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ATTENTION: LES INSCRIPTIONS SONT CLOSES! (ajout du 26/11/12)

Grace au soutien de la Mairie de Paris (direction de la jeunesse et des sports, direction de la démocratie locale et de la vie associative) LaTéléLibre organise un atelier de formation d’une semaine pour les jeunes parisiens.  

ÉDUCATION AUX MÉDIAS ET INITIATION À LA VIDÉO 

Date: du lundi 10 au vendredi 14 décembre

Horaire : 10h00 à 19h00

  Ce stage gratuit est proposé pour 9 jeunes parisiens de 18 à 30 ans. Une priorité sera donnée aux jeunes demeurant dans le périmètre « politique de la ville » du 14ème arrondissement où est implantée LaTéléLibre (1 rue Maurice Bouchor, 75014 - Paris). L’objectif de ce projet pédagogique est d’éveiller l’esprit critique des participants face à l’information et de développer l’apprentissage d’une pratique citoyenne de la vidéo grâce à l’intervention d’une équipe de professionnels (journalistes et techniciens) qui agissent sur le terrain.

Déroulement de la formation

Les stagiaires seront divisés en 3 équipes de 3 personnes et encadrés par 4 formateurs : un journaliste et 3 techniciens référents. 1) Analyse critique de l’information Animé par John Paul Lepers Découverte de la presse du jour. Visionnage critique de reportages de télé. Visionnage du film pédagogique « le montage » qui met en évidence le caractère subjectif du fabricant d’info. Droits et devoirs du journaliste L’objectif est de pousser les jeunes à remettre en cause leur jugement face à un reportage, en les aidant à développer leur sens critique tout en questionnant leur propre perception; ces différents exercices permettront également de distinguer information et point de vue et d'appréhender les difficultés des métiers de l’audiovisuel. 2) De la théorie à la pratique  Animé par trois techniciens et/ou journalistes Romain Potocki, Thibault Pomares et Vincent Massot Découverte de la caméra. Les principes de base : cadre, son et lumière. Le choix d’un sujet. Tournage, montage et mise en ligne Nous proposerons une initiation à la réalisation de reportages afin d’être à même de réaliser une vidéo simple et de la mettre en ligne. Le principe de la formation est basé sur l’idée qu’il faut : apprendre, faire, se tromper et recommencer. C’est pourquoi chaque cours théorique sera suivi d’une application directe sur le terrain. Les reportages réalisés pendant le stage seront mis en ligne sur le site de LaTéléLibre.  

Pour vous inscrire : CV + lettre de motivation

Envoyez un mail avec votre CV et une lettre de motivation à Caroline B. Lançon : [email protected]

Cloture des inscriptions

Le dimanche 25 novembre à minuit [post_title] => Atelier de Formation Gratuit à LaTéléLibre en Décembre ! [post_excerpt] => Vous êtes passionné par le journalisme et la vidéo? Vous voulez apprendre à réaliser un reportage? Vous avez entre 18 et 30 ans? Vous êtes parisien? Vous pouvez vous libérer entre le 10 et le 14 décembre 2012? Ce stage est fait pour vous. Dépêchez vous, il n'y a que 9 places! Cloture des inscriptions: le 25 novembre. [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => stage-gratuit-a-latelelibre-en-decembre [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2012-12-17 00:55:40 [post_modified_gmt] => 2012-12-16 23:55:40 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://latelelibre.fr/?p=25408 [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 3 [filter] => raw ) [1] => WP_Post Object ( [ID] => 25234 [post_author] => 2 [post_date] => 2012-10-22 19:47:23 [post_date_gmt] => 2012-10-22 17:47:23 [post_content] =>   Le croquant du grain de maïs le transporte jusqu’aux étendues de maïs du Nicaragua, la note salée l’entraine jusqu’aux océans du bout du globe, le bonheur du bon goût l’agrippe et le tire jusqu’à la réflexion : d’où vient ce croquant ? OGM ou non ? Traitement ou pas ? Ce que je peux manger là, pourrai-je encore le déguster malgré l’expansion des agrocarburants ? Quel impact a mon plaisir salé, ici à côté de la fontaine du centre Pompidou, à l’autre bout de la Planète ?... D’ailleurs, comment ça marche là bas ? Mission réussie pour les volontaires de la campagne Alimenterre ! Pour le lancement du festival du Film, ils ont su insuffler le questionnement chez les passants curieux : le pique-nique à Beaubourg a suscité la curiosité… Le vert de la salade, la douceur des panais, la texture des feuilles de blettes et le tortueux des cucurbitacées ont enlacés les regards attirés ; puis les panneaux pendus au cou des investis « Bio les biocarburant ? Vous en mangez, vous, des OGM ? » ont suscité l’intérêt : gagné !
 - Bonjour ! Servez vous c’est gratuit et c’est bon ! C’est pour le lancement du Festival de films de la Campagne Alimenterre ! - Aliment quoi ?... »
Voilà la discussion lancée… Et ça ne fait que commencer, car Alimenterre alimentera (!) le débat jusque fin novembre dans toute la France ainsi qu’en Europe et en Afrique de l’Ouest! Depuis 2007, le réseau d’associations d’Alimenterre organise un festival de film documentaires qui questionne ce qui lie l’humanité toute entière : notre manière de s’alimenter et de produire dans le monde. Au fil des films, des débats et des rencontres, le spectateur s’informe sur les différents enjeux qui permettent, ou non, un accès à une alimentation saine et suffisante, et le citoyen s’approprie cette question de l’alimentation à l’enjeu capital : l’avenir de l’Homme et de ce qui l’entoure. Le voyage dans la remise en question amorcé, le spectateur actif s’engouffre alors, par l’intermédiaire des films et des débats, sur les pistes déblayées d’actions concrètes. Au programme, Marie Monique Robin et Les moissons du futurs, La era del buen vivir, Planète à vendre et Alexis Marrant, La face cachée des agrocarburants, les défits du guarana et José Huerta, Riz de Bénin, riz de demain, Pillage des ressources naturelles : qui possède la vie ? et Ingrid Sinclair. Accompagnée par les apports contradictoires de réalisateurs de films, d’associations de consommateurs, d’organisations paysannes du monde, de chercheurs et de participants, la réflexion du spectateur-citoyen se tisse, s’aiguise et file, s’enrichissant au fil du temps. A vos agendas…  Flore Vienot

