PLACE DE LA CONCORDE , LE 6 MAI 2007

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Ce reportage a été tourné Place de la Concorde le 6 mai 2007 à partir de 19 heures. Tout le monde se doutait déjà que Nicolas Sarkozy avait gagné et qu’il serait notre nouveau Président de la République. Christophe Tisseyre et Bruno Martin était sur place pour recueillir les premières réactions des militants UMP.

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Les commentaires (44)

  1. lundi 7 mai 2007
    Ce que certains espéraient et d’autres craignaient vient de se réaliser ; Nicolas Sarkosy est élu à la présidence de la France avec 53,06% des voix ce qui prouve sa minorité dans l’expression des suffrages car sur 43 650 354, il recueil 18 799 721 soit :
    Je suis de ceux qui craignaient ce résultat, de ceux qui sont dans l’incertitude quant à leurs libertés individuelles, leur droit d’expressions. Pourquoi ? Tout simplement parce que beaucoup de journalistes, pour les uns à demi mots, pour les autres plus explicitement pensent ou disent qu’il existe une réelle menace sur celles-ci.
    Parce qu’il existe aujourd’hui dans ce pays, celui des droits de l’homme, des journalistes qui se font bâillonner, licencier, remercier pour leurs prises de positions ou tout simplement pour avoir osé publier des photos mettant en scène la femme de notre futur président avec un autre homme, alors qu’il ne dispose pas encore des pleins pouvoirs !!!
    Parce que certaines chaînes de télévision ne disposent plus de la liberté à exercer leur droit d’information, de critique et d’impartialité et que le droit de savoir, auquel chacun de nous peut prétendre, devient un droit d’endoctrinement, de communautarisme, de division, scénarisant une minorité de délinquants afin d’éveiller la vindicte populaire comme ci cela était la règle générale. Je refuse d’être pris à partie par ces médias à la solde de conglomérat financier qui font du populisme, leur cheval de bataille.
    Parce que je suis choqué de voir un candidat parader sur un cheval suivi par une meute de journaliste parqué dans une charrette ; choqué de voir la pose quasi monarchique du maire de Neuilly dans un fauteuil Louis XV arborant une cravate bleue, blanc, rouge ; choqué qu’au soir de son élection, le roi et sa cour fasse ripaille au Fouquet’s. Le ton est d’ores et déjà donné il y aura dans ce quinquennat un rempart infranchissable entre le peuple et ce pouvoir absolutisme.
    Parce que nos acquis sociaux, pas seulement ceux de mai 68, mais aussi ceux de 36, de 1871, de la révolution française vont être bafoués, remis en cause par cette pseudo monarchie constitutionnelle qui peut à peut vole la république de sa liberté, de son égalité, de sa fraternité.
    Parce que je n’avais jamais vu jusqu’à aujourd’hui une élection présidentielle se terminer avec des mouvements de protestation et des voitures qui brûlent.

    mercredi 9 mai 2007.
    Bizarrement nous sommes étonnés de la forme prise par la retraite, pour habiter la fonction suprême de l’état, de notre petit MONSIEUR ?
    Mais !!! mes chers compatriotes n’avez-vous pas encore compris que tous ces discours de séduction, de rassemblement de tous les français. Ces discours, sur l’ouvrier qui se lève tôt pour gagner une misère et doit donc travailler plus pour gagner une meilleure misère.
    Ces paroles sur le débat PS-UDF « pendant que Mme Royal et M. BAYROU se pavanent dans un hôtel de luxe ; moi je suis dans les usines au contact de ceux qui se lèvent tôt » etc… etc… etc… paroles et paroles et p…… ; n’étaient qu’une gigantesque mascarade.
    Pendant que MONSIEUR ce pavane sur un yacht après avoir banqueter et pêter dans des draps de soie ; des voitures brûlent, des électeurs sont dans les rues pour hurler leurs rancœur contre un didact. qui peut à peut se met en place. Jamais dans l’histoire de la Vème république on a vu au lendemain d’une élection présidentielle des manifestations d’une telle ampleur ; jamais on a vu un futur président se vautrer dans l’opulence à ce point ; image d’une démagogie porter à son paroxysme. Quelle belle carte postale d’unification, de rassemblement !!!!!!
    Avec MONSIEUR, à quand le déménagement de l’Elysée à Versailles ; à quand la fleur de lys sur le drapeau tricolore ?
    Avec MONSIEUR il n’y aura pas de pouvoir, que des abus de pouvoir comme l’avait compris Montherlant.
    Encore une intérrogation comment, MONSIEUR va t–il faire, a quels propos fallacieux va t-il faire appelle, pour se sortir de l’invitation de M. Chirac à la commémoration de la journée de l’abrogation de l’esclavage ? Lui qui dans un discours, hurle, harangue la foule disant : « La France n’a pas à rougir de son histoire, La France n’a jamais commis de génocide…. » Alors qu’il y a eu Vichy, les colonies etc… Lui qui réécrit mon, notre histoire en rayant les heures les plus sombres de la France, occultant notre de devoir de mémoire, oubliant que c’est Napoléon qui rétablit l’esclavage en France. Ce petit MONSIEUR n’a de préoccupations que le luxe, la concentration de tous les pouvoirs, l’autoritarisme et bientôt nous l’entendront dire « l’état c’est moi !!! »

  2. SARKOZY PRESIDENT ! SARKOZY PRESIDENT ! SARKOZY PRESIDENT ! SARKOZY PRESIDENT ! SARKOZY PRESIDENT ! SARKOZY PRESIDENT ! SARKOZY PRESIDENT !

