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MADÂME L’INTÉGRALE! 1, 2 et 3

Publié le | par

LaTéléLibre vous propose la troisième et dernière partie du film interdit, “Madâme”!

Ci-dessous la première partie:


785 “MADÂME” POUR NOTRE PREMIER ANNIVERSAIRE par latelelibre
Revoir l’article du premier anniversaire de LaTéléLibre, et les commentaires.

Ci dessous la deuxième partie:


794 madme deuxieme partie par latelelibre

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Les commentaires (52)

  1. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce que « son mari a fait pour elle » ne l’a pas franchement épanouie !

    « Je me défends.. » dit elle hypertendue…L’analyse de son « ex -amie » me paraît juste : frustrée, soumise, reléguée…et maintenant : « je me défends » ….par tous les moyens..
    (Je me revanche, je me hérisse, je me règle des comptes personnels en profitant de mon statut privilégié…)

    Je prends des raccourcis, certes, mais je pense qu’elle aurait besoin d’une sévère psychothérapie, et comme on dit dans nos campagnes trivialement , d’un bon coup de ….

    En attendant que le seigneurs et saigneuses se refassent une santé mentale…la démocratie, la justice et la loi en prennent plein la gueule !!!

    Pourvu que le président actuel ne se mette pas en tête de faire bâtir son musée personnel, lui aussi !
    Imaginez la quincaillerie !
    Une tour de dix étages ne suffira pas à ses cadeaux personnels: yacht …avion privé…bagouses et montres en tous genres et un grand tabernacle pour les valises « diplomatiques »…
    Du grand Art !

  2. Troisième volet, et bien sur le meilleur. Tout y est, de la garde rapprochée qui fait barrage de leur corps à JPL, mouché comme le manant qu’il est. Et depuis quand les gueux peuvent-ils s’addresser ainsi à leurs saigneurs et maîtres sans mettre un genou à terre?
    Je repense aux guignols, qui avaient l’habitude de la brocarder en la décrivant comme insignifiante, bigote et monomaniaque…
    Méfiez-vous, hommes de pouvoir! A négliger votre épouse, vous pouvez fabriquer un monstre!
    Et là, hop-hop-hop, on rebondit sur l’actuelle première dâme.
    Là, on est plus dans la petite noblesse de province. On navigue carrement dans les hautes sphères!

  3. c’est qu’avec Tonton et tata c’était bien mieux ! là elle fait un vide grenier profitez en !

  4. et bien moi apres avoir vu les 3 parties je me dis que peut etre le film n’a pas été « interdit » par canal mais tout simplement pas retenu car laborieux et peu instructif.je trouve vraiment le doc faiblard.le clientélisme effectivement elle n’est pas la seule et qu’elle jouisse de sa position à l’élysée peut paraitre choquant mais certainement pas surprenant.
    voilà je suis tres déçu jpl, je m’attendais à mieux de ta part surtout après le tapage autour de la soi disant censure qui, à mon avis n’en a pas été une, eut égard à la piètre qualité de la diatribe

  5. Après avoir visionné la totalité de ce film, que je trouve fort instructif,
    cette femme est un personnage de roman:
    femme frustrée, bafouée, d’une timidité très certainement vrai, ce qui la rend arrogante et agressive, parce que se sentant agressé.
    Qui prend sa revanche en se servant de sa position, mais donc son mari reste la blessure la plus douloureuse.
    Pas de sympathie particulière, mais de l’empathie pour son histoire, dont un jour un écrivain s’emparera.

  6. Bravo pour ce reportage.

    Jusqu’à ce dernier volet j’étais un peu dubitatif mais le reportage est aboutit. On comprend bien la presonnalité de Madame Chirac, ce qui l’a ammené à jouer ce rôle. Madâme dénonce également une situation de favoritisme, de « clientèlisme », de « mélange des genres » qui n’est pas sain pour la démocratie et la politique. Un reportage instructif, sincère qui va au bout des choses, qui va à l’essentiel.

    A Madame Chirac: Il est difficle de répondre à des questions qui ont du sens.