Liens

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68,3% des Islandais pour la nouvelle constitution

L'an dernier, 25 citoyens Islandais élus par la population se sont réunis pour écrire la nouvelle constitution de leur pays. Six mois de discussions et de débats participatifs sur les réseaux sociaux avaient alors abouti à un texte qui a été soumis au vote de la population samedi dernier. Aujourd'hui, les habitants de la terre de glace sont majoritairement d'accord sur le fait que la future constitution du pays devra être basée sur ce texte participatif. Le résultat est sans appel : 68,3% de « oui », soit deux tiers des suffrages exprimés... même si le taux de participation n'a pas dépassé les 50%.

Katrin Oddsdottir, avocate et citoyenne, membre de l'assemblée constituante (juin 2011) - ©Thibault Pomares

  Si cette nouvelle constitution doit d'abord être validée par l'Althing (le parlement Islandais) avant d'être effective, une majorité d'Islandais sont d'ores et déjà favorables à son application. Chapeau l'Islande, belle leçon de démocratie directe !

La Révolution des Casseroles, quésaco ?

Le documentaire « Islande : Takk la Crise ? » (voir au bas de l'article) racontait ce processus qui a vu le jour au lendemain de la crise financière de 2008. En plein cataclysme économique, les Islandais avaient bravé la nuit polaire pour sortir dans les rues et taper sur des casseroles. Les manifestations avaient contraint le gouvernement conservateur à démissionner. S'en étaient suivis deux référendums sur le remboursement de la dette. "Non" avaient-ils dit, "nous ne rembourserons pas les conneries des banquiers". Enfin, une refonte de la constitution avait été lancée par 25 Islandais de tout bord : un prêtre, une metteuse en scène, un fermier, une avocate ou encore, le père de Björk !

Avant de continuer, pour les curieux, je vous propose de redécouvrir cette révolution via l'émission "Entre Chien et Loup" de Laurence Garcia. Chaque semaine la chroniqueuse de France Inter invite un "Reporter Citoyen" ou un membre de LaTéléLibre à s'exprimer sur un sujet d'actualité. C'était mon tour le samedi 12 octobre dernier, pour parler de cette prise de conscience citoyenne qui a considérablement transformé la société Islandaise.

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Un référendum qui témoigne de la nouvelle dynamique de l'île :

 

Le référendum du 20 octobre dernier se présentait sous la forme de six questions. Des interrogations à but consultatif sur quelques points-clés du projet de nouvelle constitution : la gestion des ressources naturelles, la séparation entre l'Église et l'État, un accès plus facile au référendum, mais aussi plus de facilité pour les citoyens pour présenter leur candidature lors des élections.