  3. Bonjour, à gilles:
    ras le bol de lire toutes ces bêtises bonnes à faire vendre du papier. J’ai été le 1er a tapé sur Sarko mais les 53% qui lui font confiance étaient prévenus, à mon avis ils ont voté son programme et non l’homme. Ou disons qu’ils ont voté contre le programme de ségo qui date d’avant guerre semble-t-il. Il n’y a aucune surprise et son voyage en yacht a été calculé, il calcule tout. Le signal est clair: il ne va pas taper sur les riches, il va s’en servir. Les riches participent activement à l’économie, mieux vaut les garder qu’essayer de les ponctionner car ça ne marche pas. De toutes façons, il est toujours temps de reprendre la main aux législatives et j’espère que Bayrou drainera du monde au centre. Si c’est le cas, il sera le vrai chef de l’état. Capable de rassembler la gauche sur certains points et la droite sur le plan économique. Les rebelles qui cassent ne font que renforcer les sarkosystes qui se plaignent d’insécurité, d’immigration et ne font qu’appuyer ses décisions futures quant aux jeunes délinquants. Manifester oui mais sans brûler de voitures, sans insulter les forces de l’ordre.

  4. sarkozy decédé abattu par un preteur sur gage ,employé d’apres mes sources par segolene royal!!!

  5. a redge:arrete de croire en la politique ,c’est elle qui a mis le monde geopolitique dans l’etat actuelle des choses ,la politique est faite pour diviser les gens afin de laisser les mains libres aux racailles sans scrupules financieres qui gangraine et qui spolient la moitié de l’humanité qui regardent impuissante sans rien dire ,parce qu’elle pensent qu’individuellement elle ne peuvent rien changer!!!

  6. @GillesBELT :
    Tout à fait, la majorité de la population souffre d’ignorance rationnelle (voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Ignorance_rationnelle) et préfère pendant les années précédant l’élection, visionner le foot et les stars ac. pour ensuite nous imposer son dictât par les urnes. Et ils se prétendent « démocrates ».
    Ils disent voter pour le « programme sarko » gênés qu’ils sont d’avouer qu’ils ne connaissent de ce programme rien de plus que les slogans racoleurs du naboléon .

    C’est comme pour le « non à la constitution européenne ».
    La plupart de ceux qui ont voté oui, ne l’on pas lu, ils se contentent de suivre les ordres du pouvoir.
    Pour rappel, Zidane avait appelé les espagnols à voter oui, mais plus tard le même Zidane avoua ne pas avoir lu une ligne du document.
    Heureusement que cette fois là, les français ont préférés resté devant leur télé. comme d’hab.

    Comment peut-on affirmer que 87 % des français sont politisés, simplement parce qu’ils vont voter une fois tous les 5 ans et que le reste du temps, ils sont devant leur télé ou leur nintendo, en bon citoyen consommateurs.

    Mais quand on demande un nouveau référendum sur l’Europe, Sarko dit non. N’aurait-il qu’une confiance limité en ses fans ?

  7. Comme chaque médaille à son revers, y a du bon d’élection de Sarko !!

    Ca va faire baissé le marché de l’immobilier en Belgique, quand tout ces friqués français retournerons chez eux comme Jacques Badin (Carrefour) à Bruxelles ou Bernard Darty, fondateur de Darty ou la famille Gérard Mulliez (propriétaire de Auchan, Décathlon, Mondial Moquette, Feu vert et Kiabi)
    La Belgique à les faveurs des patrons et retraités, qui bénéficient d’une fiscalité sur les revenus financiers réduite, de l’absence d’ISF et d’une grande proximité avec Paris.
    Lire :
    http://www.7sur7.be/hlns/cache/fr/det/art_388314.html

    ;-)

  8. @unbelge

    Mais toi et tes conneries, vous êtes dépolitisés, anti-sociaux jusqu’au bout des ongles … va assouvir tes rêves de révolution ailleurs ! Frustré !

