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PETIT DINER CHEZ LES PETIT-GILLE

Publié le | par

RENCONTRE AVEC NOS CORRESPONDANTS À PERPIGNAN

Agnès Gille et Christophe Petit réalisent régulièrement des reportages pour LaTéléLibre. Lors du tournage de notre dernier doc sur les gens du voyage (qui sera diffusé fin septembre sur France 4), nous leur avons rendu visite. C’était pour nous aussi la première rencontre. Merci à eux pour leur accueil!

John Paul Lepers
Image: Matthieu Martin
Montage: Anthony Santoro

UN ARMENIEN SANS PAPIERS SE PEND, SA FAMILLE RESTE

UN DIMANCHE A PERPIGNAN Dimanche 21 juin. C’est le début de l’été. C’est le début de la fin du rocambolesque feuilleton de la « fraude à la chaussette » avec le premier tour des municipales. Au milieu d’un rond-point du centre-ville, un homme se pend : on ne pourra pas … [suite…]

Publié le 5 août 2009


NICOLAS ET CARLA FONT CACA

PORTE-BONHEUR CATALAN CHIC Après la poupée vaudou, voici les Sarkozy en mauvaise posture! La première fois que nous avons rencontré ces étranges petits personnages, c’était au pied de la cathédrale de Gérone qui en avait vu d’autres… des culs . En 2009  c’est à  Carla de se déculotter. L’année … [suite…]

Publié le 6 janvier 2009


OBAMA “NO HAY COLOR”

OBAMA ET LES LATINOS Agnès Gille et Christophe Petit, nos correspondants à Perpignan on franchit la frontière des Pyrénées pour rencontrer les “latinos” habitants à Figueras, en Catalogne (Espagne).

Publié le 17 novembre 2008


PERPIGNAN, L’HOMME QUI A VU LA FRAUDE

TEMOIGNAGE CHAUSSETTES, ON ATTEND LE PRINTEMPS A PERPIGNAN Rappelons que le 7 octobre dernier les élections municipales ont été annulées par le tribunal administratif de Montpellier suite à une fraude avérée dans le bureau numéro 4, où le président avait été trouvé avec des bulletins dans ses … [suite…]

Publié le 26 octobre 2008


PERPIGNAN : LA JOURNÉE DE JUSTICE

Réactualisé le 14/10/08… [suite…]

Publié le 11 octobre 2008



PHOTOJOURNALISME : CARLA OU DARFOUR?

INTERVIEW Le Festival Visa pour l’Image se tient à Perpignan jusqu’au 7 septembre, pour que vive le photojournalisme! C’est dans les locaux de l’hôtel Pams à Perpignan que Jean François Leroy nous a accordé cette interview lors de l’un de ces déplacements pour préparer la vingtième édition de … [suite…]

Publié le 5 septembre 2008


JUST MARRIED, JUST EXPULSED?

Comment prouver à l’administration qu’on s’aime vraiment ? Juliette, 26 ans, est française. Samir, 26 ans, est algérien. Dans la peur, ils ont réussi à se marier en décembre 2007, mais lui est sous le coup d’une OQTF, “obligation de quitter le territoire français”. Récit d’un couple dit … [suite…]

Publié le 13 juin 2008


LES ROBINS DES MERS – LA SUITE, A PERPIGNAN

PÉTROLE CHER A l’heure où la grogne dépasse les frontières hexagonales et où l’Eurogroupe doit étudier la proposition française de plafonnement de la TVA pour les produits pétroliers, voici un reportage de nos correspondants à Perpignan, nouvelle immersion dans le monde des pêcheurs “qui n’ont plus rien … [suite…]

Publié le 2 juin 2008


SANS-PAPIERS: C’EST QUOI LA CIMADE?

