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LIBRES COURTS N°4

Publié le | par

Attention, humour au 25e degré recommandé pour ce 4e opus de Libres Courts !

Je vous propose de partir à la découverte du cinéma n’importekiste : humour noir, parodie, dérision, absurdité, des modes de réflexion qui sont chers aux membres de ce collectif qui fait du « deal spirituel » une véritable religion. Et pour voir en images à quoi ressemble ce mouvement n’importekiste, 4 films : Habeas Corpus, un court très déconcertant sur une nouvelle taxe mise en place dans un futur proche, et 3 clips très courts de Fitch, un « dealer spirituel » déjanté qui développe sa « Fitchosophie ». Parfois Internet réserve vraiment de drôle de surprises… Et la pelouse des Invalides s’en souviendra longtemps !

LL pour La Télé Libre

Rotringon : http://rotringon.free.fr

Fitch : www.wat.tv/fitch

Envoyez-nous vos courts !

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Les commentaires (23)

  1. J’ai éssayé de rire mais c’est comme si je me branlais sur la photo de Roselyne Bachelot, ça vient pas…

  2. J’aime beaucoups, le côté j’essaye de m’en faire une devant R.Bachelot, très nimportekiste, bravo !

  3. Pataphysiciens, pataphysiciennes, haut les coeurs !

    On les aura… les pisse-vinaigre !

    Boris VIAN avec nous !!!

  4. Quand « la cité de la peur est sorti » il ne faisait pas non plus l’unanimité, car son approche était inatendue. De même pour Marcel Duchamp et son dadaïsme; Touts deux avaient le mérite d’apporter un brin de fraîcheur absurde. Je retrouve ce même désir chez les n’importequistes, vive eux !

  5. Quand « la cité de la peur est sorti » il ne faisait pas non plus l’unanimité, car son approche était inatendue. De même pour Marcel Duchamp et son dadaïsme; Tous deux avaient le mérite d’apporter un brin de fraîcheur absurde. Je retrouve ce même désir chez les n’importequistes, vive eux !

  6. Sur ma page, les mêmes vidéos avec la synchronisation sonore en plus, pis des tas d’autres aussi diverses que varées. Si vous n’y souriez pas au moins une fois, je me rembourse !

  7. Je pense que l’idée d’instaurer une taxe sur le suicide est profondément plus juste que la tva sociale, car toutes les études montrent qu’il y a une sureprésentation du suicide chez dans les couches de population aisées (et plutôt dans les pays riches).

    Je propose qu’on utilise les fonds collectés pour financer le développement des pays du tiers monde (où le suicide n’existe presque pas) et pour financer la sécurité sociale en faveur des plus démunis.

  8. Waouw °°

    Quelle bonne surprise que Habeas Corpus … qualité de jeu, d’esthétique visuelle et sonore pour créer une ambiance des plus pesantes. bravo !

    En revanche je n’accroche pas à la Fitchosophie … question de goûts.

    Et encore merci à Libre Courts de nous avoir fait découvrir de nouveaux talents ;)

    Guillaume

  9. Je suis allé voir la page des nimportekystes, c’est vrai qu’il y a plein de bonne surprises. J’ai particulièrement aimé l’hommage à Clint Eastwood, très original. J’abonde avec le commentaire de Guillaume, merci à la télélibre de nous faire partager un humour moins complaisant, pas dérangeant pour le moins du monde, allant parfaitement dans le sens de la « pensée unique » que l’on voit sur les médias nationaux. Le nimportekysme présente une alternative intéressante à toute cette mièvrerie inepte

  10. Ce quatrième opus, nous prouve encore une fois que libres courts est une exellente émission, trés bonne présentention, dynamique, esthétique…

    Continuez comme ça Mr LANDRAU, et faites nous découvrir encore pleins de jeunes talents.

    Merci et à bientôt sur la télélibre.

  11. ouaip daccord sur la forme mais le fond me laisse perplexe. le court est super mais les petits clips m’ont pas fait marrer sauf le dernier sur le génocide vert…
    sinon comme d’hab c’est une émission bien faite. à la prochaine !

  12. Bravo Loïc pour ce quatrième volet de Libres courts…
    Poursuit ainsi, cette émission est vraiment rafraîchissante. En plus le nimportekiste m’a vraiment « chanloubet »…
    Continue de nous dénicher des talents conceptuels du spiritualisme extrême centriste décaliste… ça fait plaisir !!!

  13. pauvre libre court….cherche poésie, nouvelles écritures cinématographiques, liberté totale…ici tout n’est que posture, manière de… des absurdidtés et non de l’absurde.

    pauvre libre court…tu as une feunètre, grande comme ça ,ouverte sur le monde et tu me racontes que tu n’as vu que tes copains qui montrent leurs fesses à leur papa…!?

    Sors tes tripes et ton grand angle et continue de chercher ,car je crois en toi, Ô grand « libre court »…

  14. La première fois, j’ai trouvé les « Fitchosophies » vraiment très moyennes. Et puis au final Fitch c’est tellement con et décalé qu’on se prend au jeu et qu’on finit même par se marrer. Par contre avec Habeas corpus, j’ai encore du mal…

  15. Personnellement j’ai bien aimé le côté absurde et décalé mais je comprend que les gens ne soient pas prêt pour ce genre d’humour.

    En tout cas c’est une étonnante découverte que le N’importekiste encore merci à la télélibre de dénicher pour nous des visions différentes de la vie sous forme de court-métrage.

    Pourvu que ça dure !! Bravo à tous

  16. On m’a mit le couteau sous la gorge donc je me sens obligée d’écrir un petit quelque chose.
    Pour ce qui est de François, je n’ai qu’une chose à dire ton humour au quotidien me manque.
    En ce qui concerne le présentateur, Loïc je le trouve très doué, c’est un vrai plaisir de le regarder. Message perso: Tu me manques Speedy Gonzalez.
    Un seul bémol, le cadreur tremble un peu

  17. N’empêche, faut saluer la cascade du présentateur qui traverse la route entre 2 discours… la grande classe, un accident filmé ça aurait eu plus de classe mais c’est bête de perdre 2 jambes pour parler du nimportekysme…
    la prochaine fois ce sera l’interview en saut à l’élastique ???

  18. Il s’agit moins d’absurde que de baffotherapie. L’usage du tabou est une forme de violence. Le rire, pour autant qu’il paraisse adoucir le propos, est comme du jus de citron sur une plaie. est-on coupable de rire de l’incohérence brutale de choses? sans doute, on est toujours coupable. Mais ça me fait marrer quand même.