  9. Calme calme, mister Alain, on croirait entendre Sarko ou Steevie quand il n’a pas d’argument, c’est à dire souvent :-)

  10. Facheuse et récurrente tendance à taper sur les riches, c’est dans les gênes français semble-t-il. Analysons la situation: le système le plus efficace est le système capitaliste, d’autres ont essayé d’autres systèmes et engendré des millions de morts devant l’échec. Puis tout le monde s’est rallié à l’OMC, l inde et la chine ont sacrément progressé en 20 ans ! Hic: le capitalisme a ses dérives. Ecologiques et sociales. La France se rebelle et croit depuis des années pouvoir régler ces dérives seule, au niveau national: écotaxe, partage du travail, avancées de la constitution refusées, etc… Là est la profonde erreur. Ségo est le symbole de cet échec. La France doit s’adapter au système actuel et influer dans un second temps au niveau de l’europe afin que celle-ci pèse de tout son poids à l’OMC (agriculture, dumping social, dumping environnemental). Il faut croire en l’Europe, et convaincre les européens qu’elle doit être plus qu’un marché commun, c’est le chemin incontournable à mon avis. Toute avancée européenne est bonne à prendre.

  11. juste un p’tit mot sur dimanche soir ! habitante des quartiers populaires de l’est parisien, belleville exactement, j’ai été fort surprise du déploiement des forces de l’ordre ce soir là. outre la trentaine de vehicules policiers remontant la rue de Belleville vers 23H, j’ai croisé durant cette nuit, beaucoup de lumières bleues ( véhicules de police, gendarme puis beaucoup d’ambulances). Arrivée à un bar, joliment nommé, LIBERTÉ , j’ai attaché mon velo et bu une petite biere avec un ami, c’est alors que 3 lignes de crs ont déboulées face à nous, c’est à dire une vingtaine de personnes sur un trottoir. les crs n’ont pas chargé, il est vrai. ils sont resté en bloc, face à nous pendant plus de 20 minutes. puis d’autres véhicules policiers les ont rejoint et là, ils ont défait leurs rangs. à ce moment, j’ai eu des nouvelles d’amis, comme moi trentenaires qui eux fuyaient sous les lacrymo! moins de chance donc!

    à Bastille, un spectacle angoissant mais à Répu! Que dire? Des crs partout, qui tapotent leur genoux de leur
    matraque en ne vous regardant pas dans les yeux, vous empechant de passer ! Ordonnant aux gens de rentrer chez soi. Je n’ai pas vu au cours de cette nuit, apres qui ils couraient! mais moi ils m’ont effrayée… où plutôt mis la haine, comme diraient les jeunes de banlieues, vous savez ceux que souvent l’ on nomme casseurs!

    pourquoi, à la Concorde, avait on le droit de faire la fete? alors que dans les quartiers popu de l’est parisien, nous avons subi une… repression, il n’y a pas d’autre mot ?

    ps: je n’etais pas dans les rues pour defiler contre N.S et je n’ai pas d’amis casseurs…pourtant certains se sont fait courser et gazer!

  12. juste un p’tit mot sur dimanche soir ! habitante des quartiers populaires de l’est parisien, belleville exactement, j’ai été fort surprise du déploiement des forces de l’ordre ce soir là. outre la trentaine de vehicules policiers remontant la rue de Belleville vers 23H, j’ai croisé durant cette nuit, beaucoup de lumières bleues ( véhicules de police, gendarme puis beaucoup d’ambulances). Arrivée à un bar, joliment nommé, LIBERTÉ , j’ai attaché mon velo et bu une petite biere avec un ami, c’est alors que 3 lignes de crs ont déboulées face à nous, c’est à dire une vingtaine de personnes sur un trottoir. les crs n’ont pas chargé, il est vrai. ils sont resté en bloc, face à nous pendant plus de 20 minutes. puis d’autres véhicules policiers les ont rejoint et là, ils ont défait leurs rangs. à ce moment, j’ai eu des nouvelles d’amis, comme moi trentenaires qui eux fuyaient sous les lacrymo! moins de chance donc!

    à Bastille, un spectacle angoissant mais à Répu! Que dire? Des crs partout, qui tapotent leur genoux de leur
    matraque en ne vous regardant pas dans les yeux, vous empechant de passer ! Ordonnant aux gens de rentrer chez soi. Je n’ai pas vu au cours de cette nuit, apres qui ils couraient! mais moi ils m’ont effrayée… où plutôt mis la haine, comme diraient les jeunes de banlieues, vous savez ceux que souvent l’ on nomme casseurs!

    pourquoi, à la Concorde, avait on le droit de faire la fete? alors que dans les quartiers popu de l’est parisien, nous avons subi une… repression, il n’y a pas d’autre mot ?

    ps: je n’etais pas dans les rues pour defiler contre N.S et je n’ai pas d’amis casseurs…pourtant certains se sont fait courser et gazer!

  13. Sarkozy et la France sont sur un yacht à Malte, la France tombe à l’eau…

    Mais heureusement, il reste Sarkozy !!! :)

  14. Qu’est ce qu’il ya de choquant à ce qu’un élu de la République parte en vacances ?

    Et les robes de Ségoléne (au passage quelle faute de goût de mettre des chaussures blanches avec un ensemble noir – Cf. soirée débat) coûtent combien ?

    Est-ce que ce n’est pas tout aussi choquant de voir Laguiller voyager en 1er classe ?

    Allez allez !! Soyez fair-play, pas de fausses polémiques !!

