Les commentaires (37)

1. « Le silence vous appartiens! Alors que la parole elle vous enchaine. »
   Voilà à quoi peut servir le vote blanc… J’ai dit le vote blanc! Pas l’absentéisme!

2. J’apprécie votre site depuis quelques semaines, mais un petit point technique m’embête : désolé d’etre pragmatique : le son des vidéos est très bas, et meme au maximum l’écoute est difficile. Donc continuez, mais faites plus de bruit !

3. Merci de montrer une cité de cette façon, avec des gens sympathiques qui expriment des idées positives (dans le contexte d’injustice qu’on connait), pas la violence et la stupidité que la plupart des médias nous suggèrent tout le temps.

4. Réponse à SYLVAIN : Il suffit pour entendre mieux de cliquer 2 fois gauche avec la souris sur l’îcone « volume » en bas de l’écran et quand apparaît le tableau remonter les 2 barrettes de gauche.

5. Bravo. Il me semble que c’est le reportage que j’ai le plus apprécié depuis le début.
   Longue vie à la télé libre et à la chaîne parlementaire !

6. Pouvez -vous me donner les dates de rediffusion de ABSTENTION ZERO sur LCP.
   Merci pour la réponse.

7. Bravo ! Passionnant ..et salutaire. Continuez dans cette direction ! Vive LTL. D’accord avec Sylvain pour le son, faites quelquechose, c’est un peu dure à l’oreille ..Géhaîm

8. A toutes et tous,

   bravo pour votre émission. Ces paroles doivent entendues
   a+
   ps : pour le son, c’est vrai que c’est un peu sous-modulé.

9. Merci à LaTeleLibre pour cet excellent reportage au coeur de « la banlieue ».
   Les interviews montre bien le sentiment qu’on les habitants de ces quartiers d’être les mal aimés de notre société égoïste.
   On y a concentré au cours des ans de plus en plus de difficultés qui s’enchainent les unes aux autres pour arriver finalement à la situation désastreuse actuelle.
   Les politiques menées depuis 25 ans en sont responsables.

   Le mot banlieue n’apparait pas dans les 100 propositions de Ségolène Royale.
   Lorsque l’on cherche le mot banlieue dans le programme de Nicolas Sarkozy l’on tombe invariablement sur les termes : sécurité, délinquance, justice, police…

   Le seul a prendre vraiment le problème à bras le corps semble bien être François BAYROU qui estime à juste titre que :
   « Le tissu de notre société est en train de se défaire, les banlieues c’est l’immense échec français ».
   Sa visite et l’accueil « amical et affectueux » qu’il a reçu le 9 février dans le quartier du Val-Fourré à Mantes la jolie, démontre qu’une personnalité politique à l’écoute peut être comprise et respectée pour sa vision de l’avenir.
   L’ambition de François Bayrou est de réimplanter l’État au cœur des quartiers, l’État qui protège et qui aide, pas celui qui réprime.
   Défaire les ghettos par un travail de mixité sociale, prouver que la réussite est partout dès l’école en repensant la carte scolaire pour l’égalité des chances avec des filières d’excellences dans tous les établissements, etc.
   Beaucoup d’autres propositions liées à la cohésion sociale à découvrir dans les volets : banlieues, école, racisme, emplois francs, minimas sociaux, service civique universel, délinquance des mineurs, justice…
   http://www.bayrou.fr/propositions/

10. C’est agréable de voir des choses d’une telle qualité. En particulier une dernière partie très intéressante, d’une (trop) rare justesse et révélatrice d’un problème de fond : la fracture entre une « élite » (même si le terme est quelque peu galvaudé…) politico/économico/médiatique et le reste de la population.
    Il ne sagit que nos dirigeant deviennent de bons copains, nous tapent sur l’épaule(même si c’est toujours mieux que sur la gueule…) et nous tiennent un discours niveaux café du commerce mais seulement qu’ils essaient de se mettre à la portée des « non-experts » et bien entendu qu’ils répondent aux attentes du plus grand nombre.

    Sinon le seul gros défaut technique regrettable c’est la taille de l’image : pourquoi ne pas proposer une option de zoom comme sur dailymotion par exemple ?

11. Un reportage de qualité! J’en suis presque sous le choc!

12. Je croya

13. je croyais que John Paul était un abstentionniste revendiqué ????

