Lecteur vidéo

Faire un don

Faire un don

Envoyer l’article par mail
Télécharger le .torrent

Fichier indisponible pour l’instant

Qu’est-ce que le Torrent ?

Grâce à Bittorrent vous pouvez télécharger et partager la vidéo que vous êtes en train de visualiser.

REFORME DES UNIVERSITES : UNE PROPOSITION SUFFISANTE ?

Publié le | par


Après le paquet fiscal et la loi sur la récidive, place à un autre gros chantier depuis l’ouverture de la session extraordinaire à l’Assemblée Nationale, celui de l’autonomie des universités.

Depuis lundi 23 juillet, la réforme des facs est débattue à l’Assemblée Nationale. Après avoir obtenu le vote des sénateurs dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juillet, Valérie Pécresse, en charge de ce dossier quelque peu épineux, doit de nouveau convaincre. Un dossier délicat, puisqu’il a du être remanié après la vague de contestations émises par le monde universitaire. Le gouvernement a donc dû faire de nombreuses concessions pour éviter un mouvement similaire aux manifestations du CPE, et reporter la présentation du texte initial en Conseil des Ministres. Des efforts donc concernant l’autonomie à la carte puisque dans le nouveau texte, est mentionné que toutes les universités ont vocation à devenir autonomes sur une période de cinq ans. Un point notamment sur lequel les organisations étudiantes ne voulaient pas lâcher prises. A la veille de la rencontre avec Nicolas Sarkozy, Julie Coudry, présidente de la confédération étudiante, pointait du doigt cette autonomie optionnelle. Le deuxième point, en ligne de mire du corps universitaire, était la composition du conseil d’administration avec 20 membres au lieu de 60 actuellement et seulement 3 étudiants. Thiebault Weber, président du syndicat modéré La Fage, fustigeait à LaTéléLibre le 25 juin, que cette limitation « [faisait] passer clairement le statut d’étudiants acteurs à celui de simples figurants ». Le texte retravaillé offre une plus grande souplesse dans la composition de ce conseil avec une variation de 20 à 30 membres. Enfin dernier point sur lequel les organisations étudiantes ont obtenu gain de cause : la suppression de la sélection à l’entrée à l’université.

Un texte à compléter

C’est donc avec un nouveau texte que la ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche a entamé ce long chemin parlementaire. Lundi 23 juillet, de nombreux élus de gauche et de droite considéraient qu’il y avait des manquements dans cette proposition de loi. Bien que Claude Goasguen, député UMP, trouve « cette loi courageuse et difficile », il compte proposer plusieurs amendements à titre de complément. D’ailleurs il y en a déjà une quarantaine qui ont déjà été adoptés par la commission des affaires culturelles, qui a étudié le projet avant la présentation dans l’hémicycle. Valérie Pécresse prend justement ces amendements pour une richesse plus qu’une remise en cause de la nécessité de son texte. Elle a d’ailleurs déclaré à i-télé : « Je ne vais pas réunir des syndicats étudiants, des syndicats de personnels et des membres de la communauté universitaire pendant une semaine (…) si je ne suis pas prête à l’enrichir encore, et cela jusqu’au dernier jour du passage au Parlement ».
D’une manière générale, la majorité salue ce texte qu’elle considère efficace et comme une « urgente nécessité ». A l’inverse l’opposition ne la considère pas comme telle, certains la jugent même dangereuse. D’après elle, les moyens financiers nécessaires à son application ne sont pas prévus par le gouvernement, ou en tout cas sont trop flous. Alain Claeys, député PS, fait parti de ceux qui pensent qu’avant de mettre en place une loi sur la gouvernance des universités, il y a d’autres priorités comme la précarité des étudiants ou encore la fuite des cerveaux français dans les pays étrangers. En effet ce projet de réforme donne davantage de pouvoir aux directeurs des universités qui, dans le cas où le texte serait voté, auraient la possibilité de recruter des contractuels au lieu de statutaires. Le parti socialiste compte bien rectifier ce point à son goût discordant sans toutefois rejeter le texte dans son intégralité.
Les craintes de voir un système universitaire libéralisé à deux vitesses sont vives. A ces inquiétudes, Claude Goasguen répond que tout va finir par se réguler naturellement. Pour répondre à l’opposition, la droite souhaite rassurer avec l’annonce de la préparation d’autres textes qui viendront compléter l’autonomie des universités qui n’est que le « socle » : au programme la réforme sur la vie scolaire, le statut des enseignants-chercheurs ainsi que la réforme du premier cycle.
Angélique Boilet
Martin Baumer

