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La Fin de la Pauvreté à Copenhague?

Publié le | par

NOUS SOMMES RICHES, PARCE QUE LES AUTRES SONT PAUVRES

Climat : L'UE devrait payer plus de 6 milliards d'euros aux pays pauvres

« La fin de la pauvreté ? » le film-vérité présenté à Copenhague

Le film du réalisateur Philippe Diaz a été choisi pour être présenté aux participants du Sommet de Copenhague. Pendant 1h44, ce documentaire humaniste, tel « Une vérité qui dérange » démontre (et démonte) tous les mécanismes qui engendrent la paupérisation des populations les plus fragiles et génèrent des déchets en nombre exponentiel… Inéxorablement, la planète comptera 9 milliards d’êtres humains en 2030 mais déjà aujourd’hui 1 milliard de gens sont touchés par la famine.

affiche-la-fin-de-la-pauvrete

Une production Cinema Libre Studio
Musique Originale Cristian Bettler – Max Soussan

Dès le début du film, Charles Berling (pour les commentaires en version française) pose la question fondamentale : « Avec tant de richesses dans le monde, pourquoi y a-t-il encore tant de pauvreté ? ».

Personne n’ignore que depuis les débuts des grandes colonisations, les pays du Nord ont toujours voulu s’approprier les richesses des pays du Sud. Cette situation perdure au grand jour ou se cache sous des obscurs accords entre chefs d’états que certains appelleront dictatures. Mais là, tout est à revoir…
Philippe Diaz a filmé des pauvres de tous les pays pauvres. Vaste entreprise puisqu’ils représentent 80% de la planète ! Soutenu par de nombreux scientifiques et économistes (voir la liste en annexe), le réalisateur n’a pas hésité à montrer leurs témoignages sans complaisance.
Le débat est bien mené. Les questions sont posées mais les réponses ne sont pas toutes données. Les pauvres continueront-ils toujours d’enrichir les toujours plus riches ?
Et ne faudrait-il pas non plus parler des pauvres des pays riches ? Cela sera pour une autre fois ! Rappelons quand même que d’après le récent rapport annuel d’une grande organisation humanitaire, rien que pour la France, il est prévu que le nombre de pauvres sera proche des 16 millions à fin 2010. Mais ça, c’est une autre histoire…

Margot Deschamps
Julien Boluen
Luc Almon
Patrick Lefrere

Pour information, voici les divers intervenants internationaux du film :

Clifford COBB – Auteur/ Historien – US
William EASTERLY – Auteur / Professeur – US
Susan GEORGE – Auteur/Transnational Institute – France
Chalmers JOHNSON – Auteur/ancien Analyste CIA – US
John PERKINS – Auteur / Economiste – US
Amartya SEN – Auteur/Prix Nobel d’économie – Royaume-Uni
Joseph STIGLITZ – ancien Vice-Président Banque Mondiale – Prix Nobel d’économie – US
Eric TOUSSAINT – Auteur / Président CADTM – Belgique
Edgardo LANDER – Professeur / Historien – Venezuela
H.W.O OKOTH-OGENDO – Auteur / Professeur de droit – Kenya
Miriam CAMPOS – Ministère des peuples indigènes – Bolivie
Mashengu wa NWACHOFI – ancien Député – Kenya
Maria Luisa MENDONÇA – Présidente Rede Social – Brésil
Jaime de AMORIM – Mouvement des Paysans Sans Terre – Brésil
Michael WATTS – Auteur / Professeur – US
Alvaro GARCIA LINERA – Vice-Président – Bolivie
Nora CASTANEDA – Présidente Banque des Femmes – Venezuela
Joao Pedro STEDILE – Mouvement des Paysans Sans Terre – Brésil
Serge LATOUCHE – Auteur/Professeur – France
Kipruto ARAP KIRWA – Ministre de l’Agriculture – Kenya
Eduardo YSSA – Organisateur local Cochabamba – Bolivie
David ELLERMAN – Auteur/ancien Conseiller Economique, Banque Mondiale – US
Raul MONJON RAMIRE – Directeur au Ministère du Plan – Bolivie
John CHRISTENSEN – Directeur Tax Justice Network – Royaume-Uni
Jim SHULTZ – Président The Democracy Center Cochabamba – Bolivie
Albel MAMANI – Ministre de l’Eau – Bolivie
Oscar OLIVERA – Coordinateur de la Défense de l’Eau – Bolivie
Marcela OLIVERA – Coordinatrice de la Défense de l’Eau – Bolivie
Eric MGENDI – Coordinateur de la communication Action Aïd – Kenya
Nimrod ARACKHA – TMWDO Organisation – Tanzanie
Miloon KOTHARI – Rapporteur Nations Unies – Inde
Jérôme GUILLET – Banquier d’investissement secteur énergétique – France
Joshua FARLEY – Professeur d’économie écologique – US

