[DOC] Angels
Publié le | par La Rédac'
« Angels », un documentaire de Sarah Franco-Ferrer, raconte six portraits de personnes précaires
Les destins tragiques de 6 « anges déchus »
Alcool, prison, misère et surtout manque d’amour, la réalisatrice Sarah Franco-Ferrer est allé à la rencontre de ceux qu’elle appelle des « anges déchus ». LaTéléLibre est fière de vous proposer ce beau documentaire.
Ce film a été sélectionné au Festival International de Films de Femmes à Créteil, au Festival International du Film d’Amiens, au Festival International Ciné-Vidéo-Psy de Lorquin et il tourne dans divers organismes humanitaires, associatifs, médicaux et militants.
Ci-dessous, une critique parue dans « Hommes et Libertés », le journal de la Ligue des Droits de l’Homme.
Les commentaires (6)
Merci pour ce documentaire,
à bientôt
Ange ou démon de la conscience dans le contraste de la manipulation immaculée technologique ambiante que peut être la reconnaissance de sa propre décision aux choses face aux temples des décideurs…
Quant à accepter que son regard d’enfant se soit trompé ou de le plonger dans le bassin de la cour des grands…
Album Limousine 2006.
Merci la télé libre de nous faire partager ce genre de docs, pertinents et impertinents, visionnaires mais pas voyeuristes, et tout simplement humains !
et merci à Sarah Franco Ferrer pour voir et filmer les hommes et les femmes de la rue comme des hommes et des femmes avant tout.
Hé! oui; on y croit, on y croit; what else…?
http://www.dailymotion.com/video/xh73e4_panique-bancaire-en-coree-du-sud-5-banques-fermees_webcam#from=embediframe
Aucun intérêt…
C’est un beau travail d’approche par petites touches de paroles, jamais misérabiliste…avec des images de la vie qui va, en filigrane …parfois trop présentes me semble-t-il …
C’est d’abord leur regard qui intéresse. Et on s’ y attache très vite.
Oser un film avec pour sujet la douleur, l’inaccompli, l’erreur,l’irréparable …c’est ce que fait Sarah Franco Ferrer.
Passer entre les pièges , les clichés, les parti-pris, le projet est presque atteint.
L’approche est respectueuse malgré les questions froides qui claquent dans le vide .
Mais ces gens sont si étonnants qu’ils savent discrètement, d’instinct, se mettre à la mesure de nos incompétences .,cherchant à rattraper leur vie effilochée pour nous la tendre , en morceaux épars .
La musique aussi est discrète, belle accompagnant les vertiges d’une existence qui ne renonce pas à la vie .
» Et maintenant …
Que vais-je faire de … »
Et maintenant, se laisser prendre par ce film, c’est comprendre qu’on n’en sortira pas indemne .
Et maintenant, comment aimer tous mes prochains ?