Lecteur vidéo

Faire un don

Faire un don

Envoyer l’article par mail
Télécharger le .torrent

Fichier indisponible pour l’instant

Qu’est-ce que le Torrent ?

Grâce à Bittorrent vous pouvez télécharger et partager la vidéo que vous êtes en train de visualiser.

CANNABIS: FAITES TOURNER LE BOUQUIN

Publié le | par

A LaTéléLibre, on aime bien Bruno Blum, un des journalistes symbole de la culture rock des années 70-80. Vous le retrouverez bientôt dans une rubrique baptisée « le Monde selon Blum ». En attendant, cet ancien gros fumeur de chanvre, qui a arrêté d’en consommer depuis vingt ans, sort un nouveau livre « Culture Cannabis ». Il y raconte son expérience (franchement désastreuse sur la fin : son livre n’est donc pas prosélyte) de façon très vivante, puis fait le tour de la question avec une enquête approfondie : aspects botaniques, culturels, musicaux, légaux, historiques, politiques (il a contacté tous les candidats aux présidentielles), géopolitiques, rituels, spirituels, ludiques, agricoles, financiers mais aussi applications thérapeutiques, surpopulation carcérale, désintoxication, chiffres, guide des DVD… comme il le dit lui-même, « pas besoin d’être pour ou contre pour apprécier ce livre ».

culturescannabis.jpg

Un livre qui bat en brêche les poncifs sur l’addiction, les clichés ringards
de part et d’autre, un livre qui met les pieds dans le plat avec des
idées à la page, d’une brûlante actualité puisque le gouvernement
vient d’annoncer que « les usagers de cannabis arrêtés en flagrant
délit devront participer à des stages de prévention pouvant coûter
jusqu’à 450 euros ».
En effet qui parmi les dix millions de Français y ayant goûté
pourrait bien défendre le chanvre au volant, si, comme on l’entend
dans une l’actuelle campagne médiatique, il représente réellement un
danger sur la route ?
Mais des questions se posent: avec 3500 morts annuels directement
liés à l’alcool en France (soit infiniment plus que les accidents
supposément dus au chanvre), on n’a pas entendu parler de « stages de
prévention payants » en cas d’alcootest positif, ni en cas d’abus de
Valium ou d’autres drogues légales dont la consommation bat des
records en France. Deux poids deux mesures ? Il est vrai que la
France produit plus de bière et de benzodiazépines que de haschisch…
D’autre part, le cannabis reste décelable trois semaines au moins
après sa consommation. Le dépistage ne sera donc pas équitable : on
fume un joint le samedi et on est arrêté quinze jours après ? Comment
prouver que la consommation a bien eu lieu au volant si elle a eu
lieu quinze jours plus tôt ? Chasse aux sorcières ?
Bruno Blum est musicien, dessinateur, photographe et écrivain. Il est
aussi l’auteur de plusieurs livres sur les musiques populaires
américaines, anglaises et jamaïcaines.

John Paul Lepers, Caroline Lançon

Réalisation: Antoine Heidler

Bruno Blum a un pseudo, Doc Reggae, et un site.

Pour mieux connaïtre la nouvelle législation sur le cannabis mis en place par Rachida Dati et Nicolas Sarkozy, voir le reportage « Stages anti- pétards« 

Partager cet article

Laisser un commentaire

Laisser un commentaire

Les commentaires (81)

  1. Le cannabis: une arme de destruction massive contre notre peuple

    Selon la presse bien-pensante, le Maroc s’attèlerait avec ardeur à la lutte contre la culture du hashish. Si cet engagement de la part de l’Etat est effectif, nous pouvons, a priori, nous en réjouir puisque plus de 80% du cannabis circulant en France est originaire du beau royaume de Mohamed VI. Mais en parcourant la presse marocaine qui traite du sujet, on se rend vite compte que la destruction relative de champs de chanvre provoque quelques effets pervers touchant en premier lieu notre pauvre Europe. S’il est ainsi écrit dans Le Journal hebdomadaire que “devant la forte demande des consommateurs européens du shit marocain, confirmée par les rapports des organismes spécialisés, le prix du hashish ne cessera d’augmenter”, nous pouvons ajouter que cette inflation ne touchera que le Maghreb en général et le Maroc en particulier. Car la “crise” due à l’éradication des cultures des provinces de Taounate, Larache et Ksar El Kebir “fera certainement le bonheur des barons des régions encore non touchées par les autorités” comme Nador ou El Hoceima. De cette situation découlent un enrichissement et une concentration des pouvoirs accrue de cette mafia aux tentacules si longs. Il en résulte une amélioration de sa logistique propre et, en définitive, de massives exportations vers l’Europe.

    Les Français, premiers consommateurs d’Europe

    Si les Marocains vont manquer de chichon, en revanche, les Français, premiers consommateurs européens de résine devant les Néerlandais (c’est une prouesse!), ne risquent pas demain de souffrir de “manque”. Pourtant la demande hexagonale est en perpétuelle hausse et aucun sociologue n’est capable aujourd’hui de dire quand cette épidémie de fièvre cannabique s’arrêtera. Les nombreux rapports, très alarmants, sur les effets physiques et psychologiques provoqués par la consommation du poison vert ne semblent pas être en mesure de stopper la progression du mal. Il faut dire qu’il subsiste encore quelques professeurs et médecins, véritables charlatans des temps modernes, pour banaliser le produit et en minimiser les ravages. Le quotidien Libération n’est pas le dernier journal à relayer les sempiternels mensonges de ces “shitophiles”. Son édition du 7 août dernier par exemple recélait trois énormes bobards:

    — “La consommation de cannabis ne provoquerait pas de troubles mentaux mais les masquerait”. Alors, qu’au contraire, il est avéré qu’elle augmente de 41% le risque de développer une grave maladie psychiatrique.

    — “C’est la nicotine du tabac qui serait addictive” et non le THC. Il a été démontré qu’il l’était davantage!

    — “C’est parce que cela détériore nettement certaines facultés que les consommateurs de cannabis, conscients (sic) d’une diminution de leurs capacités, modifieraient leur comportement en conséquence par une moindre prise de risque.” Propos littéralement hallucinants, faisant fi des quelque 570 morts (officiels) sur la route causées par la consommation de cannabis.

    Il est légitime de se demander après cela si les défenseurs de l’herbe verte (“la bonne herbe”, comme Le Nouvel Obs’ titrait dans les années 1970 une apologie du haschich par le pourrisseur Claude Roy) et de la résine brune, ne sont pas tout simplement les agents de la destruction de notre civilisation.

    Pétards = poisons

    En effet, il existe en France presque 4 millions de consommateurs de cannabis dont un tiers fume plusieurs fois par semaine et 10% plusieurs fois par jour. 30 à 40% des lycéens fument régulièrement. L’âge moyen de la première consommation est de 13 ans. Quelles sont les conséquences à moyen terme d’un tel produit sur l’esprit d’un enfant si jeune? Par ailleurs il faut savoir que le THC est la substance détectée la plus courante chez les victimes de crimes sexuels (ce que n’ignorent certainement pas leurs bourreaux). De plus, nous savons que la résine fumée par nos djeuns est composée de matières aussi surprenantes les unes que les autres: du plastique ou du pneu, du henné ou de la paraffine, des médicaments réduits en poudre (des somnifères souvent), du verre pilé ou microbilles (pour alourdir le produit et donc le prix et donner l’aspect scintillant typique des herbes riches en résine de cannabis) ou encore de l’huile de vidange. Conséquence: les pathologies respiratoires sérieuses seraient en forte hausse chez les adolescents et jeunes adultes.

    Mais le délabrement mental et la dévirilisation de notre jeunesse sont les plus gros fruits de cette cannabisation nationale. Le bac au rabais n’a-t-il pas été conçu pour des esprits au rabais? Et n’est-il pas plus aisé de pratiquer un puissant bourrage de crâne (politique, historique, philosophique) sur des cerveaux aussi enfumés?

    D’autre part, lorsque les individus fument régulièrement depuis l’âge de 13 ans, il est illusoire de croire que, une fois adulte, ces toxicomanes décrocheront avec facilité. Encore une assertion fausse propagée par les shitophiles. Pour preuve, nombre d’entreprises traquent la consommation de stupéfiants chez les candidats à l’embauche. Comme la société Ascométal basée à Hagondange et dont le directeur, Roger Vasse, avouait dans L’Est Républicain du 21 juillet: “Le chiffre des salariés déclarés positifs était très, très important… ça fait même un peu peur alors qu’une consommation de stupéfiants est jugée incompatible avec la lucidité requise dans les gestes de travail.” Combien de blessés, combien d’accidents mortels dans le monde professionnel provoqués par la fumée des joints? Chiffres tabous, sujet tabou.

    Comment une substance si funeste a-t-elle pu investir l’idéosphère culturelle de la jeunesse prépubère et boutonneuse? Par le laxisme des parents déjà pervertis par le système de la défonce? Par les media, le showbiz et notre société marchande qui glorifient sans cesse la prétendue cool attitude, la musique reggae et ses dérivés commerciaux, les gadgets répandus par millions en forme de pétard ou de feuille de cannabis? Et puis il existe un axiome fort puissant qui pollue les pensées. Nous pouvons le traduire ainsi: Tu aimes la tolérance? Alors tu aimes le cannabis (et inversement) et tu exècres les fachos! Néanmoins dans un pays où les propres frères de la ministre de la Justice trafiquent allégrement, on saisit aisément l’ampleur du désastre français… et l’on ne voit à l’horizon aucune embellie.

  2. 9/11/2005

    Violences urbaines : les quartiers où prospère le trafic de drogue des Hauts-de-Seine restent calme

    Les quartiers où prospère le trafic de drogue dans les Hauts-de-Seine, plaque tournante de l’Ile-de-France, “paraissent être les moins agités” par les violences urbaines, a constaté le préfet du département Michel Delpuech.

    “Les cités où le trafic de drogue est le plus établi paraissent être les moins agitées”, a affirmé le préfet, estimant que “les gros trafiquants n’ont pas intérêt à l’agitation, ça casse leur marché”.

    Par exemple, la cité Pablo Picasso de Nanterre, connue pour être, comme d’autres du département, la plaque tournante du trafic de drogue, notamment de cannabis, en Ile-de-France, “a connu vraiment peu de choses” en terme de troubles, selon M. Delpuech.

  3. Bravo ! Standing Ovation !

    Tu résumes PARFAITEMENT la situation du Cannabis en France.