Question 1 : « Voulez-vous que les propositions du Conseil constituant servent de base à la nouvelle Constitution ? »

Résultats : Oui : 65,9% / Non : 34,1%

→ Cette question centrale visait à déterminer si les citoyens sont favorables au nouveau texte constitutionnel. Le « oui » l'ayant emporté majoritairement, la « nouvelle constitution » islandaise doit maintenant être soumise au vote du parlement. Ce texte remplacera l'ancienne constitution jugée aujourd'hui obsolète. En effet, l'ancien texte datait de 1944, année de l'indépendance de l'île qui à l'époque était danoise.

Question 2 : « Voulez-vous que, dans la nouvelle Constitution, les ressources naturelles qui ne sont pas propriété privée soient déclarées propriété de la nation ? »

→ Résultats : Oui : 81% / Non : 19%

→ Depuis la crise, les Islandais se préoccupent de leurs ressources naturelles et craignent de plus en plus le secteur économique privé. Une défiance justifiée puisque les ressources naturelles de l'île sont un pilier de l'économie (et de l'énergie) islandaise. Traduction : les islandais veulent nationaliser leurs ressources naturelles. Joli.

Question 3 : « Voulez-vous que figure dans la nouvelle Constitution une clause sur une Eglise nationale islandaise ? »

→ Résultats : Oui : 57,4% / Non : 42,6%

→ Question floue pour nous Français, mais révolutionnaire pour les Islandais. Jusqu'à présent en Islande, il n'y a pas de séparation entre l'Église et l'État. Du coup, lors de la rédaction du nouveau texte, un prêtre-citoyen faisant partie de l'assemblée constituante a dû travailler dans un groupe de réflexion pour accélérer la séparation de ces deux institutions. Il faut rappeler qu'en Islande, 82,1% de la population est membre de l'Église évangélique-luthérienne : une Église « nationale ».

Question 4 : « Voulez-vous que la nouvelle Constitution autorise plus que cela n’est le cas dans la présente Constitution, l’élection personnelle ? »
→ Résultats : Oui : 76,4% / Non : 23,6%

→ La révolution des casseroles continue ! Désormais, l'accès à l'élection au Parlement pour les particuliers sera facilité. Une belle initiative visant à remettre le citoyen au cœur de l'échiquier politique.

Question 5 : « Voulez-vous faire figurer dans la nouvelle Constitution une clause stipulant que les voix des électeurs pèsent d’un poids égal, quel que soit leur lieu de résidence dans le pays ? »
→ Résultats : Oui : 56,2% / Non : 43,8%

→ Eh oui, en Islande, un député de Reykjavik la capitale, vaut deux fois plus de voix qu'un député de la campagne. Un paragraphe de la nouvelle constitution qui prône l'égalité du droit de vote et qui doit faire flipper la droite. Explication... Sanctionné par le peuple et remplacé par le parti social-démocrate au lendemain de la crise de 2008, le parti conservateur dirigeait le pays non-stop depuis l'indépendance (1944). Ce nouveau texte pourrait dès lors mettre des bâtons dans les roues de l’opposition conservatrice qui, soit dit en passant, n'a pas toujours soutenu l'assemblée constituante !

Question 6 : « Voulez-vous faire figurer dans la nouvelle Constitution une clause permettant à un certain pourcentage des électeurs d’exiger un referendum sur un sujet donné ? »
→ Résultats : Oui : 70,8% / Non : 29,2%

→ Encore une leçon tirée de l'incroyable révolution des casseroles et une jolie preuve de démocratie directe au pays des volcans ! En effet, depuis la crise, les Islandais sont amoureux des référendums. Retour en 2008... Lorsque les établissements bancaires ont fait faillite en Islande, une banque en ligne privée nommée « Icesave » proposait des comptes épargne au Royaume-Uni et aux Pays-Bas. Une fois le système financier Islandais explosé, les épargnants british et hollandais ont demandé des comptes (les quelques 5 milliards perdus dans le tsunami de la crise économique). Problème : ça aurait été au peuple Islandais de rembourser la dette d'une banque privée. C'est culotté... Alors en bon berger, le président Islandais Olafur Ragnar Grimsson (fraîchement réélu en juin dernier pour un 5ème mandat) a soumis le remboursement de la dette à un référendum. À deux reprises, les Islandais ont répondu "Non". Comme quoi, le référendum, c'est bien sympa. Désormais, avec le projet de nouvelle constitution, il est prévu que les citoyens puissent provoquer un référendum s'ils sont juste 10% à le demander. On appelle ça la démocratie puissance 10.