  7. On nous montre la face interne de la politique, les dessous, les mensonges, le fonctionnement du clientélisme . Un portrait vivant d’une profession gangrénée .
    Connaissez-vous beaucoup de journalistes qui décrivent si complètement et si audacieusement des situations enrobées de tabous ?
    Kafeïne, encore une petite tasse ! Tu n’as pas les yeux bien ouverts …

  8. John Paul:
    « Est ce que le clientélisme est compatible avec la démocratie?
    Madâme:
    Je ne comprend même pas votre question!

    Tout est dit…!

  9. Ah ! les pièces jaunes ! une belle opération de récup. politique !
    300 kg qui se transforment en 3000 kg ! La ferraille s’alourdit à l’arrivée en gare de Brive ! Et c’est forcément vrai puisque c’est confirmé par un ancien judoka, champion olympique « poids-lourd » !!
    Le clientelisme politique ! Malheureusement on en a pris que trop l’habitude. Merci à JPL et à tous ceux qui contribuent à nous « ouvrir les yeux » à travers des bons reportages. Vive la télé libre.

  10. alors je reformule le pourquoi du comment je n’ai pas aimé.il me semble qu’n ce qui concerne le clientélisme un reportage sur n’importe lequel des conseillers généraux en france donnerait à peu pres le meme résultat(des citoyens ou des opposants qui balancent point barre c’est tout ce que nous montre jpl)du clientélisme et du kdo boulot ça existe partout et ça a qq siècles donc bof
    les interviews de flics quel est l’interet????super il ya plein de flics qui surveillent leurs chateau, qui en doutait?
    oui elle parait orgueilleuse hautaine et peu àmeme à se livrer(euphémisme) bref des choses qu’on percevait avant d’avoir vu ce doc
    encore une petite chose l’histoire des pièces jaunes « apres m’etre renseigné auprès de collègues journalistes » me parait etre un peu court c’est pour le moins pas très poussé comme investigations. Meme si je peux facilement imaginer qu il y a eu manip, on pourrait espérer une démonstration un peu plus éloquente.
    voilà l’autoritarisme de madame je le connaisssaissais à travers le canard, le reste ne me surprend absolument pas je nai pas l’impression d’avoir appris grand chose avec ce doc

  11. C’est moins les faits (ils sont connus il est vrai) que les mécanismes d’un système qui nous intéressent ici .
    C’est moins madâme en elle-même que tout un monde politique dont il est question .
    Et si toi Caféïne, tu sais tout ça par coeur, apparemment ce n’est pas le cas pour des millions de gogos qui se délestent charitablement de leurs pièces jaunes pour une « trèèès belle cause !

  12. intéressant de bout en bout!
    une autre fois , JPL , envoyez donc Drucker! ça passe mieux!
    vous êtes grillé!
    encore une fois , on apprend plus par le non-dit, le silence à côté des mots, la foudre du regard.
    je n’ai pas envie d’écraser cette femme; je constate.
    c’est pas du genre désopilant ni très tonique pour nous les manants.
    Jôôôliii le chapeau!

  13. Du calme les enfants, allez jouer dehors, papa et maman doivent causer!
    Je me souviens de ma mère, qui un jour, m’a attrapé par le bras lors d’un dimanche électoral, pour me présenté au maire du village. A l’époque je venais d’être diplômé, et je cherchais du boulot. Malgré le tutoiement, la conversation fut pleine de miel, de courbettes, de compromissions… Quand j’y repenses, je m’écoeure moi-même.
    En plus ce connard n’a pas été fichu de me trouver un poste au Conseil Général!
    Tout ça pour dire qu’il est un mal (sans doute pas nécessaire) qui ronge nos politiques. Un élu se doit d’écouter les revendications de ses électeurs, pas les demandes personnelles et les passe-droits.

  14. Bon bah j’avais un doute maintenant c’est confirmé, JPL tu fais de la TNT sur le web avec beaucoup moins de moyens, moins d’ostentation certes mais tout autant d’inutilité.

  15. J’étais aussi dubitatif au début du reportage, sur les questions posées à Madâme, et plus destiné à la « taquiner » (à mon ressenti).
    Du coup l’objectivité du reportage en prend un coup…

    Cependant, on se rend tout de meme bien compte du personnage, de son pouvoir appuyé, des « habituelles »? dérives du pouvoir, bref encore une fois pas du joli dans notre démocratie. L’image de reine (de fer?) lui va comme un gant !