  15. Jacques ATTALI ne voulait pas se prononcer et a déclaré que si l’avenir de la France avait été en danger il l’aurait dit !!!

  16. Jacques Attali raconte sa rencontre avec Nicolas Sarkozy en 1982
    © AFP

    Jacques Attali en 2003Jacques Attali, qui fut un proche conseiller de François Mitterrand, a raconté lundi matin sur i-TELE comment il avait fait la connaissance en 1982 de Nicolas Sarkozy, qu’il a décrit comme « un animal humain extraordinaire ».
    « Un jour, en rentrant d’un sommet, j’ai trouvé un message de ma secrétaire: jeune avocat gaulliste, a beaucoup d’admiration pour vous, souhaite devenir président de la République, aimerait vous rencontrer », s’est rappelé M. Attali.

    « Je l’ai reçu et nous sommes devenus des amis ensuite. Ce jour-là, j’ai rencontré quelqu’un de très intéressant, beaucoup d’humour, beaucoup de distance à l’égard de son propre camp, complètement focalisé sur une ambition politique mais vraiment un animal humain extraordinaire », a ajouté l’ancien conseiller du président Mitterrand.
    M. Attali, qui avait à la même époque engagé Ségolène Royal à l’Elysée, a expliqué que ses liens avec les deux candidats du deuxième tour l’avaient dissuadé d’y participer.
    Selon lui, ce deuxième tour s’est résumé à un affrontement entre « un qui était prêt et une qui ne l’était pas encore ». « Elle n’a pas fait ce qu’elle aurait dû faire, c’est-à-dire un programme », a-t-il estimé, ajoutant: « Je suis tout à fait convaincu qu’un jour elle sera présidente de la République car elle en a tout à fait l’étoffe. »

  17. Ah, si Jacques Attali le dit, plus personne ne peut décemment avoir un avis contraire.
    Bravo l’argument d’autorité, la pensée unique, le débat d’opinion.
    Il a sûrement plus de légitimité que d’autres économistes ayant une analyse différente.
    Est-ce que Jacques Attali dit aussi qu’il ne peut pas se tromper ? Je ne le pense pas, mais peut-être n’ais-je pas les bonnes sources d’info. Quelqu’un a une réponse ?

  18. c’est pour toi Alain ;)

    La réélection de Bush est une victoire contre le fascisme
    5/11/04 Claude Reichman

    La victoire de Georges W. Bush à l’élection présidentielle américaine n’est une surprise que pour ceux qui s’obstinent à toujours voir midi à leur porte. Qui pouvait douter qu’attaqué sur son sol pour la première fois de son histoire (si l’on excepte Pearl Harbor) le peuple américain conserverait sa confiance au chef qui a entrepris de pourchasser et de punir les agresseurs, où qu’ils se trouvent dans le monde ? L’élection de Bush n’est pas une victoire de la peur, comme les éditorialistes de gauche le disent, mais au contraire une victoire contre la peur. A ceux qui lui recommandaient de se coucher – parce qu’ils ne supportent pas leur propre lâcheté et détestent tout ce qui la fait apparaître par contraste – l’Amérique a signifié qu’elle entendait rester debout. Tous les spécialistes de l’Islam – contre lequel, qu’on le veuille ou non, l’Occident est en guerre – savaient parfaitement qu’une défaite de Bush aurait constitué un formidable encouragement aux musulmans radicaux. Les musulmans modérés savent désormais qu’ils n’ont pas de raison de se soumettre aux extrémistes, au moins tant que la première puissance du monde les combattra.
    Au-delà de ces considérations de sécurité, la victoire du camp républicain est trop nette et trop complète pour qu’elle ne prenne pas un sens qui dépasse les aléas politiques. Le journal Le Monde, pourtant peu enclin, généralement, à la lucidité, a titré :  » La révolution conservatrice assure la réélection de Georges W. Bush « . C’est bien en effet d’une révolution qu’il s’agit. Ou plus exactement de la fin éclatante d’un processus révolutionnaire qui a vu le triomphe de la liberté sur les fascismes, au terme d’un siècle terrible marqué d’abord par la montée – qui paraissait irrésistible – de ces derniers, puis par leur défaite en deux temps : à l’issue de la deuxième guerre mondiale tout d’abord, puis lors de l’effondrement du mur de Berlin et de l’Union soviétique. Pour autant le monstre n’est pas définitivement terrassé. Il survit encore sous sa forme islamiste – et ce n’est pas un hasard s’il s’en est pris à l’Amérique, principal bastion du camp de la liberté, – mais aussi – et cela surprendra peut-être ceux qui sont habitués à ne voir le mal que chez les autres – sous les espèces de l’étatisme forcené dont font encore preuve certaines nations dans le monde, au premier rang desquelles il faut hélas placer la France.