TÉMOIGNAGES Depuis quelques jours, la Cimade est montée en première ligne pour réclamer la régularisation des sans-papiers qui travaillent dans des domaines “en pénurie de main-d’œuvre” tel que défini par la loi sur l’immigration. C’est avant ce coup d’éclat médiatique que nos correspondants à Perpignan ont rencontré une bénévole … [suite…]

Publié le 29 avril 2008


LE MUR DE LA MÉMOIRE CRÉE LA DISCORDE

MÉMOIRE DE GUERRE D’ALGÉRIE Le 25 novembre 2007 un mur à la mémoire des disparus de la guerre d’Algérie a été inauguré à Perpignan en présence de M. Marleix, secrétaire d’Etat aux anciens combattants de l’époque. Ce mur commémoratif n’a pas vraiment cessé, depuis, d’alimenter la discorde. A l’heure … [suite…]

Publié le 15 avril 2008


DÉNI DE DÉMOCRATIE A PERPIGNAN

Interview de Jacqueline Amiel Donat A Perpignan, le président du bureau de vote n° 4 est pris, dimanche 16 mars, jour du 2ème tour des municipales, en flagrant délit de “fraude électorale présumée” avec des bulletins de vote dans les chaussettes. Le fraudeur est par ailleurs frère d’un … [suite…]

Publié le 28 mars 2008


FRAUDE A LA CHAUSSETTE A PERPIGNAN

A Perpignan, un président de bureau de vote a été pris, ce dimanche soir, en flagrant délit de “fraude électorale présumée” avec des bulletins de vote dans les chaussettes. Depuis, un feuilleton local commence. M. Garcia, Claude de son prénom, a été pris en flag dimanche, lors du deuxième tour des … [suite…]

Publié le 19 mars 2008

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Les commentaires (13)

  1. Trés intéressant! On sent que se sont des gens « du cru » concernés et instruits de la région qui ont plein de choses à dire sur son devenir, sa culture, sa langue et sa population et l’on comprend mieux quand on est de Perpignan, pourquoi ces vidéos sont si peu intéressantes ( caganers, chaussettes etc..) quand elles ne sont pas à la limite de l’obscene ( la dernière en date). Une vidéo copinage ?

  2. Un petit bonjour à Agnès et Christophe, qui, malgré l’appellation
    « Eau Gazeuse », n’ont pas l’air sectaire, quand à leurs boissons rafraichissantes…salut à JPL et à la t’it bande…

  3. c’est vrai a chaque rencontre avec JPLP le lobby des industries alcoooliques marque des points: suze ricard deux bouteilles de pinard et un brot d’eau brita pour les bobos! c’est « Dubon Dubonnet…Libre »

  4. Des correspondants bien sympathiques ! J’aime beaucoup leur travail, et leur approche « humaine » du reportage. Bon d’accord, le dernier était pas top du tout, mais tout le monde a droit à l’erreur.
    En ce qui concerne l’élection municipale, elle s’est plutôt mal terminée puisque Alduy a été réélu le 28 juin avec 53% des voix. Et ce, malgré la fraude dont son camp s’est révélé coupable…
    J’ai lu quelque part que c’était souvent le cas. Allez comprendre !

  5. Consternant!
    Eux sont de dignes représentants du « trou du cul de la France ».
    La télé-libre de brasser du vent comme les autres médias.
    « J’ai rien à dire mais je le fais savoir »
    Quant aux post-onanistes, Allez en pets!

  6. franck , ce n’est ton style !!! on t’a fauché ton pseudo ou quoi ?
    C’est vrai que dans chaque coin de notre beau pays , on trouverait les mêmes gens imprégnés de leur culture … qu’il n’ y a pas de quoi faire sauter un bouchon de champagne … mais un petit  » pastaga  » … pourquoi pas ! Car ceux- là se sont dévoués à la chose publique , non ?