 

Épilogue (provisoire) :

Ce vote des citoyens valide l'élan d'audace et la dynamique qu'on observe en Islande depuis la crise économique de 2008. Maintenant, le projet de nouvelle constitution devra être voté par le parlement, MAIS aussi par les nouveaux députés qui sortiront des urnes lors des prochaines législatives en avril prochain. Alors attention aux conclusions trop rapides : si le parlement est aujourd'hui majoritairement social-démocrate, c'est aussi parce que la gauche Islandaise a un visage : Johanna Sigurdardottir, première femme à être devenue chef du gouvernement en Islande. Or, cette dame très populaire qui a légalisé le mariage homosexuel dès son entrée en fonction compte prendre sa retraite ! Ça tombe mal... Une aubaine pour la droite qui va en profiter pour essayer de redevenir majoritaire au parlement et qui pourrait ensuite faire valser le projet de nouvelle constitution. La révolution islandaise est à suivre...

Texte et photos : Thibault Pomares  

Documentaire "Islande : Takk la Crise ?"

 

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"Islande : Takk la Crise ?", un film de Thibault Pomares

Images : Julien Boluen

©LaTéléLibre 2011

Des liens :

Voir l'article original du film "Islande Takk la crise ?"

Les résultats du référendum sur le site du Reykjavik Grapevine (en anglais)

Site de l'émission "Entre chien et loup" sur France Inter.

      [post_title] => Bravo les Islandais ! [post_excerpt] => Samedi dernier, les Islandais ont dit "Oui" au projet de nouvelle constitution pour leur pays. Plus de 68% des votants ont validé le texte élaboré par une assemblée populaire de 25 citoyens élus par le peuple. C'est le 3ème référendum depuis 2008 en Islande. Retour sur cette aventure post-crise, née de la révolution des casseroles. [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => bravo-les-islandais [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2012-10-22 21:15:04 [post_modified_gmt] => 2012-10-22 19:15:04 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://latelelibre.fr/?p=25194 [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 3 [filter] => raw ) [3] => WP_Post Object ( [ID] => 25095 [post_author] => 2 [post_date] => 2012-10-17 09:24:29 [post_date_gmt] => 2012-10-17 07:24:29 [post_content] =>  

Après 3 années de formation continue avec Reporter-Citoyen et 6 mois de stage intensif à LaTéléLibre, N'Fanteh a réussi à intégrer la classe préparatoire pour l'ESJ Lille, une des meilleures écoles de journalisme en France. Elle a également été sélectionnée pour faire partie de la première promotion du Monde Académie. C'est l'article publié aujourd'hui sur le contrôle au facies qui a attiré le jury. Bravo N'Fanteh, continue!

Kamel Mokaddem, 35 ans, "contrôlé plus d'une centaine de fois"

