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C’est Ça L’Amour? [Road-Doc]

Publié le | par

ROAD-DOCS : LATÉLÉLIBRE-FRANCE 4

Le sexe est partout, dans les pubs, à la télé, sur Internet. Même soeur Emmanuelle, dans ses mémoires posthumes avouait qu’elle avait une vie sexuelle, elle pratiquait tout simplement la masturbation.

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Le sexe est sur toutes les lèvres mais l’amour reste toujours un mystère, et c’est tant mieux ! A bord de leur camping car, de Paris à Amsterdam, John Paul Lepers et son équipe partent à la rencontre des jeunes européens pour comprendre comment ils vivent l’Amour en 2009.

Les diffusions sur France 4

Mardi 23 juin à 20h35

Dimanche 28 juin à 13h30

Samedi 04 juillet à 17h05

A Paris, au “café de l’amour”, il y a ceux qui cherchent l’âme sœur sur Internet, et les autres qui y trouvent de quoi “consommer” pour une nuit. Avec les prêtres de l’église Saint Louis d’Antin, ils abordent sans honte la question du plaisir solitaire. Chez les ch’tis, ils assistent à une réunion de jeunes femmes qui espèrent pimenter leur vie de couple avec des jouets coquins.  A Lille, ils retrouvent des rappeurs musulmans qui truffent leurs chansons de gros mots, mais qui sont d’une extrême discrétion sur leur vie sexuelle. En Belgique, ils font la fête avec des étudiants du campus de Louvain-la-Neuve particulièrement libres dans leurs relations. A Bruxelles, ils visitent les “chambres d’amour” de la prison, puis interrogent les assistants des parlementaires européens pour savoir quels sont les meilleurs amants des 27 pays de l’Union. Une prostituée évoque la dignité revendiquée par les travailleurs du sexe. A Amsterdam, ils rencontrent des étudiantes Erasmus qui leur parle de fidélité. Avec tous, ils abordent sans complaisance racoleuse, mais aussi sans complexes, les thèmes du désir, du plaisir et de l’amour qui nous occupent tous quelque part dans nos têtes, nos cœurs et nos corps.

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voir une séquence inédite:

Naissance du syndicats du travail sexuel, le STRAS

C’est ça l’amour ?

france-4

Documentaire inédit John Paul Lepers et Jérôme Mignard
Montage: Smaïn Belhadj
France • (2009)• 52′•

Production ON Y VA! media avec la collaboration de France 4

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Les commentaires (64)

  1. Je me souviens du tournage, quand l’équipe a débarqué dans le cercle à Louvain-la-Neuve, et les interviews. C’était génial! Et le résultat est vraiment bien!

  2. Vous avez bien du mérite d’avoir réussi à faire 52 mn sur un mythe religieux! Peut-être celui qui sert les pires obscurantismes en plus…
    Je regrette que la question de l’existence de l’amour n’ai même pas été posé une seule fois, quoique très vite, ce concept n’ayant aucun sens, vous êtes obligé de vous rabattre sur quelque chose de concret et d’existant à savoir le sexe, qui est une chose qui existe partout et de tout temps, contrairement à l’amour, apparu à mon avis en même temps que les croyances en dieu.
    A une certaine époque il n’était presque pas possible de créer quelque chose (peinture, vitraux, sculpture…) sans que cela parle de dieu, toute la culture et la société tournant autour de ça, il devenait quasiment impensable de douter de son existence. Maintenant on a dépassé ça, mais le mythe de l’amour reste encore, et c’est à lui qu’il faut rendre hommage dans toutes les oeuvres, à travers une propagande quasi-permanente.

    A voir:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur_Schopenhauer#L.E2.80.99illusion_amoureuse

    Une chanson que je trouve très juste à propos de l’amour:
    http://www.jiwa.fm/#track/1511311

  3. JPL,

    Quelle tristesse, une des références dans l’information d’investigation politique et social rentre dans le conformisme ambiant. Alors que des thèmes de société comme la dislocation familiale fait des ravages sur le devenir des enfants, alors que le chomage gonfle, alors que les grands principes de solidarité comme la sécurité sociale sont bousculé dans ses fondements, rien au niveau des médias. Dommage pour la télé libre, rentré dans la postérité par le respect et la pertinence n’est pas offert a tous.

  4. Aie! posute, t’appuies ou ça fait mal , à la liberté, quand on sait plus quoi en faire…(j’ajouterais le service public)

  5. Tiens en voilà de l’amour:

    L’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a donc rendu aujourd’hui un avis favorable à la culture dans l’UE du maïs OGM MON810 (mosanto), jusque-là interdit en France. Le communiqué officiel est sans ambiguïté……

  6. aujourd’hui:
    on s’aime à tous vents!

    Le téléphone portable dès 4 ans…

    « Les français peuvent maintenir leur confiance dans la qualité de l’eau du robinet »

    Déchets nucléaires: plus d’un million de m3 en 2007, le double en 2030

    Areva s’ouvre à des partenaires industriels et stratégiques

  7. Ne pas parler de l’amour rendrait les réalités que vous dénoncez (qu’on dénonce) plus insupportables encore…

    Si dans l’information des sujets comme celui-ci étaient plus souvent abordés, de manière participative, alors un autre d’état d’esprit émergerait…

  8. J’aime bien cette approche de « l’amour »… directe, mais sensible.
    Et la tendresse de J.Paul qui, lui, ne fait pas la différence entre l’amour et le sexe…ou si peu !
    Et pourtant !
    Le plus difficile, c’est bien de rencontrer à la fois, en même temps et avec la même personnes, l’un et l’autre !

