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SÉGOLÈNE, LE PEINTRE ET LES FAUX ELECTEURS

Publié le | par

LES DOCS

« Ségolène, le peintre et les faux électeurs » a été réalisé en avril 2006 à un moment où Ségolène Royal n’était pas encore candidate à l’élection présidentielle.

Le film retrace l’histoire de la performance de Marc Molk (www.molk.fr), réalisée à la Maison des Arts de Malakoff, à partir d’un grand tableau de Ségolène Royal, exposé et parodié dans le cadre d’une exposition sur l’art et la politique. Le film met en lumière le poids des médias dans l’apparition du phénomène Ségolène Royal. Il a été projeté lors de la prochaine Nuit Blanche, le 6 octobre 2007 à la Mairie du IVième arrondissement de Paris, dans le cadre du thème choisi par le maître d’oeuvre Métazone TV (www.metazonetv.org) : « ICONOCLASTES, casseurs d’images ».

Réalisateur et journaliste, Fred Hilgemann
([email protected]) parcourt le monde pour ledécrypter. Son dernier film, « Bain de Bahia », a été diffusé en avril 2007 au Festival du Film Panafricain de Cannes. Son prochain livre, « Le Tatarstan, pays des musulmans de Russie », paraît en octobre 2007 aux
éditions Autrement. Depuis 2006, Fred Hilgemann s’est particulièrement intéressé à la fabrication d’icônes médiatiques dans le cadre de l’élection présidentielle
française. Après « Ségolène, le peintre et les faux électeurs », il a suivi pendant six mois la campagne d’Olivier Besancenot dont il a tiré un film documentaire, « L’Epreuve des urnes » (production Les Films Grain De Sable, diffusion à venir sur la chaîne Toute l’Histoire).

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Les commentaires (14)

  1. pourquoi la télé libre tape aussi méchamment sur ségolène royale?
    elle ne ce démarque pas de ces journaleux à la botte du pouvoir.

  2. le reportage n’est pas à charge contre ségolène royal
    n’oublions pas que, jusqu’à sa désignation par le ps comme candidate, le « phénomène » ségolène royal était encensé par les médias, ce qui lui a beaucoup servi pour s’imposer
    si les médias « tapent » sur elle depuis des mois, n’est-ce pas dû avant tout à sa campagne et à la guerre interne au ps où les leaders se déchirent, avides d’occuper le territoire d’une gauche laminée ?
    comme quoi, les médias ne suffisent pas à expliquer la popularité ou le rejet d’une personnalité

  3. J’ai beaucoup aimé ce reportage « iconoclaste ».(J’aime l’art contemporain ).En effet ,ce n’est pas anti Royal.Cette oeuvre artistique montre à quel point cette femme hante les imaginaires.
    Car enfin,il est intéressant de noter que se film est porté maintenant à notre connaissance.
    Alors qu’elle subit une véritable lapidation médiatique depuis son élection interne.

  4. Ce reportage est intéressant car il montre pourquoi ségolène Royal a pu conquérir les militants socialistes. Et c’est très bien dit dans le film. L’auteur dit  » les citoyens aspirent à une plus grande reconnnaissance d ela démocratie directe (participative) tout en renforçant la démocratie représentative, il y aune vraie aspiration à être pris en compte ». Et bien il a raison. Et ségolène Royal a conquis les militants sur ces deux concepts clairement établis que sont la démocratie participative et l’ordre juste. Ensuite les médias n’ont pu que s’intéresser à ce phénoméne Royal. Les médias ne l’ont pas glorifié avant puisqu’il n’y avait personne à Privas en mars 2006 par exemple. Pourtant sa popularité était déjà telle que la salle n’avait jamais accueillie autant de monde pour un meeting politique. Que ceux qui croient que ce sont les médias qui l’ont lancé se fourvoient profondément. Il y a, toujours, une vraie attente de sa vision politique de l’avenir.

  5. Désolé mais j’ai pas aimé le reportage : trop long, le message je l’ai pas compris, et aujourd’hui que la dictature menace, je n’ai pas envie de sourire à propos de la démocratie et des élections. En plus je trouve que le portrait n’est pas terrible, ce coté lavis de l’acrylique me déplait. Le happening est très moyen : cette petite moustache n’a aucune mesure avec le LHOOQ de Duchamp… Au passage je signale à l’artiste que je me permets de critiquer, parceque moi aussi j’ai fait des portraits de ségolène, un valorisant et un plus négatif… pour faire bonne mesure.

  6. Excellent! Vue dans le contexte chronologique de l’élection présidentielle, cette performance est vraiment de l’art parce qu’elle dévoile le réel grâce à l’imaginaire. J’ai vu d’autres oeuvres de Marc Molk sur son site. Il est aussi écrivain, ce qui ne m’étonne pas.

  7. Je voulais simplement reagir aux remarques de certains internautes disant que les medias sont a la botte du pouvoir …

    Vous avez decidemment la memoire courte vous les gauchistes !

    Au temps ou c’etais la gauche qui tenais les manettes du pays, les journalistes lechais surement plus le c… a hollande ou dray qu’a chirac !!

  8. Cedric, évite de t’onaniser sur ta carte de l’UMP en public… Même s’il est vrai qu’en ce moment ça peut te permettre de passer au 20H.
    Bonne grève à tous, moi je télétravaille.

  9. c’était quoi déjà la question ??? il a passé tellement de temps sur « l’état » de grace du peintre arrivé enfin à son tableau (qu’il à décalqué !) désolé je n’ai pas aimé non plus .. Voulez-vous découvrir l’homme politique qui sommeille en SR ?? en fait ce n’est même pas que je n’ai pas aimé, je ne vois pas en quoi il fait avancer le débat par son oui-non ?? d’autant plus qu’il dit lui-même ne pas s’interresser au programme ! et puis on peut parler d’icone d’un coté, et d’idole de l’autre aussi … le fait est que 5 mois après l’élection, on se rend compte que le parlement existe bien bon an mal an et j’espère gagnera démocratiquement un renversement d’idole !

  10. je trouve interessant dans ce film de montrer le décalage qu’il peut y avoir entre l’exploitation par les médias traditionnels (télés, journaux écrits et radios ) d’une personnalité, en l’occurence politique, et l’exploitation de la même personne par un artiste utilisant des éléments artificiels avec l’éclairage de la dérision, jusqu’à l’absurde. Ce film ne serait ‘il pas une démonstration menant à cette conclusion .Quels que soient les politiques – avec ou sans moustache – qui mènent la France, (le seul pays qui se trouve bien les pieds dans la merde, et comme le coq, continue à chanter … ) le résultat reste identique :  » ça n’avance guère «