Lecteur vidéo

Faire un don

Faire un don

Envoyer l’article par mail
Télécharger le .torrent

Fichier indisponible pour l’instant

Qu’est-ce que le Torrent ?

Grâce à Bittorrent vous pouvez télécharger et partager la vidéo que vous êtes en train de visualiser.

Nouvelle Constitution Tunisienne : Un Modèle pour le Monde Arabe ?

Publié le | par

[CHANTIERS DÉMOCRATIQUES] Rappelez-vous, en 2014, la Tunisie adoptait sa nouvelle Constitution. Les Reporters Citoyens y étaient quelques jours avant son adoption, et nous rapportent cette Interview de Selim Kharrat, un des fondateurs de l’ONG « Al Bawsala ».

PREMIÈRE DIFFUSION : 12 FÉVRIER 2014

tunisie

Une premiere depuis les Révolutions

Unique dans le monde arabe, la nouvelle Constitution tunisienne est entrée en vigueur le lundi 10 février, trois ans après la révolution. « Une triple victoire », a salué le président tunisien Moncef Marzouki, lors d’un défilé de célébration le vendredi 7 février, pour dénoncer « une dictature abattue, le terrorisme qui a voulu arrêter notre marche vers la démocratie et les démons qui nous animent ». Aux côtés d’une quarantaine de chefs d’État venus pour l’événement, le Président François Hollande a souligné que «l’islam est compatible avec la démocratie ».

Au terme de longs débats au Parlement, les 147 articles marquent des avancées inédites, notamment sur l’égalité homme-femme, la liberté de conscience et l’indépendance de la justice. Née après la Révolution tunisienne, l’ONG Al Bawsala  (« la boussole » en arabe) observe les actes du Parlement et informe les citoyens. Un outil de transparence inédit pour accompagner le processus démocratique. Interview avec Sélim Kharrat, l’un des fondateurs d’Al Bawsala.

Des Liens
La nouvelle constitution tunisienne, entre tradition et modernité,  recherche de Wafa Tamzini

Journaliste : Sabah Rahmani
Images : Hélène Aury
Montage : Jonathan Halimi

Partager cet article

Laisser un commentaire

Laisser un commentaire

Les commentaires (1)

  1. C’est en effet une très belle avancée. Après, il faut garder en tête que l’état de droit, ça se vérifie dans la pratique du pouvoir, les textes sont insuffisants.