POSONS NOS VALISES ?
Publié le | par La Rédac'
« Posons nos Valises »
C’est en 2006 à Dunkerque que l’artiste André lançait son concept d’exposition qui consistait à exiger que chaque artiste puisse emporter dans sa valise la totalité de son matériel d’exposition. Cette première manifestation réunit une quinzaine d’artistes. La deuxième exposition a eu lieu ce premier février à l’Atelier Archipel en Arles. « Posons nos Valises » relate le jour du vernissage ou 30 valises, inscrites dans des logiques créatives très variées, tracent le panorama d’une création artistique indépendante, s’exprimant au delà des institutions avec revendication, ironie et parfois tendresse.
En 2013 Marseille sera capitale culturelle européenne. Rejoignez nous pour créer une énorme manifestation comptant 2013 valises d’artistes.
www.atelierarchipelenarles.com/
Philippe Jonneskindt
Les commentaires (57)
Merci, à LTL.
Et ca continue!
Apres la tete la premiere dans la tinette, bienvenue au Pays des Gogols et des Debiles Mentaux.
On atteint le fond de la fosse sceptique notamment avec les ventouses a chiottes multicolores.
Ca va certainement relever le niveau intellectuel du monde artistique surtout en ce moment.
Vous les recrutez ou tous ces gens? Vous avez un contrat avec un hopital psychiatique qui vient de faire son nettoyage de Printemps ?
Pauvre culture francaise (de gauche)…
Foutage de gueule garanti!
L’a bon dos les douaniers…
dernières balises…. Avant mutation… HFT…
Très beau montage et merci pour la visite arlésienne.
J’aime l’idée provocatrice de songer que la Culture, aujourd’hui, est réduite à tenir dans une petite valise…
à quand le mouchoir de poche ? en 2013?
Et pourtant, même sur un timbre poste, les artistes feront toujours démonstration de leur créativité sans limite.
J’aime beaucoup.
Merci la TLL, de nous donner à voir aussi le beau !
et …Merci Mme Albanel !!!
Cette vidéo est une valise ; quand on l’ ouvre y a Albanel qui en surgit !
C’ est une ambiance d’ une autre nature que celle de la Fiac, un peu comité de village, bistro et hôpital psychiatrique ; Norbert n’ a pas tort ; mais l’ asile l’ emmerde, Norbert ; l’ asile lui arrache son nez avec les dents, Norbert.
Je me suis parfois ennuyé, mais au bout du compte j’ en ai aimé beaucoup, de ces valises, finalement. La valise avec les petits bouddhas, celle avec les bonbons (Carensac), les plumes, le psychomètre (pour toi, Libéro), et d’ autres dont je me rappelle pas à l’ instant.
Je n’ai rien contre le perdu; douloureux et convivial…
mais ; ce n’est qu’un choix…
On n’a jamais retrouvé les valises du vol 93 : Copperfield ou Garcimore ?
A l’ntérieur de la valise de notre bon roi Nicolas : un plan de relance à l’envers.
A l’intérieur de celle du french docteur : des affaires étrangères.
Papix, qu’est-ce que tu as mis dans la tienne ?
Les critiques sont mauvaises je ne sais pas si je regarderai le clip.
Pas de masque dans la mienne.
L’idée est intéressante . Mais que représente la valise ?
Le départ, le voyage, la liberté ?
Le retour, le repos ?
Le trésor qu’on enferme ?
Le poids qu’on porte avec soi ?
Le secret que l’on cache ?
Je remarque que les intervenants ont ouvert le couvercle pour nous dévoiler un peu de leur monde intérieur .
Oh, surprise, ils sont tous différents ! Mais leur but est le même .
Ainsi va le monde …
Mais moi, je ne suis pas une artiste et dans ma valise y a que des habits .
beaucoup de larmes car elles sont sous mes yeux,aurait pu repondre papi
Cricri cherche mieux, je suis sur (à force de te lire) que tu as plein d’autres choses à mettre dans ta valise.
