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TÉLÉMATHON #5

Publié le | par

LaTéléLibre était présente, en juin, au Salon de la Télévision (Occupée?!) au parc des expositions, Porte de Versailles à Paris.

A tous les visiteurs du salon, connus (ici Frigide Barjot, Basile de Koch, Jean-Marc Morandini) ou inconnus, nous leur avions proposé de répondre à 2 questions: “La télé que vous voulez, et celle dont vous ne voulez pas?”

Nous profitons de la trêve estivale pour diffuser la suite de ce Télémathon. D’autres épisodes à suivre…

Voir le Télémathon # 1
Télémathon # 2
Télémathon # 3

Télémathon #4

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Les commentaires (6)

  1. Je voudrais que toute la france ait accès aux inombrables chaînes auxquelles j’ai accès. Dès que l’on va dans la france profonde, on a TF1, A 2, FR3, M6, arte dans le meilleur des cas.
    Et l’on cherche comment se fabrique l’opinion, les rumeurs etc….

  2. Bienvenu en Démagocratie.

    Denis Robert, Pierre Carles, Placid, La Rumeur, les caricatures de Mahomet, Paris-Match, Elle,le Journal Du Dimanche…Autant d’exemples de censure avérées,économiques ou religieuses pour certaines, politiques et médiatiques pour d’autre, qui ont rythmé l’actualité cette année, qui d’un point de vue professionnel ou citoyen reste symptomatique d’un malaise.

    Souvent noyé dans un flot d’informations, voir même ignoré par la presse et la télé, et à raison, celles-ci remettant en cause le principe même de liberté d’expression à travers les mass-médias, ces pratiques d’un autre temps annoncent la couleur pour les prochaines années à venir.

    Si le phénomène n’est pas nouveau, et qu’il serait aujourd’hui hypocrite de s’en étonner, et même naïfs d’ y voir un nouvel ordre mondial, il faut bien admettre que la censure, déjà confortablement installé, n’avait plus été aussi virulente depuis longtemps.

    Mais là ou elle est novatrice et donc plus efficace et dangereuse, c’est qu’elle fait désormais parti de notre paysage médiatique, entre autre parce que lorsqu’elle sévit, l’information n’est pas, ou peu relayé, mais aussi parce qu’elle a sut se diversifier à travers ses modes de diffusion, et donc devenir une chose entendue, voir une conséquence normale des fruits d’une collaboration entre un journaliste et son rédacteur en chef, ou d’un auteur et son employeur .

    Outre la presse, qui ,en premiére ligne, subit les influences des relations politico-médiatiques entre, les trois plus gros armateurs Français, propriétaires de 60% de nos médias en France, et le gouvernement, une presse dont la qualité de leurs investigations reste dépendante des sauts d’humeur, ou des intérêts d’un ministre , force est de constater que l’on assiste également à une censure économique, beaucoup plus insidieuse, celle ci se caractérisant par un refus de publier une information, d’éditer un ouvrage, ou de diffuser une oeuvre artistique, sur des critéres , non plus éditoriales, mais économiques.

    « Vendeur-pas vendeur », est devenu le nouveau credo des industriels bien-pensant , qu’un semblant d’esprit un tant soit peu contestataire, a l’étrange particularité de provoquer chez eux , des veilités de censeur, garant d’une éthique morale.

    La nomination à la tête de TF1 d’un des plus proches collaborateurs de Sarkozy durant sa campagne, reste somme toute assez logique.

    Ainsi, face à la détermination de ces nouveaux chevaliers blancs, on subit une hégémonisation culturelle, appuyé par une promotion publicitaire propagandiste, diffusé par une presse consentante, qui quant elle ne porte pas au nues notre bien-aimé président, nous vomit son concentré d’information populiste et sa conception de ce que se doit d’être un produit culturel à la hauteur des aspirations conservatrices de leurs investisseurs.