    Quelques impressions :
    Je n’aime pas l’idée « d’entretenir » l’amour…comme un vieux meuble tartiné à la cire d’abeille…comme une relique à préserver à l’abri du courant d’air…

    Il y aurait beaucoup à dire sur ces religions qui mutilent la sexualité et qui prônent l’ Amour avec ce A majuscule qui fit de l’ombre à tant et tant de générations…
    (Moi qui ne fréquentent pas les curés, j’ai trouvé ceux là plutôt détendus…ou alors, c’est le montage ?)

    Ce qui émerge du reportage, c’est que l’amour fait encore peur…on le provoque, on le titille, mais ensuite, on l’escamote, on le contourne, on l’esquive, ou, à l’inverse on le balise, on l’encadre, on le « maîtrise »…
    On lui substitue des postures, des parades…on reste là aussi dans l’image, la représentation…

    On n’est pas si loin des problèmes que tu évoques, Franck Einstein…des postures, des parades…on vit et on agit comme on aime, non ?

  9. je trouves que ces pratiques du on sort un soir et basta, c’est quand même moche, on peut faire le lien direct avec la société de consommation, l’homme ou la femme mouchoir jetable …
    Il n’y a que très peu de projection personnelle et intellectuelle, tout ça n’est que très individualiste, et ça m’attriste.

  10. Ca-y-est ! J’ai pu enfin le voir en entier ! Et, j’assume mon parti-pris, comme je m’en doutais, c’était super !
    Un doc simple mais pas simpliste qui aborde quelques facettes de ce sentiment complexe qui fait marché le monde depuis la nuit des temps. Quelques facettes, car à mon sens l’Amour, celui qui s’écrit et se ressent avec un grand A, est encore bien plus compliqué, et existe sous bien d’autres formes que celles abordés ici.
    Mais bon ! Essayer de définir l’Amour en 52 mn, c’était une gageure dès le départ !
    Pour ce qui est des exemples abordés, j’avoue ma réticence quand aux pratiques estudiantines qui pour moi s’apparentent à un consumérisme sexuel plus qu’autre chose. Ces jeunes font mine de vivre leur sexualité (c’est bien) en oblitérant l’aspect sentimental des relations hommes-femmes (ou hommes-hommes ou femmes-femmes, voilà un aspect qui n’a pas été abordé !), alors qu’il est cependant présent.
    Cela relève plus du déni dû à la peur de l’engagement, de la mise en danger, plutôt que du libertinage assumé…

    Ensuite, je reste toujours aussi consterné devant l’approche religieuse de ce sentiment. Que ce soit du côté catholique, même si au demeurant ces deux prêtres m’ont l’air plutôt ouverts, ou du côté des musulmans qui se disent pratiquants. Comme si l’amour et le sexe étaient deux choses différentes et que l’une et l’autre pouvait se vivre indépendamment… Certes, c’est possible, mais à mon avis ceux qui décident de le faire seront profondément insatisfaits et donc malheureux. Il me reste, à écouter ses deux prêtres et ces rappeurs soi-disant chastes et purs, un sentiment d’hypocrisie et de pitié (oui j’ose, après tout j’ai le droit !).

    Enfin, j’applaudis des quatre mains aux sages parole de cette dame que l’on dit légère et qui de la hauteur que lui confère sa longue pratique des relations humaines a su comprendre bien plus que ces curés, ces imams, ou bien ces jeunes étudiants, ce qu’est l’amour.

    Pour terminer, je paraphraserais la conclusion de John-Paul :
    On ne peut bien aimer que si l’on s’aime bien.

    Merci John-Paul et encore bravo à tout l’équipe !

  11. « On ne peut bien aimer que si l’on s’aime bien.  »
    C’était pas un sujet de dissert en 1ère ça?

    Quant à la « dame légère » dans « la chevauchée fantastique » de 1937 c’était pas Dallas?

    3 pas en avant 2 pas en arrière…
    Putain on n’est pas sorti de l’auberge!

  12. Le titre du sujet et son traitement, soulèvent l’amalgame entre pratique et sentiment amoureux dans notre société. Il met en exergue une certaine dissociation entre ce qui s’apparente a l’amour physique, qui est plus proche du sentiment amoureux, et l’émotion que l’amour d’un être apporte. La pratique n’est qu’illusoire face a l’émotion en elle même.
    Quelque part, ce que j’ai pu voir dans ce documentaire, appuie mon regard assez pessimiste à propos de ma propre recherche d’amour dans ce monde. Notre société est très hédoniste et maniquéenne, et manque cruellement de recul et d’émotions.
    Bref, je me sens d’autant plus seul à chaque instant.

  13. Je ne comprends toujours pas pourquoi l’amour et la fidélité sont indissociables pour la majorité des gens… Quel est donc le rapport entre les deux ? Aimer, n’est-ce donc pas donner à l’autre ce qu’il lui manque pour se sentir bien sans pour autant l’étouffer ? Quelle plus belle preuve d’amour que de donner la liberté ? La liberté de vivre pleinement ses désirs, quels qu’ils soient, avec ou sans l’autre, à tord ou à raison.
    Les couples seraient bien plus solides, solidaires, et épanouis s’ils envisageaient les choses de cette manière je pense, mais cela ne reste que mon propre point de vue.