Partager cet article

Laisser un commentaire

Laisser un commentaire

Les commentaires (21)

  1. Sur le fond, ce projet représente une vassalisation inacceptable des universités aux desiderata du patronat et une privatisation larvée de l’enseignement supérieur. Tout d’abord, du fait d’un désengagement financier de l’Etat depuis de nombreuses années, les universités sont financièrement en grande difficulté. En proposant l’introduction de financement privés pour, dans les faits, compenser la pénurie budgétaire dont l’Etat lui-même est responsable, le Gouvernement livre pieds et poings liés les universités aux intérêts privés capitalistes. D’où une probable mise en concurrence entre universités que va produire la probable course aux financements privés qui ne manquera pas d’avoir lieu. Et qui produira des déséquilibres graves entre universités, filières, et donc étudiants. Une remise en cause de la conception de service public (qui repose sur l’égalité de traitement entre usagers / étudiants) dans l’enseignement supérieur. La mise en oeuvre de cette réforme serait aussi confiée en pratique à des présidents d’universités hissés au rang de PDG d’entreprises, par transposition d’une conception managériale à l’anglo-saxonne pour le moins contestable. Avec, par exemple la possibilité laissée aux présidents d’universités de >recruter des enseignants à statut contractuel, véritable « mercenariat » qui déboucherait sur >recrutement à deux vitesses avec des enseignants embauchés à des salaires différents et que ne pourront s’offrir que les universités les plus riches. Sans compter les craintes qui continuent à plâner sur des questions sur lesquelles le Gouvernement a botté en touche, certes, mais manifestement pour des raisons tactiques, et qui ne manqueront pas d’être remises sur le tapis ultérieurement: hausse substantielle des frais d’inscription à l’université, sélection à l’entrée de l’université et à bac + 3.
    Enfin, sur la forme, que dire d’une réforme votée en catimini en juillet, en pleines vacances, au terme d’une pseudo-concertation menée à la hussarde? Pour toutes ces raisons, la CAC s’oppose sans compromission à cette réforme et ne peut que que regretter les ambiguités de la gauche institutionnelle (PCF compris malheureusement), qui, tout en critiquant le projet en cours d’examen, accepte le principe de l’autonomie des universités. Sans compter les atermoiements de la direction nationale de l’Unef et d’autres forces syndicales, qui, en se contentant pour l’essentiel à contester le Gouvernement sur le terrain des moyens financiers alloués par l’Etat, minore le caractère contestable de la philosophie d’ensemble du texte et, en se contentant de gesticulations médiatiques, prépare une probable capitulation future en rase-campagne.

  2. La droite décomplexé dans toute sa splendeur quel mépris pour les journalistes de la Tele Libre ce Claude Goasguen sarko je t ai mainte fois prévenu ca va chaud très chaud a la rentrer.
    @télé libre , Jerome RDV au rassemblement à Paris, devant l’Assemblée nationale le 31/08/2007 pour l’examen du texte en séance sur le service minimum

  3. De quelle autonomie nous parle t on ?
    Longtemps l’autonomie des universités fut celle des savoirs, des enseignements, de la recherche, des critères d’évaluations, bref s’était l’autonomie des universités face à tous les pouvoirs : politique, économique, religieux …Aujourd’hui sous ce vocable on nous prépare un projet de loi qui aura pour principale conséquence de fragiliser les universités, de les rendre dépendantes des pouvoirs économiques et politiques.Cette fameuse autonomie financière et budgétaire va conduire bon nombre d’entre elles à se retrouver dépendante de sources de financement qui exigeront avec plus ou moins de force des contreparties. Une entreprise ne finance pas une université sans raison ni bénéfice : accès aux résultats des recherches et possibilité de s’approprier tout ou partie de ses résultats (avec ou sans royalties), influence sur les matières, les enseignements et/ou le choix des enseignants. Ce qui est enjeux c’est l’autonomie (toute relative) de l’université, c’est l’autonomie d’un des derniers lieux de construction de savoirs indépendamment des autres secteurs de pouvoir, d’un des derniers lieux de résistances intellectuelles.