    Donc meme si je reste avec un ptit coté dubitatif, bonne note à JPL et aux autres journalistes indépendant pour leur tenacité. On vous soutient ! :=)

  16. Et bien moi je vous félicite pour votre persévérance car il en fallait ! C’est tellement plus facile de « flirter » avec les politiques ! Je reste avec un sentiment de tristesse face au chemin à parcourir vers la démocratie, pour « Mâdame » qui est pitoyable, ni plus ni moins que les élus de mon petit village … l’Histoire prend son temps, merci de la forcer un peu et de nous informer !

  17. j’attendais la troisième partie, les deux premières me laissaient franchement dubitatif. Vous retombez un peu sur vos pattes avec cet épilogue.

    D’un point de vue « journalisme d’investigation », on ne peut pas dire qu’il y ait bcp de matière.

    Il y a des choses intéressantes qui peut être relèvent plus du portrait ou du profil psychologique, mais alors il aurait fallu prendre cet angle dès le début (ou au cours) de l’enquête et avoir une approche différente.

    On peut comprendre votre frustration, mais bon, dans cette histoire tout le monde s’est un peu braqué l’un contre l’autre.

    Les sumos du musée Chirac auraient pu vous inspirer une démarche plus souple, un certain « lâcher-prise ».

    P.-s. c’est parce que j’apprécie par ailleurs ce que vous faites que je me permets cette critique, que j’espère constructive.

  18. Je ne vois pas ma commentaire que j’ai publié ce matin. Je suis desolé de voir que mon article sur le future candidat de MODEM supprimer car vous favorisez le P.C.F et le Parti Socialiste de CLICHY SOUS BOIS ; a BIENTOT cHAOOOOOO

  19. Je pense qu’il existe plusieurs sortes de journalisme.
    Un journalisme d’information qui se doit d’instruire à charge et à décharge, comme un juge d’instruction, et un journalisme d’opinion.
    Le premier est là pour informer tout en gardant une saine neutralité. Mais cette neutralité peut devenir un carcan, car elle empêche d’aller trop loin dans la recherche de l’information. Sous prétexte de vouloir ménager l’opinion, en ne privilégiant pas un camps pour l’autre, on en vient à ne pas trop vouloir insister dans une direction qui nous semble « prometteuse ». On devient lisible, certes, mais souvent évasif.
    Le second, lui est là pour faire passer un message, mettre l’accent sur un point précis, et faire réagir sur ce point. Le journalisme d’opinion s’adresse aux personnes qui veulent en savoir un peu plus dans une certaine direction, et ne se contentent pas des simples informations brutes. Il développe un peu plus le sujet, il fouille, il insiste là où d’autres s’arrêtent.
    C’est donc au lecteur, ou au téléspectateur, de faire la différence et de choisir son média en adulte responsable de ses choix.
    La Télé Libre revendique certaines valeurs auxquelles j’adhère. Je la regarde donc. Par contre je ne vais pas m’informer sur le Figaro.fr; C’est mon choix.
    Tout ça pour dire que John-Paul fait son boulot de journaliste militant. Et je trouve de mauvais goût de vouloir lui en faire le reproche. C’est tout. Si sa façon de traiter un sujet ne vous plait pas, cliquez! Le net est immense, et vous trouverez certainement les informations qui vous conviennent.

  20. Désolé gwendal mais ça s’appelle l’interactivité et c’est un des points fort du journalisme sur le net et malheureusement tout le monde ne peut pas avoir le meme avis ou la meme sensibilité que toi.Donc désolé pour mon mauvais gout mais je continuerais à regarder latelelibre « en adulte responsable » convaincu qu’il n’y a pas que le journalisme partisan qui soit « fouillé ».
    Je ne suis pas sur que jpl apprécie les 2 termes, accolé l’un à l’autre, de « journaliste militant » ça fleur bon la propagande.

  21. Désolé aussi de voir un grand comme « le nouvel Zobs » obligé d’aller fouillé dans les SMS du Président pour vendre sa m…..alors moi c’est simple je prends ce qui est gratuit, et du Figaro à l’Huma ils auront pas mon pognon quitte à les faire crever ! un peu d’éthique ! tout part en c…. et les média nous en donne l’exemple

  22. Pfff, Douillet je l’plie en deux, je le mets dans mes chaussettes, j’les roulent en boule et j’envois le tout au juge Duchaîne…Eh, c’est pas moi qu’y ais dit ça, on a usurpé mon pseudo !