    Autre idée saugrenue, je visionnais un reportage sur l’argent du cannabis (diffusé par France 2). Ils estimaient à environ 10 milliards d’euros ! Et on nous bassine avec le trou de la sécu depuis combien de temps déjà ?

    No more comments !

    God bless.

  4. Le cannabis ferait basculer les plus fragiles vers la schizophrénie

    Les méfaits du cannabis longtemps présenté comme une drogue douce sont revus à la hausse alors que le nombre de ses adeptes ne cesse de se multiplier parmi les jeunes. En France comme dans toute l’Europe, c’est la substance illicite la plus consommée par les adolescents. Et ce n’est que depuis peu que l’on mesure et comprend ses effets négatifs sur la santé mentale alors que pendant près de trente ans, il a été perçu, à tort, comme un produit inoffensif lié à la fête et à la convivialité.

    Selon une nouvelle étude publiée aujourd’hui dans le Lancet axée sur le devenir des jeunes fumeurs, il apparaît que le risque pour eux de développer des troubles psychotiques ultérieurs augmenterait de plus de 40 %, par rapport à des jeunes gens qui n’en auraient jamais pris. Ce surrisque est lui-même directement proportionnel à la dose consommée. Les « accros au shit », ceux qui en fument plus de cent fois par an, seraient ainsi les plus exposés avec une hausse de 50 à 200 % de survenue ultérieure de tels troubles (schizophrénie, symptômes psychotiques, hallucinations, anomalies du cours de la pensée). Pour asseoir ces conclusions, le Dr Thérésa Moore de l’université de Bristol et le Dr Stanley Zammit du département de psychologie médicale à l’université de Cardiff ont passé en revue 35 études réalisées dans différents pays, Allemagne, Pays-Bas, Grande-Bretagne, États-Unis, Suède, Nouvelle-Zélande. Si à la lumière de cette nouvelle étude, il reste difficile d’affirmer que le cannabis provoque à lui seul cette grave affection, il apparaît cependant que ce toxique pourrait contribuer à faire basculer les plus fragiles vers cette pathologie mentale.

    Le Dr Zammit avait déjà publié un article retentissant en novembre 2002 dans le British Medical Journal sur les méfaits de l’« herbe » sur un jeune cerveau en pleine maturation. À partir d’une étude menée sur plus de 50 000
    jeunes conscrits suédois suivis depuis le début des années 1970, époque du « flower power », il avait montré avec trente ans de recul que la prise régulière et intense de cannabis est capable à elle seule de faire basculer un jeune dans la nuit de la schizophrénie. Sur 731 consommateurs excessifs, 28 étaient devenus schizophrènes dans les cinq ans, soit 4 % d’entre eux (quatre fois plus que la normale).

    Des résultats à mettre en parallèle avec ceux d’une autre étude suisse cette fois (institut de psychiatrie de l’université de Zurich) publiée le 23 juillet dernier qui montre une forte hausse de cette pathologie chez les
    hommes jeunes dans les années 1990. Les cas constatés chez les 15-19 ans ont été multipliés par trois et ceux chez les 20-24 ans par deux dans ces catégories d’âge, les plus exposées à une telle consommation.

    Avertir les jeunes et leurs parents

    Ce n’est pas la première fois que des médecins mettent en garde contre les effets négatifs du tétrahydrocannabinol (THC), le principe actif du produit, sur la santé mentale future des jeunes. « Ces résultats devraient inciter les gouvernements et les autorités sanitaires à mener des campagnes d’éducation efficaces et soutenues pour avertir les jeunes et leurs parents des dangers du cannabis, trop longtemps négligés », pointe dans un éditorial associé un psychiatre danois, le Dr Merete Nordentoft pour qui « près de 800 cas de schizophrénie par an pourraient être évités en Grande-Bretagne si les jeunes renonçaient au produit ». Sans parler des autres troubles associés sur l’attention, la mémoire, la motivation à l’origine de sérieuses difficultés scolaires chez les fumeurs réguliers. Ni les effets
    désinhibiteurs à l’origine de comportements violents. Ni les effets paradoxaux sur l’anxiété, d’abord apaisant, mais ensuite générateur d’une angoisse beaucoup plus intense.

    En France, un jeune sur deux, âgé de 17 ans, a goûté au cannabis. Plus d’un demi-million de personnes allument un « joint » tous les jours. Les Français font désormais partie des plus gros consommateurs en Europe, aux côtés du
    Royaume-Uni et de l’Espagne. Et les addictologues s’inquiètent du fait qu’aujourd’hui les joints peuvent être dix fois plus « chargés » en principe actif que leurs équivalents des années 1970.

    (source Le Figaro)

  5. J’avais pas lu le post de JMLP Babenco!!!
    ne serait-il pas le fils caché du funeste professeur Nahas?

  6. « dévirilisation de notre jeunesse », « agents de destruction de notre civilisation »? C’est magnifique… Il y’a du lourd ici. Je ne parle pas pour bardamu qui reste sur un terrain clinique. La civilisation de la vigne contre celle du chanvre, un nouveau combat à perdre, compéres !

  7. Toujours pas d’accord pour légaliser. Les ados franchissent les interdits pour un parcours initiatique. Si on lève l’interdit, il y a des chances pour qu’ils aillent chercher plus loin. Je ne suis pas pour la pénalisation des consommateurs.

    Je pense que le stage payant sera perçu comme une punition plutôt qu’une mise en garde du fait de son coût.

  8. Ouf, je suis rassuré Elisa, tu n’as pas quitté la planète…mais tu dis toujours autant de conneries…t’as pas maté le beau doc que je propose? ça fait maintenant 70 ans que la prohibition ne fonctionne pas et tu fait partie de ceux qui persistent dans l’erreur…désolé

  9. buvons compatriotes ,buvons ….medicamentons nous ,ciotyens
    l France est le pays où l’on boit le plus , fume le plus , se medicamente le plus ……….serions nous un peu ,hum hum , degeneres? à 42 ans moi tout va bien qd meme !lol

  10. Faire des comparaisons avec l’alcool est idiot. Il faut plus d’un verre pour être ivre. Chaque buveur ne recherche pas l’ivresse.

    Un joint défonce et on le fume pour ça. Ce n’est pas du tout le même mode de consommation.

    @Giorgio

    Attention les jeunes lisent et viennent sur ce site. Comme d’autres avant eux dont j’ai fait partie, je n’avais pas trop conscience des risques à l’adolescence. On pense ne jamais pouvoir mourir et parfois, dans la prise de risque on va beaucoup trop loin.

    Il est très important d’avoir des messages de préservation vis-à-vis d’une jeunesse qui ignore les risques.

  11. C’est pas en leur bourrant le mou avec des conneries qu’on les aideras, j’ai une fille ado, et j’essaye au maximum de lui tenir un discours de vérité, et JE LE RÉPÈTE, le CANNABIS est CONTRE-INDIQUÉ pour les MINEURS, ainsi que l’ALCOOL, et tout le reste…

  12. Il y a de la testosthérone dans Giorgio. Y’en a aussi dans Chamonix. Pourtant je n’ai pas encore décollé.

    T’as remarqué que je dis des conneries. Ca m’arrive. Je te l’accorde. Néanmoins, je ne veux pas que mon nez, en plus, sente les odeurs de cannabis dans les lieux publics.

  13. Très interessant sur plusieurs points.
    La prévention, la dépénalisation, les taxes, le contrôle, le discours politique hypocrite datant des Grottes de Lascaux, la responsabilité, l’éducation, le trafic pécunier engendré, les flux financiers liés aux ventes d’armes également.
    Il me semble inconcevable qu’un présidentiable, de même qu’un président tout court, n’est pas les … pour prendre le problème à bras le corps.
    Ce tabou, cette « non » volonté politique de cerner enfin le phénomène, et un parfait révélateur…

    Politiquement, on peut dire, « affirmer », et donc « défendre » que ce problème public est non traité « à dessein ».
    Chose grave… en République. Je ne vous apprend rien.

  14. Perso un verre vite descendu à jeun et je suis un peu allumé pour un moment. Si tu met un tout petit peu de shit dans ton joint il en sera de même; je ne suis pas dans ce cas mais certains peuvent disserter en esthétes des différentes variétés et nul doute que l’ivresse dépassée gâche le plaisir de nombre d’entre les fumeurs de joints.

    Je me rappel ma grande préocupation de jeunesse: me déchirer à tout ce qui titre un minimum d’alcool. Dieu merci on ne trouvait pas de vodka frelatée dans le commerce et et je ne suis pas aveugle, j’aimerais qu’il en soit de même du thc.

    La vie est une affaire sérieuse, disait Elisa sujet précédent, la vie est aussi un risque permanent. Je ne suis pas fier d’avoir conduit bourré aussi souvent et aussi bourré que je l’ai fait, j’aurais peut-être été moins potentiellement dangereux avec des régles plus graduées, ça mérite aussi réflexion.

  15. bonne petite promotions ou on apprend la relation entre les pays demandeurs d’armes et exportateurs.Ouaah, le scoop!

    1 ado sur 2 je voudrais bien voir.

  16. Et pourtant si, je pense que si on le pic vraiment sarkozy ne va pas se gêner pour faire payer et augmenter la répression comme il l’a deja fait,
    uniquement pour satisfaire l’électorat et faire du chiffre tout en se foutant royalement du problème qui ne le touche évidement pas, quoi que? :)
    http://fr.youtube.com/watch?v=LlNIW-277_Y

    Pour le reste, Bruno Blum a totalement raison, ca fait du bien une fois de plus sur un sujet sérieux d’entendre la vérité et pas la routine de pensé unique qu’on nous rabâche sous le prétexte qu’il faut pas dire le contraire pour pas fâché.

    Ce qui m’a fait sourire, c’est lorsqu’il parle du fait de la dépendance et exès des gens en général de nos jours dans la société, envers la nourriture, la tv, etc etc
    Parce que c’est ce dont je me suis également rendu compte il y a peu :)
    Mais comme il dit, c’est toujours plus facile et ca demande moins a réfléchir, de dire juste que « bhaa caca pas bien et pas toucher sinon panpan culcul et posez pas de questions »

  17. T’as raison phiver, je ne connais pas personnellement Bruno Blum, dont je ne met pas en doute l’honnêteté, quoique, mon expérience m’incite à me méfier des « repentis », je ne fume plus, j’ai tout arrêté,
    Je recommande à tous, (parce que tout ou presque a déjà été écrit sur le sujet) les excellents ouvrages:
    L’empereur est nu de Jack Herer, éditions du Lézard,
    « Le cannabis est il une drogue ? » de MICHKA Georg éditeur SA, Genève
    Fumées Clandestines 1 et 2, de Jean-Pierre Galland Editions du Lézard.