    Un formidable combat à l’échelle mondiale

    L’universitaire Jean-Louis Caccomo écrivait dans un article récent :  » A tous ceux qui se complaisent dans une critique sans nuance du libéralisme, il faut rappeler que les plus farouches ennemis du libéralisme furent les fascistes, et leur seul mérite fut sans doute d’avoir mesuré toutes les implications de la philosophie libérale :  » Le principe essentiel de la doctrine fasciste est la conception de l’Etat, de son essence, de son rôle, de ses fins. Pour le fascisme, l’Etat est l’absolu devant lequel les individus et les groupes ne sont que le relatif … Tout dans l’Etat, rien contre l’Etat, rien en dehors de l’Etat … Le libéralisme niait l’Etat dans l’intérêt de l’individu, le fascisme réaffirme l’Etat comme la véritable réalité de l’individu. »  » Qui est l’auteur de ces phrases ? Benito Mussolini !

    Qui ne voit que la grande coalition mondiale contre Bush était constituée des adeptes de la domination de la société par l’Etat, soit qu’ils entendent ainsi s’assurer un mode d’existence qui les mette à l’abri de la concurrence et de l’effort, soit qu’en tant que clercs ils veuillent régner aisément sur des peuples soumis, ce qu’ils ne pourraient faire en aucun cas face à des hommes libres ? Ainsi, c’est bien le fascisme qui a combattu Georges W. Bush et c’est donc bien le fascisme qu’à l’occasion de cette élection il a vaincu. Bien entendu, ses adversaires ne désarmeront jamais. Il y a beaucoup trop d’intérêts en jeu. Le contrôle d’autrui et les bénéfices qu’il procure sont l’unique ambition d’un grand nombre d’individus à travers le monde. La haine qu’ils expriment à l’encontre de Bush est à l’exacte mesure de ce qu’il risque de leur faire perdre. On ne peut pas expliquer autrement la formidable vague d’hostilité qu’ils ont déclenchée contre le président américain et dont beaucoup de ceux qui ont adopté et relayé leur propagande n’ont pas toujours compris les motivations profondes.

    Les camps sont désormais clairement constitués. D’un côté le fascisme islamiste et tous ceux qui sont prêts à le tolérer parce qu’ils en sont les alliés objectifs, de l’autre les hommes de liberté. Le combat que nous avons à mener transcende les frontières. L’internationale fasciste est puissante de tous les liens d’intérêt qui cimentent son action maléfique. Face à elle, le camp de la liberté croit tant aux vertus individuelles et respecte tant l’indépendance de chacun qu’il en oublie de s’unir. Tragique erreur qui risque de provoquer sa défaite, même si nous sommes aujourd’hui au lendemain d’une grande victoire. A l’intérieur du pays comme à l’extérieur, il est urgent de faire comprendre au plus grand nombre possible le sens et les enjeux du formidable combat qui se joue à l’échelle mondiale. Rude tâche, car, comme l’écrivait Tocqueville,  » en démocratie, chaque génération est un peuple nouveau « . Sisyphe n’aura jamais fini de remonter son rocher. Mais il peut se faire qu’un jour, il parvienne à le maintenir en équilibre au sommet de la montagne. Telle est l’unique ambition – modeste et immense à la fois – qu’il est possible à l’humanité de nourrir. Du moins n’est-elle pas de celles qui alimentent les innombrables charniers que l’histoire a semés sous ses pas.

    Claude Reichman

  19. Comparons :

    Message de Nicolas Sarkozy pour le « meeting contre la menace iranienne » organisé le 13 février 2007 à l’appel du Crif

    Nicolas Sarkozy a écrit:

    Monsieur le Président,
    Mesdames et Messieurs,
    Chers amis,

    Mon emploi du temps ne me permet malheureusement pas d’être parmi vous ce soir mais je tenais à participer par la pensée et – grâce à mon ami Pierre LELLOUCHE – par la parole à ce rassemblement si important.

    Comme vous tous ici, j’ai été profondément choqué par les propos indignes et inquiétants prononcés par le Président AHMADINEJAD depuis son accession au pouvoir. Je n’ai pas oublié que, s’exprimant à la tribune des Nations-Unies à New-York en septembre 2005, entouré croyait-il d’un « halo de lumière », le Chef de l’Etat iranien avait évoqué « le caractère intolérable de la présence au sein du monde musulman de son ennemi historique », qui devait « être éliminé » – un écho aux nazis qui voulaient « extirper » le Juif, ce « corps étranger », de la société. Pour ceux qui auraient cru alors à un dérapage fortuit, il avait récidivé quelques semaines plus tard en proposant ni plus, ni moins, de « rayer Israël de la carte » et de créer un Etat juif « quelque part en Europe, aux Etats-Unis ou en Alaska » : souvenons-nous, les nazis avaient, eux, un temps évoqué Madagascar, avant de mettre en œuvre la monstrueuse et funeste solution finale.

    Mes Chers amis,

    Si l’antisémitisme est inacceptable dans toutes ses formes, il est aujourd’hui encore plus inquiétant lorsqu’il est le fait d’un régime qui déploie, par ailleurs, tant d’efforts pour se doter de l’arme nucléaire.