  7. Justement non et j’en ai marre de cette complaisance, de ces sujets bateaux ressussés même pas digne de téléréalités et qui occultent les vrais questionnements pour faire place à « débats » narcissiques qui n’apportent plus rien mais plutôt nous maintiennent dans une autosuffisance stérile de trou du culs. Depuis quelques temps l’ intérêt de ce site pour moi ne résidait plus que dans la lecture des posts… je crois que désormais il y a plus urgent et important à faire que passer du temps sur ce site qui participe à mon sens désormais à la pensée régressive.
    Il faut vite choisir son camp maintenant et il n’y en a hélas plus que 2 à mon sens, et la télé-libre ne fait plus partie du mien. Allez donc en PETS et inutile de me répondre je ne suis plus là.

  8. Calme-toi Franck Einstein ! C’est l’été, et il est normal que la TéléLibre prenne quelques repos… L’été, c’est l’époque des rediffusions et des sujets légers ! Nous-mêmes, français moyens mais néanmoins concernés, n’avons pas forcément la tête au militantisme ces temps-ci !

  9. L’Amérique pourrait bien aller en enfer et y entraîner le reste du monde

    Le journal Le Monde a publié ce récit de Bernice King ce 17 février 2008. On risque de ne plus le trouver d’ici quelques temps.Je le place donc dans mes pages permanentes. Bernice King est la plus jeune des filles de Martin Luther King, elle parle de l’héritage spirituel de son père, de ses combats actuels et des USA.

    Quand j’ai eu 7 ans, j’ai annoncé à ma mère que je serais la première présidente noire des Etats-Unis. Moi, Bernice King, fille de Martin. Ou alors, disais-je, la première chef noire de la Cour suprême. Pour une petite fille timide qui laissait volontiers ses deux frères et sa soeur aînés répondre à sa place, j’affichais de l’ambition ! Mais mon expérience d’une certaine vie publique et des traumatismes qu’elle engendre m’a vite convaincue que le job de président n’était pas pour moi. .

    Alors j’ai rêvé de devenir avocate. Je regardais avec passion la série « Perry Mason » à la télévision. C’était un avocat courageux qui débroussaillait les affaires les plus compliquées et les concluait par de formidables plaidoiries. Je me voyais parfaitement dans sa peau et mes camarades aussi, qui raillaient mon obsession de la justice et de l’argumentation. Très vite donc, je me suis mise dans la tête que je ferais du droit.

    . Etre la fille de Martin Luther King est une belle responsabilité. Mais quel fardeau ce fut pendant mon enfance ! Heureusement que nous avions maman qui, avec délicatesse, veillait à ne rien rajouter sur nos épaules. Il y avait déjà tellement d’attentes à notre égard ! Tellement d’expectatives ! Les enfants ont toujours tendance à se mesurer à leurs parents. Mais dans notre cas, le modèle paraissait tout simplement inatteignable. Notre père était considéré comme le leader moral de l’Amérique ! C’était écrasant pour nous qui ne rêvions que d’être normaux et insouciants.

    . Je n’avais que 5 ans quand mon père a été assassiné, et il m’a terriblement manqué dans ce qui fut une enfance pour le moins singulière. Pendant longtemps je me suis cherché des pères de substitution. Depuis mon oncle A. D., le frère de papa, qui est mort noyé l’année de mes 6 ans, jusqu’au vice-président Hubert Humphrey qui, me prenant sur ses genoux lors d’un déjeuner à la maison, m’avait conquise en m’offrant de la glace ! Il me fallait absolument un autre père ! Chaque année, son anniversaire (15 janvier) était l’occasion d’une semaine de manifestations et de cérémonies au Centre King, et des tas de gens célèbres passaient nous voir. J’ai connu tous les présidents des Etats-Unis, assisté à l’inauguration de Carter à la Maison Blanche, rencontré Reagan, embrassé Mandela, dîné à la maison avec Oprah Winfrey. Et quand les Jackson Five ont débarqué chez moi, ce fut carrément la gloire auprès de mes copains ! Maman nous a emmenés, mes frères, ma soeur et moi, dans de multiples voyages, à l’ONU (où je l’ai remplacée, au pied levé, encore adolescente, pour prononcer un discours qu’elle avait préparé), aux conventions démocrates…