  18. Moi j’ai 60 balais malpaso , je dirais plutôt que c’est « L’IGNORANCE » et « LA PEUR »

  19. Avec notre nouveau gouvernement et sa MILT new-look, on va bientôt revenir au : « qui shoot un oeuf, shoot un boeuf. »
    _____________

    J’ aimerais bien trouver cette fameuse herbe plus forte que ds ta jeunesse, John-Paul. Ou alors tu fumait du chanvre textile (0, 2 % de THC.)
    Je crois que l’ herbe la plus forte titre à 25 % de THC (par exemple Skunk), et encore, faut bien la cultiver.

    ____________

    Le cannabis et la schizophrénie : pour ce que j’ en ai entendu, il en serait plutôt le révélateur. Des études plus poussées seraient possibles ds un contexte plus favorable (dépénalisation/légalisation. En tout cas des lois plus libérales) , c’ est à dire pas de craintes que la loi ne s’ abattes sur vous tel un sumo sur M. Sarkozy Président de la République Démocratique Française Une et Indivisible quand vous témoignez, ainsi possibilités d’ études claires qui sont aujourd’ hui impossibles, à cause de la clandestinité des consommateurs, elle même dût à la prohibition et à la répression qui en découle.

    Désinhibition , violence, conduite automobile : la caricature du fumeur de zotla est plutot du genre « coool man » que « j’ vé t’ niker ta mère ! » . Expérience régulière sur moi même : je m’ inhibe ds des rêveries euphoriques et je rigole bien avec la Baronne.
    La violence désinhibée est plutôt le fait du consommateur abusif d’ alcool qui, comme ds la folle jeunesse d’ Aslan le Grand, prend son bolide et fonce sur l’ autoroute de la mort. Sous THC on se sent trop vulnérable, inhibé, conscient de son état, pour commettre pareille folie … à moins d’ avoir mélangé le cannabis avec l’ alcool, ce qui semble être la pratique actuelle, hélas, sûrement dût au manque d’ informations des jeunes sur ce produit qu’ ils s’ imaginent être inoffensif, saoulés qu’ ils sont par une propagande gouvernementale ne correspondant pas à la réalité qu’ ils expérimentent.

    La corrélation entre la présence de cannabis détectée chez des victimes de viol (les sources svp) et le viol lui même est à prouver. La drogue du viol est plutôt le GHB que le THC. Avant la sus-dite molécule, l’ alcool – encore lui – était et est encore un moyen pour les bourreaux d’ endormir leur victimes. Le GHB et les sommnifères seraient plus efficaces.
    Sans compter que ces crimes se produisent entre autres lors des fêtes de fin de semaine, où l’ on consomme tout produit euphorisant passant à porté de neurones. Et le produit le plus désinhibant n’ est pas le shit ; et là on en revient à la conduite automobile.

    Les produits de coupe (héné, paraffine, petite culotte de Cécilia), le Maroc, la mafia, la consommation abusive : des lois plus libérales (à propos : le cannabis n’ est pas si libre que cela en Hollande) et à la fois plus encadrantes (conséquence logique) amélioreraient (à défaut de résoudre) pas mal de ces problèmes.

    La morale (virilité et vie sérieuse) est certes importante, mais sur un sujet grave comme la santé publique, elle doit céder la place au pragmatisme.

    En clair : pour les anti-cannabis comme pour les pros, une législation plus souple, non répressive, intelligente, préventive et pragmatique serait la bienvenue.
    Nous pourrions débattre cartes sur table.
    Ensuite seulement, nous irions au cannabistro discuter morale (virilité de la Nation française et vie qu’ est sérieuse.) (Bises, Elisa.)

    PS : j’ exècre les fachos.
    _______

    Durant ma récente jeunesse (au delà de 25 ans on est un quinquagénaire, comme dirait ce bon vieux Cavanna) j’ ai été un consommateur assidu de diverses drogues dures (sauf le crack), drogues dures légales et illégales qui m’ ont fait dériver sur les flots glauques des caniveaux de Paris et de banlieue.
    Aujourd’ hui, clean comme un jogueur, je ne consomme plus que le cannabis que je produit (bio) moi-même (six belles plantes en plein séchage) et suis parfaitement inséré ds la société, je travailles, je vote, je paies mes impôts et, last but not least, le vilain bourreau que je suis, qui a montré au Peuple la tête de Louis Capet, s’ est rendu à une (doulce) Baronne !

    PS : j’ exècre les fachos.

    ________

    Et comme l’ herbe ça rend amoureux, voici pour Giorgio et Aslan (où es tu Gaël ?) sans oublier La Télé Libre et les Télé Libre spectateurs (même ceux de droite) (mais pas les fachos, que j’ exècre) , ce texte trouvé ds un site rigolo :

     » A tester : « Bonjour, je vous appelle parce que j’ai un grave problème avec le cannabis et que ça atteint des proportions démesurées. Je vais avoir 22 ans, j’ai commencé à fumer à l’age de 16ans, et depuis tout va de plus en plus mal.

    C’est horrible, ma déchéance s’est accentuée à un point où je me suis retrouvé à discuter plusieurs fois par semaines jusqu’à trois heures du matin passé chez d’autres toxicomanes ! Nos éclats de rire ont détruit ma vie sociale au bureau à une vitesse exceptionnelle, tout juste le temps d’un stage, dans la mesure où je n’était plus fait des dernières tribulations des héros des émissions de TF1 et M6. J’ai même fini par trouver mes collègues ennuyeux alors que ce sont des gens tout ce qu’il y’a de charmants : deux enfants, un labrador, un pavillon en banlieue, des vacances au camping d’Arcachon. Un lieu délicieux qu’ils chérissent depuis 10 ans, toujours au même emplacement, mais pour lequel j’ai toujours de plus en plus de mal à trouver un quelconque intérêt.

    Ma passion pour les plantes est rapidement devenue réellement problématique, lorsqu’elle m’a poussé m’interroger sur des sujets comme l’écologie… Mes idées politiques se sont petit à petit radicalisées. J’ai des accès de paranoïa : j’avais commencé à entendre des chuchotement dans le couloir après notre différent sur les sans papiers et la police. J’avais ensuite l’impression qu’ils discutaient dans mon dos en m’appelant « l’anarchiste » après leur avoir dit tout le bien que je pensais de la notion de propriété privée.

    Sans parler des désastres qu’a eu cette horrible plante sur mon corps. Mes oreilles sont devenues extrêmement sensibles, si bien que je n’arrive plus à suivre les téléradios crochets. Ces mêmes radios crochet que j’ai par ailleurs fini par trouver débiles, c’est vous dire si je souffre… Ce problème ne touche malheureusement pas que la télévision, je suis aussi également devenu incapable de me divertir devant le dernier Jugnot qui pourtant remet au goût du jour les valeurs vraies de notre doux pays : ordre, discipline et punition physique. J’ai également un gros problème de mémoire : je me fait tellement d’amis que je n’arrive plus à retenir le nom de tout le monde. Mes poumons sont devenus trop fragiles et je ne supporte plus la fumée des gaz d’échappement… Pour tout vous dire j’en suis arrivé à vivre loin de la ville, à plus de vingt minutes du supermarché le plus proche, toujours à cause de ce problème de tolérance de la pollution, ce qui entre nous ne favorise pas l’intégration sociale. Ca allé mieux pendant un temps, mais après quelques temps cela ne me satisfaisait plus : j’ai été obligé de m’extrader.

    Je suis perdu, je ne me sens plus à ma place dans le système. C’est un processus constant qu’il m’est difficile d’enrayer désormais. J’ai commencé à m’apercevoir du changement lorsque je n’accordais plus d’attention à la décoration des appartements, des vêtements des gens que je rencontrais. Le point de non-retour a été franchi lorsque la dernière Peugeot a cessé de me faire envie. J’en suis rendu à renoncer à rechercher un emploi bien rémunéré et à travailler pour des ONG. Je me reconnais dans les symptômes énumérés dans un article très pertinent rédigé par un psychologue du Nouvel Obs et je l’admet moi-même : j’ai complètement perdu le sens des réalités… Aidez moi ! »

    Stripthis.

    PS : j’ exècre les fachos.

  20. Excellent, bourreau ! :D

    Merci pour avoir partager ce petit bijoux.

    Ca fait une belle conclusion non? :)

  21. ouééé y’a du monde sur la corde a linge…

    Bah, rien de bien nouveau sous le soleil, que ce soit depuis Mc Carthy avec ses faux rapports coupables d’avoir été caution d’une politique de repression, ou ceux de Nahas quelques decennies plus tard, on reste malgré tout assez hypocrite sur le sujet, ici en France.
    J’ai fumé, bossé avec Galland, travaillé a Marmottant, vecu en squatt de camés, etc etc…
    La repression d’usagers n’a jamais rien changé, et a même empiré les choses.Chaque generation se defonce un peu plus jeune a chaque fois, (cannabis, alcool, extas etc…voir plus si afinités), la vraie question n’est pas vraiment de savoir comment l’interdire, mais plutot comment limiter les dégats, en cherchant a comprendre pourquoi déja, et ensuite, puisque la defonce est innalienable a nos conditions de vie visiblement, il faut avant tout, informer.
    Informer sur ce qu’on consomme, les risques, les differentes qualités, les differents effets, la responsabilité qu’incombe un etat de defonce, etc.
    En evitant aussi par exemple de mettre toutes les dopes sur le même plan pour commencer.
    Chaque usager, chaque drogues a ses propres regles, et elles ne passent pas au dessus de celles de la société, néanmoins, lorsque c’est consommé dans un cadre festif ou a domicile, cela reste assez somme toute assez benin comme menace d’effondrement de notre société.

    Mais comme le disait un grand philosophe hippie en roue libre : « La dope fait mieux passer les periodes sans argent, que l’argent ne fait passer les periodes sans dope. »

  22. Content de vous entendre amis Bourreau, Gael, Aslan, connaissez vous cet intriguant JMLP Babenco, serait-ce un sous-marin nucléaire de MAM? ou le fantôme mort-vivant de Nahas?
    En tout cas son discours me rappelle quelqu’un: Jean-Paul Segela, le Monsieur drogue de Pasqua, qui après quelques dégats a été inculpé et écroué pour « recel d’abus de confiance », « abus de faiblesse » et « blanchiment ». dans la sordide histoire du Patriarche
    de Lucien Engelmajer
    http://www.prevensectes.com/rev0611.htm#14b

  23. c’est peut être a cause de ca, plus ca vas moins je supporte le flot de connerie qui passe a la télé et même maintenant a la radio, a chaque fois que je voie la photo de sarko j’ai envie de vomir, c’est ca alors, je suis un sale drogué, complètement accoté de la plaque….
    oui, j’ai compris maintenant, c’est parce que j’ai plus que deux neurones qui fonctionne!
    heureusement pour moi mon system binaire arrive encore a décrypter la télélibre.