LE MONDE |  Par N'Fanteh Minteh [Monde Académie]
A 35 ans, Kamel Mokaddem n'est plus en mesure de pouvoir indiquer exactement le nombre de contrôles dont il a fait l'objet. "Plus d'une centaine, sans déconner", finit-il par déclarer. En revanche, le pire qu'il ait vécu reste gravé dans sa mémoire. "Je devais avoir à peu près 20 ans, et je raccompagnais des amis qui habitaient Argenteuil vers 1heure du matin. Quand soudain une voiture nous coupe la route. Trois inspecteurs en civil sortent et nous braquent." Kamel Mokaddem s'est fait contrôler de si nombreuses fois, que c'est un peu devenu la routine. Ses expériences lui ont appris à distinguer deux types de contrôle: les "courtois" et les "rentre-dedans", le juste milieu existe rarement. Le jeune homme est un Cristolien (un habitant de Créteil) dans l'âme. Ses tours du quartier du Palais, il les connaît depuis ses tout premiers pas. Adolescent, il a fait les 400 coups avec ses "potes" dans la galerie marchande, un de ces lieux stratégiques des quartiers qui semblent ne jamais désemplir. C'est là qu'avec ses amis, ils discutaient, débattaient et même parfois se fâchaient en refaisant le monde. L'ennui: c'est qu'ils restaient debout, quasi statiques, dans la rue pendant des heures, ce qui faisait d'eux les prétendants idéals au contrôle d'identité. "TU N'AS PAS UNE TÊTE DE FRANÇAIS" "Un jour, pendant un contrôle, mon attitude du mec décontracté qui n'a rien à se reprocher agaçait un des plus gradés... Il me demande de quelle origine je suis. Je lui réponds que je suis français. Il insiste. Je finis par lui dire que je suis d'origine algérienne. Il me rabaisse en me disant: "Ouais parce que tu n'as pas une tête de Français..." Je lui réponds alors: "Pourtant, on est français chez moi depuis mon arrière-grand-père"." Cette scène, parmi d'autres qu'il n'a pas oubliées, lui laisse penser que ces contrôles se font souvent sur des préjugés racistes. Car lorsqu'il lui est arrivé d'être contrôlé avec des copains "blancs", son contrôle à lui se révélait beaucoup plus fouillé: palpations, fouille au corps, appel au central pour vérifier son identité."Il ne faut pas se voiler la face: c'est dans les quartiers où une bonne partie de la population est issue de l'immigration que ce problème du contrôle d'identité se pose." Désormais père de deux enfants, Kamel Mokaddem prend du recul. "Pour nous, qui sommes de jeunes Français, le plus dur est de dépasser ce sentiment de doute de notre appartenance à la République qu'on ressent dans ces cas-là."Un sentiment plus présent chez les garçons, car les filles, elles, sont plus épargnées par les contrôles. "Mais le pire, c'est le regard de tes voisins qui te voient te faire contrôler. Ils ont l'impression que tu as commis un délit très grave." Etre catalogué délinquant alors qu'on n'a rien fait est dur à supporter. Kamel Mokaddem se souvient de la culpabilité qu'il ressentait chaque fois. Si sa mère était plus indulgente; pour son père, le fait qu'il ait été quelques fois placé en garde à vue était une "honte pour toute la famille". La réputation de sa famille se dégradait et la confiance de son père s'érodait. Se sentir jugé par la société, jugé par l'institution qu'est la police, cela ne fait, selon lui, que dégrader encore la relation des jeunes avec les forces de l'ordre. "Depuis trop d'années le dialogue est rompu et la confiance brisée...", regrette-t-il. L'idée d'un récépissé ne l'a convaincu qu'à moitié: "Ça pouvait permettre que le contrôle aille dans les deux sens. On pouvait éviter certains excès de zèle. Après, ça pouvait aussi se retourner contre nous avec le début d'un prétendu trafic de faux reçus, cela aurait été un cercle vicieux." Kamel Mokaddem se rappelle d'une période plus apaisée. Lorsqu'une police de proximité préventive faisait l'intermédiaire entre les jeunes et la BAC (brigade anticriminalité) notamment. "Ils allaient à notre rencontre, ils étaient vus et connus et savaient qui était qui, il y avait moins de méfiance des deux côtés." Des dispositifs qui ont depuis disparu des quartiers et, selon lui, qui manquent. Devenu gardien d'immeuble, il mise tout sur la proximité. "Je suis confronté aux mêmes problématiques que j'ai vécues dans ma jeunesse. Des jeunes squattent des halls d'immeuble et ne respectent pas les locaux. Je leur explique que ce qu'ils font ne joue pas en leur faveur, en faveur de l'image qu'ils créent d'eux auprès de leurs proches. Ils m'écoutent car je ne suis pas si différent d'eux, sauf que mes expériences m'ont désormais rendu plus sage."
N'Fanteh Minteh [Monde Académie]  

[post_title] => Premier Article de N'Fanteh dans Le Monde ! [post_excerpt] => N'Fanteh Minteh, reporter-citoyenne de Créteil, vient de publier son premier reportage dans le journal Le Monde. À LaTéléLibre, nous sommes très heureux de saluer la réussite de ses efforts. [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => premier-article-de-nfanteh-dans-le-monde [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2012-10-17 10:03:17 [post_modified_gmt] => 2012-10-17 08:03:17 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://latelelibre.fr/?p=25095 [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 1 [filter] => raw ) [4] => WP_Post Object ( [ID] => 25047 [post_author] => 2 [post_date] => 2012-10-12 15:31:06 [post_date_gmt] => 2012-10-12 13:31:06 [post_content] =>

