal à comprends qu’on puisse ne pas entendre ce qui se dit de tendresse pour la grand-mère, à la fois d’une manière ouverte et entre les lignes. :-)

  17. mesdames messieurs !! j’ai lu vos commentaires !! merci …mais le plus grand mensonge n’est il pas de croire à une autre vie ….apres Darwin, toutes les guerres de réligion et encore de nos jours !!! ne faudrait il pas sortir d’un obscurantisme béat !!! oh je sais j’ai l’impression de blasphémer car moi aussi je vis dans ce carcan judéo chrétien qui me lie à des postures incompatibles de mes connaissances scientifiques …..alors c’est quand le bonheur comme chante CALI ????? ai je ouvert la boite de Pandore ???
    désolé si je vous ai choqué !

  18. JOJO, il me semble que la fin du court métrage est une métaphore. En rien, elle n’insinue ou affirme l’existence d’une vie après la mort à Chicago.

    Enfin, j’espère parce que sinon, il va falloir que j’attends un peu pour visiter Chicago.

    Ensuite, l’état actuel de la science ne permet pas non plus d’affirmer qu’il n’y a pas de « vie » après la mort. Personne n’étant jamais revenu, ni parti en exploreur, le mistère risque de durer encore longtemps.

  19. bonjour Isabelle
    mes propos dépassent et rébondissent sur le sujet du film … je parle de la création que l’Eglise nous enseigne comme divine …. ALORS que c’est clair nous descendons des singes qui eux memes descendent des reptiles…. quant à la mort je veux bien croire que personne en soit revenu mais c’est justement car c’est bien la fin !!!! je voulais dire aussi qu’ au nom des religions on a fait beaucoup de guerres, et de massacres et ça continue …..alors ne serait il pas temps de sortir de ces croyances féodales !!!! excusez moi si je blesse vos convictions …je ne cherche pas à vous convaincre ….à réfléchir c’est tout !!!

  20. Les guerres ne sont pas le fait des religions en elles-mêmes. Les guerres sont le fait des hommes qui assoient leur pouvoir sur les religions et aussi, essentiellement sur la pauvreté.

    La stérilité de certains pays, l’impossibilité de façonner son environnement dans certaines régions, l’impossibilité de faire évoluer son sort vers le mieux, poussent les hommes vers le ciel et les croyances et là, des hommes de pouvoir, et non de croyance, utilisent cette misère pour nourrir les conflits.

    Si on leur donne les moyens d’influencer leur destin, de combattre pour vivre mieux, ils se tourneront moins vers Dieu.

  21. Non non je connais certains illuminés …. ni riches ni pauvres prêts à tout pour leur foi !!!! et souvent le mal, pensant qu’il seront sauvés pour l’éternité ! On condamne les sectes !!! mais faut il s’arreter là…. je pense qu’une ouverture mentale est necessaire pour cesser un jour ce valium de l’esprit !!!! ah la la je blasphéme …….

  22. Bonjour Jojo et tous les autres ! Pour ma part face à la mort, je m’attache surtout aux vivants. A celui ou celle qui l’est encore -mais bientôt plus- et à ceux qui vont rester avec l’absence. Je suis d’accord avec Isabelle : on sait pas vraiment ce qui se passe après personne n’en étant jamais revenu, alors ce qui importe ce sont les vivants (y compris les « presque-morts » qui sont encore vivants néanmoins….). Quel régal ces échanges !

  23. Et bien si le film ne sert rien qu’à ça, j’en suis déjà heureux ! :o)
    Ravi de voir ces divers commentaires et échanges…

  24. Un très joli film, très touchant. Le sujet n’est pas évident mais ô combien universel. Il est traité avec pudeur et lance le débat sur ce qu’il faut dire ou taire aux enfants et le tabou qui entoure la mort. La musique est magnifique.
    Très sympa de la part du réalisateur et de l’acteur principal d’être venus nous en dire plus sur eux et leur travail!

  25. Bonjour Loïc,

    Alors, comme ton papier sur les méduses, c’est de la daube
    bisous
    Les Antibois

  26. Formidable ! Bulma et Vegeta de nouveau ensemble :p
    bravo aux comédiens et au réalisateurs et bien sûr merci au passage à ces deux grandes voix qui nous font vibrer dans DBZ !

  27. et pour parler plus du flim, bravo pour l’idée et la forme puisqu’elle fait réfléchir et débattre…