    Je crois aux leçons de l’Histoire. Je suis convaincu que le passé, même dans ses pages plus sombres – et peut-être surtout dans ses pages les plus sombres – est porteur d’enseignements et de mises en garde que nous n’avons pas le droit d’ignorer.

    S’il est une leçon à retenir du 20e siècle, c’est bien celle de ne jamais sous-estimer celui qui veut « rayer de la carte » tel ou tel peuple, tel ou tel pays. Celui qui fait de l’antisémitisme, sous couvert d’antisionisme, une doctrine d’Etat, allant jusqu’à organiser dans la capitale de la République islamique d’Iran une conférence mondiale sur le négationnisme qui rappelle de bien sinistres conférences de ce genre dans l’Allemagne nazie ou dans la France occupée. J’étais hier à Berlin, lieu symbolique s’il en est, de cette histoire, qui porte encore la mémoire de ces temps d’une violence inouïe. Là j’ai tenu à me recueillir, après mes entretiens avec la Chancelière allemande, sur le mémorial poignant que l’Allemagne fédérale a dédié aux victimes de la Shoah. De même, lorsque j’étais en Israël, je m’étais rendu à Yad Vashem. Chaque fois, j’ai été profondément bouleversé. Ce que j’y ai ressenti, aucun mot ne pourra jamais vraiment le décrire – un mélange de dégoût et d’incompréhension, mais surtout une tristesse immense, infinie ; un choc qui vous heurte au plus profond de votre humanité. Quiconque a ressenti un jour cela ne peut accepter, ou même s’accommoder, des déclarations intolérables du Président AHMADINEJAD.

    Avec les propos du Président iranien, c’est à nouveau – et comme trop souvent dans l’Histoire – les Juifs, aujourd’hui à travers l’Etat d’Israël, qui sont l’objet de telles menaces. Je l’ai souvent dit, et je le répète à nouveau devant vous ce soir : la France ne transigera pas avec la sécurité de l’Etat d’Israël.

    A ceux qui m’objecteront que M. AHMADINEJAD a été élu, je veux rappeler que HITLER aussi avait été élu ; il n’en est pas moins le plus grand criminel de l’Histoire. Être élu ne donne pas tous les droits ; au contraire, cela donne des responsabilités, à commencer par celle d’agir pour l’intérêt supérieur de son pays et de son peuple. Avec son comportement irresponsable, M. AHMADINEJAD fait tout l’inverse : il isole encore un peu plus son pays sur la scène internationale, et trahit la confiance de son peuple, qui ne se reconnaît pas dans ce discours de haine.

    Si l’appel à la haine antisémite, si l’exaltation de la destruction d’un autre Etat, sont des propos d’une extrême nocivité dans la bouche d’un chef d’Etat, ce qui décuple encore leur gravité, c’est qu’ils prennent place dans une région profondément marquée par les guerres à répétition, et qu’ils émanent d’un régime iranien qui déploie tous les efforts en vue de se doter d’une capacité nucléaire militaire, en violation de tous ses engagements internationaux. J’ai conscience que la nucléarisation de l’Iran après son irruption en première ligne du conflit israélo-arabe depuis la guerre du Liban à l’été dernier, par le biais du Hezbollah, constituera l’un des dossiers les plus brûlants et les plus difficiles que le prochain Président de la République trouvera sur sa table le 7 mai prochain.

    Sur cette question, je veux être très clair : pour moi, l’accès de l’Iran à l’arme nucléaire est inacceptable. Elle est lourde de dangers, non seulement pour Israël, mais aussi pour l’ensemble des pays de la région et pour les nations démocratiques à travers le monde, d’autant que l’Iran dispose de missiles capables d’atteindre, aujourd’hui, un grand nombre de pays au Moyen-Orient et demain, en Europe. Sans parler du risque de voir ces armes transmises à l’un ou l’autre des groupes terroristes radicaux avec lesquels l’Iran entretient traditionnellement des liens étroits – ou viendrait à en établir. Si l’Iran venait à acquérir l’arme nucléaire, nous aurions probablement une réaction en chaîne du coté de nombreux autres pays de la région.