  14. La solitude, n’est-ce pas la particularité de notre siècle, ou la famille a volé en éclats, les drapeaux ont fait long feu, les départemnts et leur originalité ainsi que les pays et leur diversité ont été phagocytés même notre façon de penser est uniformisée, les lois et la foi sont dévoyées.

    Au final il reste une multitude d’individualités qui doivent chacunes, dans leur coin, se reconstruire , ENVERS et CONTRE TOUT, une ligne de conduite individuelle, une foi intime, un amour propre et une philosophie personnelle de recherche du bien, loin de toute « loi » ou « modèle » politiques, moraux, sociaux, éducatifs ou religieux qui désormais sont définitivement du côté du mal ou de l’inhumain, en tout cas.

    Peut-être qu’après tout le futur se construira après le chaos insurrectionnel, à partir de toute ces solitudes réunifiées autour d’ intimes convictions.

    « La foi est plus belle que Dieu » disait Nougarro et son « satané népal ».

  15. heu ! l’amour plus on en parle , moins on le fait…….!!
    quant à l’ Amour ,avec un Grand  » A « …….0n est prêt à mourir pour ses enfants…..son épouse,..sa maitresse ….. le grand  » A  » car plus tard, après des années , il devient Tendresse et Respect de l’ Autre ……..!!
    voilà ce que croit un papi, qui a beaucoup donné et encore plus reçu ……et la Tendresse est toujours là !!
    VASTE SUJET QUE CELUI-LA ,DANS UN MONDE DE MALHEUR ET D’ INJUSTICE !!!
    Merci , de rappeler qu’Il existe !

  16. et hop la une petite dernière!

    « Les députés ont adopté mardi soir la proposition de loi visant à réprimer la participation à une bande violente. »

    Les manifestants s’ils se rebiffent, sont-ils des « bandes violentes »?
    Les grévistes? les enfants de don quichotte? le DAL? les sans paiers? Les chomeurs fin de droit?……les insurgés?

  17. Lu sur Amour-anarchie (sentiments, sexe et liberé) – L’Asile utopique : « Dans le domaine de la sexualité, je ne connais que deux mots : amour et viol.Soit les gens s’aiment, et aiment ce qu’ils se font – ou aiment ce qu’ils se font sans nécessairement s’aimer ni très fort ni très longtemps – et on est dans le domaine de l’amour, soit l’un d’entre eux n’aime pas ce qu’on lui fait et on est dans le domaine du viol. Toute négation de l’autre, de sa liberté, de son désir, que ce soit par l’usage de la force, de la menace, de la nécessité, de la supériorité ou de la dépendance, qui aboutit à une relation sexuelle est un viol. Il y a viol si l’une des personnes n’aime pas ce qu’on lui fait, quel que soit le mode de coercition (physique, économique, psychique, légal – matrimonial – ou autre)

    Par contre, quand il y a amour tout est possible puisque les gens aiment ce qu’ils se font, quoi qu’ils fassent, et qu’il n’y a pas de perversion. Je ne dirai même pas que dans le domaine de l’amour toutes les sexualités sont possibles et respectables tout simplement parce qu’il n’y est en fait plus question d’hétérosexualité, de sodomie, d’ondinisme, d’homosexualité, de cunilinguisme, de masochisme, de gérontophilie, de congressisme, d’onanisme, de fellation, de travestisme, de satyriasisme… Il n’y a que la sexualité ; tout court, celle que les partenaires vivent à cet instant là parce que c’est celle-là qu’ils veulent vivre à cet instant. Ces mots ne sont plus alors que les catégories vides de sens des normateurs pour qui la sexualité ne relèvera jamais de la rencontre d’individus libres, de sentiments libres, de désirs libres. Mais la pédophilie fait-elle aussi partie de ces catégories vides de sens ?

    L’approche libertaire, c’est à dire l’approche en terme de respect de toute liberté, suffit. La sexualité de l’enfant appartient à l’enfant, ET C’EST TOUT. La sexualité de cette période de la vie est faite d’interrogations et de découvertes. Quand un adulte s’en mêle, c’est avec ces interrogations et ces découvertes réglées, et réglées à sa façon. Or une relation, et il s’agit bien sûr d’une relation d’amour (sinon on est bien évidemment dans le domaine du viol) ne peut se faire qu’une fois ces étapes franchies par chacun des partenaires. Tant qu’elles ne le sont pas, que ce soit à 15 ans, le lendemain ou la veille de la majorité édictée par la loi ou à 30 ans passés, il s’agit là encore d’un viol, qu’on l’appelle ou non pédophilie. Mais comment savoir que ces étapes sont franchies ? J’ai écrit une relation d’amour : aimer, c’est être attentif à l’autre et être anarchiste, c’est être attentif à la liberté, c’est à dire ne pas prendre ses propres désirs pour les désirs de l’autre ; dans la sexualité comme dans l’organisation sociale…

    Quand à utiliser les catégories normatives évoquées plus haut pour injurier, stigmatiser, marginaliser ou condamner, il faut vraiment avoir en tête l’ordre moral de la religion et de la société d’oppression pour voir une injure ou un vice – ou en tout cas un prétexte à exclure – dans un acte d’amour, quel qu’il soit. Jamais je ne dirai à un être que je déteste « va te faire… (au choix, selon le fantasme de chacun) ». Au contraire ! Qu’il s’étiole de désespoir dans la solitude définitive de son intimité à jamais désertées et qu’on me laisse souhaiter à ceux qui me sont sympathiques toutes les ressources de l’imagination pour exprimer leurs désirs et leur amour.