  24. Désolé, connais pas JMLP Giorgio, mais il est à fond dedans ! Dois sniffer du tchychlo sinon je vois pas.

    Quant à toi, denis1, je te confirme que tu es un sale hyppie :D

    Et pour tous les sâles hyppies de ton acabit cette question: quel est la premiére chose que dis un rasta qui arréte de fumer?

    Réponse: « C’est quoi cette musique de merde? »

    Peace !

  25. J’ai vraiment l’impression que la discussion tourne en rond comme un pétard des années 70…pétard mouillé, en plus!
    J’ai (presque) 60 balais, donc génération hyppie soixantehuitarde etc…j’ai goûté quelques années durant tous les délices extatiques que la société de consommation nous refusait…
    Bilan : ce qui m’inquiète le plus, pour les plus jeunes, c’est l’amalgame des infos/intoxs qui circulent comme le dit Niet/gael.
    Comment voulez vous que les novices s’y retrouvent ?
    Une fois pour toutes, il faut que les médecins, les éducateurs, les parents expliquent que « qui fume un joint ne vole pas fatalement vers l’exta ou la coc » …que chaque drogue (et évidemment que l’alcool est la plus fréquente et surtout la plus légale) a des niveaux de dangerosité différents…qu’ on ne devinet pas addict à la fumette comme on devient dépendant à l’héroïne…et que les politiques expliquent à quoi et à qui sert l’argent de tous ces produits illégaux..à moins que…quelque part l’économie parrallèle évite quelques soulèvements dans les milieux les plus défavorisés ..qui survivent ou s’enrichissent selon que vous soyez petit dealer ou gros traficants …
    Si certaines zones sont restées plus calmes que d’autres pendant les « émeutes » de banlieues, ce n’est pas seulement sous l’effet soporifique de quelques joints ou sous la pression des dealers maffieux…c’est aussi parce que cette économie là permet la survie de quelques uns…et anesthésie les poussées de révolte. A qui cela profite , à votre avis ???
    L’Etat ne fait pas l’autruche, il cautionne !
    Mon avis de grand-mère, c’ est qu’il faudrait avoir le courage politique de mettre un coup de pied dans la fourmilière, même si ça doit froisser les relations diplomatiques avec certains pays du Magreb, de Colombie ou d’ailleurs…pour éradiquer les labos de drogues dures… et autoriser les amateurs à cultiver 5 ou 6 plans pour leur conso personnelle…comme ma propre grand-mère qui cultivait sa verveine pour en faire une douce liqueur, allait chaparder quelques noix fraiches pour son vin de noix….qu’elle dégustait en famille avec modération et plaisir.
    Chercher à comprendre pourquoi un être humain se détruit avec n’importe quelle drogue ( télé comprise pas bon pour les neurones non plus), a besoin de s’assommer, de n’être plus lui -même…me parait davantage intéressant à qui veut donner des leçons de vie en société…
    En ce qui me concerne, certaines expérimentations m’ont ouvert l’esprit, élargi mon champ de conscience, ma lucidité..d’autres m’ont fait beaucoup rire et bien défoulée et il y a eu celles dont on sait dès la première fois qu’elles sont aliénantes, qu’elles alourdissent ou neutralisent l’esprit et rongent le corps…à celles là j’ai dit stop très vite malgré mon jeune âge à l’époque…
    Et quoi !!! vous n’avez jamais entendu parlé de l’instinct ?
    J’ai tout bien raconté à mes enfants…pas de tabous et mon éducation ne les a pas amenés à consommer autre chose qu’un petit pétard de temps en temps avec les copains…ou un petit coup de rouge..mais jamais les deux en même temps…
    J’ai travaillé toute ma vie dans l’enseignement…élevée seule trois enfants, fait du théâtre de la musique…j’ai une vie familiale et sociale plus riche que beaucoup de gens de mon âge…
    Je ne fume plus depuis longtemps ( sauf du tabac légal) je ne bois pas d’alccol ( drogue trop dure pour moi) et pour l’instant, je vais bien, merci!
    Longue vie à la Télé Libre!!!!!!!!! et merci à tous les commentateurs…sauf les sous marins du pouvoir…moi aussi les fachos paranos, j’aime pas trop !!!
    Mobensim

  26. Ben oui, ben derrière la drogue il y a aussi des tragédies. Il y a aussi des tragédies avec l’alcool au volant pour les jeunes qui sortent de discothèque.

    Le problème reste toujours le même. Quand on est jeune, on pas toujours conscience des risques. On fait beaucoup moins attention à sa santé. On gaspille ses chances pour l’avenir. Tout ça parce que on veut expérimenter la vie et s’affrimer par rapport à ses parents.

    Il ne faut pas aller trop loin d’abord et savoir se préserver. Certains fument des joints, d’autres passent des diplômes. La vie peut apporter beaucoup d’ivresse sans substitue et procurer de bons moments à qui sait les vouloir.

    Franchement, jeunes, vous avez mieux à faire.

  27. Elisa, tu prend le problème à l’ envers.

    La question n’ est pas de discuter des méfaits et bienfaits de la drogue, mais de ceux de sa prohibition.

    L’ alcool fait des ravages, sa prohibition les a multipliés.

    L’ interdiction de quoi que ce soit n’ a jamais empéché quiconque de s’ exposer aux risques. Au contraire, elle y pousse.

    Imagine un gouvernement qui, pour enrayer l’ épidémie de sida, voudrait interdire la sexualité, la vente de préservatif … imagine le résultat.

    Tu as parfaitement le droit d’ attaquer ce sujet sous l’ angle de la morale mais, encore une fois, tu te trompes de priorité.

    D’ abord le pragmatisme, ensuite la morale.

    on pourra discuter morale – au coffe shop du coin – quand on aura une législation plus pragmatique, plus intelligente, qui ne favorisera pas la désinformation, la mafia etc … (relis attentivement les posts précédants.)

    Et pense à l’ épidémie de sida enrayée par l’ interdiction de la sexualité. Quelque soit ton opinion sur la sexualité. Là ne serait pas le problème.

  28. « Il ne faut pas aller trop loin d’abord et savoir se préserver. Certains fument des joints, d’autres passent des diplômes »

    Une bonne petite reflexion bien réac, et bien de chez nous comme on les aime, avec tout ce que ça sous entend comme desinformation, clichés et vieilles idées toutes faites…comme si fumer des joints et passer des diplomes etaient incompatibles…diplomes qu’on passent au demeurant en etudiant des textes de consommateur d’Haschich revendiqués et assumés.
    Certes, il est primordial d’informer sur les conséquences que peuvent avoir une trop forte prise de drogue, ou reguliere, néanmoins, cela depend pour beaucoup de la personnalité du consommateur, on n’a pas tous le meme rapport aux dopes, et certains aiment a explorer ses limites justement, et c’est pas de la morale a deux balles qui refreneront certaines envies, ça a même plutot l’effet inverse en general.

  29. Ecoute franchement, Niet/Gael, tu réduis mes propos. Tu ne me connais pas.

    Je parle en connaissance de cause. Si je pouvais refaire ma jeunesse, il y a beaucoup de choses que je ne ferais pas.

    D’ailleurs, comme c’est curieux, tous les anciens consommateurs sur ce site ne touchent plus à rien. Pourquoi ? Si c’est comme moi, c’est du dégout qui amènent heureusement à tout arrêter.

    J’ai connu des jeunes qui « ne sont jamais redescendu » par exemple. Ou sont allés faire un tour en prison. Ou encore se sont viandés en moto. D’autres avait un mort dans la voiture. D’autres encore, fréquentait des types avec des armes. Une autre s’est faite violer sous la menace d’une arme à 15 ans.

    Les dealers de drogue malgré leurs âges ne vivent pas chez les bisounours.

  30. Et sinon, la levée de la prohibition au profit d’ une législation intelligente qui permettrait de limiter les dégâts, t’ en penses quoi Elisa ?

    PS : à part Bruno Blum, qui sont ces  » anciens consommateurs sur ce site (qui) ne touchent plus à rien  » ?

  31. si le canabis n’est pas legalise c’est qu’une grosse partie de l’electorat est contre , surtout ce qui n’ont jamais fumé est qui diabolise sans savoir .l’etat ne veux surtout pas perdre ces electeurs là
    dans 50 ans quand nous aurons disparus ,les nouveaux electeurs qui auront presque tous goutés au fameux petard et ne seront pas plus accros a celui ci qu’a l’alccol irons acheter leur canabis au bureau de tabac du quartier et l’etat encaissera 80% de taxe comme il le fait aujourd’hui .
    ce qui interresse nos gouvernants c’est surtout ce qui est bon pour eux.
    faitent du covoiturage pendant que nous on se deplace a 15 voitures et 30 motos
    faites de la colocation pendant que nous vivons dans des appartements de 300 m2
    l’ideal serait que vous partagiez votre colocation avec une personne qui travaille de nuit comme ça quand il rentrerait au petit matin il pourrait prendre vot place dans vot lit ‘comme la place est deja chaude vous feriez meme des economies de chauffage
    travaillez a mi temps faut partager
    les gars il faut revoir les regimes speciaux surtout les votres
    ne fumez pas , ne baisez plus, ne buvez plus ,allez tous au boulot
    nous on conduit jamais bourrés ni drogués ont est prudents on a des chauffeurs (des fois ils ont meme pas le permis il parait )

  32. la seule arme de destruction massive que j’ai vu dernierement
    s’appelle la television avec ces programmes d’abrutissement
    celle là fait plus de ravage que le canabis assurement.

  33. Trois petits bémols à ton post, Robindesfoix ;

    Tu a tapés :  » ne seront pas plus accros a celui ci (le cannabis) qu’a l’alccol  » .

    1) La dépendance au cannabis est surtout psychologique, et quand elle est physique, il y a fort à parier que c’ est le tabac se trouvant ds les joints qui en est la cause.

    Inutile d’ évoquer les chaines de la dépendance alcoolique, il nous suffira de faire un petit tour au Balto pour s’ en convaincre.