  4. Je n’arrive pas à avoir une opinion sur tout ! C’est vachement dur.
    Pour l’instant je réflechis.

  5. Si Monsieur Apparu avait un peu plus fréquenté l’Université, il ne dirait pas « les cent-z-universités »…

    On constate quand même que le discours UMP se place toujours dans une logique de lutte presque darwinienne sur une arène internationale où il faut être les meilleurs sinon « on perd » (je cite monsieur Apparu).
    Ce que cela sous-entend, c’est que les matières non -productives seront vite reléguées dans les sous-sols de bâtiments miteux, en attendant une époque encore plus propice à leur abandon. Que faire effectivement de la Philosophie, de l’Histoire, des Lettres, classiques ou modernes dans un monde où l’on doit se mettre en concurrence ?

    Il est frappant de constater que ce monsieur Apparu – il est de la jeune génération « décomplexée » – ne considère que l’apprentissage des matières « utiles » : titulaire lui-même d’un DESS en droit internationale des affaires, il ne lui viendrait pas à l’idée que la mission de l’université, c’est justement de promouvoir l’étude POUR l’étude.
    C’est justement parcequ’un système concurrentiel supprimerait les Humanités de son mode de fonctionnement que l’État doit veiller à leur enseignement dans un système à l’abris d’une marchandisation de la société. (Moi, je serais directeur d’une école de commerce, j’attaquerais l’État pour concurrence déloyale).

    Ce qui m’embête enfin, c’est qu’à part Madame Taubira, personne dans l’opposition ne se place sur un pied idéologique (au sens noble) pour dire ce que doit être l’Université. L’idéalisme de la gauche est-il mort ?
    Pour reprendre les termes de Madame Taubira (encore que ce soit la seule sui demmande un débat d’idées), il me semble qu’on a une opposition qui n’a pas d’ambition, qui a une « gestion prosaïque » de sa mission.

  6. @Fand’ASI pour clavier mon ami
    C’est pourtant très simple
    Si tu es de gauche click sur les post 1-2-3-5
    Si tu es de droits clicks sur Claude goasguen
    Mais la ou ca se complique- les riches (de droite) sont les méchants
    Les pauvres (de gauches) sont les gentils, et dans la vie tout monde rêve de venir méchant

  7. @Fred

    C’est quand même très binaire , comme pensée. Comme l’informatique.
    Rassurez-moi, vous n’avez pas un disque dur à la place du cerveau…

  8. on touche à rien! quelle frilosité pour la formation de nos élites !!! certaines fac sont prestigieuses d’autres des voies de garage ou des usines à chomeurs …

  9. hors sujet comme c’est calme sur le forum
    DOPAGE et TOUR DE FRANCE
    Et ce jeudi, encore une moyenne de 45 km/h !!
    j’ai peur qu’un jour les voitures accompagnantes ne puissent plus les suivre dans les descentes. Le coureur prit pour dopage doit continuer le tour, obligatoirement, mais sans freins.
    Dans la descente de L’Aubisque, il devra régulièrement poser pied à terre ou se jeter dans le ravin pour freiner sa vitesse.
    Il sera ainsi ridiculisé à jamais. Trop facile de se faire exclure du Tour. NON. Ils veulent se prendre pour des gladiateurs, qu’ils assument. Et s’ils ne sont pas d’accord, c’est une étape avec des chaussures de ski aux pieds. Il verra ce que c’est d’être chargé…..Quand je pense que les HOLTZ,GODARD,ADAM,BELLEY, et compagnie prennent des tetes de surpris alors qu’ils cautionnent le dopage depuis des années.Allant ce soir jusqu’a éviter de prononcer le nom de RAMUSSEN en l’appelant le DANOIS alors qu’ils lui léchaient le c.. il y a encore deux jours,quelle bande de guignols.
    Quand aux anciens champions et vainqueurs ,ils ne parlent pas trop fort car ils ont fait la meme chose.
    Faire le ménage est la seule solution,des coureurs au medecins,directeurs sportifs,patrons d’equipes, il faut les radier a vie du cyclisme,mais on y arrivera.

  10. Les riches sont les méchants Fred. La recherche de profit à outrance engendre l’appauvrissement des biens de consommation. Le travail de l’homme n’est plus une valeur de l’entreprise.