    Face à ces dangers, la France doit donc mobiliser toutes ses forces pour que la communauté internationale reste unie et ferme, comme elle l’a été en adoptant à l’unanimité la résolution 1737 qui prévoit l’application de sanctions contre l’Iran. Les progrès obtenus ces derniers jours dans le dossier parallèle de la nucléarisation de la Corée du Nord, comme hier avec la Libye, montrent que dès lors que la communauté internationale est solidement unie, elle peut obtenir finalement gain de cause, face à un régime pourtant peu enclin au compromis. L’Iran est un grand pays, dont le peuple sait qu’il a besoin du reste du monde pour son développement. La pression sur Téhéran doit être maintenue et même augmentée si le régime iranien ne change pas de comportement. C’est désormais à l’Iran de choisir entre les sanctions et l’isolement croissant ou la coopération. En contrepartie, la communauté internationale doit garantir aux autorités iraniennes qu’elle tiendra ses engagements, notamment en terme d’accès au nucléaire civil, tel que cela est prévu par le Traité de Non-Prolifération, à la condition, bien entendu que Téhéran respecte ses obligations à l’égard du Traité et les Résolutions du Conseil de sécurité. Je me permets d’insister sur ce point : le seul instrument de droit international dont nous disposions à l’égard du danger de dissémination et de prolifération des armes nucléaires , c’est le Traité de Non-Prolifération de 1968, adossé sur les inspections de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique. Ce sont au demeurant les inspecteurs de l’Agence de Vienne qui ont découvert l’existence d’un programme non-déclaré d’enrichissement de l’uranium et qui, de ce fait, ont actionné les pressions internationales depuis 3 ans. Le Traité de Non Prolifération n’est certes pas parfait, mais il instaure une sorte de contrat entre les pays dotés d’armes nucléaires et qui s’engagent à diminuer progressivement leurs stocks d’armes en vue de leur éventuelle élimination, et les pays qui renoncent à se doter de telles armes, en échange cependant de leur droit d’accéder à l’énergie nucléaire civile. Prétendre interdire a priori à tel ou tel Etat l’accès à l’énergie nucléaire civile reviendrait donc, pour la France, à jeter aux orties le seul régime juridique nous disposons contre la prolifération, et qui sert de base légale aux sanctions contre l’Iran.

    Dans cette épreuve extrêmement délicate, il me semble que la communauté internationale doit faire preuve d’unité : c’est la première condition, afin que les dirigeants iraniens sachent qu’ils ne pourront pas enfoncer un coin entre les Européens, les Américains, les Russes et les Chinois.

    Il faut en second lieu que des garanties d’approvisionnement en combustible civil soient offertes. C’est ce que la Russie a proposé, à juste titre, mais j’aimerais pour ma part que la communauté internationale soit capable de mettre en place très rapidement une banque internationale du combustible sous l’égide de l’ONU, de sorte à rendre inopérante toute justification pour l’enrichissement de l’uranium ou le retraitement du plutonium. Je me réjouis de voir que cette proposition est aujourd’hui soutenue par le Prix Nobel de la Paix et Directeur de l’AIEA, M. Mohammed El BARADEI. J’ajoute que les progrès en matière de désarmement nucléaire ainsi que des garanties de sécurité en faveur des Etats qui renoncent à l’arme atomique, devraient permettre de surmonter ce type de crises. La France a donné l’exemple en la matière depuis 1995, sous l’impulsion du Président CHIRAC. Il serait souhaitable que son exemple soit suivi par les autres grandes puissances et que soit explorée la voie des garanties de sécurité. A ce stade, toutes les options diplomatiques de sortie de crise doivent être poursuivies, en parallèle avec un régime de sanctions – au besoin, croissant. N’oublions pas que 85 % des recettes iraniennes proviennent de la vente de pétrole à l’étranger, tandis que l’Iran importe la majorité de ses produits raffinés, comme l’essence. L’Union européenne représente à elle seule près de la moitié des importations iraniennes. Il y a donc là une vulnérabilité iranienne réelle par rapport aux sanctions, qui doit être exploitée à commencer par les Européens. J’ajoute, enfin, que le revers cinglant subi par les radicaux proches d’AHMADINEJAD lors des récentes élections municipales ainsi qu’à « l’Assemblée des experts », devraient nous inciter à poursuivre dans cette voie.

    Je vous remercie de m’avoir donné l’occasion, ce soir, de vous dire combien je partageais votre inquiétude et votre émotion face aux déclarations de haine et aux menaces proférées par le Président AHMADINEJAD. Vous connaissez la détermination avec laquelle je n’ai cessé de combattre l’antisémitisme, sous toutes ses formes, en tant que Ministre de l’Intérieur. Si je suis élu Président de la République, soyez assurés que je le combattrai avec autant d’énergie sur la scène internationale.

    Très bonne soirée à tous …/…

  20. Donc si j’ai bien compris les élécteurs UMP, la France est le seul pays à avoir un problème de réforme et aussi le seul à avoir un homme capable de surmonter un problème si profond.

    Marchand d’espoir, marchand de bonheur, démagogue tout simplement.

  21. Alain laisses moi rire, renseignes toi sur les revenus et le quotidien de Laguillet. Elle doit vivre pour un mois avec autant d’argent que Sarkozy en dépense pour ses repas en une journée.

    La première classe est souvent conçu pour être plus agréable et approprié au travail, tu n’es pas sans savoir qu’un politique a un emploi du temps très chargé, en train ou en avion ils ne dorment pas beaucoup.

    Polémique contre productive.

  22. @Militant Vibes

    Et Alors Arlette défend l’ouvrier, quel est l’ouvrier qui voyage en 1er classe ??