  23. @aslan
    Tu plagies Carla:
    son mac, elle le roule, elle le fume, en attendant de l’écraser dans le cendrier…avec les cendres de Mick Jagger, Eric Clapton, Vincent Perez, Charles Berling, Louis Bertignac, Arno Klarsfeld, ….plus les milliers d’ anonymes…
    mais pas Martinon…non….non

  24. Tu crois qu’à la proposition de la belle il ne dirait pas « Un Martini? Oui Oui Oui ! », surtout après le coup que lui a fait le mini-me de Neuilly?

  25. @laTéléLibre: c’est une bonne enquête de personnalité sur un large front, c’est bon jusque dans l’auto-critique: John Paul n’a effectivement pas fait le poids dans la seule interview. Maintenant c’est sûr que ça aurait mérité un public moins au fait du tempérament de la chaudronnière De Courcelles.

  26. Bravo à JPL pour sa ténacité. C’est un film intéressant, mais il me semble, avec un parti-pris à charge et un peu revanchard: « tu ne veux pas me parler, alors je t’embête et je te titille jusqu’à ce que tu cèdes » (à supposer que vous ayiez osé la tutoyer la Madâââme…). Du coup , il est dommage , quand l’interview a enfin été accordée, d’avoir posé des questions qui ont permis à Madâme de jouer la montre dans la description du paysage corrézien et de son climat (ahahaha cela me rappelle Danièle Gilbert au début de chaque « Midi Première »!!!). Je me demande ce qu’elle aurait répondu si il lui avait été demandé de commenter le jeu de rôle organisé avec le responsable de la Poste pour maintenir un bureau fréquenté par 3 clients par mois, et du coup, fermer, sans attirer l’attention x autres bureaux… C’est pas un déni de démocratie, ça??? « C’est le passé, alors nous n’en parlerons pas, n’est-ce pas cher Monsieur? » Mais si, parlons-en!!! Des faits, des faits !!! Les abus de pouvoir sont le fait des gens puissants, mais aussi de ceux qui s’y prêtent. Tous ces hommes massifs, là, qu’est-ce qu’ils avaient à perdre, quand on y pense? Le type de la Poste, il semble y avoir perdu pas mal d’estime de soi (et gagné une dépression si j’ai bien compris…). Bref la dame a usé et abusé de son pouvoir, mais il me semble qu’elle a eu la tâche facilitée par tous ceux qui ont préféré garder leurs avantages présents ou à venir. Même JPL à la fin, il a l’air d’avoir peur pour sa sérénité fiscale… Au fait, il y a eu des représailles? La dame n’est guère sympathique, mais j’imagine qu’ils pratiquent tous ce genre de clientélisme. Et je frémis en pensant à la façon dont notre « cher » président et sa nouvelle acquisition doivent le pratiquer. Allez, votez bien et tous mes encouragements à la Télé Libre, une bouffée d’air pur dans la pollution intellectuelle qui nous entoure.
    Une presque quinqua qui n’a plus la télé (elle est en panne!!)

  27. Bravo monsieur John Paul Lepers pour ce documentaire très interressant, on dirait presque du Pierre Carles…..
    « Allo Pierre Carles, Zero a l’appareil » vous y étiez non ?

  28. En lisant le langage non verbal, je remarque que JPL n’est pas du tout au garde à vous comme le sont habituellement les interlocuteurs de madâme . Il n’a pas la posture adaptée, ce qui semble troubler la dame au point de la faire reculer bras croisés (un signe de protection) .

  29. bonjour et bravo,
    Vraiment un super film que j’avais hâte de découvrir dans son intégralité. Les trois questions, quel grand moment. Ceci dit, je n’aurai pas aimé être à votre place, c’est qu’elle vous fait froid dans le dos la bougresse. Bras croisés en position de défense.
    A la question sur le plaçou, elle dit ne pas savoir ce que cela veut dire mais par contre elle sait que c’est du patois! Le plat sou (par exemple) aurais pu être un plat régional ou Leplat saoul un élu de l’opposition bourré.

  30. Bien joué Nonolimit !!

    le place où ? page 10 du Kamasoutra !!!

    On ose imaginer Madâââme parlant « patois »… la langue des domestiques !