De l’art essentiel,( pour moi ).
J’adore ce type d’initiative, c’est une bouffée d’oxygène, une lueur d’espoir en l’humanité, un pied de nez à la mondialisation de la pensée. Bravo et merci encore.
Quand on y est, on y est; et facile à dire…
par contre, libéro, à comprendre ce qu’est-ce que tu dis, c’est plus dur ( pour moi).
voilà un peu de jus de pomme ou de fraise …. mais pour l’été !
Non je ne suis pas preneur de la contre-attaque pour dénoncer ces valeurs qui doivent survivre à la crise !!C’est vrai que pour ceux qui galèrent , ils sont sur d’autres sujets , mais nous les bienheureux , apprécions !
Dans ma valise , je n’aurais pas oublier le caoutchouc , si doux !! hé hé hé … les préservatifs !! bondis , domino !!! et salut !ça va ???
LIBERO SALUT !!!
La galère peut finir en dépression à rester au fond sans défense d’une réalité pure de déchirement mais où il est possible d’un rétablissement plus humain.
Dans ma valise, des bisous à tous !
Super papy ! le dernier disney !
Quand Cracra , un grincheux de 78 ans, décide de réaliser le rêve de sa vie en attachant des milliers de ballons à sa maison pour s’envoler vers l’Amérique du Sud, il ne s’attendait pas à embarquer avec lui ………, un jeune explorateur de ….ans, toujours très enthousiaste et assez envahissant… Ce duo totalement imprévisible et improbable va vivre une aventure délirante qui les plongera dans un voyage dépassant l’imagination.
A quand la valise LTL ?
Une bouffée de neurones de synthèse…
Je vais bien, merci !
Pour ne plus avaler de foutaise
Jeter les charentaise, ne vous en déplaises
Il ne faut pas que l’on se taises
Mettre les mains dans la glaise
Ne pas filer à l’anglaise
Mais tailler les mortaises
Parfaire notre chaise
Enfin se mettre à l’aise
C’est pas fini, toutes ces fadaises
Pour couper court au malaise
Au bord de la falaise
De la haine à la baise
N’y a t-il que Blaise
Pas ce cas, lequel déniaise
Cette presque parenthèse
N’en faisons pas une thèse
Un peu de poésie dans ce monde de brutes…. Ca fait du bien.
Pourquoi l’expression « con comme une valise » ?
Moi j’ai confondu avec la valise RTL !!!! alors j’attendais con ma pelle !
ma connexion manque de vigueur et me permet difficilement de lire toute la vidéo en moins d’une heure… L’inconvénient de la montagne… Mais assez pour adorer : humour, dérision, tendresse… Et prout din t’neul, la jaquette !
@21
Mais comment va….
après Ana…
J’aimes l’électro…
et aussi le métal…
mais il ne faut pas s’en….
Alors que l’on est tranquil….
quelle belle idée de voyage sans pollution de la planète et surtout avec poèsie et imagination une adepte pour 2013
Quel joli reportage!
N. Jaquette, pourquoi tant de haine?
Si on y réfléchit juste un peu: ces gens se font plaisir, ils ne sont pas vindicatifs, ils n’emmerdent personne (on n’est pas obligé de regarder, hein?) et ils nous donnent un petit bout d’humanité dans toute sa modestie et sa diversité. Vous avez entendu parler de l’art brut? Il est exercé par ces « gogols et débiles », ces « nettoyés de printemps de l’hôpital psychiatrique » qui semblent tellement vous effrayer… mais qui constituent, tout comme vous, une partie d’humanité, cette fois dans sa souffrance et sa diversité. Je vous souhaite de ne pas avoir besoin, un jour, de l’hôpital psychiatrique (mais nul n’est à l’abri, n’est-ce pas, on ne sait pas de quoi demain sera fait), surtout que sa situation n’est pas près de s’arranger si l’on en croit notre brave « président de tous les français » !