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Les commentaires (25)

  1. Content de réentendre Susan George, jadis présidente d’ATTAC que j’ai vue lors d’une conférence sur les excès de la finance mondiale, qu’elle a tenue en 2003 à l’INSEAD de Fontainebleau.
    Ce film à base d’interviews d’experts et de cinéastes sur les activités des anciens colonisateurs de l’Afrique qui utilisent un tel business model , est excellent comme toute la série de LTL. Les pays occidentaux ainsi que la Chine ont remplacé les outils anciens des colonisateurs par les outils financier-si j’ai bien compris. Mais ce film comme bien d’autres est un constat qui ne nous propose pas de solution.
    Redistribuer les revenus des occidentaux vers l’Afrique, de la même façon que nous avec les dons aux associations ? Quand on connait le l’usage que font les édiles locaux des aides financières aux pays victimes de catastrophes on y croit guère (ex. les incendies de 2008 en Grèce un film vu sur Arte le 15 décembre).
    Il n’y a pas autant de corruption dans notre beau pays de France, mais nos tirelires sont réservées par le gouvernement qui, vu le trou des finances publiques, a besoin de sous en 2010.
    Mieux vaudrait que les jeunes étudiants prennent sur leur temps de travaux de stages pour aller en Afrique, aider dans les villages. J’en ai connu qui a passé plusieurs années au Mali dans le cadre de ses années d’études agronomiques, (une fille de bonne famille chez qui, près de Melun, le père s’est toujours refusé à investir…dans une Télévision) !
    Il se reconnaitront en regardant LTL !

  2. Ca a l’air bien, j’ai juste cette sale impression que souvent on ose pas dire les mots et le fond de la pensé.

    Oui le systeme capitaliste est un mauvais systeme, il ne fonctionne pas, il crée des inégalité de part sont fonctionnement même.

    Dès lors il faut en changer, je ne crois pas que les gens ne soient pas assez intelligent pour ca.
    C’est juste qu’entre ceux qui ont l’argent-pouvoir, qui sont en haut de celui ci, seront pret a tout pour conserver leur place.
    Le changement ne pourra comme toujours venir que par la bas et par conséquent la majorité de la population qui est exploité et manipulé par la minorité.

  3. Un petit tour chez les Bretons à partir d’internet et c’est également une bonne idée, sur la route d’un jeune expatrié ! En randonnée lors d’une étape à Plogoff, on m’a raconté l’histoire des luttes (et la fierté locales) contre l’implantation d’une centrale nucléaire; aujourd’hui les Bretons continuent leur lutte, comme le montre le site favori d’Assaira, où on y parle des porcheries industrielles qui polluent davantage que l’Erika, car personne ne fait de nettoyage si j’ai bien compris. Vous y verrez aussi d’excellentes illustrations

  4. pseudo oui mais , je crois aussi que le système a changé de fonctionnement et au lieu de s’appuyer sur la production et la société , il a évolué vers le fric , le super bénéfice à court terme pour les fonds de pensions et les capitaux fluctuants des paradis fiscaux qu’ il faudrait , à tout prix ,commencer par supprimer !!
    sinon ça continuera ……

  5. Salut les potos !!

    Pas encore vu la video, mais la thématique n’est pas nouvelle.

