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LE MAGAZINE VIVANT, MARDI ÇA FAIT DÉSORDRE

Publié le | par

Inventer une nouvelle manière d’informer. L’idée a germé dans la tête d’un ancien journaliste, François Bernheim : s’inspirer du cabaret politique pour informer en prise directe avec un public sur des thèmes très divers et avec une certaine poésie.

NOUVEAU : UNE ÉMISSION DE NEWS EN SPÉCTACLE LIVE

Réunir sur une même scène de théâtre un juge d’instruction, un syndicaliste de la grande distribution, un slameur argentin, un philosophe, c’est étonnant. Réussir en plus à captiver une assemblée d’une bonne centaine de personnes sur la réforme de la justice, la politique d’immigration ou le désert syndical c’est aimer jouer avec les probabilités aléatoires. Le résultat de tout ça c’est « Mardi ça fait désordre. Le magazine vivant » et c’est réussi.

Ca se passe sur la scène de l’espace Jemmapes à Paris (11è), un mardi de chaque mois. Le premier numéro a eu lieu mi-octobre et nous y étions.

Alexandra Colineau

Images : Géraldine Pasquier

Montage : Olivier Joube

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Les commentaires (7)

  1. A part le slameur, tout ça m’ a l’ air tres bien ; un peu entre la conference et l’ emission de radio (entre France Culture et radio Libertaire); vous les rediffuserez, dites, LTL ?

  2. pourquoi t’aime pas le slamer, Bourreau ?
    écoute les politiques, y slament tous .!

    ahhh ! oui! c’est pour ça !

  3. Heureusement qu’il reste encore des théâtres et des JPL pour pouvoir causer tranquilles et libres..
    Merci.

  4. très belle idée,
    vivement mardi prochain, un peu plus long peut-être … pour plus de désordre.
    merci merci

  5. J’y étais c’était vraiment top j’ai adoré le slameur, M. Feher et le mec qui a parlé de suppression du juge d’instruction et l’ambiance vraiment cool… Bravo à tous ! vivement le n° 2

  6. Finalement je regardais ce reportage.

    Malgre un texte un peu simplet, beaucoup de scenes d’ anthologies ; ta facon de communiquer avec autrui, John Paul, me fais toujours l’ effet d’ une craie qui crisse contre un tableau : elle procure un malaise -voir comme le maire semble detruit apres ta salve sur le clientelisme- ; mais c’ est de cette lourdeur que naissent les instants de grace, de rire et d’ etonnement, qui font la marque d’ LTL.

    Les retournements de situation avec l’ independantiste m’ ont cueillit : ses larmes au son des cloches, apres avoir evoque la souffrance historique de son peuple, qui te font completement changer de ton ; et le coup de theatre final, quand on decouvre quel est son metier.

    L’ interview au village et la paix -provisoire- des deux clans le soir au son d’ une guitare grattee par un Francais est une scene forte aussi (eut ce ete possible avec un djembe ? je ne le crois pas.) J’ ai bien aime encore la discussion chuchotee pendant la chasse, et j’ ai ete etonne de trouver un chef d’ entreprise sympathique.

    En fait ce sont surtout les Francais qui m’ ont parut sympathiques, ds ce doc ; les Maghrebins aussi relevent le niveau -mais ce sont encore des Francais. Meme qu’ il n’ y a qu’ avec ces derniers que l’ ont ressent a quel point la poignee de tares qui fait du bruit sur ce caillou cree une vision deformee de ce pays.

    Nous sommes tous un pays de cons, mais depuis Asterix chez les Corses jusqu’ a ce doc, j’ ai toujours eu la desagreable impression que les cliches sur la Corse n’ en sont pas vraiment ; leurs defauts ne me semblent pas etre des defauts sympathiques, qui ne les rendraient que plus humains, comme le font la plupart des cliches sur les autres pays. La fierte n’ y est que du repli, et le nationalisme qu’ un fangeux racisme, comme l’ atteste le commentaire d’ 1chat1chat.