    . Et puis, à 17 ans, j’ai ressenti l’appel. Une voix intérieure qui me disait qu’à l’exemple de mon père, de mon grand-père, de mon arrière-grand-père et même de mon arrière-arrière-grand-père, je prêcherais dans une église, je serais pasteur. Je n’ai pas tout de suite compris, ou plutôt, pas voulu comprendre. Les pasteurs étaient pour moi des adultes imposants, responsables. Et moi, je voulais vivre ma vie d’ado, prendre mon temps, prendre du bon temps – à l’époque je buvais même un peu – faire toutes ces choses folles que font les adolescents. Surtout, je voulais définir ma propre identité. Et je sentais confusément que si je suivais la voie de mon père, je serais à jamais la petite fille du docteur King, perdue dans l’ombre du grand homme.

    . Mais comment savoir qui j’étais ? Comment trouver mon chemin ? J’ai tâtonné, malheureuse, déchirée par une série de deuils qui ont continué de frapper ma famille, comme l’assassinat de ma grand-mère qui jouait de l’orgue à l’église, et convaincue que j’avais une part de responsabilité dans ces tragédies successives. Un jour, en visionnant un documentaire consacré à mon père que j’avais déjà vu de nombreuses fois, j’ai craqué, et je me suis enfuie en larmes, anéantie, inconsolable. Tout remontait soudain à la surface et j’étais pleine de colère. Contre papa qui m’avait abandonnée. Contre maman qui prenait son relais. Contre les Noirs qui ne poursuivaient pas le combat de mon père. Contre les Blancs qui l’avaient assassiné. Et contre Dieu qui aurait pu empêcher tout cela. Contre moi aussi bien sûr, adolescente perdue, qui ne savais que faire de ma vie, la trouvant vide, sans aucune utilité.

    . Ce désespoir a culminé quand j’ai été menacée d’exclusion de l’école de droit où j’avais commencé des études. Ce jour-là, j’ai pris un couteau et voulu disparaître à jamais. Et puis j’ai entendu la voix. Celle qui me poussait au ministère et me disait que j’importais à certains… Quelques années plus tard, un jour de 1990, j’ai reçu simultanément mon diplôme de droit et mon diplôme de théologie. Le soir même, j’étais ordonnée pasteur. Après huit ans de résistance, j’avais trouvé ma voie. Dans l’Eglise, j’allais choisir de travailler particulièrement auprès des jeunes. Mes souvenirs d’enfance douloureuse me font ressentir une grande proximité avec eux. C’est sur eux qu’il faut miser, eux qu’il faut éduquer, protéger, eux auxquels il faut offrir de nouveaux modèles et références. On oublie souvent combien le mouvement pour les droits civiques était animé et suivi par de très jeunes gens et que mon père n’avait lui-même que 26 ans quand il a commencé !

    . L’époque actuelle est catastrophique. Et je suis troublée par le parallèle entre 1968 et 2008. Au moment où mon père a été assassiné, le 4 avril 1968, il préparait « la campagne des pauvres », une immense manifestation que devaient rallier à Washington des centaines de milliers de personnes et qui ne se disperserait qu’à l’obtention de mesures visant à mieux distribuer les richesses. L’argent devant servir à la guerre contre la pauvreté était alors englouti dans la guerre du Vietnam. L’argent pouvant servir à la préservation de la vie allait en priorité à la destruction de la vie. N’est-ce pas exactement ce qui se passe avec la guerre en Irak ? Le dernier sermon dominical que mon père avait écrit, mais que la mort l’a empêché de prononcer, s’intitulait : « L’Amérique pourrait bien aller en enfer ». Moi, je rajoute aujourd’hui : et elle pourrait entraîner avec elle le reste du monde.