L'Union européenne reçoit le Prix Nobel de la paix 2012

 En annonçant sa décision le vendredi 12 octobre 2012, le Comité du Prix Nobel a déclaré que "l'Union et ses précurseurs ont contribué pendant soixante ans aux progrès de la paix et de la réconciliation, de la démocratie et des droits de l'homme en Europe".   Après l'annonce du Prix, le président du Parlement européen Martin Shulz a réagi en soulignant que "ce Prix Nobel pour la Paix est pour tous les citoyens de l'Union européenne. L'Union européenne a réunifié le continent de manière pacifique et a réconcilié des ennemis jurés. Malgré les défis économiques, l'Union européenne reste un aimant pour la stabilité, la prospérité et la démocratie." M. Shulz a également annoncé que le Parlement européen sera représenté à la cérémonie de remise du prix qui se tiendra à Oslo, en compagnie des autres institutions européennes et au nom des 500 millions de citoyens européens. [post_title] => Alors, Vive l'Europe! [post_excerpt] => Le Prix Nobel de la paix pour l'année 2012 a été décerné à l'Union européenne pour avoir "fait passer l'Europe d'un continent en guerre à un continent en paix." [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => alors-vive-leurope [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2012-10-12 15:31:06 [post_modified_gmt] => 2012-10-12 13:31:06 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://latelelibre.fr/?p=25047 [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 2 [filter] => raw ) [5] => WP_Post Object ( [ID] => 24970 [post_author] => 2 [post_date] => 2012-10-06 20:19:50 [post_date_gmt] => 2012-10-06 18:19:50 [post_content] => "Kokopelli est une association à but non lucratif, fondée en 1999 qui maintient une collection planétaire unique, de plus de 2 200 variétés de plantes potagères, céréalières, médicinales, condimentaires, ornementales et une gamme de variétés très peu cultivées, peu connues, voire en voie de disparition. Elle place son action dans l’objectif solidaire de développer des projets d’aide envers les communautés démunies (183 en 2011). Kokopeli est attaquée aujourd'hui par un grainetier, Graines Baumaux. Cette Société par actions simplifiée au capital de 1 000 000 d’euros, dont le chiffre d’affaires 2011 s’élève à hauteur de 13 952 923 € et le bénéfice 2010 à hauteur de 2 005 251 €, commercialise 2 835 variétés de graines potagères, florales, aromatiques, médicinales, fourragères et dites engrais verts. Le Tribunal de Grande Instance de Nancy et la Cour de Justice de l’Union Européenne ont condamné l’association Kokopelli, pour concurrence déloyale vis-à-vis de l’entreprise Graines Baumaux, à verser 100 000 € de dommages-intérêts à Graines Baumaux, ce qui pourrait la forcer à cesser ou modifier ses activités. Il est donc demandé au Président de la République, François Hollande, la traduction du Traité International sur les Ressources Phytogénétiques pour l’Agriculture et l’Alimentation (TIRPAA) dans notre législation nationale. Ce Traité, voté par la France en 2002 et approuvé nationalement en 2005, reconnaît aux agriculteurs et aux jardiniers le droit de conserver, utiliser, échanger et vendre les semences ou le matériel de multiplication reproduits à la ferme sur son territoire. Il reconnaît la contribution des agriculteurs à la conservation de la biodiversité et stipule que rien ne peut entraver leurs droits de conserver, ressemer, échanger et vendre leurs semences reproduites à la ferme. Il est de plus réclamé de faire respecter l’autorisation d’approbation du TIRPAA votée en 2005, en interdisant tout droit de propriété intellectuelle sur le vivant et en limitant les normes commerciales et les droits des obtenteurs là où commencent ceux des agriculteurs, et l’abrogation de la Loi du 28 novembre 2011 relative aux certificats d’obtention végétale. " Textes repris de la lettre de Monsieur René Balme, Maire de Grigny au Président de la République