14. Ah, non! Je vote (presque) toujours! D’ailleurs je viens de sortir un bouquin sur la question, avec Thomas Bauder: « Putain, votons », aux éditions Privé.

15. Merci, au nom de toute l’équipe, pour les encouragements!

16. merci pour l’émission et à tous ceux qui y ont participé
    et que le souhait d’un maximum de culture partout se réalise avec toute la richesse de toutes les cultures présentes
    et pour cette période de carnaval il est temps de s’y mettre

17. Réponse à gascounet :

    Je suis désolée, même en montant le son au max, il reste tout de même plus faible que d’autres vidéos.

18. Vidéo et commentaires à lire au Val Fourré:

    http://www.bayrou.fr/evenements/bayrou-mantes-la-jolie-090207.html

    Une approche ?

19. J’aime vos reportages et le contact que vous établissez avec les citoyens.

20. franchemen jtrouve ke t tro bo jte kif a donf kooooooiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii biz ma puce !!!!!!!!!!!!!!!!!!! : )

21. franchemen ton site c tro dla balle c pa porte na oik koiiiiiiiiii c tro dla bombeeeeeeeeeeeee hihihihihihi : )

22. ton site jle kiff a donf

23. ma coupe jleme bien dabor

24. francou jte kiff a donf

25. Le mythe du droit de vote comme une liberté chèrement conquise au fil des siècles doit être combattu, car en effet la réalité est presque inverse.
    L’histoire de l’humanité est marquée par la volonté de quelques uns de s’imposer sur tous les autres. Les révolutions ont eu pour effet de progressivement mettre en place le droit de vote des citoyens, mais cette mise en place est le résultat de l’action des dirigeants eux-mêmes : lorsque la religion a faiblit, il devenait trop difficile de justifier la royauté de droit Divin. Il fallait inventer la souveraineté du peuple, artifice consistant à dire que le pouvoir était l’expression de la volonté des citoyens et qu’il n’existait que par eux. Dès lors, il semblait difficile de ne pas permettre à certains citoyens de voter périodiquement pour exercer leur souveraineté. Depuis peu (1944 seulement en France ), tout homme et toute femme majeur-e peut participer aux consultations organisées par le pouvoir.
    Totalement illégitime d’un point de vue historique et moral, parce qu’issue de la loi du plus fort, le pouvoir, après s’être auto-légitimé par la religion, s’auto-légitime maintenant par les élections.
    Participer aux consultations électorales ne signifie donc en réalité qu’accepter ce système, montrer et renouveler sa croyance en la légitimité d’un pouvoir que jamais nous avons mis en place. Car loin d’être l’expression de la volonté populaire, le gouvernement est le résultat de la dépossession du peuple de sa capacité de régler lui-même son existence. Confier tout pouvoir à des dirigeants, c’est nous dessaisir de nos affaires, oublier nos responsabilités. Car qu’ils (les prétendants dirigeants ) soit de droite ou de gauche, parce qu’ils acceptent l’existence du pouvoir, parce qu’ils cherchent à le conquérir et à l’utiliser pour gérer la société, ne font que faire perdurer des structures de domination qui ravalent l’individu au rang d’objet à administrer. Les élections ne serviront jamais à redonner au peuple la capacité de décider. Plutôt qu’élire, il faut plus que jamais agir.

26. Il est bon de le rappeler émile, mais prenez un chewing gum quand meme!

27. Lors du montage de AZ tourné à Metz, vous avez occulté les propos des anarchos-syndicalistes de la CNT.
    C’est PLUS QUE regrettable car ils étaient partuclièrement interessant, et je crois que ces abstentionistes avaient un discours cohérant et fondé que n’avaient pas d’autres qu’on a pu voir dur LCP.

28. Nan mais hé ho Pinto, c’est du journalisme mon ami! Les propos dérangeants ET argumentés ne sont pas les bienvenus dans cette église!