    A partir du moment où une politique économique d’une nation vise la richesse et non le bien-être de ses citoyens, je ne vois pas pourquoi leur logique ne viserait pas à diminuer tout ce qui pèse sur le profit. La logique capitaliste est à l’évidence une impasse car elle nie la primordialité de la relation coût/bénéfice entre les individus comme ciment de la société. En privilégiant la richesse de certains au détriment d’autres, elle concrétise de fait l’absence de toute considération d’appartenance à un groupe social, plus ou moins vaste, dont l’existence dépend de l’intérêt que chacun a à agir et à se reconnaître comme membre.

    Et après ça vous parle d’identité nationale !…

    Lorsque les humains auront conscience de faire partie d’un tout où chacun a une place, un rôle à jouer, et qu’il ne faut pas négliger, aussi insignifiant soit-il que le battement des ailes d’un papillon, alors peut-être que commencera une nouvelle ère…

    Quant aux tribulations de Copenhague, ça me fait bien rigoler. Désolé, mais je vous rappelle quand même que ce sont quasiment les mêmes qui ont identifié les causes de la crise fiancière et ont pris des résolutions pour que ça ne se reproduise pas. :-D !!

    Demain, grâce à l’impulsion de Sarkozy (selon les media français), d’Obama (selon les media américains), d’Angela Merkel (selon les media allemands), de Brown, de Lula, etc. un accord in-extremis sera arraché. Moins que prévu, moins que nécessaire, bien entendu, mais inespéré. Réjouissez-vous, braves citoyens des nations influentes, vos dirigeants ont sauvé la planète. Bref, chacun des protagonistes, relayé par les medias de son pays, va redorer son blason. J’en fais le pari !!

    C’est pour moi évident. Tout ça relève du Barnum planétaire, de la mondialisation de la com’ pour continuer comme avant. De toute façon, s’ils s’étaient réunis pour dire à l’unisson « OK, pas de problème, on accepte l’idée de baisser les émissions de gaz à effet de serre de 25% », tout le monde se serait dit : « Si c’était si simple, pourquoi nous gaver avec tout ce cirque qui a dû coûter un pognon monstre?? ». Bénéfice : Zéro. Alors qu’en arrachant un accord moindre, chacun des protagonistes principaux, en tirant dans ses murs la couverture à lui, va gagner des points.

    Accord qui sera respecté autant que les décisions prises pour changer les règles des marchés financiers ont été couchées noir sur blanc et donné naissance à des moyens de contrôle et de sanction.

    Ils vont sauver la planète comme ils nous ont sauvé de la crise financière. Alléluïa !!

  6. Pseudo, je suis bien d’accord avec vous. Le changement viendra effectivement du bas…Mais quel changement pour quelle alternative au Capitalisme???

    Les hommes se cherchent, se cherchent…Vont-ils se trouver?

    « L’argent n’existe pas dans le présent mais dans le temps qu’il faut à l’échange pour s’équilibrer. Après, il doit disparaitre à jamais au risque de déséquilibrer le monde entier! »

    Et si tout simplement, l’homme aspirait à l’équilibre….

  7. Quant l’argent n’est que le besoin de sa nécessité…
    Quant qu’est ce que le nécessaire que certains aient beaucoup …

  8. J’étais persuadée du réchauffement jusqu’il y a peu, mais quand je vois les débats post-émissions YAB, ù les ONG et Borloo disent que l’on va envoyer (il LE FAUT !) 100 milliards tout de suite pour aider les pays en voie de développement, les plus touchés par le changement climatique, ça me fait bondir. Je ne dis pas que c’est débile,inutile ou que c’est dégueulasse de dépenser de l’argent ainsi, ce qui m’énerve c’est que depuis 50 ans on n’ a rien fait pour sortir ces pays de la famine, et là d’un coup faut leur balancer quelques centaines de milliards, alors que ces mêmes milliards auraient pu éviter la faim et aider aux vaccinations et toussa toussa dans les pays sous développés depuis tout ce temps. Ca me met en rage, on se fout de la gueule des gens.