  31. Chapeau!!!!!!!!!!!!!
    Il faut beaucoup de courage pour traiter un sujet pareil…
    Félicitations et merci!!!!!!!

  32. Il est trop fort JP ! Il retrouve Jean-Claude Méry qui est bien vivant et se cache là l’on n’aurait pas idée d’aller le chercher : en Corrèze sous le pseudo de Gérard Merle.

    A part ça, on voit bien que Madâme a plus été élevée à la langue de bois qu’à la tête de veau…

    Merci LTL.

  33. Félicitations à John Paul Lepers et aux autre journalistes concernés qui font encore leur métier honnêtement et lui redonne ainsi les lettres de noblesse du contre-pouvoir que les artistes ont, eux de leur côté, bradé à la vie moletonnée des écrans-glaucome.

    Le pouvoir est une gangrène et la France est au moins première dans ce système de baronnie empilée dans tous les strates du pouvoir administratif.

    Peut être qu’un jour, ils s’apercevront qu’ils ont participé à étouffer tout doucement le pays en le baillonnant ainsi.

  34. Bravo pour votre acharnement à vouloir coute que coute être libre de faire votre métier. Vous n’êtes malheureusement plus très nombreux à pouvoir-vouloir le faire librement et sans concession envers ce genre de personnage qui se croit au-dessus de tout et de tous.
    Merci de continuer et de garder votre sens critique, en espérant que toutes ces petites graines finissent par germer et que le journalisme redevienne ce qu’il aurait dû rester.
    Courage pour la suite.

  35. Pourquoi ne voit-on rien de la salle des casseroles au musée Chirac ? Verrouillée par Bernadette qui en a jeté les clefs dans le plan d’eau peut-être ?

  36. Une expérience rigolote :-) :

    Sur http://www.geoportail.fr/ cliquez sur « VOIR » puis « Afficher en 2D ».
    Cliquez sur « Lieux remarquables » à côté de « Mes lieux favoris »
    Choisissez « Châteaux », puis « Château de Bity ». Passez en affichage au 1/2000ème dans « Outils » et parcourez la carte en cliquant/glissant votre souris. Vous découvrirez que le château de Bity est « flouté » alors que la zone alentour est très nette !!! Privilège assez étonnant pour une demeure privée/résidence secondaire, non ???

  37. « Objectif, pas méchant et critique » Pas sûr.
    À personnage aux atours méchants, critique de celui-ci méchante. Car pas l’air commode l’ex-bibelot de l’Élysée.

    Sinon, partie de l’inauguration du centre des Hauts-de-Seine, faute de narration: elle ne met pas « les mains dans le cambouis », sinon elle poserai elle-même les tissus et peignerait de son pinceau les murs. Car c’est une précision de son « caractère » que vous recherchez: donc elle veut avoir contrôle sur tout et imposer ses vues à tous. Les « mains dans le cambouis », même ironique, est un peu trop gentil (s’il on a de la considération pour le travail ouvrier des bâtisseurs)
    Et pour être « objectif » dans cette séquence, il eut fallut dire en plus que, bien que la faible somme qu’elle donne, elle apporte un soutient médiatique non négligeable. Question: est-ce elle et son assoce qui ont eu l’idée de ce centre?

    ps: N’avons-nous pas l’impression que les gens qui ont des verres fumés à leur lunette ont tous ce caractère.
    ps2: biz à Quentin
    ps3: Merci la Tele Libre.

  38. 2 choses : Il est certain que Mâdame se prend pour la reine d’Angleterre. Dommage qu’il n’est pas été dit que Chirac ne la marié que pour son argent. Plus, que sa famille l’a fait revenir des usa alors qu’il venait de se fiancer a une belle américaine. Qu’il ne la mariée que pour la dote qu’elle lui apportait. Par la suite, le chaud lapin, n’a fait que la tromper. Terrible destinée pour la dite reine. La névrose s’impose! Cependant : (2eme chose) il ne fait aucun doute que John paul ne procède que par malveillance. La preuve, c’est qu’en face à face il est nul, ne pose pas les vrais questions, fait un lapsus entre religion et clientelisme qui en dit long. Trop de karl zero, démagogue qui, soi disant porté par le désir de dire la vérité, se laisse piéger par le premier des taré. Paix à vos âmes méssieurs! Et vive la télé!

