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LIBRES COURTS 6

Publié le | par

La plage, la Grande bleue et les mouettes, on pourrait croire que Libres Courts est en vacances…

Eh bien il n’en est rien ! Nous ne vous oublions pas et c’est depuis Villeneuve-Loubet, à une dizaine de kilomètres de Nice près de la fameuse Baie des Anges, que cette 6e édition de Libres Courts vous propose deux nouveaux courts.

Le premier, «L’imperméable », est l’œuvre d’un réalisateur que vous aviez découvert lors de Libres Courts numéro 3 : Nicolas Hauser. Rappelez-vous, il s’agissait du court où une grand-mère et son petit fils se retrouvaient sur une place de Nice. Si l’on en croit vos commentaires, vous aviez été touchés par ce film, alors nous nous sommes donc dit que vous seriez heureux de retrouver ce réalisateur avec un court tout aussi poétique, un muet, en noir et blanc, un peu à la manière de Charlie Chaplin. Le second est signé Pierre-Toussaint Jounieaux, un Corse passé par Nice qui travaille aujourd’hui à Paris et qui nous propose une reconstitution minutieuse de l’ambiance d’une maison à la fin du 18e siècle confrontée à un mal mystérieux et invisible. « Les vampires n’existent pas » ou comment la jalousie mène aux plus vils instincts… Bonne dégustation !

Loïc Landrau

Un grand merci particulier à Emmanuel Fricero qui, malgré son emploi du temps chargé pour la finalisation de son moyen-métrage, a trouvé le temps de cadrer et de monter cette émission.

Pour voir Le site de Nicolas Hauser

Le site de Pierre-Toussaint Jounieaux

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Les commentaires (18)

  1. whaou!! deux approches bien différentes de l’amour ! « L’imperméable » est une très très très jolie histoire avec une jolie fin . Merci mr Hauser et la télé libre !

  2. Olalalalal la plage, la mer, ça me rappelle mes vacances !!! Merci à la télé libre de bien vouloir prolonger ces moments de détente… côté film, j’ai beaucoup aimé le premier, le second a quelques faiblesses au niveau du jeu mais les décors sont super bien refais et bonne réalisation. C’est moi ou libres courts commence à devenir un rendez-vous régulier et apprécié par les internautes de la télé libre ?? …

  3. Merci beaucoup La télé libre pour ces deux courts métrages, très bien chacun dans leur genre.

    On est vraiment gâté ! Je ne sais pas si on le mérite toujours….

  4. Bravo , à Nicolas Hauser , toujours un grand moment de poésie et de tendresse , aprés le cyclone Dean cela fait du bien ……….. Je n’ai pas réussi à entré dans le second court ???Peux être un trop grand contraste entre les 2 courts.

    Mais toujours un immense plaisir de suivre cette émission

    Tchimbé raid pa moli !!!

  5. Je débarque un peu sur la télé libre sur les conseils d’un ami, j’ai cliqué sur les trois premières vidéos … des tortues, arnaud montebourg et … libre court ! c cool de donner une fenetre aux jeunes réalisateurs, surtotu que l’émission est bien faite, bien présentée et les deux courts que j’ai vu son bien dans leur genre. Bah pour une première c une bonne première !

  6. Sans vouloir bacher, pour donner envie de regarde un court métrage faudrait peut-être éviter le générique kitchissime …
    je m’explique = la plage + zooms en tout genre + musique pérave + présentateur qui se répète sur trois phrase + mise en scène qui fait hommage à la télé année 80 =

    Au premier plan du premier film (où l’on pressent déjà les qualités de l’acteur) j’ai préféré fuir m’épargnant une embolie cérébrale imminente.

    Bon ça part d’un bonne idée … c’est bénévole … mais ça vole pas très haut … comme la production de courts français …

  7. tomtom tu es dur. je suis d’accords avec toi la présentation est un peu kitch , ça m’a rappelé le club Dorothée de mes vacances années 80. mais ça m’étonnerait que personne ne l’ai vu à la TéléLibre-et le club Dorothée ,et le rappel . Pour moi c’est du second degré ils ont le droit de s’ammuser aussi. Et on peut quand même regarder « l’imperméable » jusqu’au bout ça ne rend pas malade.Et il y a encore de bons courts produits, difficilement, en France .