La valise avec juste ce qu’il faut dedans, n’en avez-vous jamais rêvé? Rêvez-vous même? La valise qui contient l’essentiel, ce qu’on emmène avec soi autour du monde, ça et rien d’autre, quelle liberté! Ahhhhh, j’en rêve!
Merci LTL pour ce petit moment de poésie et d’inutile, mais tellement nécessaire.
300 ou le jeu de la folie est un sport de l’extrême qui se pratique souvent au bord des précipices.
Ou le chant du fou dans l’exercice de simple provocation avec 33 fois le mot coupable…
mens sana in corpore sano !
on ne peut intégrer des cons !
Merci à LTL pour ce reportage, pour ses qualités ; sujet(s), images, bande son, intervennants, . . . la poésie, la beauté, le rêve, la lucidité, la « pluripromiscuité », l’ouverture,l’air et l’oxygène . . .
Et puis chapeau pour le commentaire de bresla, quelle ouverture d’esprit à méditer, et puis un peu dommage pour celui de Norbert Jaquette, (no comment) . . .
Encore merci et continuez . . .
biz, ciao
j’hallucine !
cette expo est à 2 rue de chez moi, et je la découvre sur la télé libre !
Je vais aller voir ça demain.
Etonnant, mais il me semble que je n’ai pas entendu de référence à Marcel Duchamp. C’est pourtant lui l’inventeur de la « valise ».
libéro, c’est beau!
tes mots m’égarent, me dispersent, m’éparpillent si bien que tous les chemins qui mènent à ta pensée impalpable me semblent les bons. Une valise atomisée de poésie.
Soit 300 et 33 fois le bien venu.
La boîte-en-valise, 1936/1968
Paris 1936 – New York 1941
Boîte en carton recouverte de cuir rouge contenant des répliques miniatures d’œuvres, 69 photos, fac-similés ou reproductions de tableaux, collées sur chemise noire. 40,7 x 38,1 x 10,2 cm
Boîte déployée pour présentation :
102 x 90 x 39,5 cm
Dès les années 10, Marcel Duchamp envisage l’édition d’une boîte rassemblant des œuvres, plus précisément des écrits accompagnés de quelques schémas. Ce projet précoce aboutit en 1934 à l’édition de la Boîte verte, tirée à trois cents exemplaires, qui contient principalement ses notes pour la réalisation du Grand Verre.
Après cette publication, il envisage l’édition d’une autre boîte qui rassemble, cette fois-ci, toutes les œuvres qu’il a réalisées depuis le début de sa carrière. Ainsi naît l’idée d’une sorte d’« album » qui présente des images de ses peintures, le Nu descendant l’escalier, la Broyeuse de chocolat, les Neuf Moules Mâlic, mais aussi des reproductions miniatures, en trois dimensions, de ses sculptures et de ses ready-mades, parmi lesquels, bien sûr, la Fontaine. En ce qui concerne les reproductions de peinture, Duchamp a colorié des photographies noir et blanc, créant ainsi de nouveaux originaux, certifiés de sa main. De la part de l’inventeur des ready-mades, cette démarche réveille d’intemporelles interrogations sur l’art et ce qui le caractérise.
Grâce à la richesse des objets qu’elle contient, cette édition devient une œuvre à part entière : La boîte-en-valise, achevée en 1941 ; une œuvre dont la particularité consiste à réunir une multiplicité de pièces qui sont en même temps des reproductions et des originaux. Duchamp propose en somme un petit musée portatif qui rappelle la circularité de l’une des définitions donnée, par lui, à l’art : c’est le musée qui fait l’art, mais l’art qui fait le musée. Une fois de plus, il réalise une œuvre d’un intérêt infini en regard des théories esthétiques.