  39. Madâme ou une autre personne, peu importe ! En fait, elle est l’archétype des tenants du libéralisme : Utilisation de l’état pour l’intérêt personnel (le bureau de poste, surveillance du château), Le mépris envers les petites gens (la France d’en bas), le dénie de démocratie (clientélisme), la démagogie racoleuse (les pièces jaunes) etc…
    La france a voté (?) pour des gens comme ça, Ce qui me console c’est qu’ils arrivent même à se bouffer entre eux. Serait-ce notre seul espoir ?

  40. Bravo JPL,il faut reconnaître qu’elle fait tout ce qu’elle peut pour te décourager.Il n’est point aisé de faire un reportage à décharge contre cette femme haut-placée et usant du pouvoir présidentiel pour assoir une crainte voire une peur de représailles ce qu’utilise aussi Sarkozy (il a été à bonne école avec Chirac!).Le film ne donne pas tout à fait le résultat escompté car le sujet est toujours fuyant obligeant JPL à une traque qui finit dans une impasse, (elle lui pourrit l’entrevue!).Mais cela en dit long sur cette verrue qu’est le clientélisme et les magouilles de tous ces gens au pouvoir,même au plus bas niveau ça existe!La scène de l’inauguration est édifiante avec cette élue représentant le conseil général (qui a donné largement plus) sans cesse repoussée au second plan et ce regard plein de mépris que la Bernadette lui lance,c’est honteux! Quelle bourgeoise! Pour qui se prend-elle? Douillet qui a l’oeil a bien vu les 3 tonnes de pièces, quel charlot celui-là aussi!

  41. Normal que je ne puisse visionner aucune des trois videos?
    S’affiche le message « data load fails » avec une grosse croix rouge…

  42. Merci pour le reportage.
    Pour Mobensim et Thierry, je trouve dommage que le cliché de « la femme froide parce mal-baisée » ressorte dans l’analyse- On peut aussi mettre cela sur le compte de son éducation, ou du système de monarchie républicaine à la française. Madame Chirac est sans doute seulement un vestige de la société d’ordre. Un homme aurait eu le même comportement, l’auriez vous accusé d’être trop ami avec sa main?

  43. Pendant 14 ans la rue de Bièvre à Paris a été interdite à la circulation car c’est là que se trouve l’hôtel particulier des Mitterand. Ca fait partie des mesures de sécurité normales pour un président . Imaginez que faute de surveillance des terroristes aient attaqué Bity.. c’était un moyen de faire pression sur le chef de l’état français.. donc ça ça me parait normal… pour le reste, Madame Chirac à l’évidence n’aime pas que l’on lui pose des questions… est elle la seule?

  44. Moi je la trouve très bien cette Madame finalement. Sa tête n’aurait pas dépareiller aux côtés des autres en 1789, là haut, tout en haut d’une pique…

    En gros, encore la preuve que nos aïeux ont vraiment fais le boulot qu’à moitié et qu’on a beau jeu de se gonfler les cocos à propos d’un pauvre petit acte manqué tout les 14 juillet qu’le bon dieu fait.

    Sinon, bon divertissement, y’a pas, c’est un sacré déconneuse notre Bernie nationale. Rien à voir avec son croque mort de mari !

    La bise

  45. Le Foutebôl par G-Zeter – juillet 2006 – Coupe du monde – Dans « Praxie »

    Le Foutebôl est une déviance ludicielle et sociétale vraisemblablement très ancienne, remontant aux origines de l’humanité. C’est Adam et Eve qui disputèrent la première partie recensée (championnat de la Genèse) avec une pomme car Adidas en grève ne pu fournir le ballon. Les choses se gâtèrent rapidement : Eve perdant à la mi-temps, bouffa la pomme pour interrompre le jeu et faisant diversion, se jeta avec concupiscence aux … d’Adam qui la forniqua faute de pouvoir continuer à jouer. Le Bon Dieu qui s’était déplacé pour assister à la rencontre se fâcha tout rouge et les vira en beuglant remboursez ! Tandis qu’Adam achevait de vider les siennes.
    Le Foutebôl tomba alors en désuétude, favorisant à contrario les activités reproductrices d’Adam et d’Eve, puis de leur descendance et de la descendance de leur descendance et ainsi de suite jusqu’à ce qu’un petit merdeux névropathe de la énième génération décidât de faire autre chose que de copuler.
    C’était un petit gars malingre au caractère teigneux manifestant un vrai talent pour expliciter toute la hargne de sa complexion en frappant du pied tout ce qui traînait à terre. Ses petits camarades ne l’aimaient guère car ils redoutaient d’être la cible de ses tirs pédestro-sismiques et ainsi pour s’en défendre retournaient-ils à l’envoyeur de la même manière un bol ; ainsi l’avaient-ils surnommé « fou du bol » (bol désignant la boîte crânienne et par extension ce qu’elle contenait). Ca faisait des bagarres auxquelles tout ce petit monde finissait par prendre un malin plaisir. Tant et si bien que l’éthos (les règles) furent établies…

