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Sous Les Pavés… Denis Robert – L’Intégrale – 1, 2 et 3

Publié le | par

Denis Robert, l’homme qui a révélé l’affaire Clearstream, sort un nouveau bouquin : “Une affaire personnelle”, Flammarion, sortie le 04/04/0

Voici l’intégrale, en trois parties, de l’émission « Sous les pavés, Denis Robert »

Il est aujourd’hui le 5ème invité de « Sous les pavés ».

L’émission a été enregistrée le jeudi 3 avril 2008, entre 18H30 et 20H00

 

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PREMIÈRE PARTIE, les journalistes entre eux

Nous avons transporté la loge maquillage dans un coin du plateau.
John Paul Lepers rencontre Michel Despratx, journaliste à Bakchich.info, Laurent Valdiguié, rédacteur en chef de Paris-Match, co-auteur de « Machinations » anatomie d’un scandale d’État), paru en 2006 et Nathalie Leruch, journaliste de la Télélibre et par ailleurs rédactrice en chef adjointe des Maternelles à France 5.

Brièvement, John Paul leur demande quelle “question qui fâche” ils veulent poser à Denis Robert. Valdiguié par exemple explique qu’il veut savoir pourquoi Denis Robert est tombé aussi vite dans le piège du « corbeau ». Pour lui, Robert, le jour où le corbeau sort du bois, plonge et devient complice de l’emballement autour du personnage. Michel Despratx veut du nouveau, sur toute cette affaire. Nathalie, elle, trouve tout simplement que Denis Robert, c’est un héros moderne !

Avant de rejoindre le plateau-parking souterrain de « Sous les Pavés » avec, en fond de décor, la Porsche poussiéreuse, John Paul interroge le journaliste un peu « maudit » qu’il reçoit, il cherche la confidence… L’enfance, la jeunesse, les premières années de journalisme à Actuel et à Libération.

DEUXIÈME PARTIE : les questions d’actualité


907 SOUS LES PAVÉS, DENIS ROBERT 2/3 par latelelibre

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la protection des sources

C’était une promesse de Nicolas Sarkozy et de Rachida Dati, un projet de loi important est actuellement en train d’être peaufiné et amendé, il sera discuté à l’Assemblée le 8 avril.
Au cours du débat, l’on évoque les exemples des perquisitions du Canard Enchaîné, plus récemment de l’Agence Capa au moment de l’éclatement de l’affaire Arche de Zoé… Denis Robert parle de celles qu’il a vécu.
Alors, ce texte de loi constitue t-il une vraie ou ou fausse avancée ? Laurent Valdiguié semble penser que, sous couvert d’encadrer les enquêtes sur les sources des journalistes, il se résumera à les rendre possible.
Les uns et les autres s’inquiète de la possibilité qui serait ouverte d’accentuer les traques de sources qui, dès lors, prendraient moins le risque de contacter les journalistes… Là encore, Denis Robert parle de ses propres expériences, du cas de Florian Bourges par exemple, en nous ramenant tout naturellement à cette affaire de sa vie, Clearstream. Tous insistent sur la nécessité impérieuse, de protéger les sources…

 

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l’affaire Bakchich v/s David Douillet…

Ce jeudi, on vient de l’apprendre, et l’affaire secoue déjà tout le petit monde des médias internet (après le cas Fuzz), David Douillet attaque le site d’information Bakchich.info et demande 110 000 euros pour un article qu’il juge faux et diffamant. L’article ( daté du 15 mars 2008) affirmait, abordant les affaires de fraudes fiscales du Liechtenstein et l’enquête fiscale ouverte en conséquence par le ministère du Budget à Bercy, affirmait que David Douillet (mais aussi l’écrivain Michel Houellebecq) faisait partie de ces «touristes fiscaux». Le ministre du Budget a démenti l’information du site.
Michel Despratx explique ici que Bakchich.info est sûr de ses sources. John Paul pose la question : alors, on publie quand on a la pièce ou quand on a pas la pièce ? Bonne foi, intention de nuire, sérieux de l’enquête, différents critères émergent… La discussion évolue naturellement sur le Lichtenstein, et les paradis fiscaux. Mais aussi sur les techniques d’évasion, ou Trichet, Vanuatu, ou encore la Société Générale…

« Le monde devient offshore » affirme quant à lui Denis Robert…

Vient ensuite la TROISIÈME PARTIE :


SOUS LES PAVÉS, DENIS ROBERT 3/3 par latelelibre

 

Le débat sur le bouquin, l’affaire de sa vie, et le personnage, toujours un peu « seul contre tous », à la merci d’un « courant violent » – mis en examen dans l’affaire Clearstream 2 (ou affaire EADS-Clearstream ou affaire du corbeau des frégates de Taïwan).

