JACQUES CHIRAC, LE 21 AVRIL 2002
Publié le | par La Rédac'
Jacques Chirac ne briguera pas un troisième mandat, c’est officiel. Dans son allocution effectuée le 11 mars 2007, il l’a confirmé. Il a également dit que les français se devaient de toujours lutter contre les extrêmismes. Pour illustrer ce jour, nous avons sorti de nos caisses, un collector tourné le 21 avril 2002…
Il était 20 heures, et c’était le choc. C’était Le Pen qui allait affronter Chirac au deuxième tour. Jospin était hors course et annonçait » se retirer de la vie vie politique » à la fin du deuxième tour de l’éléction présidentielle. Allan Rothschild avait réussi à sa faufiler à l’intérieur du Tapis-Rouge, siège de campagne de Jacques Chirac. Aucune caméra n’était autorisée à y pénétrer. Caméra Dv dans le sac, Allan réussissait à immortaliser l’instant. Officiellement, l’heure n’était pas l’expression de mouvements de joie. L’heure était grave. Mais au « Tapis-Rouge », très vite, les militants pro-Chirac criaient à la victoire. Ils savaient tous déjà qu’ils avaient gagné mais il ne fallait pas le dire.
Les commentaires (4)
« Il a également dit que les français se devaient de toujours lutter contre les extrêmismes. »
Il s’agit donc de savoir contre quel extrémisme lutter. La peur du fantome nazi qui ressurgirait dans les années 2000, ou l’extrémisme économique libéral qui paupérise la France et crée des milliers de nouveaux chomeurs et travailleurs précaires par jour.
Personellement, mon choix est fait.
Merci à J P L et son equipe d’apporter un autre point de vue .Continuez de nous INFORMER .
Cordialement .
comme dit le pen et seguin: le record d’ abstention symbolise le desintérêt des français pour les politiciens actuel donc une crise de la politique. 5 ans plus tard on remet le couvert , toujours pas de reconnaissance du vote blanc !
les abstentionniste et ceux qui votent blanc sont t’ ils des extremistes?
@bonjour
Il n’y a pas de choix à faire entre les deux extrémismes que vous citez. Les deux doivent combattus, d’autant plus qu’ils sont liés.