• La boîte-en-valise, 1936-1941/1968
Centre Pompidou. Les dossiers pédagogiques
Le principe de l’expo-valise :
– chaque artiste est son propre représentant de commerce
– chaque artiste est un camelot, un vendeur de cravates , un bonimenteur, un déballeur, un mauvais acteur, un homme ou une femme politique
– un voyageur qui nous invite à partager son voyage
– à nous emporter avec lui, sur sa drôle de planète, dans les abysses anaux
– chaque intervenant est autonome
– un format commun : « le bagage à main »
– tout tient dans la valise, le sac, le carton
– tout tient au bout d’un bras
– ne pas oublier le papier absorbant au bout de la main, pour s’essuyer le rebord des lèvres, la larme au coin de l’œil
– ne pas oublier de l’agiter à travers le hublot (le papier absorbant), au moment du décollage de la fusée, pour ses proches, ou pour la postérité si ce à bientôt est un adieu
– une formule targette
– un concept simple
– car dans sa valise, on met toujours l’essentiel (un change, un livre, un réveil, une trousse de toilette, une serviette)
– comme elle est toujours trop petite, il faut faire des choix
– pour un départ, tout comme pour une fuite
– il y a ceux et celles, qui la préparent la veille en pesant l’importance de chaque objet à y mettre
– et d’autres qui y jettent à la dernière minute, quelques objets en vrac, puis la referme comme ils peuvent
– il y a un rendez-vous avec un passeur (ici Jean-Blaise PICHERAL)
Un rendez-vous :
– un premier rendez-vous entre artistes de deux secteurs différents (Nord et Manche), et un rendez-vous avec un public
– le 24 et 25 juin 2006 à « l’archipel », Dunkerque
– un événement, qui en amènera certainement d’autres
– ce n’est pas très loin du centre fermé de Calais
– pour cet exercice de style, nous avons (entre autres) en commun avec les « sans papier », le bagage à main
– le peu d’espoir d’un Eldorado
– et la peur universelle d’être à la merci d’un hiver dur, avec des nuits froides, du gel
– mais un risque quasi nul, d’être pris et reconduit beaucoup plus loin dans le désert
– nous, nous exposons tout simplement, car tout est dans notre bagage et seulement là
Deuxième remarque :
– à contrario, il y a cet ami, qui me souffle à l’oreille, qu’il pourrait repartir, tout quitter, tout recommencer ailleurs, sans bagage (même pas une valise), …
L’objet technique :
– dualité
– intérieur / extérieur
– ou dedans / dehors
– le visible / le caché
– contenant / contenu
– ouvert / fermé
– négatif / positif
– la position de transport (l’objet est alors un bagage)
– la mise en situation d’un coffre-socle
– comme la mise en place de la pièce
– l’objet peut être simple ou complexe
– au plus simple il n’a qu’un seul stade, une seul position, c’est une enveloppe fermée définitivement
– il est difficile d’en esquisser les traits, car tout est possible
L’essentiel de l’artiste :
– sa priorité
– son choix
– son langage publicitaire, son leitmotiv
– le miroir de sa caricature
– son cri (ah !)
– son minimum de survie
– dans sa valise, on emporte généralement, son minimum, son essentiel
La confrontation :
– chaque plasticien travaille sur le même sujet, avec les mêmes contraintes
– mais il en résultera forcément des propositions diverses
– c’est le jeu, l’intérêt de la chose
– avec aussi des points communs entre les participants
Le 04/05/06 Vern / Seiche,
ANDRE
Qu’est-ce qu’on pourrait bien mettre dans la valise du condamné à mort ?
C’est qu’il s’en va en voyage aussi, lui !
André, le roi de la marche du Nord au sud, de la godasse, nous invite à retirer nos valises de la consigne et à partir pour l’exode… une ode à Marcel! un premier signe pas con vers d’autres horizons? Là, tous les « champs sont possibles…
à domino
une kalachnjkov peut-être
Dans la tienne, un roman de Mary Shelley.
Non des boulons, du fil à coudre et surtout la fiche technique.
Message du doute
Ô toi pauvre diable aux cornes liliputs Byzantine
tu t’es enfin découvert homme
libéré de l’emprise de dieu
et par delà ton regard
tu contemples le ressentiment d’exister
dans l’inconscience du temps
sans mesure de t’y fourvoyer
par peur de le manquer.