En 2001, c’est son livre Révélations, qui sort toute l’affaire, le clearing, Clearstream, le décryptage d’un système. Les soupçons sur l’argent sale, et le blanchiment. La chambre de compensation internationale entre banques, avec une double comptabilité, et des comptes bancaires du monde entier qui viennent s’y croiser… En gros, nous dit-on, Denis Robert pose cette question : Clearstream, c’est quoi ce truc, une gare de triage ou une vraie blanchisseuse ?

Dans la souffrance, l’écrivain-journaliste un peu « maudit » raconte ce qui s’ensuit, les attaques de la multinationale, ses procès, le silence de la presse, le sentiment d’être lâché. Les attaques de ses confrères, d’Edwy Plenel ou Philippe Val… Attaqué sans répit par la banque, il écrit La Boite Noire, 2002 et gagne un procès. Traqué ensuite sur l’affaire du corbeau dans l’affaire Clearstream 2, il écrit Clearstream, l’enquête, 2006 : « un mauvais livre » dit Valdiguié, un « livre d’urgence », à un moment « où tu es accusé d’être le corbeau ». Denis Robert se défend, accuse les autres, le système aussi, raconte ses emmerdements, et s’explique, sur ses rapports avec le personnage Imad Lahoud, qui l’a trompé : « Y’avait un complot et j’étais la victime de ce complot » dit-il, en précisant qu’il n’est jamais pourtant partisan de la théorie du complot. Pour lui, Sarkozy et ses avocats, comme les avocats d’Imad Lahoud ont participé à ce mythe autour de sa personne…

« Tu découvres le système, mais tu ne prouves pas » pointe John Paul Lepers, tutoyant ici un confrère, en expliquant que la critique est générale, sur son travail… Les uns et les autres tentent de faire le point sur cet homme décrié, qui « a fabriqué une machine à fantasme » dit Valdiguié, sur lequel le corbeau est venu faire fructifier son esprit tordu… Il reproche à Denis Robert de n’avoir alerté l’opinion sur le fait que ces listings du corbeau n’étaient pas crédibles… Devant une vidéo de LaTélélibre.fr dans laquelle Arnaud Montebourg – qui a participé au travail de la Commission parlementaire ayant, à la suite de Révélations enquêté sur la chambre de compensation luxembourgeoise et sur les questions de blanchiement – lui exprime ses encouragements à tenir et « à poursuivre », Denis Robert laisse voir son émotion : Montebourg est resté « droit dans ses bottes » lâche t-il.

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Enfin séquence au bar, autour d’un verre de blanc : Denis Robert qui « ne regrette rien » fait en même temps le compte, un peu découragé, de ce qu’il a perdu : « au final on se rendra compte que j’avais raison ». Tout en reconnaissant que lui n’a plus envie. L’émission se termine sur une note de pessimisme quant à l’état actuel de la profession de journaliste, en particulier face aux « fraudes » et aux « affaires ». Et puis c’est le moment des dernières réflexions, et confidences.

Karine Yaniv

Revoir notre note : « pour en savoir plus sur Denis Robert« .

Crédit photos: © PHILIPPE STERC

SOUS LES PAVÉS, DENIS ROBERT

Enregistrée au deuxième sous-sol d’Atlantis, le 3 Avril 2008 entre 19H00 et 20H30

Une émission de
John Paul Lepers
Préparée par
Bertrand Basset, Karine Yaniv et Nathalie Leruch
Réalisée par
Sébastien Gautheron
Assistant Réalisateur
Julien Vilarrubla
Directeur photo
Jérôme Mignard
Images
Jérôme Mignard, Mirsad Hadjer, Jérôme Pin et Bastien Allot
Assistés de
Joseph Haley et Matthieu Lepine
Ingénieur Vision
Antoine Poisson
Ingénieur du son
Matthieu Daude
Assisté de Matthieu Lepine
Coordination Technique
Olivier Joubert
Régisseur plateau
Sylvain Auguet
Montage
Anthony Santoro et Mylène A
Habillage
Jean-Sebastien Desbordes
Scripte
Adrien Rappoport
Maquilleuses
Marine Maurice et Claudine Edouard-Rose
Décorateur
Anthony Oréac
Musique : « To Joss Samake » de Marc Minelli tiré de l’album Electro Bamako, Avec l’aimable autorisation d’ALL OTHER MUSIC.