    La sexualité, c’est cet espace unique et magique où l’individu se réalise pleinement dans ce qu’il a de plus irréductiblement intime dans et par l’échange avec d’AUTRES uniques se réalisant eux-mêmes. Pas étonnant que cette magnifique rencontre entre l’individualisation absolue et le partage total de libertés pleinement autonomes effraie et indigne les prêtres, les magistrats et tous les suppôts de l’oppression. Pas étonnant non plus que ceux-ci reçoivent toujours la complicité directe ou indirecte des pisse-froid et des peine-à-jouir.

  18. AHAH! Libéro, t’as raté le post 6.

    Content de te relire, remets vite un peu de poésie dans ces posts de brutes.

  19. Peut-être que le goût de l’observation peu rendre plus poétique un échange; même par mail.
    °Texte: Amour-anarchie (sentiments, sexe et liberé)
    °Lu sur: L’Asile utopique : http://www.asile.org/errances/numero02/amour/anarchie.htm
    °Signé par:
    Jean, Marie-Hélène, Claude, Roselyne, Dominique, Floréal, Hugo…
    Malgré la signature plurielle, ce texte est rédigé au singulier car dans ce domaine plus qu’en aucun autre, chacun est absolument un individu particulier.
    Respect et
    Tendressssssssssssssss InfinIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII………………………..

  20. bien travaillé Monsieur JPL .!
    Les curés sont sympa,
    la dame de l’art est sage,
    les filles un peu moins nunuches ,c’est oui ou c’est non ; elles décident .
    les garçons … z’ont pas beaucoup changé .
    z’étaient déjà au top peut-être ?

    et la question demeure entière …c’est ça l’amour ?

  21. L’amour est puisé dans l’échange de la diversité détonante de la vie aujourd’hui restreint que prend le chemin de son retour à la puberté où peut être le pionnier Michael Jackson homme bulle aseptisé de l’éternité s’est éteint à prendre en vaccin…
    Ce que Jules Vernes à Matrix…

  22. POST 18 ….Natalia , tu ne serais pas un peu domino , toute en latex noir ???
    Sinon tu as son style !!! Une fille à connaitre , elle te plairait bien !!
    Moi, je l’aime bien , elle a de l’humour ……beaucoup d’humour et un sacré caractère !! Une Maitresse …quoi un tantinet S.M. !!
    Allez DOMINO , avoue !!

  23. Je ne sais pas Papi si c’est Domino, en tout cas natalia, je suis subjugué… ;D !!

    Ajouter quelque chose en devient prétentieux…

    Maaaiiiissss… une chose quand même !!

    Dans la sexualité entre l’adulte et l’enfant, il y a en plus la soumission à l’autorité, au pouvoir, et les dégâts psychologiques dévastateurs qu’induit ce rapport avec celui qui sait et manipule.

    A part ça, Mâdame, je vous tire ma révérence pour tant d’éloquence.

  24. LOL
    Sympa, ce reportage, mais non-achevé (des suites à lui donner)
    Bientôt les petites annonces « LaTéléLibre »? :-)

  25. Cazo,
    S’il te plait, voudrais tu relire cette partit, le texte parle d’Amour à travers la philosophie Libertaire/Anar, une pensé qui n’a AUCUN plaisir! avec Toute forme d’autorité sur l’autre.

    L’approche libertaire, c’est à dire l’approche en terme de respect de toute liberté, suffit. La sexualité de l’enfant appartient à l’enfant, ET C’EST TOUT. La sexualité de cette période de la vie est faite d’interrogations et de découvertes. Quand un adulte s’en mêle, c’est avec ces interrogations et ces découvertes réglées, et réglées à sa façon. Or une relation, et il s’agit bien sûr d’une relation d’amour (sinon on est bien évidemment dans le domaine du viol) ne peut se faire qu’une fois ces étapes franchies par chacun des partenaires. Tant qu’elles ne le sont pas, que ce soit à 15 ans, le lendemain ou la veille de la majorité édictée par la loi ou à 30 ans passés, il s’agit là encore d’un viol, qu’on l’appelle ou non pédophilie. Mais comment savoir que ces étapes sont franchies ? J’ai écrit une relation d’amour : aimer, c’est être attentif à l’autre et être anarchiste, c’est être attentif à la liberté, c’est à dire ne pas prendre ses propres désirs pour les désirs de l’autre ; dans la sexualité comme dans l’organisation sociale…

    pour précision ce texte est °Lu sur: L’Asile utopique : http://www.asile.org/errances/numero02/amour/anarchie.htm

    Respect et Tendresse Infini.

  26. :D olivia… ça serait marrant ça !!
    Gauchiste frustré cherche féministe adroite… ou
    Ex coco troque ski contre deux gaules…
    Le concours de l’annonce la plus tarte est lancé,
    le gagnant n’aura pas tout perdu !!