    . Il est urgent qu’un grand changement se produise. Nous sommes à la veille d’une élection cruciale, et je ne sais pas si j’apporterai mon soutien personnel à un candidat. Je ne l’ai encore jamais fait. Les politiciens sont pris dans de tels étaux, phagocytés par leur parti, leurs électeurs, divers groupes d’intérêt. Je me focalise donc moins sur les personnes que sur certaines grandes questions à débattre avant de se rendre aux urnes. Là encore je pense à mon père. Trois maux, disait-il, rongent l’Amérique : la pauvreté, le racisme, le militarisme. Je fais le même constat. Avez-vous vu la propagande orchestrée autour du terrorisme depuis septembre 2001 ? Cette frayeur constamment entretenue et prétexte à faire passer tant de lois répressives et attentatoires aux libertés individuelles ? Cette angoisse collective au nom de laquelle les Américains abandonnent aux autorités leurs droits et souveraineté ? Mais ce n’est pas par les « terroristes » que sont terrorisés la plupart des Américains ! C’est par leur santé et la perspective de mourir isolés et sans soins médicaux, faute d’en avoir les moyens ! Voilà la vérité !

    . Le racisme ? Allons ! Rien n’est réglé, et personne ne veut le dire ! Le sujet est même trop sensible pour qu’on l’aborde dans la campagne, alors on tourne autour. Mais ça bout sous la surface. Et ça explosera si l’on n’y prend garde. Régulièrement se produisent des incidents : insultes, tabassages, noeuds coulants… Cela suscite de l’émotion, on se lève, on défile. Et tout retombe sans que s’ouvre le vrai débat de la division raciale du pays. L’élection d’un président noir, quarante ans après l’assassinat de mon père, serait évidemment un message très symbolique. Mais ce pourrait n’être qu’un trompe-l’oeil, une façon pour ce pays de s’afficher non raciste quand il le demeure profondément. Il nous faudrait une initiative similaire à celle de la Commission vérité et réconciliation d’Afrique du Sud. Blancs et Noirs doivent se parler. S’expliquer. Se faire face, enfin.

    . Il nous faut changer de système de valeurs. Et ma responsabilité est de réinjecter celles que mon père voulait introduire en son temps. Justice, respect, liberté, générosité. Suffit, ce matérialisme qui nous rend fou ! Suffit, cet égoïsme qui nous rend aveugle aux autres. Suffit, ce système bling-bling qu’accompagne d’ailleurs une dégradation de la situation des femmes. Moi, je veux m’adresser aux jeunes par les canaux qui les touchent le plus – le rap, la mode, les images – pour leur proposer un autre idéal. Je veux élever le niveau, voilà. Faire en sorte que dans leurs rêves, les enfants ne se demandent plus : « Comment pourrais-je bien devenir riche ? », mais « Comment vais-je pouvoir améliorer le monde plus tard ? ». C’est tout de même plus excitant !

    . Dieu m’a fait cadeau du nom de King, qui veut dire roi. Mon père était un roi, c’est-à-dire qu’il a toujours levé la tête, comme le font les souverains sur leur trône, pour avoir une plus large perspective sur ce réseau de liens inextricables qui unissent les humains dans un même destin. Il a toujours refusé d’être sujet, réduit à l’humiliation, à la ségrégation.

    Eh bien, c’est le message que je veux faire passer aux jeunes. Soyez des kings ! Soyez des rois ! Choisissez votre vie, vos valeurs, vos références. Ne soyez plus sujets. Elevez-vous, relevez vos critères ! Vous méritez beaucoup mieux !

  10. @ Bernice , oui !Mais ceux d’en face sont puissants et ils sont toujours là !…….. et ils disent aux enfants :  » Il faut devenir riche , car si pauvre ,tu es …….tu mourras ! hélas c’est pour le moment la vérité !!!!…mais être riche pour survivre oui ! mais pour appauvrir les autres non ! c’est d’ac avec toi !……. mais comment ?