Relation Presse
Anne Quemin
Photographe
Philippe Sterck
Directrice de production
Caroline Lançon

Remerciements :
Frédéric Houzelle avec Atlantis Télévision : locaux, studio, régie
Rodrigo Sepulveda-Schultz, avec Vpod.tv : hébergement et maintenance vidéo,
Mayel de Borniol : webmaster
Assistance Audiovisuelle : prêt du matériel son Merci aux professionnels et aux stagiaires qui ont tous travaillé bénévolement à la construction de « Sous les Pavés… »

Production : On Y Va ! – LaTéléLibre.fr

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Les commentaires (47)

  1. @TLF: C’etait vraiment une trés bonne émission, félicitations.
    Je ne maitrise pas toute l’affaire mais pourquoi les faux noms dans les listings? Pour rendre les fichiers originaux sans valeur…?!
    En tout cas, je soutiens complètement ce type qui semble sincere et simple. Surtout en apprenant que Philippe Val l’a attaqué. L’info sur l’avocate de Charlie Hebdo est assez plaisante!
    ca donne envie de faire du journalisme, enfin du vrai…

  2. difficile de s’orienter dans les dédales de ces labyrinthes et de tout comprendre ! D.Robert y occupe le rôle du fou courageux et du lampiste .
    Mr Paris-Match , arrétez d’avoir tout le temps raison !veuillez descendre de vos hauteurs de papier glacé pour accéder à ce que D Robert tente de vous expliquer!
    A la vôtre toute la TL.!

  3. Merci la Télé Libre pour ce reportage. La troisième partie est, à mon sens, un peu confuse dans sa première moitié… Par contre la seconde est géniale avec une mention spéciale pour la façon dont la discussion au bar est filmée. C’est magnifique, la lumière est splendide, intimiste, chaude, propice aux confidences. Joli travail.
    On constate bien qu’entre vous, journalistes, vous ne vous faites pas de cadeaux. Denis Robert est un homme assailli de toutes parts, et cela se voit parfois sur son visage. La lassitude du combat, l’envie d’abandonner, la dépression… Mais heureusement il a une bonne bande de copains pour le soutenir.
    C’est vrai que l’affaire Clearstream est compliquée, et qu’avoir tenté d’y mettre son nez à probablement conduit Denis Robert dans une situation dont il ne se dépêtrera sans doutes jamais. Les gens qu’il a dérangé ont les moyens de faire de sa vie un enfer.
    Mais je souhaite, comme la tablée de la fin du reportage, qu’il y est d’autres Denis Robert, d’autres journalistes désireux de faire la lumière. Même si, comme le dit John-Paul, le journalisme d’investigation n’intéresse plus personne…

  4. La merde çà éclabousse même ceux cherchant la vérité !!!!!, le pouvoir, lorsqu’il est attaqué, lorsque la vérité pointe, emploie des moyens efficaces qui pourraient servir pour le bien des gens !!!!!!!

    Beaucoup de journaleux sont corrompus, la preuve est évidente, sur le NET des extraits en attestent !!!!, ils mangent à la soupière achetée avec l’argent volé au Peuple.

    Il faut pour les 40 ans de mai 68, une grande manifestation nationale, dans le plus endroits possibles, ou le Peuple de France prenne la parole et dénonce toute cette mafia en col blanc, qui n’a qu’une seule envie que tout cela continue.

    Je fais une rêve que de nombreux Journalistes se lèvent, aident ce courageux journaliste, moralement et financièrement. Alors peut être un jour le Monde deviendra meilleur.

    Sinon il sera horrible pour la plupart d’entre nous. Les poltrons croyant y échapper ne font que se cacher les yeux. Leurs enfants le leurs rappelleront plus tard.

  5. L’O.V.N.I Robert passe, saluons-le dans le style du Valais:
    Vive la liberté !

    Faudrait l’inviter dans la vigne à Farinet, en Suisse en plus ce serait un vrai symbole.

    Peace !

  6. @Mon Adjudant: Mord-les, la honte anti-nationale et anti-républicaine empire avec l’armée de métier, faut nettoyer au karcher l’institution de toute cette racaille raciste, nazie, sexiste, xénophobe et/ou homophobe (cf. Canard enchaîné de cette semaine, un exemple parmi dix milles). Mes respects.

  7. T’as raison Aslan…
    Denis Robert – Farinet,
    même combat pour la LIBERTÉ
    Mai 2008…joyeux anniversaire…

  8. Moi je kiffe tout de A à Z.
    Super émission. Bravo.
    C’est peut-être bien le meilleur Sous Les Pavés d’ailleurs…

  9. Plus on s’approche de la vérité, plus on est attaqué .
    Nous avons la preuve que Denis Robert a mis le pied dans la fourmilière . Attention danger !
    Si ses révélations n’avaient pas touché le point sensible, il n’aurait pas été inquiété .