    2) La tolérance (quand ça ne fait plus effet et qu’ il faut augmenter la dose -« il faut plus d’ un verre pour être ivre » comme dirait Elisa) au cannabis est quasiment égale à zéro (je met « quasiment » pour ne pas faire de chagrin à JMLP Babacool, bardamou et Elisa, mais en fait je serais plutôt enclin à dire qu’ il n’ y a pas de tolérance au cannabis.)

    La tolérance, à l’ alcool, aussi, est connue : retournons au Balto (c’ est ma tournée.)

    3) La neurotoxicité du cannabis, sans les édulcorants-recette traditionnelle des dealeurs qui disent merci à la prohibition : pareil que la tolérance : a pas.
    (le syndrome amotivationnel, la mémoire qui flanche, la concentration qui débande ne sont pas dût à des lésions cérébrales et sont transitoires.)

    Neurotoxicité de l’ alcool : un tour au Balto ça va, trois on finit en bison qui broute la luzerne.

    ________

    Bien sur, le cannabis reste un produit agissant sur le système nerveux, et en cela n’ est pas anodins. Mais on constate qu’ une drogue aussi dangereuse que l’ alcool est plus ou moins bien gérée (plutôt moins bien) quand elle n’ est pas clandestine, alors pourquoi pas le cannabis, qui est une drogue moins problématique …

    PS : Elisa, n’ oublie pas ma question :  » la levée de la prohibition au profit d’ une législation intelligente qui permettrait de limiter les dégâts, t’ en penses quoi ?  » (post 33)

  34. Ca m’amuse de lire les personnes qui prétendent connaitre le sujet alors qu’ils ne semblent avoir été que spectateurs de la chose. Plus jeune, j’avais une attitude de découverte qui me semblait naturelle, j’ai touché à pas mal de choses, dans le but premier de me faire ma propre expérience, et par là même, ma propre idée. A vingt ans, je ne comprenais pas (naïf ?) que l’état assumait de vendre des produits dont on sait depuis longtemps que l’on peut leur rattacher une dose léthale, l’alcool en est le meilleur exemple, et à contrario, refusait de gérer le cannabis.

    Pêle mêle, j’ai observé que lorsque l’alcool est consommé « abusivement », le consommateur devenait au mieux hors jeu et au pire méchant. L’alcool au volant rend dangereux surtout parce-que moins prudent. Le cannabis a le mérite au contraire de calmer les choses. Personnellement, je ne vois pas dans le cannabis une matière à « défonce », mon attirance pour lui était la recherche d’un état disons plus calme. j’ai travaillé dans le cadre de prestations techniques nécessitant d’avoir tout mon potentiel de diagnosticien, en ayant fumé juste avant, sans que cela me nuise ni à mes clients. D’ailleurs, je ne pense pas que quiconque s’en soit rendu compte. J’ai largement levé le pied récemment, parce-que la répression est devenue inquiétante et qu’en tant que père de famille, je ne voulais pas prendre le risque de nuire à mon fils et à ma femme. Dans un deuxième temps, mon ex dealer avait une vision petit à petit devenue strictement business du truc. Moins y en a et plus c’est cher, ridicule. Je témoigne qu’après 18 ans de consommation quotidienne, l’arrêt brutal ne m’a posé aucun problème physique, juste des petites tracasseries du à la cessation d’un geste qui était devenu une grande habitude. Je suis certain aujourd’hui que je ne pourrais pas arrêter la cigarette comme ça ( et encore moins de me ronger les ongles, certe ça remonte à ma première dent).
    Je ne fais pas l’apologie du pétard mais je ne supporte pas que l’on pense à ma place et que l’on m’interdise une pratique qui ne nuise pas à autrui. Décider pour les gens ne les rendront pas plus responsables bien au contraire.
    Sinon, je rejoins ceux qui pensent que le cannabis et l’école ne font pas bon ménage, quoique le samedi soir…
    Comme autre aspect, je suis effaré par le « courage » dont font preuve les policiers lorsqu’ils déboulent dans une classe de seconde pour menotter un lycéen devant ses pôtes. ça c’est de la lutte !
    Les stups qui guettent les gamins devant (voire dans ) les lycées, c’est pitoyable. Par contre, infiltrer un réseau de grossistes sur paris ou marseille, c’est déjà pas les mêmes clients.

    Une chose est sûre, face à la drogue en général et chez les plus jeunes en particulier, on a plusieurs trains de retard, et si débat il y avait, alors certainement que l’on aboutirait à la légalisation du cannabis, et sûrement que l’on mettrait en oeuvre une prévention au sujet de produits nettement moins polémiques quand à leurs effets (j’ai malheureusement connu des personnes addicts à l’héro et dans ce cas, il n’y a pas je crois d’issue possible).

    Pardon, pour finir, je suis certain que le cannabis ne génère pas en lui même de trouble psychologique, mais qu’il contribue à déceler des troubles déjà là et non repérés avant, en particulier la schyzophrénie.

    Ces propos sont uniquement et strictement basés sur mon vécu.

    PS: Je ne serai jamais contre un petit pét’ si l’occasion se présente, bien au contraire

  35. Ouais, contribuable, les témoignages dans ton sens abondent et nous connaissons tous des très gros consommateurs (un 25 par semaine, c’est déjà du trés lourd par exemple) de longue date (10, 15, 20 ans) ayant arrêtè sans problème et incapables de stopper la clope. Les mêmes sont généralement capables en plus de fumer un joint de temps en temps, geste impossible à un ex-accro nicotinique ou alcoolic. En plus de ces fumeurs lourds auto-désintoxiqués sans problème on trouve une quantité considérable de fumeurs quotidiens qui passent naturellement en vieillissant et sans heurt aucun à un usage récréatif rare. Maintenant des réactions pathologiques à tout son possibles, et considérant un loisir répandu elles sont évidement légion. La réaction prohibitionniste me fait penser au travers bien français qui fait écrit « interdit de toucher » là où il faudrait écrire « danger de mort ». Même 4% de schizophrènes engendrées parmi les fumeurs réguliers ça reste moins dangereux que le B.A.S.E jumping et la schizophrénie se contrôle, contrairement à l’écrabouillage.

  36. @bourreau fait ton office

    D’abord j’ai déjà dit que je trouve vraiment ce stage anti-joint payant du gouvernement pas efficace à mon avis.

    Une dépennalisation intelligente serait sûrement mieux mais, à mon avis, elle n’empêcherait pas les traffics clandestins.

    Pourquoi voulez-vous que vendre légalement du cannabis aux plus de 18 ans, une certaine dose par mois, empêche les traffics clandestins vers les plus jeunes de drogue freulatée ?

    Je ne vois pas en quoi la légalisation règlerai le problème.

  37. D’accord avec tous les propos de M. BLUM.
    Mais rien de neuf sous le soleil du cannabis avec son bouquin dirait-on…
    En 1999 sortait l’excellent « LE LIVRE DU CANNABIS » de Tigrane Hadengue, Hugo Verlomme et Michka où les aspects historiques, culturelles, thérapeutiques étaient déjà abordés par le biais d’écrits de moultes personnes (Malraux entre autre…).
    Une anthologie à mettre entre toutes les mains !

    Mais je vais quand même essayé de me procurer « Cultures Cannabis »….

  38. Je fumes depuis presque 30ans! j’ai arrêté 5 ans pour ma fille, Depuis ses 4 ans j’ai arrêté une fois 4 mois( avec tout ce qu’il fallait dans ma boite pour rouler), une fois 15jours, 2 fois une semaine et une vingtaine de fois 48h. J’ai 43 ans ma fille a 22ans, a une licence, travaille depuis un an, elle fume de manière ludique et exceptionnelle et m’a demandé la permession avant d’essayer a 16ans. Je n’ai fumé qu’un joint avec elle pour france/italie « le retour » elle venait d’avoir 21ans! Et je ne tiens pas du tout à fumer en coeur avec elle!
    Tout ça pour dire que je ne suis jamais allée au lycée, 2 sixièmes, 2 troisièmes, redoutable effrontée! Et bien j’ai passé mon bac en un an à 35ans (DAEU A, une équivalence).9h de cours par semaine et philo par correspondance. Je fumais dès le réveil et environ 6, 7joints par jour au moins. Sans mes joints je n’aurai jamais pu me concentrer 8h par jour, 5 jours sur 7 ni me lire 300 pages par jour. Je me suis trop bien éclatée, j’ai eu 14 de moyenne, mention bien. Après je suis allez en philo mais l’esclavage (le travailler plus pour gagneer moins) m’a rattrappé! Je fumais avant d’aller en cours, je prenais mes notes et bossais comme tout le monde, voire plus parceque passionnée et j’ai eu quelques bonnes notes!
    EN TRENTE ANS JE N’AI FUME QUE DES JOINTS, (4 fois des psylos, un détail), et jamais touché à rien d’autre que l’alcool dont je me passe des semaines et des mois entiers. ET RIEN d’autre. Alors l’escalade des drogues… Je ne me pose pas là en modèle!! Mais on dit souvent n’importe quoi sur le cannabis, les propos prohibitionnistes, répétés, déformés et propagandistes ne changent guère eux au fil des décennies. Et il y a à la base, grosse manipulation.
    En ce qui concerne les jeunes, les très jeunes, au vu des statistiques concernant leur taux de suicides, il y aurait, me semble-t-il matière à réfléchir sur leur place dans la société et à quel genre d’éducation et de société nous les confrontons. Mais c’est trop de remise en question! Le suicide des jeunes ça rapporte pas d’argent. Alors c’est l’indifference! Les « drogues », les jeunes c’est un problème qui doit se régler au cas par cas, ils manquent cruellement d’adultes enthousiastes, positifs et à l’écoute. Mais L’EDUCATION en France ça se résume à torcher les gosses et les faire rentrer dans le rang de l’école pour qu’il deviennent rentables, pour pas qu’ils dérangent il y a la télé et les jeux vidéos, et si t’es pas le meilleur t’es une merde! normal que certains adultes parents aient des retours de boomrangs!

  39. Je ne fume plus depuis mes 16 ans, j’ai fumé pendant trois ans et demi… Après avoir enchaîné les « bad trips », n’étant pas maso, j’ai stoppé d’un coup.

