SIDA : PAROLE A "FEMMES POSITIVES" 22/03/07

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Le Sidaction commence le 23 mars 2007. Cette association collecte des fonds pour toutes les associations françaises de lutte conttre le Sida. Toutes, sauf une…
Femmes Positives, qui a vu le jour en 2003, se voit boudée depuis sa création.
En cause, les adhérents de cette association marseillaise dénonce la contamination volontaire au sein d’un couple. Pour le Sidaction, on ne doit pas incriminer les porteurs du virus, même s’ils continuent à se taire et à ne pas se protéger.
Barbara Wagner, présidente de Femmes positives, association qui, malgré tout, comme toutes les autres, axe sa lutte sur la prévention et la généralisation du dépistage, nous raconte sa lutte, ses combats contre les associations bien pensantes et pleines de subventions qui la montrent du doigt lorsqu’elle ose dire que son contaminateur, en lui cachant sa séropositivité, a commis un crime…C’est notre partie « la radio libre », un peu plus bas à droite du site ou ici.
[email protected]
3w.myspace.com/femmespositives

Un reportage de notre nouvelle correspondante à Clermont-Ferrand, Eloise Lebourg

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Les commentaires (9)

  1. chere Eloise je ne voudrais pas que là tu pense aussi que l’on boude tes combats de femmes positives et de parcours proffessionnel
    mais voilà un sujet vraiment delicat pour lequel il m’est dur de commenter
    sujet qui touche au seins de la vie privée
    doit t-on inclure ceci dans le même combat des femmes battues je n’ai pas la reponce
    et les femmes positives qui donnent naissance a des enfants positifs
    et pourtant se sont souvant des actes d’amours qui par la suite deviennent de grandes souffrances

    alors tu vois Eloise ton combat ne nous laisse pas indifferant mais chaque cas et une histoire personnelle
    mais quand le coeur a ses raisons la raison n’a plus raison

    faut t’il legiferer je ne sais pas mais informer et aider surment

  2. Claude,effectivement le sujet touche à la vie privée,à la sexualité même.Est-ce à dire que dans ce domaine tout est permis,que les victimes de violences conjugales doivent se contenter de subir??d’être anéanties et prostrées derrière un mur de silence…que nenni cher Claude,les lois établissent certains interdits au pays des droits de l’Homme quand celui-ci transgresse les principes fondamentaux, comment transiger sur des actes criminels,puisqu’il est question d’abus de confiance,de pouvoir(celui de savoir sans en informer sa(son)partenaire,ni la(le)protéger),de non-assistance à personne en danger,d’atteinte à la vie d’autrui et de tout son entourage.Comment rester « en dehors »de ces drames de la vie conjugale sans cautionner les comportements à risques des auteurs de ces actes qui délabrent nos vies impunément?
    La prévention certe,l’information généralisée à toute la population(fini les groupes à risques!) puisque nous sommes tous concerné(e)s.C’est de notre humanité dont il est question,de nos enfants,de nos parents,de nos amours ,ON ne peut plus se taire et laisser faire.Auriez-vous la même réaction envers un chauffard qui vous aurait handicapé à vie,vous,votre enfant ou votre mère?le débat est ouvert,merci d’y apporter vos impressions,à suivre…
    Barbara(« Femmes Positives »).

  3. chere barbara le probleme de « femmes positives » et bien là d’ouvrir le débat mais pour cela il faut deja qu’elles se fassent entendre et que l’on ecoute leur message
    c’est comme les debats politiques actuel voilà que les grands partis nous parlent d’emigration, indentité etc.. et les medias y vont de concert occultant les autres problemes bien plus important

    il faudrait que beaucoup ce retrouvent devant le miroir de leur âme

    un tit poeme que je dedie au combat des femmes

    La nuit pesante et ses tourments arrivent
    Elle angoisse de ses pênes qui l’enivrent
    Ses paupières lourdes qui brûlent d’insomnies
    Ne se fermeront, pour cette nuit de tyrannie

    Cynique, sans la prévenir il l’a trahie
    Dépitée, elle ne peut plus trouver de répit
    Affligée, elle se noie pleine d’amertume
    Elle chemine vers ses migraines nocturnes

    Elle compte ses jours de misère, de tristesse
    Méprisée, se sent impure en détresse
    De grande forteresse, n’est plus que ruine
    Oppressée jusque dans ses os par ce crime

    Ses entrailles frémissent, dans les eaux son cœur
    Enténébré se meurt de ce feu de douleur
    Qui l’engloutie, sans issue à pareille malheur
    Brisée ça force fléchit d’un mal laboureur

    Humiliée, s’enferme dans sa captivité
    Déchue, ne peut plus l’effort d’être rebellée
    Sombre meurtrie, elle n’est plus que désolation
    Dans ses blessures ont fini ses illusions

    Assis à terre en silence
    Son cœur piqué de lances
    A l’impression de perdre son âme
    Ses yeux brûlent et fond en larmes

  4. Les sanglots longs des violons de Claude laissent une empreinte indélébile sur les plaies de l’âme-coeur.
    Bravo,c’est beau!!mais y’a une suite: elle perçoit une présence au delà des mots,à travers ses pleurs,par delà les nuages,comme un souffle de vie,un rappel à l’en-vie.

    Positivement!
    Barbara.

  5. Les dés sont lancés depuis + de 4 ans,le débat soulève de nombreux enjeux politiques et financiers.Chacun reste sur ses gardes à essayer de ne pas faire trop faire de vagues en préservant sa position.C’est un pavé dans la vase que nous avons jeté,ça éclabousse beaucoup de monde forcément,faut gérer les remous et trouver des alliés pour aller dans le même sens,celui de la responsabilisation de chacun(e)face à soi-même et aux autres.c’est pas irréaliste(?)
    A bientôt.

  6. mdr ici ce n’est plus que blog barbara claude
    mais biensur que jamais rien n’est totalement perdu et qu’il y aura toujours quelqu’un pour tendre la main
    et le dire en poesie quand les mots sont bien posés le message devient plus fort

    . Il est des jours, des nuits où les souvenirs passent
    . Au travers des portes que l’on avait fermées
    . En laissant échapper les orages passés
    . De larmes si froides et angoisses vivaces

    . Il y a des douleurs tombales qui fracassent
    . D’ombres sourdes nos cœurs de parfum suranné
    .Quand dans nos chairs ces maux que l’on voudrait défaits
    . Nous pourchassent jusqu’à l’âme en nécrose vorace

    . Il est des vies qui se déroulent sur des linceuls
    . Emportées par le temps qui nous laisse seul
    . Où paradis, enfer ont perdu leurs lisières

    . Il est des hommes, des femmes qui de lumière
    . Estompent les ombres et de leur ferveur
    . Nous montrent des chemins de plus douces saveurs

  7. Je passais prendre de tes nouvelles!

    Je vois que tu es tjrs aussi prolifique et que c’est boooo!Je t’invite à partager tes inspirations sur myspace.com/femmespositives(j’ai mis une alerte au cas où il y aurait un nouveau commentaire ici..pffffffff..)

    Positivement!
    Barbara.