  11. C’est tardif mais officiel, les français payent plus de 9 millions, en particulier pour mutiler la « bite » des petits enfants Juifs et Musulmans tous les 12 mois.

    C’est la députée Valérie Boyer, députée de la majorité présidentielle de Nicolas Sarkozy , qui avait donné fin 2008 publiquement ce chiffre de 2006 qui se met en ce moment à circuler sur internet en se focalisan parfois curieusement uniquement sur la « bite des musulmans », et épargnant plutôt celle des Juifs.

    On savait les Arabes et les Musulmans responsables d’à peu près tout ce qui va mal en France, avec des Noirs aussi souvent, tout au moins si l’on en croit les médias manipulateurs et les pontes menteurs, mais là, comme pour « la bite des Noirs » affameuse et criminelle de feu Pascal Sevran, c’est cher payé une couleur religieuse de petite bite qui n’a rien demandé…

    voir un exemple ici : http://www.alert2neg.com/article-35

    un autre politicien et islamophobe avec cryptage judeophobe : http://www.nationspresse.info/?p=54687

    QUESTION de Mme Boyer Valérie ( Union pour un Mouvement Populaire – Bouches-du-Rhône le 16/09/2008) : « Mme Valérie Boyer attire l’attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative sur le cadre juridique de la circoncision pratiquée dans les règles de l’art par un chirurgien. Lorsque son indication est posée pour des raisons médicales (diagnostic phimosis), la circoncision est prise en charge par l’assurance maladie et fait l’objet d’une codification CCAM sous le titre posthectomie code JHFA009. Lorsque son indication est rituelle (signe d’appartenance religieuse pour les juifs et musulmans), la circoncision n’est pas prise en charge par l’assurance maladie puisqu’elle n’est dictée par aucune considération médicale. Elle revient entre 500 et 1000 euros à la famille qui la sollicite pour son enfant. Compte tenu de cet état de fait, nombre de circoncisions rituelles sont effectuées sous couvert d’une indication médicale car les familles ont tendance à beaucoup insister auprès du médecin voire même à ne pas décalotter l’enfant pour qu’il développe un vrai phimosis impliquant la prise en charge par l’assurance maladie. Le moindre coût financier de l’acte et la garantie qu’il soit effectué dans les règles de l’art, donc sans risque de complication en comparaison avec les méthodes artisanales, constituent les principaux arguments qui conduisent à ces détournements et aux fraudes à l’assurance maladie. Car la pratique ancestrale de la circoncision implique un taux important de complications (hémorragies, surinfections, plaies et mutilations du gland) nécessairement prises en charge par la sécurité sociale et générant un surcoût pour l’assurance maladie. L’évolution démographique et sociologique de notre pays pose la question de la place de cet acte chirurgical en termes de santé publique, de coût pour l’assurance maladie et de laïcité. En effet, en 2006, lors du congrès annuel de l’association française des urologues, un médecin de la CNAM avait évalué à 9 millions d’euros par an la couverture de cet acte pour l’ensemble du pays. Entre la prise en charge complète par l’assurance maladie ou par les familles de cet acte, une troisième voie serait envisageable impliquant la création d’un contrat d’assurance circoncision proposé à la naissance des enfants mâles et destiné à prendre en charge les frais de réalisation de l’acte chirurgical. Il pourrait être, en outre, envisagé sous certaines conditions préservant le principe de laïcité, une participation limitée de l’assurance maladie. Elle la remercie de lui faire connaître son avis sur le sujet et sur la possibilité de mettre en place un groupe de réflexion intégrant les différents partenaires (assurance maladie, professionnels de santé, associations d’usagers) afin d’élaborer un protocole clair et applicable à tous qui préserve la neutralité et l’égalité républicaine ».