    Cependant, je suis TOUT A FAIT d’accord avec l’analyse de Bruno Blum ! Rien à redire…

    Achefkalement,

  40. Solidaire de Nath 35 et des autres…qui ont expérimenté , vécu et ont une certaine distance …
    Commençons par rendre la société meilleure en ne votant pas pour le premier petit coq venu….
    offrons à tous et aux jeunes en particulier de quoi s’enthousiasmer, avoir envie de vivre., deconstrire, d »espérer…
    faisons des citoyens responsables qui sauront doser intelligemment leur ration d’alccol, de cannabis, de télé, de travail, de fric…..et n’auront pas besoin d’un flic à chaque coin de rue pour leur dicter une conduite  » modélisée »..
    soyons des exemples, pas des modèles !
    mobensim

  41. D’accord avec la majorité des posts, ce qui me frappe en général, c’est que les non pratiquants cherchent à obtenir une réponse à tout prix à la question pourquoi fume-t’on. Je serais tenté de répondre: « pour le plaisir, tout simplement ». A l’époque, je comparais ça à la gourmandise, pourquoi mange t’on des fraises tagada ? La méprise vient peut-être du fait que des forces occultes cherchent absolument à imbiber les gens avec une notion de danger qui, convenons en, est bien loin de la réalité. Je crois définitivement que le danger est lié aux abus quelqu’ils soient, le sucre par exemple, le chocolat et tout ce qui vient à portée de notre pensée TV, travail, oisiveté, idées reçues bref, le cannabis ne représente aucun danger dans la mesure où comme le reste, on le pratique avec un peu de responsabilité. Une dose un peu excessive d’alcool entraine une indisposition physique, jusque là ça fait même sourire, mais au volant, le danger devient concret.

    Sans faire de mauvais esprit, un alcoolique chargé à 2 grammes est peut-être moins dangereux que moi à 1 gramme.
    Ce n’est pas aussi simple qu’on le voudrait. Nous ne sommes pas égaux quand à la réaction face au produit. Je me souviens qu’à mes débuts, la réaction était assez forte (pas de volant après les premiers joints) mais rapidement le corps s’accoutume et déjà on ne parle plus de la même chose.
    Pour finir, prenez une personne qui n’a jamais fumé quoique ce soit, si elle fume une cigarette, elle aura probablement des vertiges et une sensation d’écoeurement, elle sera indisposée, puis si elle continue, elle s’y habituera. J’ai des amis qui ne fument pas de cigarettes, mais qui occasionellement fument un joint, soit dans un esprit festif certains samedi soir, soit dans le but de se relaxer, certains soirs en semaine, quand le stress lié au travail se fait un peu trop ressentir. Et puis, la liberté des uns ne s’arrête t’elle pas quand celles des autres commence ?
    De quel droit interdit t’on le cannabis ? SVP halte à l’hypocrisie.
    Pour les parents, faites donc votre job de parents et tout ira bien.
    SVP au lieu de colporter des idées reçues non vérifiées, préférez la neutralité et dites « je ne sais pas », et souvenez vous, ne confondez pas le cannabis avec l’exces de cannabis (prendre l’apéro avec l’alcoolisme, si cet exemple vous parle mieux).

  42. @ Elisa ;

    Enfin de retour après quelque urgente affaire d’ import-export avec le Maroc, je vais enfin pouvoir continuer notre discussion impromptueusement interrompue (post 39.)

    Enfin, non, je m’ avance un peu. Suis pas en état. Versé une cuillère à soupe en trop d’ arabica ds ma cafetière, suis malade comme une couleuvre qu’ aurais voulut gober un boeuf.

    Les ravages de la drooogue (à prononcer avec une voix sépulcrale.)

    _________

    Pour te faire patienter :

    >

    (Et dire que c’ est le post n° 2 de la vidéo n° 1 au sujet du cannabis ; comme le disait Mobensim : « J’ai vraiment l’impression que la discussion tourne en rond comme un pétard des années 70  » )

  43. Bug.

    Pour te faire patienter, Elisa :

    Les avantages de la Légalisation:

    1) vider les prisons des milliers de jeunes qui n’ont rien à y faire, et laisser ces places aux VRAIS CRIMINELS…
    2) Transformer cette économie souterraine, en véritable économie officielle, créant des emplois, des taxes, des revenus pour la sécu, de la véritable information, et une prise en charge responsable et efficaces des véritables toxicos….(héroïne, crack, etc…)
    3) Sortir de cette schizophrénie gouvernementale qui ne sait plus sur quel pied danser pour justifier la légalité de l’alcool (60000 morts / an, directement liés à l’absorption) et l’illégalité du cannabis (0 mort par inhalation de la fumée)
    4) Pacifier les relations jeunes/police, dont la mission première est de garantir la paix citoyenne, alors qu’elle fait actuellement tout le contraire en chassant les fumeurs de pétard…
    5) Crédibiliser les discours politiques, comment peut-on croire les politiques lorsque les mensonges véhiculés autour du THC, perdurent, s’amplifient, repris par les médias (à plat ventre)

    Signé Giorgio, (ayant fait partie du MLC, Mouvement pour la Légalisation Contrôlée, crée en 1993 par l’avocat Maître Francis Caballero)

    (Et dire que … voir plus haut, post 46.)

  44. Reçu fort et clair, Bourreau !

    A moi (pour le fun) la petite couche conspirationiste issues de vieilles sources oubliées:

    la croisade anticanabique serait née des intérêts de Dupont de Nemours dans la chimie du papier, car le papier ne se produit à partir de cellulose (au lieu du chanvre surtout) qu’à grand renfort de produits chimiques inventé par la sus-dite boite.

  45. Ha oui, c’ est Jack Herrer qui avance cette hypothèse ds son bouquin « l’ empereur est nu » , j’ ai lu ça ds « pourquoi & comment cultiver du chanvre » par Michka.
    Icelle n’ y crois pas en répondant que le chanvre était déjà passé de mode à la fin du xix ème siècle et que c’ est la fin de la marine à voile et l’ arrivé de la machine à vapeur qui ont enterré le chanvre.
    Toujours d’ après Michka, ce serait les structures qui veillaient à l’ application de la prohibition de l’ alcool aux USA qui, pour conserver leur boulot, ce seraient rabattus sur une ivresse facile à interdire car pratiquée par les pauvres, les noirs et les mexicains : le cannabis.
    En plus ce fut un outil de répression supplémentaire sur cette population.

    @ Elisa ;

    Les effets de la cafeïne sont un peu passés (expérience toxicomaniaque en direct live sur le web), et je pourrais continuer à te répondre sans risquer de taper des caractères typographiques tremblotants.
    Hélas, il commence légèrement à être tard et je vais plutôt profiter de ce retour au calme pour entamer un cycle de sommeil léger jusqu’ à un de sommeil paradoxal, en passant par un de sommeil profond.

    Je crains bien que ceci ne m’ occupe toute la nuit.

    Suite de ma réponse plus tard, donc.

  46. À la question pourquoi les jeunes sentent ce besoin de se défoncer encore et encore et pourquoi est-ce devenu un phénomène depuis le siècle dernier :

    Pour ma part je pense qu’il faut se tourner justement vers le système mis en place. Cette idéologie de travailler plus pour consommer plus.

    On vit dans une société berçée par la mode, la publicité et le marketing de masse, qui nous incite tous plus ou moins de façon implicite ou explicite à l’apport des résultats, le surpassement de soit, l’excellence, qu’elle soit dans sa vie professionnelle ou émotionnelle.

    On nous incite à nous confiner, à nous diviser dans un style, une idéologie plus ou moins particulière (ce que l’on peut appeler ‘bandes’). Je parles en particulier des générations 15-20 ans qui ont été plus que les autres baignées par la fée télévision et publicité de masse, du tout consommable. Être un parfait petit pion dans une société où les puissants nous ordonnent et éviter toute dérive qu’elle soit intellectuelle ou sociale et contraire à l’ordre établi.

    Là où le bas blesse, c’est qu’au final l’épanouissement virtuel que souhaiterai l’élite gouvernante reste justement virtuel et en totale contradiction avec le facteur humain. Nous ne sommes pas encore des machines, quoique.
    Et forcément ça clash. De plus qu’au sortir de l’adolescence, l’ado en manque de repères commençant à se forger sa propre opinion, s’éloignant de plus en plus chaque jour du cocon familial se retrouve brutalement exposé aux difficultés de la vie qu’elle soit sociale, émotionnelle ou intellectuelle.

    La drogue se révèle être un abri, une façon plus agréable de vivre des situations difficiles ou des changements brusques, de se donner une image de soit même ou justement d’affirmer son émancipation des parents en prenant ses décisions par lui même (Je décide de faire ce que je veux de mon corps et de ma réflexion).

    Je ne fais pas l’apologie de quoique ce soit, hein, j’essaye de trouver des réponses et je m’appuie sur mon expérience perso.

    Et je pense que cela ne s’applique pas uniquement qu’aux jeunes.
    Ces sentiments sont renforcés quand j’entends parler de type, qui minés par le stress de la performance dans leur boulot ou tout simplement victimes d’une direction harcelante, voir d’un boulot usant et d’une vie sociale peu épanouissant, se suicident ou sombrent dans les anti-dépresseurs ou l’alcoolisme.
    Rongé de ne pas accèder à cet idéal utopiste d’épanouissement personnel que nous servent les médias à toutes les sauces.

    Bon je donne mon point de vue d’après mon expérience personnelle et de diverses recherches documentaires ou confrontation dans des débats. Je ne doute pas qu’il soit contestable et maladroit (j’ai du mal à tenir des argumentations rigoureuses). Je ne suis pas psychanalyste, sociologue ou expert sur la question des relations social / psycho. Je suis ouvert au dialogue à ce sujet. Je pense que certaines personnes pourront enrichir ou contester à leur façon ce que j’ai avancé.

    Fin quand je vois ma grand mère cracher sur la défonce et aduler Rimbaud, je me dis qu’il y’a un certain paradoxe hypocrite monté par le système paternaliste que nous subissons depuis la fin du XIXème siècle ou la société Victorienne.