  27. Et pour ce qui est de l’adage « on ne peut bien aimer que si l’on s’aime bien »… c’est joli, mais désolé, pour moi, ce n’est ni vrai, ni faux, mais bien au contraire !! ;-) !

    Autant de gens que de définitions, l’essentiel est dans le consentement mutuel (ou plus si affinités) d’une définition commune ici et maintenant…

    Le chemin vers l’extase peut prendre bien des détours comme des raccourcis, dans un climat changeant, dans des paysages différents, qu’importe, du moment que l’itinéraire est communément choisi… et même si c’est pas le même !!

  28. Voilà la libido s’envole ……..je suis sur que c’est le retour de domino d’ailleurs où sont les démentis ou les protestations ?
    Caso , tu l’as implicitement reconnue pour être aussi  » heureux  » !
    qd même booooo tout ça !!

  29. Tu m’étonnes… libéro a l’art de la poésie, sa liberté… moi ça n’a que l’air de la poésie, sa suffisance ;-) !!

    @ natalia… j’avais bien compris et en particulier ce passage (je le croyais au moins!!) …

    Je crois que pour bien comprendre l’amour et la sexualité, il faut étendre sa curiosité à leurs diverses appréciations au cours de l’histoire et selon les cultures, y compris chez les autres primates. Bien plus instructif que tout bréviaire de la bonne pensée!!

  30. Super le témoignage de la belle dame à la belle âme…
    Je parle de la prostituée. Quelle belle audace d’avoir (presque) terminé le docu avec elle!! Bravo l’équipe!!
    Sinon, je suis étonnée de ne pas avoir eu à entendre les gens qui lutinent, alors que la Belgique est aussi « détabouisée » sur la question. D’autres appellent ça le « Polyamour », j’aime pas le terme, ça fait cancer…Lutinage, c’est plus joli…http://www.polyamour.be/ où l’on réapprend les mots de l’amour. Fidélité par exemple qui veut dire confiance en latin…
    Dans ce docu, je relève avec horreur beaucoup d’hypocrisies dans les témoignages de certains aussi…sur la masturbation féminine, ou la fidélité justement, c’est fou comme l’on est buriné par les impositions psycho-rigides occidentales.
    Perso, je pense qu’il n y a pas de recettes à imposer ou à s’imposer tant qu’on a pas essayé de concilier le corps et l’esprit. Cette épreuve passe par la faculté, par exemple, de ne pas se mentir. Et si on se laissait aller plutôt que de s’enfermer dans des schémas qui briment la magie amoureuse…la religion n’aime pas le corps, par exemple…Bref, ce sont des riches débats encore à explorer! Les Mozo au Tibet pratiquent une sexualité toute autre, où le concept de « Père » n’existe pas, le couple encore moins, ce sont les oncles qui élèvent les enfants, la jalousie n’existe pas et les femmes ont leurs amants jamais loin. C’est une société matriarcale à tout point de vue. Les hommes ne travaillent pas pour rester vaillant au lit. Le pied :-)

  31. A la recherche de reportages et documentaires libres sur internet, histoire de profiter de mes vacances pour ne pas mourir idiot, voilà que je tombe sur « c’est ça l’amour ». Eh bien je peux vous dire qu’après avoir appris que nous risquions tous de mourir le 21 novembre 2012, que les OVNI existaient (c’est une certitude disent-ils, moi je dis que même si ils sont dangereux ils doivent se grouiller: ils ont deux ans avant qu’on ne meurt tous de toute manière en 2012…) et que finalement nos ancêtres d’Europe centrale n’étaient pas si cons (cf. le disque de nebra), ça fait du bien de voir ce genre de reportage, un peu plus vrai, et surtout vachement moins con.

    Je ne sais pas si je suis moins idiot qu’avant, mais au moins j’ai le sourire :)

    Merci donc!

  32. ouais SLVOG ! le sourire est important !!! mais cette vacherie de période pour les jeunes ……j’ai quand même la rage à cause de l’indifférence et l’ incompréhension de beaucoup !!!
    Il passe un film sur les chaines cinéma de canalsat…….. sur la  » mortitude « des plus pauvres …..je n’ai pas pu aller jusqu’à la fin !!!!!!
    Il meurt de faim ou de soif un enfant toutes les 3 secondes !!!!
    HORREUR DE PUTAIN DE SYSTÈME !!

  33. http://fr.wikipedia.org/wiki/Amour

    moi j’en veux !!!!

    A priori c’est pas mertic qui m’en donnera, et si en plus il faut commencer par s’aimer pour en avoir….c’est pas bien parti pour moi!
    En tout cas ce documentaire est tres interessant et les reactions qu’il suscite prouve que tout ça n’est pas simple.