    La polémique n’est pas plus productive que celle sur notre nouveau Président qui s’accord 3 jours de vacances en famille !!! Votre fausse polémique le condamne à un procès d’intention !! Amis du CAC 40 …

  23. bonjour,
    Tout le monde se rassure en se disant que le FN est amoindri grace à Mr sarkosy…..je veux juste rappeler à ceux qui le pensent, que ce qui fait un parti politique c’est les idées qu’il prône et non pas le nom qu’il porte…..et c’est bien les idées du FN que Mr sarkozy a détourné pour rallier à lui les electeurs extremistes et fascistes!! dites moi quel est le lien commun entre le proramme de Mr sarkozy et celui de Mr le pen??? quels sont les points communs entre leurs programmes? les points qui font qu’ un élècteur du FN se retouve dans le programme et les idées developées par Mr sarkosy? l’economie? non…… le social? non….la politique étrangère? non…..le rapport à l’europe? non…. c’est quoi alors?? vous pensez vraiment que Mr sarkozy a effacé d’un coup les idées racistes des personnes acquises auparavant à l’electorat de Mr le pen??? oui?…..Et la marmotte emballe elle-même le chocolat dans le papier-alu ???…….

  24. N’oublies pas qu’il y a 19% au seconde tour de lepeniste qui ont voté ROYAL !

    Rien n’indique que Lepen aurait fait 18% en 2002 sir 85 % des gens étaient allés voté !
    Dans les 10-15% qui sont allés voté cette année, rien n’indique qu’ils auraient voté Lepen en 2002. L’electorat de Lepen est fidéle aux urnes, comme à l’extr^me gauche, on peut donc penser que les gens qui ont ralié SARKOZY sont des gens qui en 2002 n’ont pas voulu s’exprimer, déçu par la politique !!

    Lepen a perdu en tout et pour tout 1 million de voix, le MPF, Villiers, a fait son record histporique avec plus de 1 million de voix !!!

    Donc Sarkozy a peut-être attiré des voix à lui quelques voix mais son elction n’est pas légitimé par le vote lepeniste !!!
    Et puis ce peu de gens n’étaient pas sur le « droit chemin » en 2002, aujourd’hui on ne peut que s’en féliciter !

    Pour toi donc une voix n’a pas la même valeur en fonction des votes qu’elle a cautionné avant ??
    Ségo l’Aristo ne pourra jamais être élu !!

  25. Effectivement, c’est pareil qu’en 2002, avec les 87 % de Chirac.
    Ceux qui croyaient que les PS, PCF, LCR, … avaient raliés l’UMP, sont des idiots de première.
    Les militants FN ont votés pour le moins pire selon leurs convictions, c’est tout, cela ne veux pas dire qu’ils quitte Le Pen pour Sarko.
    Mais ça fait du bien aux Sarkosyste de se masturber leur petite cervelle en affirmant ce genre d’ineptie :-)

  26. @unbelge

    Quelles Inepties ??
    Celles de dire que la gauche réunie pése rien contre la droite dite « traditionelle », celle de l’UMP ??

    Mona analyse est bonne, les extrêmes sont fidékle aux urnes, compare le nombre de voix à l’extrême gauche, les pourcentages baisses mais pas tellement le nombre de voix. En 2002 certains on voté extrême gauche comme extr^me droite par défaut, ce qui ne se sont pas déplacés on fait un choix différent mais animé par la même passion : le désespoir !!!

    Chirac c’est pas 87% c’est 82% en 2002

    Pourquoi tant de vulgarité ???

  27. Report de voix des électeurs de Bayrou :
    Royal : 36%
    Sarkozy : 37%
    Abstention : 27%

    Report de voix des électeurs de Le Pen :
    Royal : 9%
    Sarkozy : 57%
    Abstention : 34%

  28. Donc Sarkozy a peut-être attiré des voix à lui quelques voix mais son elction n’est pas légitimé par le vote lepeniste !!!

    ah bon???? et la marmotte alors???

  29. C’est pas sondage qui ont été annoncé, ça doit être des sondages de libération que tu as !!!

    Bein la marmotte … elle amballe au 35h !!!

  30. et alors les voix d’extrêmes (d’arriérés comme à l’extrême droite) aurait plus légitimé l’eclection de Royal ???

    Allez, je vais manger un pizza ou un couscous, Royal bien sûr !!!

  31. @Gregory ton ami

    et toi un grand intellectuel, avec des analyses … hummmm …. aussi bonne que ma pizza !!!

  32. c’est bien Alain!! c’est bien ça……je vous immagine très bien avec votre pizza dans une main, votre bière dans l’autre et tout ça devant une emission d’Arthur sur tf1…..

  33. Non vraiment!!! c’est bien d’assumer sa connerie….mais plus serieusement….il y a tout ce qu »il faut comme site de chat sur le net! non? alors retournez raconter vos salades sur les « chat » et faire rire une poignée d’adolescents boutonneux!

  34. Pourquoi tu mets les adolescents boutonneux au banc de la société !!
    Quelle préention crasse, beurk !!!!

  35. je ne les met pas au banc de la société! je tente juste d’ajuster ta mentalité et ton raisonnement au publique qu’il te faut…