  47. 23 ans deux enfant une situation plutot pas mal, bien payer ca fait 6 ans que je fume presque tout les jours j’ai obtenu mes diplomes mention bien ,,, je taf avec mon boss tout les jours ,, le hash n’a jamais perturber mon parcours ni etudiant ni proffessionnel et encore moins ma vie de famille… je pense qu’il faudrai que certaine personne fume a la place de raconter des connerie ou de parler de chose quelles ne connaisse pas!!!
    sur ce je vais m’en rouler un gros en regardant les conneries ecrite sur ce site

  48. hahaha
    ha ben moi, vu ce que j’me suis mis dans la gueule,(toutes dopes confondues) et ce que je continue de temps en temps a me mettre (joints, alcool-mais pas en même temps-), j’eviterais donc de prendre mon vecu comme un exemple, en revanche, aprés avoir milité au CIRC pas mal d’années, frequenté les Michka et consort, participé a la cannabis cup d’Amsterdam, organisé des soirées degustation, fait pousser, etc, etc, force est de constater, au vu des temoignages qui affleurent ici, que si il reste encore pas mal de vieux clichés qui ont la vie dure, je trouve, pour ma part, que la plupart des interventions ici sont assez realistes, et, pour une fois, ni propagandistes, ni militantes..ce qui change un peu, et fait du bien, et demontre que si cela rentre dans les moeurs, l’attitude des (vieux) consommateurs de joints, est bien plus responsable qu’elle ne l’a été.

    Pour conclure, « ne fumez pas de drogue, ça en fera plus pour les autres », tel devrait etre le slogan du fumeur du nfutur…huhuhu

    Cannabis fort et vert, (comme disait l’autre)

    et des bises à la « ptite bande ».

  49. Bises à vous tous , chers amis , je vous envoie un gros « Taff » d’une excellente herbe valaisanne par l’intermédiaire de ma Livebox…
    appochez vous de l’écran….
    FFFuuuummméééé….
    sentez-moi ce parfum….
    La suisse, c’est moin loin qu’Amsterdam…et même s’ils ont des Fachos au gouvernement, il y a de la résistance dans ce beau pays….

  50. FFFuuummmééé …

    … ééémmmuuuFFF ! Elle sent bon la myrrhe et la vanilline ta suisse, Giorgio, t’ as du savoir-vivre! ho! vla Gaël qui ramène du cidre !
    C’ est quand même une véritable coïncidence si je vous trouve ici, compères . je reviens des champs rouges-dorés de la récolte automnale, et je vous voit ici devisant, fumant. on dirait le peuple de l’ Herbe se réunissant un soir de récolte ; nous sommes le jouet de Dame Lune verte .
    Moi aussi j’ apporte un présent qui j’ en suis sûr vous apportera grande satisfaction, aussi sûrement que si c’ était une thaïlandaise , en fait non c’ est juste de la banlieusarde, pou-ssé sur le trottoir, qui a terminé son séchage ; a du caractère, en vérité tiendrais la dragée haute à Ninon De L’ Enclos… vous me direz si j’ ai menti d’ un mot . Tel sera un misérable qui en fera mauvaise chanson !

    En passant, les témoignages plus haut disent des choses auxquelles que je ne croyais pas moi-même, réussir à passer son bac en fumant comme l’ enfer, c’ est digne d’ une Hé -roïne antique, si ça existait. Ho, une chouette ; à Athène elle représente Athèna. Fumer, pas aimer , arrêter, ça aussi c’ est pas si courant ; mais je dois me tromper.

    Il faut à présent que je me défasse de la réponse qui t’ es due Elisa . Bien s’ ennuie qui fait longue attente. Mais les fleurs du mal ont de la gouaille et je succombe, le poison s’ insi -nue en moi, je perd toute force ; alors, pour que tu ne perdes patience je te glisse-dépose ce cours extrait qui répondras à ton :

     » Pourquoi voulez-vous que vendre légalement du cannabis aux plus de 18 ans, une certaine dose par mois, empêche les traffics clandestins vers les plus jeunes de drogue freulatée ?  »

    Piste de réponse avec ce court extrait parlant de l’ interdit moral imposé aux jeunes, et ses conséquences :

    «Résultat, le nombre de cas de MTS a augmenté, vu la pratique de fellations sans con -doms. Les Canadiens s’inspireront-ils des campagnes conservatrices de leurs voisins du sud? Le Dr Baltzer ne le souhaite pas. «La campagne Say no to sex, aux États-Unis, c’est fort. Très fort. Un grand nombre reste chaste avant le mariage. Mais ils vont quand même avoir des relations. Mal informés, ils sont plus à risque. Ils font ça avec beaucoup plus de culpabilité, ne vont pas s’informer sur les moyens de contraception, sur les maladies. Le taux de MTS, c’est chez les jeunes du Say no to sex qu’il est le plus élevé aux États-Unis.»

    Pour compléter ma réponse j’ imagine ce dialogue ds le futur, quand la bheu sera vendue aux plus de dix-huit ans :  » hier mon grand frère il a acheté dla weed, y m’a fait rentrer ds le coffee-shop il est majeur mon frère, jte jure jfumais dvant tout le monde, bien fracass !  »

    Bin ce gamin y fumera pas de l’ AREVA, comme aujourd’ hui. Mais de la pure Thaï, com -me demain.
    _____

    Mais à la tienne Elisa, goûte moi ce cidre, en direct d’ Honfleur qu’ il vient !
    Et pour ne point rester sur pareille note permissive, La Baronne va nous déclamer quel -ques vers de Baudelaire l’ haschischin au centre de la prairie, au soir du crépuscule :

     » Les équivoques les plus singulières, les transpositions d’idées les plus inexplicables ont lieu. Les sons ont une couleur, les couleurs ont une musique. Les notes musicales sont des nombres, et vous résolvez avec rapidité effrayante de prodigieux calculs d’arithméti -que à mesure que la musique se déroule dans votre oreille. Vous êtes assis et vous fum -ez; vous croyez être dans votre pipe, et c’est vous que votre pipe fume, c’est vous qui vous exhalez sous la forme de nuages bleuâtres. »

    Laissons le grand Baudelaire conclure, alors que la nuit est tombée, emmitouflés autour d’ un feu nous nous passons le calumet , on n’ entend que les bruits de la forêt :

    « Jamais un État raisonnable ne pourrait subsister avec l’usage du haschisch. Cela ne fait ni des guerriers ni des citoyens. En effet, il est défendu à l’homme, sous peine de déchéance et de mort intellectuelle, de déranger les conditions primordiales de son existence, et de rompre l’équilibre de ses facultés avec les milieux. S’il existait un gouvernement qui eût intérêt à corrompre ses gouvernés, il n’aurait qu’à encourager l’usage du haschisch. »

    Jvoulais faire un post court, raté !

  51. @ Bourreau fais ton office

    Pour me répondre, tu as pris l’exemple des tabous sexuels contre la propagation du sida.

    Excuse-moi mais celà n’a rien à voir avec la drogue. Il n’y a pas véritablement de tabous et pourtant parfois, il en faudrait. Les seringues usagées ne se partagent pas. Les jeunes sont plutôt très informés des conséquences de la prise de drogue.

    Donc, la légalisation n’empêcherais pas les traffics clandestins et quand vous parlez de rendre l’économie souterraine de la drogue enfin légale, alors là, AU SECOURS ! COCA SUPER HERO au CAC 40, avec de la pub à la télé !

    Quelque soit les choix du gouvernement, il faudra toujours contrôler, prévenir, soutenir et éradiquer certains traffics de drogue.

  52. @bourreau
    merci pour ta prose extatique !
    tes effluves bleues nous ont grisés
    ..sauf Elisa, qui décidément, se refuse à décoller!

  53. J’ai l’impression d’avoir deja dis ca mais tres cher Elisa.

    Je vais donc le redire, que faites vous donc du fait que la cannabis se cultive tres bien en intérieur, ou sur un balcon?
    Enfin tout simplement que l’ont peux produire soit même notre consommation.

    Il faudrait etre idiot pour aller payer cela et l’acheter a des vilains trafiquants, n’est il pas?

    Car en plus de l’éducation, je ne demande rien d’autre personnellement que le simple droit de pouvoir cultiver cette plante comme l’on fait pousser des tomates dans sont jardin…

  54. Salut, je sais pas trop pourquoi je parle parce que le sujet m’a l’air clos, disons que c’est l’ambiance du moment, ou peut-etre qu’un bon petard me manque au point de chercher sur internet toute la bibliographie qui touche à ce/cet/cette … (objet de satisfaction dirons nous) …

    Je voulais juste parler de moi comme quasiment tous ceux qui ont parlé jusqu’ici (quand allons nous nous avouer notre égo surdimenssionné? )

    Pour ma part, je tolere le cannabis.. je veux dire que fumer un joint maintenant me defonce beaucoup moins qu’avant.. à un point que j’en etais aux purs de weed quotidiens avant de passer mon bac (pur de weed : joint sans tabac.. que de la weed !! ).. en parlant de bac, je rebondis, j’ai vu en passant la ptite phrase mignonne  » Certains fument des joints, d’autres passent des diplômes », j’ai eu mon bac avec mention tres bien.. alors peut etre que cette mention est due au fait que j’ai arrété 10 jours avant le bac… apres chacun peut dire ce qu’il veut, pour ma part ça ne me derange pas du tout, a vrai dire je m’en fous ( eh oui c’est bien connu, les drogués se foutent de la vie « normale » et de ce que pensent les gens « normaux » ..).. je me demande juste quand est ce qu’on va comprendre que la solution est dans l’exil ..

  55. d accord avec toi Roux pour la solution finale l exil….Et de toute façon dans ce pays ou changer ls moeurs, les habitudes est mission impossible…l alcool coulera toujours à flot et les médocs seront vendus en masse comme les cigarettes ou l état se gave sur la mort programmée de ses concitoyens….Bref continuons d interdire le cannabis et il y aura de plus en plus de jeune qui fumeront et qui fumeront de la merde, avant que je prenne l exil on ne trouvait dans mon quartier que du shit du merde ou de l herbe coupé au sable ou à la fibre de verre….Alors continuons d interdire et celà profitera aux trafiquants et aux économies souterraines et celà tuera nos jeunes….Bref LEGALISACION LEGALISACION!!!!!!! La légalisation peut être la solution…En tout cas la répression n en est pas une surtout ce stage avec une amende de 450 euros pour avoir fumer un joint!!!! je suis vraiment choqué encore une fois c est le consommateur qui va trinquer…Et pour ceux qui font des statistiques combien de pour cent pour ceux qui sont drogués à la clope ont des cancers, combien de syrose sur combien d alcolos et combien de suicidé au médoc sur les nbr de suicide à l année…on peut aller loin comme ca mais je ne pense pas que le THC soit la drogue qui crée le plus de dommage…Même si je suis conscient de ces méfaits pour en avoir consommer en quantité de 16 ans à 24 ans…..Bref je ne regretterai jamais mes années THC et il est clair qu un petit joint de temps en temps ne fait pas de mal!!!!!!