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[post_title] => François Hollande: Faire annuler la condamnation de Kokopelli [post_excerpt] => PÉTITION: Il faut encore une fois sauver les graines Kokopelli! On vous a déjà présenté ce combat qui oppose une association de sauvegarde des graines génériques contre de puissants grainetiers. Cette fois, Kokopelli est attaqué par les Graines Baumaux. [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => francois-hollande-faire-annuler-la-condamnation-de-kokopelli [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2012-10-06 20:30:33 [post_modified_gmt] => 2012-10-06 18:30:33 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://latelelibre.fr/?p=24970 [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 13 [filter] => raw ) [6] => WP_Post Object ( [ID] => 24962 [post_author] => 2 [post_date] => 2012-10-06 20:07:57 [post_date_gmt] => 2012-10-06 18:07:57 [post_content] => [video http://www.youtube.com/watch?v=Y64r5kH51uA] Willy est une pierre constituante du quartier de la Villeneuve, sculpté dans le béton des galeries d’immeubles, forgé par les quarante nationalités qui l’entourent. Il se fond dans ce décor qu’il anime et avec lequel il ne fait qu’un. Il se déplace dans cet espace, des anecdotes à chaque visage. Il est le géant de la Place des Géants où convergent les violences du quartier.  D’un pas sûr il foule ses dalles et croise les trois jeunes gardiens qui « tiennent les murs » : « salut, ça va ? ». Son bureau de coordinateur de la fédération d’associations Afric’impact se situe là. « La Villeneuve », c’est aussi lui, un grand bonhomme rassurant, au regard rieur et au sourire serein. Willy se construit d’expériences et se nourrit des gens. Détours, voyages, réflexions, tout converge vers son berceau : « la Villeneuve ».
Je suis allé dans 72 pays, mais je n’ai jamais quitté Villeneuve
« Je suis arrivé ici à 3 ans, au début de la construction ». De l’enfance à l’université Willy a traversé l’évolution de ce quartier fait pour « bien vivre ensemble ». C’est alors que son engagement prend une direction : cap sur la solidarité international ! De projets en créations d’associations, Willy s’est investi, et son énergie a abouti à la fondation d’Afric’impact qui fédère un grand nombre d’associations, coordonne des projets et prend en charge des formations à la solidarité internationale. Willy n’a pas pour autant laissé son quartier de côté : « je suis allé dans 72 pays, mais je n’ai jamais quitté Villeneuve. » Toutes ces expériences nourrissent sa manière d’appréhender le développement. Au centre : la vie de son quartier à l’image ternie, dans lequel s’entrecroisent toujours des passerelles avec ce qui l’entoure.
La solidarité internationale c’est d’abord une question d’engagement ici
Willy est en lien avec l’Afrique, mais l’action est locale. Alors il se met à l’œuvre par « un retour aux sources » dans son quartier. Tous les domaines sont touchés et tout le monde contribue : « batukada, capoeira, soutient scolaire…  Il y a toujours des passerelles possibles entre les structures, les bénévoles, les salariés et les familles ». Les passerelles s’étirent aussi au delà des frontières et des océans : « avec les jeunes du projet Batukavi (une batukada pour les jeunes de Villeneuve), on va au Portugal bientôt, au Burkina Faso l’année prochaine, au Brésil en 2014 ! ». Comme on dit dans le quartier, Willy est « animateur au local et formateur à l’international ». Ce qui compte pour cet esprit où les projets bouillonnent, c’est de redorer en profondeur l’âme de son quartier auquel il est viscéralement attaché. Willy a vu l’atmosphère du « quartier de l’utopie » se dégrader au fil des ans, et son image plonger au cours des années 2000. « Avant c’était des bals populaires, nos portes jamais fermées, des foots en haut des immeubles, du ski dans le parc… » Mais Willy est toujours là et œuvre chaque jour au changement. « C’est un super quartier, on a envie de recréer ces moments de convivialité. Et on sent ce besoin ». Willy y va de tout son être pour faire connaître à son quartier une nouvelle jeunesse. « C’est formidable ce qu’on vit en ce moment ! Le projet Batukavi est né deux semaines après les événements de 2010, et à partir de là, pleins de projets sont nés. On se réapproprie nos espaces avec ces jeunes pour que des liens de confiance s’instaurent ». Willy est aussi frère, papa, maître d’école et bonne oreille apaisante. « Pas d’activités avant 18h30 pour les devoirs, et je corrige toutes leur fautes sur Facebook ! ». Willy ne compte pas ses heures, c’est son quartier, ses jeunes, sa vie. Un coup de blues ? « Ils viennent à la maison, ils dorment parfois ». Un foisonnement de photos sur la table, chacune lui rappelle tant de projets passés, à venir… « Allô ? Oui Elise, je t’écoute… Tu viens à la Batuk ce soir ?…T’as des devoirs ? Une dictée demain ?…. Ouais ben reste chez toi alors ! A demain au carnaval ! » Il range son sac dans lequel il a préparé le goûter pour les jeunes qu’il s’apprête à retrouver. « On a été tranquille jusque là, mais c’est l’heure de la sortie des cours ! » Flore Viennot [post_title] => L’autre Visage de la Villeneuve [post_excerpt] => Villeneuve… « Discours de Grenoble », « meurtre », « trafic », « double tuerie » … Voilà les images qui défilent lorsqu’on pense à la Villeneuve dont on ne parle que lorsque la violence s’y mêle. Pourtant le quartier est aussi tout autre chose… Voici son autre visage, incarné par Willy Lavastre, animateur socio culturel et habitant du quartier. [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => lautre-visage-de-la-villeneuve [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2012-10-06 20:32:46 [post_modified_gmt] => 2012-10-06 18:32:46 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://latelelibre.fr/?p=24962 [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 0 [filter] => raw ) ) [post_count] => 7 [current_post] => -1 [in_the_loop] => [post] => WP_Post Object ( [ID] => 25408 [post_author] => 2 [post_date] => 2012-10-30 14:11:25 [post_date_gmt] => 2012-10-30 13:11:25 [post_content] =>

ATTENTION: LES INSCRIPTIONS SONT CLOSES! (ajout du 26/11/12)

Grace au soutien de la Mairie de Paris (direction de la jeunesse et des sports, direction de la démocratie locale et de la vie associative) LaTéléLibre organise un atelier de formation d’une semaine pour les jeunes parisiens.  