    Le Foutebôl et son climax lexical

    Ne me demandez pas pourquoi ça devint « football » (prononcez « foutebôl ») ce qui signifie, mot à mot, « pied balle ». Il est vrai que « pied balle » ne veut rien dire. Vous trouverez dans votre dictionnaire les mots, pied-à-terre, pied-de-biche, pied de nez, piédestal, piété, pietà, piétaille, piéton, piézo-électrique, même si vous êtes créatif, piedo-laryngologiste et etc., mais jamais « pied balle ».
    Comme en tout art mutatif – Foutebôl – Football deux principiels s’imposent : primo, l’anglicisme « football » aurait du être « shoesball » (chaussures balle), car on ne joue pieds nus, ou sinon ça devient du « va nu pied balle » et alors là le « barefootball » devient aussi inepte en sa sémantique qu’un sujet de thèse concernant le port des brettelles chez les reptiliens. Deuxio, ce vocable est un méli-mélo salmigondis, ou un gargouillis de verbiage qui ressemble à de la mangeaille qui hésiterait entre pudding et porridge (avec l’impression de mâcher une patate chaude lorsque vous le prononcez… Foooooottttebôlllll).

    Le Foutebôl – Un Syncrétisme
    La confusion, commencée dans le rapport du signifiant au signifié, continue dans l’idée que se font les protagonistes d’une partie de « pied balle ». Quand une équipe perd, elle considère qu’elle a gagné parce que sa défaite n’est pas aussi lourde que ce qu’elle avait prévu; quand une équipe gagne, elle estime qu’elle a perdu puisque sa victoire n’est pas assez éclatante à son goût; quand la partie est nulle (dans toute sa vérité), soit les équipes pensent avoir gagné parce qu’elles n’ont pas perdu, soit l’inverse ou son opposé d’ailleurs. N’essayez pas de comprendre, encore moins d’expliquer que ce sport subtil remplit une fonction esthétique particulière dans le continuum onirico spéculatif, vous gâcheriez votre vitalité et votre effervescence intellectuelle…
    La prolifération « lapinesque » des compétitions et leurs organisations ubuesco-kafkaïennes constituent l’un des effets les plus visibles de cette confusion : on recense des équipes : bambines – (babouines), poussins – (poussas), juniors – (jus ni hors), espoirs – (es ce poire ?), seniors – (ce ni hors), gérontes, amateurs, semi amateurs, semi professionnelles, professionnelles, de ligue, départementales, interdépartementales, régionales, interrégionales, nationales, d’honneur( ?), de troisième, de deuxième, de premières divisions. Un bocson redoutable en comparaison duquel le code général des impôts ressemblerait à une paisible leçon de guitare sommairement donnée par un Ouzbek larmoyant en rupture de banc sur fond d’extermination des thons en mer d’Aral.
    Pour les compétitions (les « compètes » dixit les initiés), cela relève du délire maniaco-dépressif suraigu : pour toutes les catégories d’équipes décrites plus haut, on prévoit des matchs amicaux (ce qui peut laisser penser qu’il existe également des matchs inamicaux, voire franchement hostiles, voir meurtriers), des coupes, des championnats, des championnats de championnats, des coupes de coupes, des championnats de coupes et des coupes de championnats, continentaux, intercontinentaux, mondiaux, et peut-être bientôt interplanétaires et galactiques. Trouvez le nombre de combinaisons possibles et vous obtiendrez la distance de la Terre à l’Alpha du Centaure en divisant par PI 3,14. Une inflation vertigineuse qui relègue l’œuvre de Proust à un aimable SMS en Javanais ou Serbo-Bolivien. Tant et si bien qu’à la fin, tout le monde peut gagner, mais personne ne peut gagner : si tout le monde est gagnant, personne n’est gagnant, donc tout le monde est perdant, et si tout le monde est perdant, en vérité personne n’a perdu, puisque la défaite suppose nécessairement la victoire et inversement, et ainsi de suite jusqu’à toujours. J’ai d’ailleurs personnellement observé que le jargon du jeu de « pied balle » révélait des refoulements – aussi notoires que caractérisés – des activités qui font la joie et le bonheur de tout être humain normalement constitué. Ainsi des expressions telles que « c’est la séance des tirs au but » peuvent être contre pétrées en « c’est la séance des bites au rut », ou bien encore « le coup atteint son but » en « le bout atteint son cul ».