29. Le Criminel

    C’est toi le criminel, ô peuple, puisque c’est toi le souverain. Tu es, il est vrai, le criminel inconscient et naïf. Tu vote et tu ne vois pas que tu es ta propre victime.
    Pourtant n’as-tu pas encore assez expérimenté que les députés, qui promettent de te défendre, comme tous les gouvernements du monde présent et passé, sont des menteurs et des impuissants ?
    Tu le sais et tu t’en plains ! Tu le sais et tu les nommes ! Les gouvernants, quels qu’ils soient, ont travaillé, travaillent et travailleront pour leurs intérêts, pour ceux de leurs castes et de leurs coteries.
    Où en a-t-il été comment pourrait-il en être autrement ? Les gouvernés sont des subalternes et des exploités : en connais-tu qui ne le soient pas ?
    Tant que tu n’as compris que c’est toi seul qu’il appartient de produire et de vivre à ta guise, tant que tu supporteras – par craint – et que tu fabriqueras toi-même – par croyance à l’autorité nécessaire – des chefs et des directeurs, sache-le bien aussi, tes délégués et tes maîtres vivront de ton labeur et de ta niaiserie. Tu te plains de tout ! Mais n’est- ce pas toi l’auteur des mille plaies qui te dévorent ? (…) Tu te plains, mais tu veux le maintient du système où tu végètes. Tu te révolte parfois, mais pour recommencer toujours. (…)
    Tu es l’électeur, le votard, celui qui accepte ce qui est ; celui qui, par le bulletin de vote, sanctionne toutes ses misères ; celui qui, en votant, consacre toutes ses servitudes. (…) C’est bien toi le souverain, que l’on flagorne et que l’on dupe. Les discours t’encensent. Les affiches te raccrochent ; tu aimes les âneries et les courtisaneries (…) Si des candidats affamés de commandements et bourrés de platitudes brossent l’échine et la croupe de ton autocratie de papier ; si tu te grises de l’encens et des promesses que te déversent ceux qui t’on toujours trahi, te trompent et te vendront demain : c’est que toi-même tu leur ressembles. C’est que tu ne vaux pas mieux que la horde de tes faméliques adulateurs. C’est que n’ayant pu t’élever à la conscience de ton individualité et de ton indépendance, tu es incapable de t’affranchir par toi-même. Tu ne veux, donc tu ne peux être libre.
    Allons, vote bien ! Aie confiance en tes mandataires, crois en tes élus. (…) C’est toi le maître, c’est toi le criminel, et, ironie, c’est toi l’esclave, c’est toi la victime. (…)

    Albert Libertad.

30. @ Pinto
    Comme vous, je regrette que votre position n’ai pas été gardée au montage. Je vais essayer de récupérer les rushs, et les diffuser sur LaTeleLibre…

31. Bonjour John Paul,

    C’est cool d’être venu à Bondy dans les locaux du Festival « Y’a d’la Banlieue dans l’Air », je viens de l’apprendre par les copains. Mais comme j’étais pas là j’en profite pour une petite séance de rattrapage pour te faire part de l’histoire d’un ami d’origine Malienne qui vit en France depuis 17 ans et qui depuis qu’il a voulu régulariser sa situation auprès de l’administration se retrouve sans rien. Sans rien car il a été depuis licencié par son employeur sur injonction du préfet de la Seine Saint-Denis, alors qu’il occupait son poste depuis 13 ans et qu’il donnait entière satisfaction. Son seul tort avoir utilisé un faux titre de séjour pour pouvoir travailler… et depuis malgré toutes les années de travail, de cotisation par l’employeur suite à son travail, d’intégration par des stages de français, de vie sociale etc.. Il n’a droit à RIEN. L’administration malgré le soutien de ses collègues, de politiques de droite comme de gauche, des médias pour sensibiliser le préfet, continue à ignorer la situation dramatique dans laquelle il se trouve aujourd’hui… Enfin pas toutes les administrations, puisqu’une seule se rappelle à son bon souvenir, c’est les impôts qu’il continue de payer régulièrement avec ses moyens…
    Aujourd’hui Sara en est à 407 jours sans rien… L’administration l’a rendu clandestin et précaire… Ci joint un lien sur une petite vidéo de soutien :
    http://www.dailymotion.com/video/x17pd4_sara-camara-un-an-deja

    Sara Camara mérite d’obtenir des papiers, l’administration continue à baffouer les droits de l’homme qui font la fierté d’un pays comme la France. Mais on lâchera pas ! encore moins dans 27 jours ! Ce jour là tous les collègues et les amis on ira voter… et on espère qu’après les choses vont changer !

    http://soutien-sara.camara.over-blog.com/

32. Superbe comme emission.
    Je tiens (comme tous le monde ici) à vous feliciter de cette initiative et de la vision que vous montrer des jeunes.

    et surtout n’oubliez pas : l’abstention n’est pas une solution mais mon argumentation est un peu vide , allez lire ici les contributions de  » toujoursplus » ou  » Colette-Serra » ca en dit long sur ce que je pense.