  8. Menacé de mort par Yep, qui use outrageusement de la flatterie nous arrogeant honteusement un statut de cadre au sein des divers commentateurs de ce site, je me plie malgré tout à sa demande.

    Si je considére la critique comme étant un art difficile et parfois inutile, parceque influencé par un regard manquant singuliérrement d’objectivité, je me garde bien de faire etat de mes impressions quant aux travaux d’auteurs, mes critéres allant de « j’aime », a « j’aime pas », en passant par « j’aime un peu ».

    Le seul jugement que l’on puisse porter sur une demarche artistique etant celui du coeur, le plus honnete est de tenter de decrire les emotions que m’ont procuré ces deux courts.
    Le premier, que j’ai regardé en souriant benoitement, m’a seduit, amusé, attendri, et je l’ai finalement bien aimé (j’avais beaucoup aimé le precedent).
    Le deuxieme, si l’idée du scénario est séduisante, ne m’a pas franchement convaincu, le jeu des acteurs y etant sans doute pour quelque chose, et peut etre le manque de concision du scénario.

    Quant à la demarche de Libre courts, je la trouve non seulement interressante et , indispensable, mais également genereuse.

    Donc, Merci.

  9. J’ai un peu le même sentiment que toi, Gaël, soit un sujet me passionne et je vais me déchaîner, soit je pense (…!) et je préfère ne pas la ramener gratuitement pour dire que je là ramène…et là, contrairement au dernier Libre Court, ma réflexion se résume à (…!)

  10. Huhu et oui Giorgio, là on vient d’apporter des réflexions vachement constructives et super profondes qui vont revolutionner la perception qu’a le public du cinéma Français.

    en même temps yep il l’a cherché hin.

  11. ( John Paul n’ est pas là ? j’ peus y aller ?)

    Moi j’ ai pas réagi passque je pense un peu la même chose que Giorgio (c’ est à dire…..!).(au fait, elle était bonne la raclette à la ganja et son coulis de picrate, épicurien Giorgio ?)

    Cependant.

    L’ actrice du premier court à de beaux pieds-chevilles.
    Le second court a l’ avantage d’ être inspiré d’ une nouvelle de Richard Matheson (si j’ ai bien lu les petites lettres) et ça compense le jeu tout juste bon des acteurs comme la construction un peu désequilibrée du montage.
    Malgré ces réserves, j’ ai suivi ces p’tits films avec interet et attention, le buste droit et les genous serrés sur lesquels tronait un seau remplis de maïs souflé délicatements napés de miel au vin chaud dégoulinant du chaudron en cuivre que la Baronne deversait en chantant  » t’ auras du lolo ».

  12. moi aussi menacé de mort par Yep et par crainte d’ eventuelles représailles, je fais acte d’ allégençe et visionne avec le plus grand plaisir, ces 2 courts, de très bonne qualités; et je met la note maximale.
    Salutation à tous!

  13. J’ai trouvé le premier film un peu trop fleur bleue.
    Pour le second, c’est vrai que le jeu des acteurs sonne souvent faux mais l’intrigue m’a bien plu.
    Côté animation, il y a des répétitions, même si je ne pense pas que le sympathique présentateur soit déjà atteint d’Alzheimer…

  14. Quel bel homme, quel talent, ce garçon fait de l’ombre aux plus grands noms du journalisme!!!
    Bisous lolo

  15. Quel bel homme, quel talent, ce garçon fait de l’ombre aux plus grands noms du journalisme!!!
    Bisous lolo

  16. Quel bel homme, quel talent, ce garçon fait de l’ombre aux plus grands noms du journalisme!!!
    Bisous lolo

  17. Quel bel homme, quel talent, ce garçon fait de l’ombre aux plus grands noms du journalisme!!!
    Bisous lolo

  18. Grave, vous m’avez fait rêver…! Le sud sans le soleil !!! :p c’est comme Paris sans lumières…

    Bref, beau taff sur le second flim, bravo !