    Ca m’énerve aussi que l’on me dise : tu vas payer des taxes parce que tu pollues, alors qu’on ne me donne aucune alternative pour ne pas l’être ; au final, on continuera de polluer, parce que vivre sans voiture à certains endroits, ca signifie pas d’emploi, donc pas de logement, etc. etc., mais on aura globalement bonne conscience parce qu’on paiera pour. C’est d’une stupidité…

    Pourtant je sais qu’il faut faire quelque chose, qu’il se passe quelque chose, au niveau climatique (je viens de relire Le troupeau aveugle, de John Brunner, étonnant car écrit en 1976…) mais je ne veux pas que l’on continue à me prendre pour une vache à lait juste bonne à payer. Et oui je doute, parce que quand je vois que le réchauffement devient du business (on pense d’abord à créer des taxes avant meme d’envisager des solutions alternatives) je me dis qu’on se fout bien de notre gueule.

  9. Ah mais complètement meia.

    Quand on sait que les entreprises polluantes peuvent racheter des droits à polluer auprès d’entreprises non-polluantes (créées de toute pièce dans un groupe industriel pour jouer ce rôle) , on comprend bien qu’on se fiche de nous.

    Quand on veut faire payer les citoyens pour le poids de leurs déchets, en les culpabilisant d’acheter des produits conditionnés dans du non re-cyclable, alors qu’on ne fait absolument rien pour contraindre ces mêmes entreprises à conditionner différemment, on a tout compris.

    L’écologie de Sarko c’est comme le reste, taper fort sur les citoyens lambdas, et protéger les barons de l’industrie et les notables.

  10. Pas si simple les raisonnements simplistes : ce n’est pas parce que je suis pauvre que les autres sont riches, mais il y en a beucoup qui se sont retrouvés pauvres pour que d’autres puissent être riches.

  11. La désintégration du système monétaire & financier est voulu.
    Non seulement ça leur permet de mettre à genou le monde entier, mais ça sert aussi de prétexte pour mettre en place progressivement le futur système monétaire/financier. Le but final étant une monnaie mondiale unique, dématérialisée (sans billets/pièces) et sans CB (elle sera intégré dans un implant corporel).
    Pour l’instant, ils sont entrain de mettre en place des monnaies régionales (à l’échelle d’un continent), étape intermédiaire à l’établissement du monnaie mondiale. Il y aura une monnaie pour l’Amérique du nord (amero), une monnaie d’afrique (gold mandela), une autre en asie, en europe c’est déjà fait. Cela est prévu pour 2010. La monnaie mondiale devrait arriver quelques années plus tard, en même temps que le gouvernement mondial, l’armée mondiale, etc…
    (source : LIESI)

  12. L’affaire du « purin d’orties »

    De quoi se mêle l’administration ? De notre bien ou de celui, exclusif, des commerçants et autres laboratoires qui ne rêvent que de breveter tout ce qui se trouve dans le domaine public depuis la nuit des temps (comme les tisanes de nos grands-mères par exemple), ceci afin de nous le revendre à prix d’or ? Il faut comprendre que tout se monnaye aujourd’hui, et que des recettes libres de droit n’alimentent ni le commerce, ni le système de taxations qui prélève sa dîme à chaque transaction !
    Depuis le 1er juillet 2006 et l’entrée en vigueur de l’article 70 de la loi 2006-11 du 5 janvier, il est en effet interdit, sous peine de condamnation pouvant aller jusqu’à 75 000 euros d’amende et deux ans de prison « de vendre, d’utiliser et de détenir tout produit phytopharmaceutique s’ils ne bénéficient pas d’une autorisation de mise sur le marché ».
    Sont considérés comme produits phytopharmaceutiques : « les préparations contenant une ou plusieurs substances actives…destinées à protéger les végétaux ou produits végétaux contre tous les organismes nuisibles ou à prévenir leur action ; à exercer une action sur les processus vitaux des végétaux…à détruire les végétaux indésirables ». Ajoutons que « toute publicité commerciale ou le fait d’en recommander l’utilisation » est interdit si ces « produits » ne bénéficient pas « d’une autorisation de mise sur le marché, et dont les conditions d’emploi sont fixées par ces mêmes autorisations ».