  10. Bravo et merci pour cette émission.
    Bravo, bon courage et merci à Denis Robert.

    (Et je comprends le côté « j’en ai ras-le-bol mais si c’était à refaire je ferai pareil »)…

  11. La liberté est grise et elle coûte cher.
    Pas d’institution derrière lui pour couvrir tous ses frais.
    Il faut avoir un « privé » du tonnerre pour tenir le coup alors que rien ne tourne rond.
    On quitte cette émission avec le lièvre après lequel chacun court.
    Le sien est du tonnerre. Son lièvre a une âme. Le pouvoir ne peut le supporter. De plus, étant donné la course qu’il même, il s’est fait léger comme une plume. La multinationale tente les feux croisés venant de Suisse, du Canada,… pour l’abattre.
    Je crois très fort à la parole du grand-père comme gilet pare-balles

  12. Bravo pour ces pavés là…Superbe !

    Denis Robert a depuis longtemps ( et bien avant Clearstream )toute mon estime et mon admiration pour son travail de journaliste…Comme ces quelques rares qui font encore leur boulot ( dont l’équipe de la TLL) courageusement…et avec leur maladresse parfois, leur crédulité aussi, ce sont des hommes …ils sont faillibles..et humainement respectables !

    Profitons de leur parole au lieu d’ aller chercher la failure….
    Bientôt, ils seront sur une autre liste : celle des espèces en voie d’ instinction.
    Protégeons les, soutenons les….

    Et pourquoi pas aller fêter Mai 68 avec Dany non pas « Sous les pavés » mais sur les terres de Farinet, tous ensemble, un pavé dans une main et un verre de jus de treille dans l’autre ?

  13. bravo et merci à Denis Robert. Très bonne émission.
    à la pédence de Valdiguié, le point levé de Pialat était bien envoyé…
    hâte de lire cette course poursuite après le lièvre imaginaire du pépère éméché.
    Valdiguié s’en fout, il a depuis longtemps rattrappé la limace de ses aïeux!

  14. Excellent, LTL !
    Nonobstant le fait que j’apprécie Denis Robert depuis un certain temps (depuis ses premiers livres sur les affaires, ‘Pendant les affaires, les affaires continuent’, ‘La justice ou les chaos’, etc.) et que vous lui laissez, enfin, la possibilité de s’exprimer (sur lui, Clearstream, les lièvres, la presse, …), tout en le ‘bousculant’ juste ce qu’il faut, j’ai beaucoup apprécié le ‘panel’ de la presse que vous avez pu constituer pour ce débat. Un journaliste de bakchich, en représentant d’un certain journalisme d’investigation à la ‘Canard Enchainé’ version web, Denis Robert, digne représentant du journalisme d’investigation et Paris Match … pour le journalisme ‘formaliste’ (pseudo psychologiste, s’attachant plus à la forme qu’au fond, faisant copain-copain en tutoyant son vis-à-vis tout en lui envoyant des petites saloperies dignes du ‘journalisme’ que nous avons maintenant). On pourra toujours reprocher à Denis Robert certains ‘écarts’ de forme, encore faut-il que ceux qui lui en font le reproche soient irréprochables sur ce sujet (Paris Match notamment ou même Bakchich). Le plus intéressant a été de donner à voir les ‘impasses’ ou les limites de l’enqupete journalistique, dans ses différentes formes. Bakchich et sa recherche, parfois, du sensationnalisme (et le mode d’élaboration d’une ligne éditoriale), Paris Match et son approche ‘formaliste’, les libertés d’un Denis Robert (n’appartient pas à un groupe de presse, ce qui limite les pressions de tous genre) mais aussi ses limites : solitude, stress, attaques des groupes visés sur le point sensible, l’argent. D’où la nécessité qu’un média comme LTL prenne une place dans le ‘paysage’ médiatique : indépendant (encore bravo pour avoir montré les coulisses de votre émission et le bénévolat de votre équipe), non focalisé sur une thématique (risque récupéré par Clearstream notamment, avec sa dénonciation falacieuse de la ‘complotite’ de Denis Robert) et collectif (réseaux, appuis et regards extérieurs des uns sur le travail des autres, …). Reste que l’argent, en cas de gros pépin dû à une affaire costaude, sera l’angle d’attaque de tous les intérêts financiers, quelque soit le type de journalisme exercé.
    LTL, avez-vous mis des noisettes de côté, au cas où … ?
    En tout cas, le pinard devait pas être mauvais, vu que vous l’avez mis dans une carafe à décantation : Chablis ? Sancerre ?
    Sympa, ce côté ‘off’, tout en étant ‘on air’.
    Sous les pavés, on respire la part des anges !