  34. Mis à part le coté arbitraire de l’interdiction, c’est plutot une bonne nouvelle, peut ètre bientot le 100ieme singe qui fera basculer les consciences?
    La ville où l’eau en bouteille est interdite

    16.07.2009 | 

    Plastique, adieu ! Bundanoon, 2 500 habitants, a banni les bouteilles d’eau minérale à l’issue d’un vote public. Seules deux personnes, dont un représentant de l’industrie de l’eau embouteillée, se sont prononcées contre l’initiative. L’interdiction – une première en Australie – a même conquis les commerçants de la ville. L’opinion publique s’était enflammée lorsqu’une société d’embouteillage avait annoncé son intention d’installer une station de pompage à Bundanoon, d’embou­teiller l’eau ainsi extraite à Sydney, à 137 km de là, et de la revendre sur place. “Pour produire une bouteille de plastique de 600 ml, il faut 200 ml de pétrole, sans parler du CO2 généré par le transport”, commente le Premier ministre de la Nouvelle-Galles du Sud, Nathan Rees, qui a lui-même interdit l’eau embouteillée dans l’administration. A Bundanoon, des fontaines gratuites seront installées aux quatre coins de la ville.

    (Sydney Morning Herald, Australie ; BBC, Londres)

  35. La gratuité des services vitaux est possible à condition de changer fondamentalement de société mais surtout à condition de changer les mentalités que le moule du capitalisme a façonnées dès le plus jeune âge. La Ville de Grigny qui mène un combat progressiste en plaçant l’être humain au centre de ses orientations politiques, a décidé de mener la réflexion sur la gratuité de certains services considérés comme vitaux.

    La voirie, l’assainissement, l’éclairage public, l’accès aux parcs, aux bords du Rhône font partie du bien commun et, de ce fait, sont traditionnellement gratuits. Ville confirmée la plus jeune du département par l’INSEE, en 1999, Grigny, scolarise plus de neuf cents enfants en maternelle et élémentaire. L’école fut, naturellement, un premier champ d’expérimentation nouveau pour devenir une des plus importantes dépenses budgétaires. En effet, si l’Education Nationale finance la rémunération des enseignants, tout le reste est à la charge de la Ville, laquelle est, à Grigny, le premier financeur de l’accès à l’école primaire pour tous. Sont ainsi d’accès totalement gratuit, les locaux des six écoles primaires et leur équipement, les fournitures scolaires, les transports collectifs, la rémunération des agents territoriaux de service des écoles maternelles et des intervenants extérieurs. Le sport en fut un autre avec la mise à disposition gratuite des seize installations sportives, de qualité, et le développement du service public municipal du sport en direction des publics scolaires. Autre exemple, la mise à disposition de moyens matériels et le prêt de salles pour les associations sont désormais gratuits.

    La municipalité vient de décider d’aller plus loin encore en proposant, pour la rentrée scolaire de septembre 2009, la gratuité de la restauration municipale. Cette décision politique se réfère aux besoins vitaux. Manger en est un de première importance.

    La Ville de Grigny a toujours fabriqué ses repas en régie. L’expérimentation, depuis un peu plus d’un an, de l’introduction du biologique et de produits issus de l’agriculture locale se solde par un succès retentissant. Ajouté à ce gain de qualité indéniable, la mise en place du principe de Centre de Loisirs pour l’accompagnement des enfants, pendant le temps de repas, par des personnels formés aux fonctions d’animateur, la demande a augmenté de 25 % à 30 % et se fidélise. Cette décision découle aussi d’un constat connu de tous : les rentrées financières liées au payement du service offert à la population parviennent à peine à compenser les dépenses de gestion de la facturation et de contrôle de l’accès au service. Ce constat peut s’appliquer à l’ensemble des services publics municipaux et, j’en suis persuadé, en partie, au-delà du champ communal, aux services de transport en commun. Simultanément, j’observe, depuis trente ans, que ce repas est encore et toujours le seul vrai de la journée pour les enfants de familles en difficultés pécuniaires. Et je veux m’assurer que tous ceux-là accèdent à ce service. La gratuité est la solution pour eux. L’accroissement scandaleux des inégalités et des injustices sociales, de la bêtise politique génèrent en moi un rejet de plus en plus fort du principe « qui mange paye ».

    Je suis révolté contre le fait que l’argent public alimente le commerce au point où nous en sommes aujourd’hui. Des mesures politiques devraient permettre aux collectivités territoriales d’accéder à l’alimentation à des coûts défiant toute concurrence et une première mesure serait un formidable signe, à la faveur du service public en général, si on leur leur remboursait l’intégralité de la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA), au même titre que toutes les entreprises privées. Au prétexte que nos frais d’alimentation intègrent les frais de fonctionnement -et non d’investissement- de la Commune, nous perdons ainsi 5,5 % sur le volume total de nos dépenses et 19,6 % sur de nombreuses autres dépenses liées à la restauration, comme les fluides et certains équipements. Une seconde mesure serait d’aider le développement de l’agriculture et l’élevage locaux et biologiques. La rareté aujourd’hui autorise l’application de prix parfois scandaleux sur les produits. En bref, il est grand temps que la nourriture soit considérée comme un bien commun à l’humanité.

    Si nous militons pour la gratuité des services assurant les besoins vitaux, nous avons, aussi conscience que de nombreux tabous sont à lever. Celui de l’assistanat en premier lieu, puis celui qui consiste à affirmer que ce qui est gratuit est dévalorisé. Un autre qui consiste à dire que « de toute façon, ce sont toujours les mêmes qui bénéficient des services gratuits » et que « ceux qui ont des revenus moyens payent pour ceux qui ne veulent pas travailler ». Curieuse conception de la solidarité nationale ou locale et curieux comportement que celui qui consiste à accepter que ses impôts servent à nourrir une foule de boursicoteurs et de spéculateurs plutôt que servir le bien commun à l’humanité.