    Le Foutebôl – Ecole de création autistique

    Comme on le voit, le jeu de « pied balle » crée et entretient des aberrations langagières et sociales qui se nourrissent mutuellement les unes des autres en donnant corps à un système hyper structuré et bouffi de lui-même, dont la finalité ultime est, tel un trou noir ou un siphon de lavabo, d’engloutir les individus qui s’en approchent ou subséquemment d’observer les dégradantes contorsions manchotes d’hordes encaleçonnées sudoripares qui se disputent sur gazon l’honneur minuscule d’être champions de « pied balle ». Je dois dire que l’entéléchie n’est pas de mise car comment pourrait percevoir l’esthète de base une beauté infinie dans ces trottinements patauds de vingt-deux velus qui poussent des balles comme on pousse un étron, en ahanant des râles vulgaires de boeufs éteints. Quel basibouzouck en rut oserait manifester publiquement sa libido en s’enlaçant frénétiquement comme ils le font par paquets de huit, à grands coups de pattes grasses et mouillées, en ululant des gutturalités simiesques à choquer un chanoine pédophile.
    Comme disait Pierre Desproges « Voilà bien la différence entre le singe et le footballeur. Le premier a trop de mains ou pas assez de pieds pour s’abaisser à jouer au football. »

    Le Foutebôl et l’effet Saussurien

    Une chose est sure, c’est que les jours de « grandes rencontres », là où les arsouilles du jeu de « pied balle » et autres, gouapes et frapadingues en tous genres vibrez aux stades ou éclusez maintes cervoises dans des estaminets en tout genre sentant les déjections aléatoires ; Moi, je recherche la compagnie des femmes. Y compris celle des vôtres que je ne rechigne pas à culbuter en un corner suave sur deux centimètre de gazon, dru et illustrant mon génotexte…Ainsi, les ultiniums de ma psyché parviennent à coopter un acte parcellaire pour l’ultimisation de mon habitus ; en clair, je transfère mes aptitudes vers des cieux oblatifs… Et, de source se recréait la première mi-temps entre Adam et Eve… La vie est un cycle rond avec des idées courbes, tel un ballon de foutebôl !
    08/2007/G ZETER/PRESS

  46. La troisième partie semble incomplète… dommage, car nous aurions aimé connaître la suite de ce portrait… édifiant.

  47. Il serai bon de se réveiller et de comprendre, de la facilité que quelques uns ont de contrôler les masses.
    Madâme,( mais aussi tous ceux qui lui ressemblent )tout ce qu’elle a à faire(..’ils ont à faire) est de dicter les normes de sa,leur, société idéale; ce qui est jugé; vrai et faux, moral et immoral, bon et mauvais, sain et malsain, possible et impossible.., ainsi elle et ils, construisent une zone de « tranquillité » tous ceux qui vivent dans cette zone de tranquillité sont considérés comme acceptables et conformes.

    Ceux qui s’en éloignent sont pourchassés, car le système a crée une population entière de geôliers qui se ruent sur ceux qui sortent de la norme. En créant ces normes, ce système a également crée, une armée absolue,qui s’impose les normes les uns aux autres.
    Sans haine et sans violence Je refuse qu’on dénie mon droit de savoir et de décider ce qui est bon mauvais bien mal possible impossible vrai faux sain malsain juste injuste …et de la couleur que je veux donner à ma vie.