    Plus le produit à vendre est simple, moins il est travaillé, plus il est rentable. Comme les biens de consommation générateurs du plus de profit nécessitent le moins de travail, le travail n’est plus une valeur dans notre économie. La valeur sociale de la personne, rémunérée par un salaire, sensée se réaliser dans l’activité, trouver une place sociale, suit le cours du CAC 40. C’est à dire que l’on ne pas dissocier la valeur sociale de l’homme de celle du bien ou du service qu’il produit.

    Résultat, perte de valeur, les biens les plus médiocres sont de plus en plus chers mais les salaires sont à la baisse. Perte de valeur sociale, durcissement de la société, exclusion, écarts de plus en plus grands, répression, violence.

    Les fortunes se font avec la spéculation. La spéculation est une manière de créer de l’argent sans aucune redistribution dans le secteur social. Le rôle de régulateur et d’enrichissement de l’argent est perdu car il ne circule plus et il ne sert pas à créer des richesses. Détérioration de nos conditions de vie.

    Voilà la spirale infernale du libéralisme. Un immense gâchi. Et c’est par là, vers ce désert de richesse au profit du billet que Nicolas Sarkozy nous entraîne en emmenant l’université avec lui.

  11. @Elisa Jacques comme tu à raison
    Des objectifs toujours plus haut car dans l’entreprise on ne récompense plus le travail mais la performance. On vire des cadres quand ils n’ont pas l’esprit « Groupe ».
    C‘est quoi l’ « esprit Groupe » l ’ « esprit d’entreprise » ?
    C’est le plus de celui qui privilégie les fins de mois de son patron ou de ses actionnaires à sa sante mentale, à sa vie, à son épanouissement. C’est celui à qui on va dire en fin d’année, « je suis content de ton travail mais tu n’auras pas un euro d’augmentation, mais soies tranquille, tu as l’esprit de cette maison » en d’autres termes : « les actionnaires se gavent, tu t’es bien dépouillé, tu risques le divorce tous les mois, tu ne vois pas tes enfants grandir, mais pour l’augmentation, pour ton caddie au supermarcher, c’est chez plumeau ! » Et si t’es pas content, c’est que tu n’as pas l’esprit groupe, tu es égoïste, tu aurais l’audace de faire passer ton pauvre petit cas de contribuable, cotisant avant celui de ton entreprise chérie, alors Salaud Vade Retro Satanas. C’est pareil pour les ouvriers et employés : cadences, contrôles qualité , heures supp non payées, travail du dimanche imposé, temps partiel subi, et en plus il faut avoir l’ « Esprit Groupe » Suicidez-vous mais gardez l’esprit groupe !!! c’est le cercle vicieux du nombre de suicide au travail chaque année.

  12. l’ IGNORANCE c’ EST LA FORCE.
    l’ UNIVERSITE BIG BROTHER OUVRIRA BIENTOT.
    elle S’ ERIGERA SUR les RUINES FUMANTES de L’ ASSEMBLEE NATIONALE.
    ELLE est DEJA 1ere AU CLASSEMENT de SHANGAÏ.

  13. bravo la réforme qui fait avancer : les entreprises vont former les esprits selon leurs besoins, selon leurs critères… on retourne en plein 19°, du temps des maîtres de forge, et autres…. attention, après arrivent 1936 et mai 68 !

  14. à Mmo ! c’est mieux que de fabriquer des chomeurs diplomés de rien du tout !!! yaka leur donner le diplome tout de suite ….et ensuite un RMI ….

  15. Il est très dommage que la « TéléLibre » n’est pas pris la liberté d’interroger un député communiste sur cette réforme, celui-ci vous aurait transmis cette appel, afin de ne plus être dans la peine de ce que l’on nous fait subir, mais bien dans l’action, la lumière de ce que l’on peut faire et réagir.

    Pour une politique de service public pour l’enseignement supérieur et la recherche

    Appel des Cordeliers : Texte proposé le 11 juillet 2007 à l’appel de SNESUP-FSU, SNCS-FSU, SNASUB-FSU, SNEP-FSU, SNTRS-CGT, CGT-INRA, FERC-Sup-CGT, UN-CGT-CROUS, SUD Education, SUD Etudiant, SUD-Recherche-EPST, Sup’Recherche-UNSA, SNPTES-UNSA, A&I UNSA, SNPREES-FO, et adopté à l’assemblée tenue aux Cordeliers (Paris).