33. A l’attention de J.P LEPERS

    Je vous regarde souvent dans l’émission « Abstention Zéro » où je vous ai découvert, et je trouve votre émission très originale. Toute cette proximité vis à vis du citoyen, même abstinant est le reflet selon moi d’une grande ouverture d’esprit de votre part. Etre à l’écoute médiatique de l’individu lambda surtout sur un thème aussi délicat que la politique, est un acte à mes yeux bienveillant et singulier. Merci de vous intéresser à nous, de vous intéresser à tous.

    Cordialement

    Maylany

34. Et le danger des machines à voter ?
    La majorité des citoyens ignorent encore que ces machines peuvent voter nos votes et changer le résultat des prochaine sélections. Une confiance absolue dans la sincérité des résultats du scrutin est pourtant indispensable à l’exercice du droit de vote.
    Quand nous ferez-vous un reportage là-dessus ?
    Merci

35. Tiens bon émile! Ou comme on dit maintenant lache pas l’affaire! et si tu en as donne des pistes.

36. C’est un reportage très intéressant. Je doute toujours un peu de cette méthode dites à l’américaine ou le journaliste est l’épicentre du reportage. Mais c’ets toujours mieux que les reportages TF1 ou le journaliste passe les plats à divers préjugés dont une grande partie sur la banlieue.. A chaque époques ses boucs émissaires…

    Cependant j’avais cru comprendre le lisant le pitch du reportage que c’était pour donner la parole à l’abstentionniste ? « Tiens vla la bonne idée ». Apres on voit que ca passe aussi sur la LCp…. Déjà ca calme et apparemment en lisant les commentaires on s’aperçoit que certains on été coupé.
    C’est très simple ; on ne va pas donner la parole à des individus prônant l’abstention comme un choix et un geste politique surtout s’ils ont un discours carré et argumenté.
    Le mieux c’est de prendre des petits jeunes qui disent » moi je vote par ce que je comprends pas ce qu’il dit ». C’est Hyper démago.
    Et appart cela on ne voit que des gens qui votent et lorsque même dans le petit café un personnage explique pourquoi il a la carte d’électeur et pas de chance, il t’explique que c’est pour éviter la casse lors des contrôles policiers et avoir une existence au yeux de la mairie. Tu le coupes et tu lui demandes « mais tu votes ? ».

    Et le coup du « aurevoir citoyen » la vraiment tu abuses GRAVE ! C’est demago au possible sans parler de la définition que tu mets à l’écran : ok y a pas la place,- pas besoin de revenir à l’antiquité – mais si tu évoques les droits évoques aussi les devoirs…

    J’ai l’impression que l’idée était excellente et que vous tombez un écueil hyper démago, genre livre d’instruction civique de 5eme et mon petit doigt me dit que la LCp, commanditaire j’imagine, y ait pour quelque chose…

    Sinon une phrase que j’adore « la nuit je rêve en Français »…
    @ + citoyen ;-)

37. Le problème dans ce type de reportage c’est qu’ik ne font pas la différence entre ceux qui ne vont pas voter alors qu’ils sont inscrits…et qui peuvent toujours voter blanc…et ceux qui ne sont plus re-inscrits sur les listes electorales .
    Dans ma ville sur ~ 23 000 personnes en ages de voter seules 18 000 sont inscrites aprés une vague d’inscriptions importantes en 2005 (après les émeutes) et 2006 !

    pour info chaque ville à sa banlieue. ( à une lieue du banc) neuilly est surement la banlieue du XVI ème,
    Ce n’est pas la banlieue qui pose problème, mais beaucoup plus les ensembles qui ont été construits isolés du reste de la ville sans aucun accés au service publics (qu’il s’agisse de la poste, de la police, de l’ANPE, des impots, du tresor et des fois de l’école…, de la mairie)

    On n’imagine pas un village sans tous les éléments que je viens de citer.
    Il y a 40 ans…on a mis jusqu’à 10 000 personnes sans aucun service publics.
    Tant qu’il y avait du travail…ça pouvait se passer sans trop de casse… à partir du moment où le chomage est apparu…