    Les citoyens payent des impôts directs : sur les revenus, sur la fortune, sur les capitaux mobiliers à l’Etat, et des impôts directs sur l’habitation et le foncier aux autres collectivités territoriales, dont la Commune. Ils payent aussi des impôts indirects, sans s’en apercevoir la plupart du temps car ils constituent des taxes sur la consommation : Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers (TIPP), TVA, Contribution Sociale Généralisée (CSG), droits d’accises, taxe sur les tabacs manufacturés, sur les conventions d’assurances, sur les bijoux, sur les jeux de hasard. C’est la première recette financière de l’Etat et ils contribuent à augmenter les inégalités [1].

    Cette masse financière récoltée sur l’argent des contribuables, à hauteur d’environ 314 milliards d’euros en 2001 [2], sert-elle à subvenir aux besoins fondamentaux de chacun ? Non.

    Elle sert avant tout les intérêts des multinationales et d’un petit groupe qui se partagent le marché plutôt juteux des travaux publics, de l’agroalimentaire, de la pharmacie, de l’eau et de l’assainissement. Elle sert, aussi, à travers les mêmes multinationales, les intérêts des nouveaux Etats européens qu’il convient de « remettre à niveau » pour que la loi du marché, « la concurrence libre et non faussée », puisse s’appliquer sans restriction au plan européen. La voirie, les réseaux et toutes les infrastructures qui permettent les échanges doivent avoir un excellent niveau pour que les flux soient les plus fluides possibles. Notons, au passage, que l’on vous vend ces infrastructures en vous affirmant qu’elles sont nécessaires, voire vitales, pour le citoyen lambda qui, bien évidemment, ne pourrait plus se déplacer sans autoroute, n’aurait plus d’eau potable et serait victime d’épidémies sans nom sans un bon assainissement – que l’on qualifie toujours de public alors qu’il est dans sa grand majorité géré par le privé et financé par les contribuables.

    La partie des impôts des ménages qui est consacrée aux besoins vitaux des gens, tel que nous les définissons de manière non exhaustive, est minime. Par besoins vitaux, nous entendons : l’accès à l’alimentation, à l’eau (à l’énergie aussi), au logement, aux soins, à l’hygiène, au savoir, aux transports domicile-travail, à l’éducation, etc. Sur cette liste certains sont partiellement gratuits, d’autres payants et au prix fort.

    Enfin, il convient de rappeler l’Accord Général sur le Commerce des Services (AGCS), initié par l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), à laquelle la France et l’Union européenne sont adhérentes. Cet accord consacre cette loi du marché en visant la privatisation de tout service public, y compris municipal, interdisant tout retour en arrière. L’objectif gouvernemental actuel de supprimer la scolarisation des enfants de 2 ans et de créer des structures d’accueil marchandes pour « les remplacer » est l’un des exemples d’actualité du commerce des services. Dans un mépris complet des compétences des collectivités territoriales -et des usagers-, la Commission européenne, conformément aux règles imposées par l’OMC, négocie l’ouverture à la concurrence de secteurs qui relèvent de leurs attributions : gestion de l’eau, des déchets, règles d’urbanisme, conservation du patrimoine, services publics de proximité, transports, restauration scolaire, etc. L’AGCS place les collectivités territoriales en position concurrente du secteur privé. Toute idée de subventionnement public aux services, que l’objectif soit la gratuité ou le moindre coût pour les usagers, est ainsi perdue… voire interdite !

    Si l’on plaçait l’être humain au centre de la problématique et que tout était organisé pour lui donner la priorité dans l’échelle des besoins, alors, mais alors seulement, l’on s’apercevrait que la démarche qui guide nos Etats et l’Europe en particulier est tout-à-fait suicidaire et s’apparente à un état permanent de non assistance en personne en danger.

    Une meilleure répartition des richesses (cf. le bénéfice réalisé par Total pour l’exercice 2008) et une répartition équitable des impôts directs et indirects perçus sont de nature à permettre d’assurer la gratuité de l’offre de service en direction des besoins vitaux de nos concitoyens.

    Pour conclure, je me sens autorisé à affirmer que le développement du service public qui se ferait au détriment de toute spéculation financière, participerait grandement à s’inscrire dans une croissance mesurée qui déboucherait bien vite sur une sorte de décroissance telle que la souhaite les plus visionnaires de nos intellectuels et chercheurs.

    Plutôt qu’investir des sommes considérables dans la recherche pour la création de besoins – parfaitement inutiles – mais absolument nécessaires au développement et à l’expansion du capitalisme, le développement du service public et sa gratuité permettrait de maîtriser un certain nombre de dépenses, en allant à l’essentiel, tout en œuvrant pour une préservation des ressources naturelles.

    Il s’agit, aujourd’hui de répondre aux besoins vitaux de l’homme et non plus de lui inventer des chimères pour le conduire, malgré lui, dans des paradis artificiels dont il a déjà du mal à s’échapper.