    « Les signataires de cette pétition sont convaincus que le système universitaire français doit profondément évoluer, avec des moyens renforcés, pour faire face aux enjeux du XXIème siècle.

    Pour mener à bien cette évolution, il est nécessaire d’ouvrir un large débat impliquant les communautés scientifiques, et au delà l’ensemble de la société française. C’est la raison pour laquelle les signataires s’opposent au passage en force de la loi « relative aux libertés des universités».

    A travers l’abandon d’une responsabilité nationale de l’Etat, la multiplication des possibilités de recrutements hors statut, la concentration des pouvoirs autour du président, cette loi supprime les garanties d’existence d’un véritable service public de l’enseignement supérieur et de la recherche, nécessaire au développement d’une politique de long terme répondant à tous les besoins sociaux, en particulier concernant un accès large des étudiants.

    Ils demandent l’abandon de cette réforme, par le retrait de cette loi ou son abrogation

  16. Dernière phrase du député machin : « La mondialisation, si on n’y participe pas on perd ».
    On perd quoi?

  17. “La mondialisation, si on n’y participe pas on perd”.
    On perd quoi?

    ON PERD LA VIE, c’est à dire : LA LIBERTÉ DE SURNAGER EN ENFONCANT LA TÊTE DES AUTRES SOUS UNE EAU GLAUQUE, L’ASSERVISSEMENT PAR LE VEAU D’OR, LA CULTURE DU NÉANT……UNE ATTIRANCE FORCENÉE POUR LE VIDE !

    ET LA MONDIALISATION, SI L’ON Y PARTICIPE. ?… ON PERD SON ÂME, SON IMAGINATION, SES CAPACITÉS CRÉATRICES, LA VRAIE CONNAISSANCE… Tout simplement !

  18. “La mondialisation, si on n’y participe pas on perd”.
    On perd quoi?

    ON PERD LA VIE, c’est à dire : LA LIBERTÉ DE SURNAGER EN ENFONCANT LA TÊTE DES AUTRES SOUS UNE EAU GLAUQUE, L’ASSERVISSEMENT PAR LE VEAU D’OR, LA CULTURE DU NÉANT……UNE ATTIRANCE FORCENÉE POUR LE VIDE !

    ET LA MONDIALISATION, SI L’ON Y PARTICIPE. ?… ON PERD SON ÂME, SON IMAGINATION, SES CAPACITÉS CRÉATRICES, LA VRAIE CONNAISSANCE… Tout simplement !

  19. “La mondialisation, si on n’y participe pas on perd”.
    On perd quoi?

    ON PERD LA VIE, c’est à dire : LA LIBERTÉ DE SURNAGER EN ENFONCANT LA TÊTE DES AUTRES SOUS UNE EAU GLAUQUE, L’ASSERVISSEMENT PAR LE VEAU D’OR, LA CULTURE DU NÉANT……UNE ATTIRANCE FORCENÉE POUR LE VIDE !

    ET LA MONDIALISATION, SI L’ON Y PARTICIPE. ?… ON PERD SON ÂME, SON IMAGINATION, SES CAPACITÉS CRÉATRICES, LA VRAIE CONNAISSANCE… Tout simplement !

  20. “La mondialisation, si on n’y participe pas on perd”.
    On perd quoi?

    ON PERD LA VIE, c’est à dire : LA LIBERTÉ DE SURNAGER EN ENFONCANT LA TÊTE DES AUTRES SOUS UNE EAU GLAUQUE, L’ASSERVISSEMENT PAR LE VEAU D’OR, LA CULTURE DU NÉANT……UNE ATTIRANCE FORCENÉE POUR LE VIDE !

    ET LA MONDIALISATION, SI L’ON Y PARTICIPE. ?… ON PERD SON ÂME, SON IMAGINATION, SES CAPACITÉS CRÉATRICES, LA VRAIE CONNAISSANCE… Tout simplement !

  21. Heureusement, toutes les réformes ne sont pas mauvaises, notamment celles des dernières années qui s’orientent plus vers un avenir professionnel cohérent.