  15. @mobensim: en plus elle appartient au dalaï-lama la vigne à Farinet, ça fait une raison de plus pour y aller cette année…

  16. Miam!!… Merci pour ce Pavé aux petits oignons, Merci d’avoir donné la parole à Denis Robert et à son travail, et à la controverse qu’ils suscitent. Un constat: le pouvoir est financier (et une porte ouverte, une), et il nous tient par les couilles. Ce que j’aime chez Denis Robert c’est d’avoir su décortiquer les process d’évasion fiscale et de blanchiement, les réseaux d’entente, et le cynisme de leurs acteurs, et surtout de l’avoir divulgué à l’ensemble des citoyens dans un langage accessible à tous. Non Denis Robert n’est pas un personnage, c’est une personnalité, la différence est dans l’authenticité de son être. Ces enquêtes font mouche et piquent au vif les professionnels corrompus aux capiteux capitaux. Autrefois, la CIA se vantait de tenir la rédaction de près de 350 organes de presse et de pouvoir ainsi manipuler l’information acdcessible aux citoyens (ce qu’elle fit pour, par exemple, masquer les réussites spatiales soviétiques des années 50). Maintenant ce sont les financiers qui détiennent les pouvoirs politiques, médiatiques et économiques: circulez, y’a rien à voir.
    Par contre, j’aurais aimé avoir le sentiment de Denis Robert sur les manipulations de l’affaire clearstream, en particulier sur l’utilisation de cette affaire par d’un côté Villepin et Chichi, et d’autre part Sarkozy. Est-ce qu’il ne pense pas que ce dernier a bien tiré les ficelles par derrière pour éventuellement écarter Villepin de la course à l’élysée en lui donnant un fichier caviardé dans lequel figurait son nom en guise d’appât?….
    J’attends avec impatience le Pavé avec Daniel Cohn-Bendit!!
    Décidément, on est gâté…

    Au fait, c’est quoi que vous picorez à l’apéro avec ce superbe blanc à la robe délicate???

    Encore merci au dévouement des tous ceux qui font la TéléLibre et à la qualité de votre travail.

  17. @ John Paul et toute l’équipe
    Super « Sous les pavés », encore bravo à Denis Robert, et moi, le rédac – chef de Paris Match, il m’a un peu gonflé, le genre de mec bien au chaud dans les pantoufles de sa rédaction parisienne, qui se permet de faire la leçon à Denis….j’en ai connu plein les chaînes de tv des comme-ça, et en général, ce sont les plus gras du bide…

  18. @ giorgio: c’est sans doute parce que Paris-Match n’aime pas qu’on les concurrence dans le journalisme d’investigation… ils savent bien, eux, ce qu’est le Vrai journalisme indépendant des pouvoirs politiques et des lobbys divers…

  19. @LTL : Je ne sais pas ce que vous avez fait lors de votre maintenance ce matin, mais depuis je trouve que le site rame beaucoup…

  20. c’est juste ça que j’ai dit Georgio @21 ! mais … tu as de ces mots …
    plus convaincants !

  21. Contre Paris-Match, le poid des mots suffit, y’a pas besoin de photos…
    poil au dos…

  22. Merci à toute l’équipe de la TLL !
    J’ai pas trop de flouss mais je vais faire un effort pour vous : vous le méritez: depuis qu evous existez, j’ai éteint ma télé.
    Tiens, une idée : je vais la revendre et apporter mon obole à la TLL.

    @Giorgio : merci pour l’invit. je vais tenter un covoiturage pour le 26 !
    et encore respects à Denis Robert !!!!

  23. Mobensim: Pour la fête à Farinet, comment envisagerais-tu la chose? Contacte moi sur mon blog, ça pourrait m’intéresser une petite balade dans le Valais…

  24. Le plus important, pour moi, c’est de faire la séparation entre ce qui concerne ce que Monsieur Denis Robert a fait, le dévoilement du système des chambres de compensation, et la vie de Mr Robert.

    A tout instant, les attaques personnelles (voire même les commentaires amicaux) viennent en quelque sorte polluer le fond.

    Et ça m’énerve.

    La vie de Monsieur Robert N’A RIEN A VOIR avec ce qu’il apporte.
    Même si elle a évidemment son importance, la question est simplement AUTRE.

    Lorsqu’on pinaille sur le pourquoi du comment Mr Robert a fait ceci ou cela, on fait DIVERSION. Et certains le font manifestement volontairement.

    L’acharnement judiciaire démontre la peur des assaillants.

    Elle montre aussi le début de la fin.

    Tel Dracula surpris par le chant du coq.

    Respect.

  25. Au delà de l’intérêt du travail de l’invité qui nous a été un peu mieux expliqué, je trouve que cette séquence en dit long sur le travail des journalistes, y compris ceux qui sont à l’oeuvre. Je pense en particulier à Mr Paris Match qui n’a de cesse de vouloir faire dire à DR ce qu’il voudrait qu’il dise. Il est dans une attitude d’imposer un point de vue sous prétexte d’analyse et non dans l’attitude d’écoute attentive qui devrait permettre de poser les bonnes questions donnant à DR les moyens d’exposer clairement sa position.