    En septembre 2002 déjà, la direction départementale de la répression des fraudes du Maine-et-Loire avait mis hors la loi la vente de purin d’orties. Il n’était cependant pas encore prohibé d’en communiquer la ou les recettes. Sachant que « 95 à 98% des produits utilisés aujourd’hui en jardinage et en agriculture familiale sont fabriqués à partir de produits naturels, sur place, de façon artisanale, souvent selon des « recettes de grand-mère », qui n’ont jamais été le sujet de grandes études de l’Inra, on comprend le dol que subissent les industriels et le fisc, fort marris d’une telle concurrence déloyale, et du manque à gagner afférent !

    En bref, l’affaire avait été révélée par le jardinier de Versailles, l’excellent Alain Baraton. Le malheureux chroniqueur avait eu la mauvaise idée de donner à ses auditeurs la recette immémoriale du purin d’ortie. Mal lui en a pris, car il fut aussitôt sommé vertement de se plier aux rigueurs de la loi.
    Du même coup la France rurale, et celle des jardins, découvrait tout le pouvoir et l’étendue de la dictature du marché associée à la capacité de nuisance d’une bureaucratie toute puissante apparemment à son service. Après les mises obligatoires aux normes imposées par Bruxelles qui ont chassé nombre d’artisans de nos campagnes, il est donc désormais interdit de se passer, de transmettre les recettes et les méthodes naturelles de nos aïeux puisque celles-ci pourraient concurrencer (de façon déloyale évidemment) les produits coûteux et polluants disponibles sur les rayons des jardineries et autres grandes surfaces. Produits aux coûteux conditionnements (emballages) surtout taxés par l’État qui touche sa dîme à chaque étape allant de la production à la consommation via la commercialisation !

    Le Ministère de l’Agriculture s’est vu malgré tout obligé de tempérer l’interprétation du texte de la loi en précisant que « les particuliers ne sont pas concernés (?) ». En conséquence, les préparations effectuées par un particulier et pour une utilisation personnelle (telles que le purin d’ortie), ne rentrent pas dans le cadre d’une mise sur le marché et sont donc autorisées. De même la promotion auprès des particuliers de procédés naturels ou le fait de donner la recette de telles préparations ne sont pas « interdites ». Pourtant, « si un professionnel a le droit de préparer et, ensuite, d’utiliser des produits de traitements pour les plantes, il n’a pas la possibilité de les commercialiser ou même de les distribuer gratuitement ».

    Qu’est-ce qu’un État, et une « Europe », qui se mêlent d’interdire de transmettre librement des méthodes et recettes naturelles et traditionnelles, souvent multiséculaires ? Le meilleur des mondes n’est pas pour demain puisque dès aujourd’hui la bureaucratie a décidé que désormais tout ce qui n’est pas explicitement autorisé se trouve, par définition, automatiquement interdit. Autrefois, au temps obscur et pré-démocratique, c’était l’exact contraire ! L’étau se resserre un peu plus sur nos libertés. Mais qui s’en émeut ? L’administration ne veut-elle pas notre bien et rien que notre bien ?

    La bureaucratie vue par Courteline faisait rire. Celle revue et corrigée par Ubu-Bruxelles et Kafka-Paris devient trop souvent proprement asphyxiante. Combien d’artisans découragés par la paperasserie et le maquis des interdictions édictées par une administration tatillonne et tracassière, ont préféré mettre la clef sous la porte ? C’est ce que nous constatons tous les jours que Dieu fait dans nos campagnes qui se vident de ses artisans, notamment dans les « métiers dits de bouche », charcutiers, boulangers ruraux et autres façonneurs de produits du terroir, par impossibilité financière à « se mettre aux normes » imposées par la Commission, las des carcans administratifs ou écœurés par trop de caporalisme bureaucratique.