    Non content de bénéficier d’un pouvoir de décision sur notre paysage culturel, et de se prévaloir d’ une réelle influence sur l’information, et ainsi relayer leurs thèses propagandistes, mais aussi justifier leurs discours sécuritaires, le gouvernement , à travers la mise en scène théâtrale du moindre faits et gestes de leur gourou-en-chef, à également à sa disposition une formidable machine de guerre pour s’assurer une campagne pro-gouvernementale à peu de frais.

    Ironie du sort, pour contrer cette culture de la désinformation, la presse- encore- indépendante n’a eu, au fil du temps, d’autres choix que de se plier aux règles, édictées par ceux là même qu’ils dénoncent et d’avoir alors recours aux mêmes stratagèmes commerciaux pour tenter de survivre, car soumis aux mêmes impératifs financiers que leurs, désormais, « concurrents », à tel point qu’il est parfois aujourd’hui, difficile de faire la différence entre un discours démagogique de droite, et une prise de position de gauche, passé au tamis de la pensée unique.

    Bien sûr, cela favorise l’émergence d’un nouveau courant protestataire, et à même fait naître chez certains une vocation de révolutionnaire refoulée, soit motivé par une réelle conviction, soit par l’aspect (déjà) vendeur du concept.

    Mais nous restons malgré tout, les otages d’une surméditisation massive, qui a pour conséquence d’obliger les médias alternatifs et indépendants à se cantonner à faire de la contre-information, ou bien à décrypter les messages codés, distillés dans notre imagerie culturelle, reléguant ainsi l’analyse et l’argumentation idéologique au rang de raisonnement susceptible d’étayer une thèse anti-propagandiste, quant ils ne se pose pas en donneur de leçon moralistes, ou encore, avec une volonté clairement affichée d’en découdre avec ceux qui auraient l’imprudence de vouloir butiner sur leurs plates- bandes contestataires.

    …et de vouloir prouver être « celui qui pissera le plus à gauche ».

    Ainsi, La télé-Libre, qui à mon sens n’a pas vocation à faire de l’information au même titre qu’un quotidien, ou un JT, a sut trouver un angle inedit pour aborder l’actualité, celui du citoyen.

  3. Edit:
    J’ai oublié de citer la supression d’Arret sur Image (et de la Bande à Bonneaud.)
    Et lorsque que la chaine a declaré qu’il y aurait une nouvelle emission de « decryptage »à la place d’ASI, n’est-ce pas là l’aveu direct que l’information télévisée d’aujourd’hui necessite un « decryptage »?Comme si il s’agissait d’une conséquence normale des aléas du journalisme.

    Donc la télé qu’on ne veut plus, c’est celle qui parle d’elle même, celle qui s’auto censure, s’auto flagelle, qui se complait dans l’auto congratulation, qui estime se suffire à elle même, et en oublie sa fonction premiére, celle d’informer, et de divertir intelligement.
    Celle qu’on veut, il faut aller la chercher car elle s’est réfugié sur internet.

  4. La télé ne nuit que si l’on s’en sert… Bien sur toutes sortes de pressions nous inclinent à la regarder, parfois trop… Et cela m’arrive aussi.
    En fin de compte elle n’est éventuellement dangereuse que si elle est allumée. Ca veut dire que l’on quand même un peu de libre-arbitre de l’allumer. Alors une fois allumée, c’est souvent trop tard…
    Peut on agir sur les programmes ?… par exemple, on gueule, on zappe sur toutes les chaines pour éviter les pubs entre 20 h 30 et 21 h 00. Mais la pub continue… Et on pense qu’on y peut rien.
    Par exemple, si on lancait une petition pour éteindre la téle entre 20 h 30 et 21 h 00, alors là, si des millions de français faisaient cela, je suis sûr qu’à terme, le début des informations et du film du soir changeraient…
    Donc, pas beaucoup de pouvoir pour la faire changer, sauf si on décide collectivement d’en avoir…
    dis moi JP, que dis tu de cette pétition pour arreter toutes ces pubs entre 20 h 30 et 21 h 00 , et de l’éteindre si à telle date, cela n’est pas pris en compte?….
    Eric30

  5. Je veux une télé sans publicité, une télé plurielle et sans censure, une télé qui arrête de prendre ses téléspectateurs pour des cons! Merci