  26. Emission dans laquelle l’humanité prend son vrai visage : d’un côté Denis Robert qui parle des valeurs (la justice, la recherche de la vérité) qui guide sa vie d’homme et de l’autre, le journaliste de Paris Match cynique, donneur de leçons qui glisse sur l’opportunité, ce qui fait vendre, ce qui plait à l’opinion (même s’il le regrette) et sous pretexte que le monde est comme ça et que des élus peu scrupuleux se fassent réélire justifie ses positions de journaliste sans conviction, minimise le travail de son confrère, comme pour s’exonérer de la médiocrité du sien…. La conformité, le déni ont mené certains hommes au pire et je ne sais pas si ce journaliste dit et agit consciemment ou inconsciemment mais il ne m’inspire pas beaucoup d’estime et je ne serai pas surprise qu’il ne s’estime pas beaucoup non plus, alors que Denis Robert essaie de comprendre, d’analyser, d’informer en faisant le pari que des citoyens pourront se forger leur libre arbitre fussent-il peu nombreux. C’est une autre conception du journalisme et des humains, non réduits au statut de clients… Et même s’il ne parvient pas à modifier ce monde, cet homme fait sens, agit et ne peut qu’ inspirer de l’estime, de la reconnaissance car lui, au moins, essaie de faire concorder ses attitudes avec ses comportements. Nous sommes peu visibles mais surement nombreux à penser ainsi et à apprécier son travail et ses qualités humaines comme les votres à la Telelibre. Merci.

  27. génial méga super….. je ravale ma salive car je pensais la télélibre mourante, excusez moi, mais je pensais qu’elle avait déjà dévié de son principe fondateur de parler des mêmes sujets que les autres mais sous un angle différent.

    Mas cette émission est la première où j’ai compris « les affaires clearstream ». Et alors de voir ce Denis Robert, un peu seul contre tous qui se bat pour une cause juste contre des combattants surarmés……ça fait du bien, ça donne de l’espoir de voir que tout le monde n’est pas résigné.

    Et alors mention de puanteur de vomi au monsieur de chez Paris Match qui donc quand ils sortent une enquête fouillé , c’est au mieux le décryptage des déjections de la chienne de Michel Drucker : et ce mec là se permet d’expliquer la vie à Denis Robert en lui disant : oui en 2004 t’aurais pas du faire ci ou là : on croirait entendre guy carlier refaire le match du PSG de la veille dans France 2 foot en disant que pauleta auarit du faire un centre en retrait plutôt que une aile de pigeon….. C’est dingue!!!! Ce type est à vomir et moi sur le plateau je me serais permis de lui rentrer dans le lard!

    Continuez mais remettez les invités à leur place quand ils puent du bec!

  28. La majorité des journalistes, actuellement, ont laissé tomber un pronom interrogatif en route .
    Ils savent toujours montrer : qui ? quoi ? où ? quand ? comment ? (à la rigueur) . Mais leur cerveau ne sait plus dire : pourquoi ?
    On expose les situations, sans se poser de questions !
    Ainsi, plus de soldats en Afghanistan . Pourquoi ?
    Supprimer des postes de fonctionnaires et faire des économies . Pourquoi ? A quel usage iront ces économies ?
    Alors, quand une personne sérieuse se pose des questions de fond et y répond, qu’il soit journaliste où non, on prend . La carte de journaliste n’est pas un gage d’information réelle, ni de vérité, ni de profondeur de réflexion .
    L’avenir du journalisme d’investigation semble être de plus en plus voué à se retrouver dans les mains de quelques amateurs zélés, désireux de dénoncer des mafias, des injustices, des malhonnêtetés dont ils sont témoins et qui les révoltent .
    Je crois au journalisme d’investigation mais ceux qui le font, même s’ils doivent décrire scrupuleusement tous les détails techniques, ne devraient pas oublier de préparer simultanément une explication simplifiée des faits pour un public majoritairement néophyte .
    Presque tout le monde s’y intéresse, à condition que l’exposition des faits soit pédagogique et digeste .

  29. Tu as raison lucie. le journalisme d’investigation est en crise je pense. Il va falloir que les journalistes se réveillent. Avis à La Tele Libre. un bon petit truc bien fouillé, vous savez faire ça?

  30. Excellente émission dûe surtout à la lecture de la journaliste qui avait lu le livre et au travail de Denis Robert.
    On sent l’émotion de la journaliste devant le poids à porter des actes.
    Un travail comme celui de Denis Robert empêche qu’il y ait plus de psychiatrie. La société devrait l’en remercier. Et la sécurité sociale financer ses procès tellement son travail a démontré qu’il faisait office du meilleur des anti dépresseurs.

  31. Il m’impressionne ce rédac chef de Marie Patch. J’espère qu’il est bien payé parce que çà doit lui coûter cher de se faire raser tous les matins par un barbier. Il ne doit pas y avoir beaucoup de miroirs chez lui.

  32. Bonjour,

    Cela fait maintenant longtemps que je visite le site de la telelibre mais je n’ai jamais réussi à visionner une vidéo. Je pensai que cela était dû à l’horaire d’affluence du web mais en ce vendredi midi je ne pense pas que ce soit le cas.