    http://www.terrefuture.fr/laffaire-du-purin-dorties-929#more-929

  13. Bonjour à tous, voila, moi je regarde toute ces bandes d’hystériques s’occuper de leurs fêtes de Noël, de leur emplettes, de leur réveillon, comment choisir son foie gras, comment choisir un bon saumon, vont-ils pouvoir retirer de l’argent dans leur distributeur favoris ? mon dieu !.. D’autres s’occupent de la terre, ouuuuuh ces égotistes de chefs d’états, et puis ceux-là qui gaspille toute la machine de guerre de l’administration publique pour faire la promotion d’un vaccin pour le profit des laboratoires, je regarde tous ces membres du gouvernement qui vivent dans un monde d’opulence et de luxe digne des plus grandes monarchies, dans un monde très fermé et totalement déconnecté de la réalité, dont ils ne connaissent strictement rien, etc, etc, etc, … Moi, je les regarde… Et puis je me regarde… j’ai fait la descente aux enfers, depuis trois mois maintenant, je suis un sdf, sans domicile fixe, je erre d’un lieu à l’autre, trimbalant mes quelques affaires qu’il me reste, j’ai le droit à rien ils me disent, voilà plus de deux ans que je n’ai osé aller voir un médecin, un dentiste, .. j’ai 44 ans, très formé et loin d’etre con, enfin je crois, mais après plusieurs centaines de candidatures pour des postes, je suis là épuisé, la société aujourd’hui ne veut plus d’un homme de 44 ans, le monde marche sur la tête… La vie n’a pour moi aujourd’hui plus aucun sens, je ne sers plus à rien et à personne ici, mes soucis quotidiens sont devenus ceux d’un animal : c’est me maintenir au chaud, trouver un abri, un toit pour la nuit qui vient, c’est manger, trouver où manger aujourd’hui, c’est trouver de quoi laver mon linge, me laver pour sauvegarder les apparences, pour ne pas que les « autres » me voient comme un sdf, même si ça doit déjà crever les yeux… Je les regarde… Je les regarde… Et tous me donnent l’envie de vomir le peu que j’ai mangé aujourd’hui.

  14. Tommy t’as raison même si tu ments sans doute, rappelle toi que dans consommation il y a sommation, ou somme qui ont un sens différent mais atteignent le même but … préfixé.

  15. « On est clairement responsable de la mort de 25000 enfants chaque jour » > JE ne suis pas responsable de ça!! NON!!! Faut arrêter. Les responsables, on les connaît. C’est politique. C’est le système libéral mondial, impérialiste, le capitalisme financier, le croissancisme… Il faut changer, remettre le TEMPS au centre de nos vies. Nous, on a compris. Pas eux, pas ceux et celles qui nous opposent un système qui les piège de par leur fonction (d’énarque, de PDG, de bureaucrate…) et leur cynisme sans borne.
    On sait qu’il y a catastrophe imminente. On sait que les gens, désespérés (mais pourtant actifs, comme ils peuvent), finissent par attendre l’implosion du gros Machin Immonde.
    Ca changera quoi? Rien. Les nouvelles lois à prendre, très difficiles mais nécessaires, pourront-elles l’être sans une re-sacralisation de nos sociétés? Je n’aime pas les religions, mais pourtant je ne vois pas d’autre issue qu’une révolution spirituelle (qui n’a rien de ramollo, de superficiel); le problème, c’est que ces religions majoritaires ont participé au grand désenchantement, qu’elle ont mal évolué: acceptation du développentisme anti-écologique et haine en matière sexuelle qui traduit par là même un énorme déséquilibre. On ne peut pas faire avec elles, or il faut bien repartir sur une nouvelle « religion », dépouillée, déhiérarchisée, horizontale, affranchie de tout dogme, fustigeant toute censure. Malgré toutes nos différences, malgré l’entêtement de grandes puissances financières, une religion liée à une conscience planétaire nouvelle est peut-être en capable de prendre. Sans cette direction, nous n’aurons sans doute plus que la perspective finale, à l’horizon 2030-2040, d’un éco-fascisme terrifiant. Je m’interroge.

  16. Donc, si je comprends bien, moi qui me suis toujours demandé pourquoi les occidentaux étaient obsédés (les médias les premiers) par des dirigeants tels que Chavez ou Ahmadinejad, essayant par tous les moyens de les faire tomber,…
    … la réponse est dans cette vidéo.

  17. Je me considère comme un humain avant tout. Je ne supporte plus l’injustice et l’aliénation de nos grand dirigeant par l’argent. Allez sur mon blog et lisez mon article. J’écris actuellement la suite pour donner un tas de solutions. J’adhère totalement à votre cause et l’union fait la force. Merci !!