UN BUFFET POUR QUATRE – 7'05

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Jeudi 22 février – Dôme de Marseille. Pour son deuxième grand meeting de campagne, Marie-George Buffet a réaffirmé devant près de 5 000 personnes son désir d’’union de la gauche antilibérale, tout en fustigeant la droite de Nicolas Sarkozy.
Sans jamais citer José Bové, Olivier Besancenot ou Arlette Laguiller, la candidate du Parti Communiste s’’est dite « prête » au combat, prônant le rassemblement comme seule garantie de victoire dans cette présidentielle, mais également aux législatives.
Les 3,4% de Robert Hue en 2002 ne semblent pas avoir découragé les militants : ils voient en l’’ancienne ministre de la jeunesse et des sports l’’alternative la plus crédible des candidatures antilibérales pour répondre aux attentes populaires et peser dans le débat électoral.

Un reportage de nos correspondants dans le sud-est de la France, Michaël Bertrand et Anthony Jammot.

Ont été interviewés, par ordre d’’apparition :

Micheline Salvado, Dominique Guigelmacci, Daniel Médiard et Marie-Georges Buffet

[vpod.tv/latelelibre/120053]

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Les commentaires (10)

  1. Il me semble qu’à la fin du reportage on voit bien la salle, les gens, les drapeaux tout ça…
    Au fait, ils étaient 5284 et 5311, mais on a un peu de mal à compter parce qu’y a pas beaucoup de lumière… :)
    En tout cas, y avait de l’ambiance…

  2. MGB a joué la division comme les autres, pour garantir la survie de sa personne politique, plutot que de s’effacer au profit d’une alternative a gauche. Le « peuple de gauche » en attendait beaucoup plus, et elle récoltera les fruits de son égoisme, on peut prendre les paris.

  3. Ce dernier commentaire est particulièrement ridicule. Le jeux de la division n’a, à mon avis, été joué par personne en tout cas pas le PCF( les moyens et le temps mis a la disposition du rassemblement depuis la campagne référendaire en témoignent). La structure d’un parti comme le parti communiste et les élans anti-partisants extrèmement méfiants de bon nombre des antilibéraux ont été confrontés à trop de contradiction. L’échec (triste mais pas tragique) n’est pas la fin de tout et je te donne rendez vous cher « bonjour » lors de luttes futures.
    Pour ce qui est du reportage je trouve le journaliste particulièrement mauvais et avant de chercher l’erreur chez l’interviewé il faut travaillé longtemps. S’attaquer à plus lourd que lui aurait peut etre donné un peu plus de crédibilité. Sa question sur Soral est particulièrement pathétique.
    Je pensais d’une télé « libre? », libre de quoi? de qui? affranchit de quel pression? En tout cas je pensais d’elle qu’elle m’apporterais plus que la télé enfermée, qu’elle me libererais moi aussi du poid d’un système qui caricature la réalité et s’éloigne obstinément des préocupation de chacun. A quoi sert cette télé libre si elle nous enferme dans les mêmes cadres?

  4. Les moyens et le temps mis a dispositions, ci c’est seulement pour proposer SA candidature et pas une autre, honnetement, on s’en fout. Elle aurait pu faire le choix de s’effacer en tant que dirigeante d’un parti qui a deja une histoire, pour promouvoir rassemblement plus large, elle ne l’a pas fait parce qu’elle tenait a sa candidature a elle.

  5. @lotte
    C’est drôle mais les seuls qui ne sont pas content sont les membres ou partisans de partis….C’est quand même drôle de ne pas avoir de recul à se point la !!!!! En quoi le journaliste est mauvais ? Tu dénigre mais tu ne t’explique pas !!!!! Et pour Soral, je trouve la question interressante, surtout que son Inteview par John Paul est sur le site https://www.latelelibre.fr/?p=163 ! vive la télé libre….

  6. Moi j’aime beaucoup le journaliste !

    Il a certainement encore des choses à apprendre, mais pas du côté de la pertinence de ces questions.

    Bon courage pour la suite :)

  7. Je reviens sur cette video un peu tard mais je trouve effectivement que le journaliste – l’est-il d’ailleurs?- est particulièrement mauvais. Il n’entrevoit les choses que par le petit bout de la lorgnette et apparemment connaît mal son sujet. Il prétend essayer de « comprendre pourquoi les gens votent encore communiste » mais ne pose que des questions minimalistes – ça ne va pas franchement loin – qui amène des réponses minimalistes. Quitte à pousser les participants à ce meeting dans leur retranchement, il aurait pu poser des questions sur la faisabilité du programme, le poids de l’histoire et leurs définitions d’un communisme du 21e siècle. La seule question qu’il pose à Buffet, c’est « vous y croyez? »/ Minable. Il la discrédite d’avance au lieu de chercher à faire avancer le débat. Du coup, elle a une réponse qui tient du slogan sans avoir le temps de développer sur rien puisqu’il la « chope » avant d’entrer sur scène.
    C’est ça le journalisme libre? Pour moi, ça ressemble plus à une ressucée de ce qu’on peut voir dans la plupart des mass medias qui n’ont pas une once d’indépendance.