    REPONSE en 2008 : « Le champ de l’assurance maladie défini par l’article L. 321-1 du code de la sécurité sociale couvre les soins nécessaires au maintien ou au rétablissement de l’état de santé des personnes. Il en est ainsi des actes thérapeutiques destinés à la réduction d’un phimosis. En revanche, la circoncision rituelle pour motifs religieux n’entre pas dans ce cadre, de même que les actes médicaux pratiqués pour d’autres motifs personnels, esthétiques ou de confort. Ainsi, par exemple, un acte de chirurgie réparatrice sera remboursé lorsqu’il est consécutif aux lésions provoquées par le traitement d’un cancer, ce qui n’est pas le cas des interventions à visée purement esthétique. Il s’agit d’un principe simple, aisément compréhensible, et il n’est pas envisageable d’y déroger. En ce qui concerne les problèmes de santé induits par la pratique de la circoncision, il convient de rappeler que l’acte médical relève, aux termes de l’article L. 4161-1 du code de la santé publique, de la compétence exclusive du médecin, et partant doit être réalisé dans les mêmes conditions de sécurité et de suivi médical quelles que soient ses modalités de prise en charge. Le praticien engage sa responsabilité et s’expose à des recours. Concernant enfin la création d’une « assurance » sur ce sujet, l’absence d’aléa rend inapplicable le principe même de l’assurance. Il ne peut être envisagé, en tout état de cause, la participation de l’assurance maladie à un dispositif de cette nature. »

    SOURCE de la question : http://questions.assemblee-national

    La « bite » on en fait tout un plat, même Jean-Marie BIGARD s’y est mis en introduction de sa série vidéo vérité sur le 11 septembre, évoquant sa dégustation de prépuce après circoncision pour raison exclusivement médicale…

    La mutilation du prépuce, c’est à dire la circoncision, est forcément religieuse car il n’existe pas de circoncision médicale, çà n’a aucun sens, car si le prépuce est trop long (phimosys) on peut le réduire et non pas le supprimer.

    Si on supprime la peau qui protège le gland des enfants non religieux c’est avant tout et la plupart du temps pour « couvrir » la pratique religieuse imposée sous forme de cette mutilation violente et irréversible aux jeunes mâles de deux communautés minoritaires mais significatives : Juive et Musulmane.

    Depuis fin 2008, le coût national et laïc de la circoncision communautaire et religieuse est donc connu, exhorbitant, et pourtant il n’y a eu aucun scandale fin 2008. C’est dire la trahison permanente des fondements mêmes de la république.

    Ce sujet ressort dans l’actualité car Bachelot a décidé de répondre à la question un an plus tard !

    AFP le 19/08/2009 à 18h10 : « Pas question de rembourser la circoncision » réalisée pour raisons religieuses, Roselyne Bachelot a été catégorique hier mercredi 19 août 2009 sur RMC. Elle réagissait à une proposition de la député UMP Valérie Boyer, qui, dans une question écrite au gouvernement en septembre 2008, avait évoqué la création d’un contrat d’assurance circoncision pour prendre en charge les frais de la circoncision religieuse, ou même d’envisager « sous certaines conditions préservant le principe de laïcité, une participation limitée de l’Assurance maladie ».

    Pour préserver le principe de laïcité, il faudra inventer le préservatif à circoncision enfantine…

    Annoncer que c’est pas remboursé alors qu’on sait parfaitement que c’est déjà remboursé… Le film schizo des sarkozystes continue !

    Les supporters de Sarkozy qui font semblant d’être un public ordinaire à chaque visite présidentielle, le grand classique désormais…

    Comme Luc Chatel avec ses faux clients électeurs salariés d’Intermarché et militants UDF pour faire du trucage stalinien moderne ! Ils sont capables de tout, de tout et du pire.

    9 millions pour mutiler des petits enfants Juifs et Musulmans…

    Pays de merde. Pouvoir de merde. Clientèlisme et mafia française.