  56. CHICHON OU LA POLITIQUE DE L’HYPOCRISIE A GEOMETRIE VARIABLE

    M. Bolloré n’aime pas la marque Chichon mais il aime bien l’expression qui lui permet de fabriquer du papier extra long. M. Sarkozy notre Président, Lui, n’aime pas l’hypocrisie et se veut clair il n’aime pas Chichon, mais il aime Bolloré. Je ne suis pas très intelligent il faudrait que l’on m’explique où commence et où s’arrête l’hypocrisie. Le terme chichon en langage parlé est assimilé au cannabis. Voyons ensemble quelques autres exemples: Il fut un temps où la religion était considérée comme étant l’opium du peuple. Aujourd’hui un nouveau moyen de croire et de penser nous est offert comme le nouveau Opium du peuple: La Télévision (puisqu’il faut l’appeler par son nom ) Capable d’enrichir en un jour l’Audimat, créant l’intox aux hommes. Ils ne meurent pas tous mais tous en sont frappés. ( Remixe de la fable de M. De La Fontaine) J’ignorai que ceux qui composent les médias étaient de sombres dealers ayant comme seule vocation, à faire de nous des accrocs indolores. Que dire de notre Administration cette Honorable vielle Dame qui dans un moment d’ivresse, envoûtée par un subtil parfum d’opium, accepte l’enregistrement d’une Marque qui dans un inconscient subjectif laisse en suspension planer tout un imaginaire illicite. Comme vous le voyez nous pourrions continuer la liste de la morale et des moralisateurs en tout genre et plus encore celle de l’hypocrisie. Je ne possède ni le cheval blanc, ni le panache d’un célèbre Roi de France. Je n’appel à aucun ralliement, Chichon avant tout autre chose est un art de vivre, des souvenirs et même des mauvais à qui je souhaite la bienvenu, car ils sont toute ma jeunesse, c’est aussi une époque et cela, que l’on fume ou pas. J’ai l’immense plaisir de rouler et de fumer avec un produit qui me ressemble, respecte ma façon de penser et ma philosophie de la vie, un produit ou je me reconnaît, loin des donneurs de leçons aux âmes biens pensantes pointant leurs doigt accusateur bien perchés du haut de leurs certitudes hypocrite.

  57. En se rappelant les reflexions simièsques de rentiers de la précarité de l’asso d’insertion à savoir 2aipe, il ressortait des conclusions de leur comité de pilotage (anpe, ddte, et les rentiers..), que pour une émancipation de gens dans la galère, il valait mieux les charger à la méthadone et au subutex ( leurs dieux sans doute…), et toujours diaboliser leur fumette sinon ils casserait des pharmacies comme Nikita etc… Sans trop réflechir mais en ayant marre d’être traîté dans ce pays, où 2 millions de joints s’allument tous les w-e, comme un juif allemand et tout ça pour vendre d’agressifs comprimés, il serait plus aisé d’entrer en résistance, de s’adonner au néo-muralisme sur les pharmacies de molière en taguant leur résultats sur leurs vitrines et leurs bagnoles. Je ne dit pas que ces types ont étudié à buchenwald mais leur simièsque collaboration pour se payer de beaux terrains devient très fastidieuse voir handicapante. Taguons leurs brillants scores obtenus en dealant des barbituriques pour tuer du zonard ou du clando plus efficacement que cette merde de « sub ». Rendons leur la monnaie de leur pièce @+ ami2patnamgand

  58. Chez la plupart de ceux qui sont contres le cannabis,dans leur langage on retrouve toujours les mêmes mots qu’on voient dans les magazines conformistes, en accord avec l’ordre comme ça c’est clair et net, on le crie, on s’en vante-> « JE PENSE COMME LA MAJORITE »

    Certains devraient se poser plus de questions tellement ça me fait de la peine et vous vous faites du tort aussi à raconter ce que vous avez entendu..ce que vous penser j’ai juste à le regarder la télé pour voir que c’est le même avis tranché et intraitable ^^

    Alors que certains d’entres vous n’ont jamais toucher à un join ou très peu de leur vie, ils se sentent obligés de se la jouer en révélant le retour de Satan et ses trois feuilles vertes qui vont tuer nos enfants et les rendre méconnaissables et drogués…

    Un homme en costume ne dit pas la vérité les gens, il l’a déforme avec des barrières en faisant croire que l’époque les pousse à agir ainsi et que la répression de tous ces pauvres droguées est justifié…

    A quoi bon suivre les politiques? vous y gagner quoi? Rien? vous avez juste l’honneur d’être un matérialiste qui se complait dans son raisonnement fermé et ce jusqu’à la fin de sa vie….

    et la vous allez être époustouflé par mon raisonnement d’une simplicité déconcertante:-

    L’alcool subit un long processus de transformation il faut la plupart du temps un fruit auquel on fait subir un macérage dans de grandes cuves en acier trempé, après il faut que ça reste combien de temps dans la bouteille pour pouvoir être bu un bon vin? je n’en sais fichtre rien tellement ça ma fait gerbé, et les alcools rapides n’en parlons pas, ceux que les jeunes prennent en soirée et qui sont soi-disant allégés, la cannette en verre finit sur une route dans un fossé, en cocktail molotof, bref ça fait marcher le commerce, le recyclage, les cancers du foi, la violence, les bars, et même leur usines de monstre ou il mette le liquide du diable en bouteille!

    Le cannabis, c’est une graine au début, ça pousse, ça donne une plante, comme on s’occuperait d’un géranium, la plante fournit des grappes naturellement, comme on cueillerait un fruit d’un arbre, cette plante peut faire du textile ,du papier, du bois, de la nourriture bref elle sert à tout…

    Ceux qui critique le chanvre sont très mal renseigné et leurs arguments stériles sont juste une preuve de leur tempérament de suiveur, la médiocrité faut la remettre en question, un jour ou l’autre!

    A méditer :)

  59. Ce bouquin est intéressant. Qu’en est-il aujourd’hui ? On voit de plus en plus de vendeurs de produits au cannabidiol. Apparemment, c’est légal, mais la loi est assez floue. Il est difficile de s’y retrouver mais le CBD est peut-être une bonne alternative.

  60. Ce livre a l’air de poser les bonnes questions sur le « deux poids deux mesures » entre l’alcool et les médicaments et l’utilisation du cannabis à des fins médicales ou récréatives.

  61. Un livre qui va dans le bon sens, en espérant que les politiques ne mettront pas 10 ans pour agir dans le sens de la légalisation du cannabis médical et récréatif. La crise du covid 19 aura aussi surement un impact sur les laboratoires pharmaceutiques et leur toute puissance…

  62. A lire, c’est grâce à ce genre de livre et à un travail de longue haleine que l’on va peut-être enfin revenir sur ces 50 dernières années de pénalisation et de chasse aux sorcières des utilisateurs de chanvre et de cannabis !

    La route est encore longue !!

  63. Alors on en est où aujourd’hui ? Je pense que la situation va évoluer comme cela s’est passé au Canada. Il faut préparer notre société à l’arrivée du cannabis avec ou sans thc. Même si les lois semblent parfois contre les vendeurs et producteurs de Cannabis, la politique devrait balayer tout ça d’ici quelques années. J’ai bon espoir. Et super livre, qui a fondé mon intérêt pour le cannabis en général !

  64. À mon avis le chemin n’est pas encore dégagé en France. Ce livre va dans le bon sens. En ce moment, nous sommes vers l’expérimentation médicale. Ca avance mais lentement en espérant qu’il y aura une accélération pour la légalisation du cannabis médical et récréatif. La France se tourne plutôt vers le cbd qui aide à faire avancer les choses. Il faut déjà agir sur ce dernier.

  65. moi je l’utilise avce ma cigarette electroique https://www.arsenevalentin.com/100-cbd Une étude de 2008 a montré que le CBD affecte le corps humain en restaurant l’homéostasie du corps (c’est-à-dire l’équilibre de la température, de l’acidité et des niveaux de sucre). Des recherches supplémentaires à partir de 2019 montrent que le cannabidiol peut réguler la transmission sérotoninergique et inhiber l’allodynie et les comportements anxieux dans la douleur neuropathique

  66. La situation s’améliore (je pense surtout à la récente décision de la cours de justice concernant l’affaire Kanavape…) mais il va encore falloir être patient…

  67. J’ai lu et recommande aussi ce livre « Le cannabis médical, une nouvelle chance – Pourquoi ? Pour qui ? Comment ? »
    Il parle bien des dosages / des ratios THC/CBD à respecter selon les diverses pathologies.

  68. La lecture de ce bouquin permet assurément de se faire une idée des véritables propriétés des CBD. C’est un ouvrage de référence à consulter avant de débuter sa consommation. Ainsi, vous saurez à quoi vous en tenir ainsi que les grandes tendances.

    Bonne lecture !

  69. Décidément, plus je découvre cet ouvrage, mieux j’en sais sur le CBD.Quant à le consommer pour prendre le volant, je ne le ferais pas si j’envisage un long trajet. C’est plus sûr ainsi.

  70. C’est bien de voir que les mentalités changent et que les test sur le cannabis thérapeutique aient débutés

  71. J’espère que les lois évolueront dans le bon sens et que l’on aura de cultiver du cannabis pour notre propre consommation dans les années à venir.

  72. Alcool et tabac sont 2 fleaux qui sont légaux et mis en avant partout. Pourtant le tabac c’est le fait de commercialisé l’addiction elle-même dans un produit très nocif…

    Il ne parle pas des drogues légales, Xanax, tramadol et autres anti-depresseur, relaxant musculaire à base d’opiacés comme la morphine sont prescris trop facilement et des dizaines de milliers de personnes en sont dépendant aussi en France et dans le monde. Alors que des remedes plus doux contre l’anxiété comme l’huile de CBD par exemple ou un remaniement de sa vie pour retrouver le sourire peut permettre de sortir de l’eau durablement sans se noyer définitivement un bain de pillule magique qui dès qu’on les arrete nosu enlevent toute joie de vivre.

  73. Intéressant de voir comment les attitudes envers le cannabis et notamment le CBD ont évolué sur les 15 dernières années.

  74. Passionnant article qui met en exergue la nécessité d’une approche plus nuancée et équitable concernant le cannabis. La mise en parallèle avec l’alcool et les médicaments prescrits légalement révèle des contradictions flagrantes dans notre législation. Cela souligne l’importance de repenser notre approche de la prévention, en favorisant l’éducation et la responsabilisation plutôt que la pénalisation. La santé publique et la justice sociale doivent primer dans la réforme des politiques sur le cannabis.