    Je suis sous Fedora Linux, j’ai bien la dernière version du plugin Flash d’Adobe. Que puis-je faire ?

    Merci d’avance.

  33. Merci à vous pour cette émission…
    Encore Merci à Denis pour son travail…
    Par contre petit commentaire perso moi qui suit depuis longtemps le travail de Denis… Outre les révélations essentielles de DR sur le clearing, je pense que sont travail a d’avantage contribué à mieux cerner la profession de journaliste que les échanges de capitaux… En effet votre entretien a clairement montré les carences de certains journalistes sur le dossier étudié… n’est-ce pas M. Paris Match et M. Lepers, oui des transactions ont bel et bien été effacés, il suffit de connaître le dossier (enquête parlementaire justement rappellée par Denis). Que des tourrents d’insignificiance soit quotidiennement déversés dans nos oreilles par les journalistes des grands médias soit, ils sont payés pour ça… mais que des journalistes de la télé libre qui se réclame d’un média libre fassent des approximations sur les dossiers qu’ils traitent est plus problématique. En conséquence finit les pirouettes du journaliste qui parle d’un livre qu’il n’a pas lu, on commence à connaître les ficelles et le plus problématique pour les journalistes c’est que l’on commence à les voir… Nous espérons beaucoup de vous journalistes à la télé libre, alors si un cybermédia apparaît essentiel à nos yeux, n’oubliez que seule le fond vous donnera de la crédibilité… Mais sinon c’était très bien… Denis Robert sait tailler ses crayons et s’en sert très bien, inspirez vous-en…
    Courage Denis !

  34. maintenant on comprend pourquoi certain travaille a match et d autre a la telelibre………

    long live Denis !!!!!!!!!!!!

  35. Excellente émission, merci LTL,

    juste un petit mot sur le redac-chef de paris match (je ne me souviens pas son nom mais je n’ai nullement envie de le savoir):

    sa fixation sur le « personnage » de Denis Robert en dit long, je crois, sur sa conception du journalisme. Il considère sa profession comme, finalement, de la communication. C’est la même maladie qui ronge la politique aujourd’hui. On se retrouve avec des experts en communication, mais qui ont oublié leur cœur de métier et ne se concentrent plus que sur la propagande.

    Je continue à soutenir DR, nous avons besoin de gens comme lui.

  36. Article de mon blog http://www.pensezbibi.com

    Dimanche : je roule pépère dans ma voiture avec France-Info en fonds sonore. C’est un reportage qui dure, dure, dure sur le Luxembourg. On interroge une jeune femme sur la beauté méconnue de ce petit pays avec visite touristique très détaillée. On dit qu’il y a beaucoup de jobs ouverts pour les français avec Bac+3. Postulez ! Postulez ! Vos faiblesses en Anglais seront facilement surmontées.

    Je pense aussitôt à Denis Robert et à son enquête sur Clearstream, le Notaire du Monde, la Banque des Banques.

    Le Luxembourg ! Je me souviens avoir découvert ce pays non dans les dépliants touristiques mais dans mon acharnement à comprendre les rouages de cette chambre de compensation (Clearstream). J’avais dégotté les deux livres (Révélations et La Boite Noire de Denis Robert) dans la poussière d’Emmaüs. Depuis, ces troublants Trous noirs de la Finance mondiale ont sérieusement ébranlé ma naïveté et mis à mal ma représentation idyllique du Monde. La veille de ce dimanche, j’étais allé sur le site des amis de Denis Robert et j’avais passé une bonne partie de mon après-midi à visionner l’heure du débat sur latelelibre.fr. On y entendait Paul Valdiguié, le rédacteur en chef de Paris-Match, intervenir souvent. Il donnait de l’accolade et faisait copain-copain avec tous. Puis sur la fin, n’y tenant plus, ce journaliste finit par dire d’un ton condescendant, que « Denis Robert est un personnage ».

    Un personnage est, en deux mots, un ego expérimental. Ce n’est pas une simulation d’un être vivant, c’est un être imaginaire et à ce titre, il peut tout faire, tout dire. Veut-on taire et étouffer le travail de Denis Robert ? Alors, il faut dire que Denis Robert « théâtralise », qu’il est «fascinant dans sa façon de mélanger le réel à la fiction ». Et cette fascination exercée par Monsieur Robert serait de… s’inventer sa propre «mise en scène ». Oui, oui, il est assurément un bon écrivain mais… dans le domaine financier, il est moins intéressant, n’est-ce pas ! Le tour de passe-passe est là, dans ce nœud où Laurent Valdiguié tente de brouiller les pistes en taisant le saut allègre qu’il effectue : il déconsidère le Réel en le rabattant sur l’Imaginaire et l’être quasi-imaginaire qu’est Denis Robert-écrivain-de-littérature. « Denis Robert est un poète. Un Jules Verne de la finance ». Edwy Plenel, de son côté, nous joue la même musique : « Denis Robert est l’inventeur de Clearstream ».