  36. KOKO !!!!!!!!! je t’aime , paternellement , bien sur !
    mon préféré , en ce moment c’est Mélenchon, car comme Chevènement , il a su partir au moment ou moralement , il n’y avait rien d’autre à faire , pour un gars qui met ses actes en accord avec ses idées !!
    Tu comprends maintenant combien ta longue intervention m’a vachement interpelé !!cordialement , mais sois moins long si tu veux convaincre ou discuter …. moi je suis un vieux bonhomme et j’ai tout lu ….. mais pour la recherche , il n’y a pas que la technologie !…. La recherche est fondamentale et les gens sérieux ne confondent pas  » recherche et technique  » hé hé hé un bon sujet de philo au bac en  » logique  » …… de mon temps !!! hum ! (+ d’1 1/2 siècle !! ) bybye et viens souvent car la droite est présente et virulente !!

  37. Papi, s’il n’y avait pas eu ton intervention pour m’inciter à m’attaquer à ce long texte de Koko, j’aurais loupé quelque chose !! Merci !!

    Excellent Koko, si tout le monde pouvait ne serait-ce que lire ce texte et réfléchir un peu après… on ferait un grand pas dans le bon sens sans doute !!

  38. T’as raison KOKO mais avec des si….
    Le problème c’est pas ce qu’il faut faire mais plutôt comment le faire, en dépit de quoi et contre qui.

  39.  » L’amour C deux malentendus consentants » à écrit Lacan je crois à propos des fantasmes inconscients…j’trouve ça pas mal.

  40. Connaissant Lacan… il faut sans doute décomposer « deux mâles en tendus cons sentants »… ;-) !!

  41. OOOOOH CASO , tu deviens coquin !!!!
    bon un peu de grammaire …..
    QUESTION : dans la phrase: « le voleur a volé des pommes  » où est le sujet ??
    :REP.:…… en prison !!!
    Rassurez-vous c’était en classes du Primaire et celles qui suivront
    ( peut’être ) aussi !!
    FRANCK , tu mets toujours le doigt où ça fait mal !!! oui KOKO pas de « si  » mais comment !!
    Quand je dis « tu mets le doigt où ça fait mal  » ….. pas d’imagerie cochonne , CASO !!!!…. sinon j’aurais dit  » tu mets le doigt où ça fait du bien !!!! heu !???
    bof ! ce n’est rien ! …… pas grave ….!

  42. Vraiment, sympa ce petit reportage, par les temps qui court c’est bien sympatoche.
    Vraiment la télélibre j’adore, je trouve ça sympa de s’échapper un peut du tout politique.;

    Bon vent à vous, et bonne continuation.

    (je comprend pas trop les commentaires de quelques autres qui abordent des sujets tout autre…)

  43. USA : Au bord de la faillite, certains états ne peuvent assurer le paiement des allocations chômage
    Pendant des décennies, les Etats ainsi que les autorités fédérales aux Etats-unis ont négligé le système d’assurance chômage, allant même jusqu’à quasiment le faire disparaître dans certains cas. Aujourd’hui, alors que la crise frappe de plein fouet le pays, le nombre de chômeurs explose, mettant à l’épreuve ce qui reste du système d’assistance sociale : allocation chomage, bons alimentaires et aides financières aux nécessiteux.

    Leurs budgets lourdement amputés par des investissements risqués, les Etats voient par ailleurs leurs revenus fiscaux décliner avec la disparition de nombreuses entreprises et l’insolvabilité de centaines de milliers de leurs citoyens.

    En résultat, de très nombreux Etats ne disposent plus des liquidités nécessaires pour verser les indemnités aux chomeurs et reportent le versement à plus tard – dans certains cas, des chomeurs attendent le versement de leur allocation depuis plusieurs mois.

    Les centrales d’appel et agences pour l’emploi sont débordées. Parmi les millions de nouveaux chomeurs, certains ont déposé leur dossier au mois d’Octobre 2008 et attendent encore l’examen de leur situation !

    Seize Etats des USA, ayant épuisé leurs budgets, ont déjà été obligés d’emprunter aux banques les sommes nécessaires aux paiements des allocations sociales (chomages, famille, médicales…).
    Ils pourraient être 32 Etats dans ce cas avant la fin de l’année.

    Source : The New York Times : http://www.nytimes.com/2009/07/24/us/24 … amp;amp;hp

  44. J’ai été très touché par ce reportage certes léger sur des questions que tout le monde se pose. Le côté naturel, respectueux et sympathique de JPL rend la confidence sans doute plus facile. Le fait de s’être ausi confié au début du reportage et de faire part de ses propres doutes donne une atmosphère intimiste au reportage tout entier (les pauses ou on voit la vie en communauté et dans le camping car.) Tout cela rend le reportage vivant et proche des télespectateurs. C’était sans doute aussi l’effet recherché?
    Faire ce genre de reportage est vraiment très enrichissant… Plus que voir le reportage, faire parti de l’équipe aurait sûrement était encore plus intéressant ;-)
    Alors à quand la prochaine?
    Moi, je suis en Autriche, si vous voulez voir d »autres pays ;-)

    Enfin, le reportage est sans doute pour beaucoup un soulagement : De ne pas être le/la seul(e) à douter sur certains sujets!

    Merci!

  45. Pier Paolo Pasolini avait réalisé en 1965 Comizi d’amore, un documentaire sur l’amour et la sexualité. Le principe était le même : une enquête à base de témoignages, mais sans la caravane ; Pasolini filmait essentiellement sur la plage, pendant l’été et les vacances, période légère et insouciante propice à la parole simple et libre.
    Mais le résultat me semblait beaucoup plus intelligent, fin et profond…