ÉDUCATION AUX MÉDIAS ET INITIATION À LA VIDÉO 

Date: du lundi 10 au vendredi 14 décembre

Horaire : 10h00 à 19h00

  Ce stage gratuit est proposé pour 9 jeunes parisiens de 18 à 30 ans. Une priorité sera donnée aux jeunes demeurant dans le périmètre « politique de la ville » du 14ème arrondissement où est implantée LaTéléLibre (1 rue Maurice Bouchor, 75014 - Paris). L’objectif de ce projet pédagogique est d’éveiller l’esprit critique des participants face à l’information et de développer l’apprentissage d’une pratique citoyenne de la vidéo grâce à l’intervention d’une équipe de professionnels (journalistes et techniciens) qui agissent sur le terrain.

Déroulement de la formation

Les stagiaires seront divisés en 3 équipes de 3 personnes et encadrés par 4 formateurs : un journaliste et 3 techniciens référents. 1) Analyse critique de l’information Animé par John Paul Lepers Découverte de la presse du jour. Visionnage critique de reportages de télé. Visionnage du film pédagogique « le montage » qui met en évidence le caractère subjectif du fabricant d’info. Droits et devoirs du journaliste L’objectif est de pousser les jeunes à remettre en cause leur jugement face à un reportage, en les aidant à développer leur sens critique tout en questionnant leur propre perception; ces différents exercices permettront également de distinguer information et point de vue et d'appréhender les difficultés des métiers de l’audiovisuel. 2) De la théorie à la pratique  Animé par trois techniciens et/ou journalistes Romain Potocki, Thibault Pomares et Vincent Massot Découverte de la caméra. Les principes de base : cadre, son et lumière. Le choix d’un sujet. Tournage, montage et mise en ligne Nous proposerons une initiation à la réalisation de reportages afin d’être à même de réaliser une vidéo simple et de la mettre en ligne. Le principe de la formation est basé sur l’idée qu’il faut : apprendre, faire, se tromper et recommencer. C’est pourquoi chaque cours théorique sera suivi d’une application directe sur le terrain. Les reportages réalisés pendant le stage seront mis en ligne sur le site de LaTéléLibre.  

Pour vous inscrire : CV + lettre de motivation

Envoyez un mail avec votre CV et une lettre de motivation à Caroline B. Lançon : [email protected]

Cloture des inscriptions

Le dimanche 25 novembre à minuit [post_title] => Atelier de Formation Gratuit à LaTéléLibre en Décembre ! [post_excerpt] => Vous êtes passionné par le journalisme et la vidéo? Vous voulez apprendre à réaliser un reportage? Vous avez entre 18 et 30 ans? Vous êtes parisien? Vous pouvez vous libérer entre le 10 et le 14 décembre 2012? Ce stage est fait pour vous. Dépêchez vous, il n'y a que 9 places! Cloture des inscriptions: le 25 novembre. [post_status] => publish [comment_status] => open [ping_status] => open [post_password] => [post_name] => stage-gratuit-a-latelelibre-en-decembre [to_ping] => [pinged] => [post_modified] => 2012-12-17 00:55:40 [post_modified_gmt] => 2012-12-16 23:55:40 [post_content_filtered] => [post_parent] => 0 [guid] => https://latelelibre.fr/?p=25408 [menu_order] => 0 [post_type] => post [post_mime_type] => [comment_count] => 3 [filter] => raw ) [comment_count] => 0 [current_comment] => -1 [found_posts] => 7 [max_num_pages] => 1 [max_num_comment_pages] => 0 [is_single] => [is_preview] => [is_page] => [is_archive] => 1 [is_date] => 1 [is_year] => [is_month] => 1 [is_day] => [is_time] => [is_author] => [is_category] => [is_tag] => [is_tax] => [is_search] => [is_feed] => [is_comment_feed] => [is_trackback] => [is_home] => [is_privacy_policy] => [is_404] => [is_embed] => [is_paged] => [is_admin] => [is_attachment] => [is_singular] => [is_robots] => [is_favicon] => [is_posts_page] => [is_post_type_archive] => [query_vars_hash:WP_Query:private] => 4420e30203ad99d430d087b18fd7ab25 [query_vars_changed:WP_Query:private] => [thumbnails_cached] => [allow_query_attachment_by_filename:protected] => [stopwords:WP_Query:private] => [compat_fields:WP_Query:private] => Array ( [0] => query_vars_hash [1] => query_vars_changed ) [compat_methods:WP_Query:private] => Array ( [0] => init_query_flags [1] => parse_tax_query ) )