    Au final, de quoi parle Laurent Valdiguié dans cette prise de position ? Il parle de… sa propre approche journalistique et des fictions qu’il assène chaque semaine via Paris-Match, journal partagé entre les fictions romanesques de Monaco (Stéphanie-Caroline-Albert) et les états d’âme romantiques de l’Elysée (Cécilia-Nicolas-Carla). “Personnage” ? Guignol… ? Comme qui dirait : c’est-celui-qui-y-dit-qui-y-est.

    Car imaginaires seraient les listings Clearstream et les milliers de comptes ouverts dans les paradis fiscaux ( consultables sur le site http://www.dominationdumonde.blogspot.com)? Imaginaires les transactions, les comptes non-publiés ? Fictifs les 106 pays représentés à Clearstream dont plus de 40 sont des paradis fiscaux ? Créées de toutes pièces les filiales de banques honorablement connues (BNP, Crédit lyonnais, Société générale?)? Inventé le témoignage de Régis Hempel l’ancien chef de l’informatique qui assure que la firme effaçait des transactions pour en dissimuler la provenance ou la destination ?

    Denis Robert est d’autant plus suspect qu’il n’est plus dans les petits papiers des rédactions et qu’il n’appartient plus à la profession qui fait profession d’être le témoin « objectif » du Monde et de sa Marche. Pourtant plus de 700 journalistes lui ont apporté leur soutien. Pas ceux non plus, bien sur, de Charlie-Hebdo dont on soulignera que Richard Malka, l’avocat de la Banque des Banques qui traine Denis Robert de procès en procès, est celui-là même qui défend… Charlie-Hebdo !

    Pendant ce temps-là, les procès contre Denis Robert et… les affaires continuent : sur l’année entière 2006, Clearstream a enregistré 24,51 millions de transactions, soit une hausse de 20% par rapport à 2005. La société Clearstream refuse toujours tout regard public sur ses comptes et ses transactions qui s’élèvent à hauteur de 250 fois le budget de la France ! Clearstream a ajouté récemment trois nouveaux marchés à son réseau international : la Croatie, la Turquie et la Russie. Il paraît que ce sera la prochaine couverture de Paris-Match : chiche Laurent ?

    Enfin, juste un dernier conseil à donner à notre grand journaliste : s’il veut penser BiBi, qu’il continue de travailler du chapeau en pérorant chaque semaine sur le séduisant… bibi porté Carla dans son dernier voyage de Princesse à Londres.
    http://www.pensezbibi.com

  37. Toute mon admiration et mon estime à Denis Robert : votre lièvre est aussi le nôtre à tous;
    Tous mes remerciements de citoyen à ceux qui lui donnent une tribune et se battent aussi, comme les gens de LTL.
    Hé, les gars, on se présente quand aux élections (on veut que ça bouge ou pas?) ?

  38. L’émission est vraiment très très bien, bravo( sauf un moment dans la troisième partie un peu confus).

    Même si cela à déjà été soulevé, l’attitude de M redac chef de Paris Match est insupportable. Il est évidement intéressant d’avancer des contre arguments, ça fait avancer le débat. Mais adopter une position Monsieur-je-sais-tout de la part de quelqu’un qui est à la tête d’un magazine qui n’a vraiment pas de leçon de journalisme à donner, ça confine au ridicule.

  39. On voit bien le pot de fer contre le pot de terre.
    Et combien ce Denis Robert est sympathique, honnête et si seul.
    La pourriture (et sa puissance) de notre monde est incommensurable.

    Le journaleux de Paris-Match (Laurent Valdiguié) est très désagréable – on dirait un type pris dans le monde des intrigues, incapable de se mettre à la place des autres, ici de DR, ceux qui font leur boulot par conviction … Un type pas clair, douteux de non compréhension ou de volonté de ne pas comprendre – ce qui n’est pas mieux. Affligeant.
    Le pire c’est qu’il continue tout le long du film – Il (Laurent Valdiguié) semble qu’il ait une thèse, réduire au mieux ce que dit DR de façon à rendre son propos sans intérêt, au mieux abscons, au pire douteux. Un vrai travail de sape. Si encore il faisait l’avocat du diable – non c’est plus subtil …

    Un grand bravo à chacun des participants, des artisans de ce travail, du bon et beau boulot qui devrait perdurer par sa qualité.

  40. Gerbant, le journaleux Laurent Valguié. l’exemple typique des agents de la désinformation et de la manipulation de l’info. un vrais porc.

    merci pour l’émission! bravo aux bénévoles du spectacle ! et courage a toi Denis!