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Un film policier qui joue avec les flash-backs, l’amitié depuis l’enfance, la solidarité à toutes épreuves, la vengeance, le milieu marseillais. Mais tout ça manque un peu de rythme malgré quelques scènes assez violentes en particulier dans un parking. Et pourtant le film a été présenté en Sélection Officielle, en compétition, au 58e Festival de Berlin en 2008. Comme quoi c’est encore une preuve que tout le monde ne perçoit pas les mêmes sensations.
Bande-annonce
Date de sortie : 9 avril 2008
Durée : 1h 42 min.
10 ans après, la même bande de randonneurs veut passer des vacances ensemble…sauf que se sera dans un lieu super bling-bling, avec des tas de gens super bling-bling, des yachts encore plus longs que celui de VB, des grosses voitures très chères, (ah ! les yeux bleus du type à la Ferrari rouge…j’en craque encore), des restos hors de prix, des coins de plage hyper sélect où l’on regarde l’heure sur une montre bling-bling….maintenant, vous êtes prévenus, mais ça se laisse regarder, quand même !
Bande-annonce
Date de sortie : 9 avril 2008
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ET LES AUTRES FILMS POUR VOS SEANCES DE RATTRAPAGE
[post_title] => LA SEMAINE DU CINEMA...SANS CINEMA
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MAI 68
Vous avez envie de raconter votre Mai 68? Vous étiez sur les barricades, sous un casque de CRS, à la maternelle où juste pas encore là, écrivez-nous, nous publierons (après sélection).
L'équipe de LaTéléLibre s'agrandit ! Maura sera désormais notre correspondante Irlandaise, voici son premier article
Je me nomme Maura STEWART et je suis une doctorante irlandaise de l'Université Nationale d’Irlande, Galway. Je me suis spécialisée dans la politique française et plus particulièrement les relations France-EU. Je suis l'auteur d'une thèse intitulée: "Le Référendum du 29 mai 2005. Une citoyenne européenne au chevet d'une France malade", car je voulais donner une autre vision de ce "non" français au référendum. En effet j'ai voulu expliquer, loin des clichés de certains journaux anglo-saxons, ce paradoxe à la française. Connaître la culture française, qui reste très politique, et du coup, comprendre les grands événements français, comprendre cet héritage.Donc, Mai 68 n'est pas passé inaperçu dans les élections présidentielles françaises. Personne ne reste insensible à ce débat surtout que l'on fête son quarantième anniversaire cette année. Je voulais apporter mon point de vue sur cet évènement en tant que citoyenne européenne qui aime la France.
Tout revient à son point de départ, comme dit le proverbe. Les mots tourbillonnaient dans ma tête quand je suis passée devant l’Ambassade américaine, et j’ai vu un groupe d’ « anti-Bush » décriant la guerre en Irak. Cette vision a rappelé, à cette touriste irlandaise dans cette belle ville de Paris, la vague des manifestations contre la guerre au Vietnam. 40 ans déjà. Il y a 40 ans, le général de Gaulle avait tenté de redorer l’image internationale de la France après les conflits indochinois et algérien. Aujourd’hui, M. Sarkozy suit la même voie à la différence que pour lui, les conflits viennent de l’intérieur du pays. Il veut « remettre à l’honneur la nation et l’identité française ». Il souhaite « réhabiliter le travail, l’autorité, la morale, le respect, le mérite ». Ce sont des paroles qui frappent les esprits, qui laissent des traces. Les mots déterminent les actions, les actions déterminent l’histoire. Peut-être, Nicolas Sarkozy y songeait quand il a attaqué l’héritage de mai-juin 1968, dans son dernier grand meeting de la campagne présidentielle au Palais omnisports de Bercy, l’année dernière. Selon lui, ce mouvement a « imposé le relativisme intellectuel et moral », a « introduit le cynisme dans la société et dans la politique » et est en grande partie responsable de la « crise des valeurs travails ». On ne peut pas douter de la sincérité de ses sentiments passionnels (sa critique dure presque trois pages de son discours). Pourtant, porter un regard extérieur sur cette période-là pourrait nous rappeler que la France est aussi le pays de Voltaire, où la raison compte autant que la passion. Alors que M. Sarkozy semble penser que la « crise des valeurs morales » de la société et politique française tire ses origines des événements de 1968, l’étude menée par Yann Algan et Pierre Cahuc, dans leur œuvre "La Société de Défiance" montre comment le modèle social français s’autodétruit. Montre également que ce sont les rigidités du modèle social français, ceux de l’étatisme et du corporatisme, qui provoquent « la défiance et l’incivisme » Nul doute que le programme du Président Sarkozy vise à créer une « rupture » avec la tradition en réduisant le nombre des fonctionnaires et en minimisant la dépendance à l’égard de l’État par rapport au dialogue social entre les syndicats et les patrons. Pourtant, si l’on prend en compte les constatations d’Algan et de Cahuc, M. Sarkozy ne rompt pas avec une tradition qui date de mai 1968, mais avec celle qui s’inspire du régime de Vichy où la création de l’État français après la guerre s’est construit sur « un fort corporatisme et … un fort dirigisme ». En se limitant à choisir un cri comme « CRS=SS » dans son discours de Bercy pour dénoncer l’héritage de mai 1968, M. Sarkozy donne selon Edgar Morin « une vision unilatérale et réductrice de cet événement » (Le Nouvel Observateur, 30 avril 2007). Si M. Sarkozy veut éliminer « la repentance qui est une forme de haine de soi, et la concurrence des mémoires qui nourrit la haine des autres », sa vision de l’héritage de mai 1968 ne nous permet pas, paradoxalement, d’écarter l’héritage du régime de Vichy: l’accélération de l’État français de centralisation administrative et technocratique. Contrairement à l’impression négative que M. Sarkozy semble donner concernant l’histoire et la concurrence, Philippe Bénéton et Jean Touchard travaillent à nous offrir différentes interprétations de la « crise de mai-juin 2008 » dans la Revue française de science politique (1970, Vol. 20, No.3). La crise de l’université figure parmi elles. Comme M. Sarkozy, le général de Gaulle a reconnu « l’impuissance de ce grand corps à s’adapter aux nécessités modernes de la nation en même temps qu’au rôle et à l’emploi des jeunes ». Bénéton et Touchard proposent que le « centralisme étouffant » des structures universitaires a favorisé l’amplification du mouvement de mai 1968. Même Raymond Aron, qui a qualifié mai 1968 de « psychodrame », a déclaré dans son livre La révolution introuvable que « les Français souffrent d’un système trop rigide et d’une hiérarchie trop autoritaire » et qu’ils vivent les périodes de crise comme ceux de 1789 et de 1968 comme « un rêve éveillé » où ils « éprouvent cette fraternité » et « ils la vivent ». D’où provient peut-être l’abondance contradictoire des cris, des slogans comme « CRS=SS » ou « Soyez raisonnables, demandez l’impossible ». D’où vient peut-être le mélange paradoxal de l’individualisme et de la solidarité collective. L’être humain, comme l’histoire ou la mémoire, n’échappe pas aux contradictions. La campagne électorale de M. Sarkozy, malgré son succès stratégique, n’y a pas échappé non plus. On a vu à la fois le désir de montrer que « Ensemble, tout est possible » et le besoin de souligner le « je » dans chaque phrase, « Je veux », « Je propose ». On est témoin à la fois de sa volonté de faire de sa présidence un exemple de l’ouverture au-delà de son propre parti, et de son talent pour focaliser l’attention politique et médiatique sur sa personne. 1968, 2008. Le « je » et le « nous ». « Ensemble, tout est possible » et mai 1968. Tout « peut » revenir à son point de départ. Maura StewartAdresse pour envoyer vos textes et photos:
ecrire@latelelibre.fr Pour les vidéos voir dans la colonne de droite "Envoyez vos vidéos", n'oubliez par d'envoyer aussi un texte d'accompagnement au mail ci-dessus [post_title] => MAI 1968: "ENSEMBLE, TOUT EST POSSIBLE" 40 ANS APRES [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => mai-1968-ensemble-tout-est-possible-40-ans-apres [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2008-04-14 17:56:28 [post_modified_gmt] => 2008-04-14 15:56:28 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://latelelibre.fr/?p=1463 [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 6 [filter] => raw ) [1] => WP_Post Object ( [ID] => 1878 [post_author] => 2 [post_date] => 2008-04-14 12:05:28 [post_date_gmt] => 2008-04-14 10:05:28 [post_content] => 14/04/08 Chronique d'un jour ordinaire chronique-dun-jour-ordinaire [post_title] => LES PETITES CRïSE D'ELOïSE [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => les-petites-crise-deloise [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2008-04-14 12:05:28 [post_modified_gmt] => 2008-04-14 10:05:28 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://latelelibre.fr/?p=1878 [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 5 [filter] => raw ) [2] => WP_Post Object ( [ID] => 1857 [post_author] => 2 [post_date] => 2008-04-10 15:53:17 [post_date_gmt] => 2008-04-10 13:53:17 [post_content] => 10/04/08 Je supprime, tu supprimes, ils suppriment je-supprime-tu-supprimes-ils-suppriment Nous avons actuellement un problème pour publier normalement la RadioLibre. Veuillez nous en excuser. Par ailleurs, les anciens épisodes sont temporairement indisponibles. [post_title] => LES PETITES CRïSES D'ELOïSE [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => les-petites-crises-deloise-49 [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2008-04-10 15:53:17 [post_modified_gmt] => 2008-04-10 13:53:17 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://latelelibre.fr/?p=1857 [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 6 [filter] => raw ) [3] => WP_Post Object ( [ID] => 1849 [post_author] => 2 [post_date] => 2008-04-09 12:12:52 [post_date_gmt] => 2008-04-09 10:12:52 [post_content] => 09/04/08 Une flamme que l'on déclare [post_title] => LES PETITES CRïSES D'ELOïSE [post_excerpt] => [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => les-petites-crises-deloise-48 [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2008-04-09 12:12:52 [post_modified_gmt] => 2008-04-09 10:12:52 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://latelelibre.fr/?p=1849 [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 1 [filter] => raw ) [4] => WP_Post Object ( [ID] => 1843 [post_author] => 2 [post_date] => 2008-04-08 22:05:18 [post_date_gmt] => 2008-04-08 20:05:18 [post_content] =>Bien que 8 à 10 films sortent chaque semaine en France, tous genres et origines confondus, il faut reconnaître qu’il est parfois (très) difficile de parler de l’un plutôt que de l’autre tant ils rivalisent dans la médiocrité.
Le malaise du cinéma (surtout français) est perceptible*, même si les grands du système mettent souvent « le paquet » en matière de promotion de quelque sorte. Le champ de navets du cinéma va continuer de fleurir, peu importe, tant qu’il y a des comédiens ‘bankables’ au casting… L’inégalité est flagrante, il y a des bons que l’on ne connaît pas et des pas bons que l’on voit trop. Pourquoi tel média ou tel journaliste encensera-t’il le dernier chef-d’œuvre du réalisateur Machin Chose alors qu’un autre média ou autre journaliste démolira à coup de plume genre massue le même soit-disant chef-d’œuvre ? Au point que Claude Lelouch, habitué à être descendu en flammes quasi-systématiquement, a préféré changé de nom pour produire son dernier « Roman de gare »…Donc, question de goût, tout simplement. Un amateur de thriller ou d’action-avec-un-super-héros-qui-sauve-le-monde aura du mal à s’adapter à un film comique ou comédie romantique. Pourtant, certains préjugés sont parfois dépassés par les évènements. On le voit avec le phénomène Ch’tis (record battu avec plus de 17 millions d’entrées, et d’après les dernières nouvelles, avec 20 millions bientôt, le Titanic sera coulé une seconde fois !). Il n’y a qu’à entendre les réactions de ceux qui pensent le contraire de l’évidence… Donc cette semaine, je ne parlerai que de films que j’ai trouvé les meilleurs parmi les moins pires…sans être dithyrambique mais aussi parce qu’il est clair que toute critique n’est que subjective et dépend, pour la plupart des cas, de « l’âge du capitaine ». *Pour mémoire, un petit retour arrière sur un reportage de La Télé Libre le jour de la remise des César 2008 devant le Châtelet à Paris : ■ Margot Deschamps♥ ♥ « Lady Jane» de Robert Guédiguian
Avec : Jean-Pierre Darroussin, Ariane Ascaride
♥ « Les randonneurs à Saint-Tropez» de Philippe Harel
Avec : Karin Viard, Benoit Poelvoorde, Vincent Elbaz, Géraldine Pailhas, Philippe Harel, Cyrielle Clair,…