La peur ouvrant la porte de l’inconnu
est une souffrance
te basculant vers le chaos.
Peux tu toujours courir
elle est immanence
fonction de ton esprit
dans le jeux de mon infini
lié aux certitudes chaotiques de la miséricorde livide
et de son jumeau avide gouverneur sans limite.
Peur de s’oublier
d’être oublié
tu la renfermes
l’emprisonnes tant que tu le peux
tu veux la vivre.
Mais tant dans la fuite que le combat
tu n’en es que prisonnier
et que tu le veuilles ou non
elle gagnera sur toi dans la souffrance, la maladie, la mort.
Alors arrête toi…
retourne toi…
et tu verras que la peur n’existe pas…
Dois tu y recourir tant bien que dans l’erreur
pour que ton rêve soit dorénavant la présente réalité
et puisses tu enfin courir le sourire de la liberté
Ô toi homme de la terre
détonateur intolérable de vie
aussi petit soit il…
Libéro.
le doute est inspiré et couvre nos défenses… :)s
Lothar Matthaus
Ô bravo à toi Libéro.
c’est trop cool
D’autres musiques sur mon site :
http://web.mac.com/pvalembois/Philippe_Valembois/Poésie_%26_Musique/Poésie_%26_Musique.html
Des adaptations musicales pour France Musique :
Henri Michaux dit par Michel Bouquet
Sade, le Divin Démon reprend des extraits de la bande son de Salo ou les 120 journées de Sodome de Pier Paolo Pasolini.
Antonin Artaud, Pour en finir avec le jugement de Dieu.
Dans Politique & Musique, vous retrouvez certains travaux de Philippe Jonneskindt dont The Game’s Over, une version d’étude, avec une autre mise en musique.
Dans Cinéma & Musique, des extraits du film de mon camarade Saint-Marc, une si petite semaine. Le sujet nous change singulièrement de la dictature actuelle de l’entertainement.
Dans Documentaire & Musique, je vous recommande, si je puis me permettre la séquence de la baignoire du documentaire « Alice au pays des cafards » commande d’Arte. C’est une création de Trans Europe Film. Nous sommes toujours aussi éloignés de la dictature actuelle de l’entertainement. Formule facile, j’en conviens, mais triste réalité qu’il convient de combattre.
… …
Origine de la barre du chiffre sept ! 7
Encore aujourd’hui, de nombreuses personnes,
en écrivant le chiffre 7 utilisent une barre supplémentaire horizontale au milieu du chiffre.
La plupart des typographies l’ont fait disparaître aujourd’hui
Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu’à nos jours ?
Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques :
Lorsque Moïse eut gravi le mont Sinaï,
et que les 10 commandements lui furent dictés,
il redescendit vers son peuple et leur lut,
à haute et forte voix, chaque commandement.
Arrivé au septième commandement, il annonça :
« Tu ne commettras point d’adultère.
Tu ne désireras pas la femme de ton prochain »
Et là… de nombreuses voix s’élevèrent parmi le peuple lui criant : »Barre le sept, barre le sept, barre le sept !!! »
Et voilà… l’origine de la barre du sept !
Très bon concept que l’expo valise. La mienne je la souderais, il y’à un monstre à l’intérieur.
P.S: Oh vachte Norbert, je crois que c’est la première fois que je trouve une de tes blagues drôles, comme quoi il ne faut préjuger de rien !
A la bonne heure; d’ailleurs Moïse en vacances avec ses potes a plongé dans la piscine… L’eau s’est écarté…
Et quand Noé est arrivé avec ses potes, elle a débordé !
Ma valise, c’est ma tête.
Et dans ma tête, y’a des tas d’oiseaux.
Des gentils, des rigolos, et des pas beaux.
vous réécrivez votre bibles , les dieux ???
une aventure qui m’angoisses un peu,facile à comprendre et dur à admettre,une fois on est projeter et une fois au passer,mais si réel que soit,bonne continuation pour 2013
réponse à la question 40: l’âme de monsieur Rasoir