Olivier Rotrou, cameraman indépendant et ami de LaTéléLibre est en ce moment au Caire pour le deuxième anniversaire de la révolution en Egypte. Il nous envoie ses images. Cet article sera régulièrement mis à jour.

Profitant de la grande manif des anti-mariage pour tous, LaTéléLibre a convié des pros et des antis à se parler, en toute liberté, mais en se respectant. Un happening citoyen où toutes les craintes sont exprimées, et les réponses données.

En janvier 2008, nous recevions Issouf Ag MAHA, un des chefs de la rebellion Touareg au Niger. Une interview qui donne des clés pour comprendre les racines du conflit actuel qui déchire le Mali et toute la région sahélienne.

C’est l’hiver, le professeur Duteurtre a pris froid dans un tableau de Sisley. Une allergie aux changements des rythmes scolaires? En tout cas il nous parle lutte des classes…

Aujourd’hui Paris et Bamako sont en guerre contre les fous venus du Nord. Les deux pays se retrouvent après une longue période de tensions sur la question des expulsions des migrants, ou sur le problème des touaregs. C’est pour nous l’occasion de vous proposer de voir ou revoir un très beau documentaire diffusé en 2007, au tout début de LaTéléLibre. Autour d’Amadou et Mariam, des artistes africains et français se retrouvent à Bamako pour notre plus grand bonheur.

Moeen, Ismat et Hafedh sont trois graffeurs tunisiens. Invisibles, ou presque, avant la révolution de janvier, ils ne cessent « d’attaquer » les murs vierges depuis le départ du président Ben Ali. Au gré de leurs interventions et de leurs « attentats » artistiques, une question revient : « Si Ben Ali n’existe plus, tout est permis ? ». Dounia Georgeon, jeune cinéaste franco-tunisienne nous a proposé son documentaire à la rencontre des artistes tunisiens, filmés dans les espaces nus, les maisons abandonnées, et les lieux vacants devenus les terrains de jeux des graffeurs.

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[ACCUEILLIR MIEUX LES MIGRANTS – REDIF] Ils sont arrivés par milliers sur les côtes de Lampedusa après la chute de Ben Ali début 2011. Leur objectif : la France. Ils pensaient être accueillis en héros, car le peuple Tunisien avait été le précurseur du Printemps arabe. Sofien, journaliste tunisien en stage à LaTéléLibre, a voulu réaliser ce reportage pour retrouver les traces de ses compatriotes à Paris.

Deuxième article de N’Fanteh Minteh pour le Monde! Cette fois elle est allé rencontrer des africains. Réactions après l’intervention militaire au Mali.

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[MIEUX ACCUEILLIR LES MIGRANTS – REDIF] Le 14 janvier 2011, les tunisiens inventaient le printemps arabe et chassaient Ben Ali. Après la joie et l’espoir, les doutes sont venus, comme après chaque révolution. A l’époque, de nombreux jeunes tunisiens ont tenté leur chance en prenant la mer, direction l’Europe. Après Lampedusa et l’Italie, les frontières françaises se sont fermées contre « l’invasion » présumée. Remi Lesueur réalisa alors son premier reportage à Vintimille, à la rencontre de ces jeunes qui, ayant échappés à la mort de la traversée, croyaient en leur avenir. Ils ne pensaient arriver si vite au terminus de leur voyage.

Soldes d’hiver! Depuis le 19 décembre; se tient à Tunis une exposition-vente de milliers de tableaux, bijoux, voitures, électroménager et vêtements ayant appartenu à la famille du président tunisien déchu Zine El Abidine Ben Ali.
Premier reportage d’une télévision française, et en HD svp!

Version oecuménique et musicale du mariage pour tous, avec Sophia Aram et Guillaume Erner

François joue la bonne à nez

L’année 2012 compte parmi les plus meurtrières pour les journalistes et le personnel des médias, selon la Fédération Internationale des Journalistes (FIJ) qui a publié aujourd’hui une liste de 121 collègues tués, victimes d’assassinats ou pris entre les feux des combattants. De son côté le Syndicat des Journalistes, SNJ-CGT demande l’appui de Gérard Depardieu auprès de Vladimir Poutine. Nous publions leur appel.

Pour ceux qui ont du mal avec les fêtes, Jean Mich Le Moal, nous propose cette vidéo « décalée », comme il dit. Sans commentaire…

À l’approche de l’hiver, misère et précarité deviennent des sujets routiniers pour les médias nationaux. Derrière les chiffres et les commentaires se cachent avant tout des parcours de vie. À Paris, les bénévoles de l’association Montparnasse Rencontres se relaient pour accompagner dans leurs démarches administratives sans-papiers, SDF, chômeurs et jeunes précaires. À côté du vestiaire à 1 euro pour un manteau hivernal ou de la halte-garderie, le 92bis Boulevard Montparnasse est avant tout un lieu de vie et de solidarité, où les bénéficiaires viennent chercher un peu d’écoute et de réconfort.

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Le 21 décembre 2012, c’est la fin du monde… selon les Mayas et surtout selon ceux qui veulent se faire peur. En tout cas le canular est planétaire, tout le monde en parle, et cela a alimenté notre curiosité. A moins d’une semaine de l’Apocalypse, nous nous sommes demandés comment chacun réagirait lors d’une éventuelle dernière journée du monde programmée. Voici les chroniques micro-trottées d’une mort annoncée.

Un joli faux-pas de Noël qui commence par de petits pas dans la neige…

Juste après le révolutions arabes, les Reporters Citoyens partent à la rencontre des jeunes d’Israël, de Palestine et de Tunisie. Un webdoc-aventure passionnant.

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Dans le cadre de notre formation à LaTéléLibre, nous avons décidé de réaliser une émission consacrée au street art. À travers un portrait de l’artiste Fabrice Burdese, ainsi qu’un micro-trottoir où le citoyen s’improvise critique d’art, nous vous proposons de découvrir la richesse street artistique du 14ème arrondissement de Paris.

Les Reporters Parisiens, qui viennent juste de terminer leur atelier à LaTéléLibre, nous font découvrir une superbe cité d’artistes en bord de Périph’: la Gare Expérimentale. Une cité d’artistes auto-gérée plus une radio. A découvrir, même par grand froid!

[MIEUX ACCUEILLIR LES MIGRANTS – REDIF] 80 maliens erraient dans les rues de Paris et de Montreuil en décembre 2012. Venus de Libye, il fuyaient la persécution raciale dont ils sont victimes depuis la chute de Kadhafi. LaTéléLibre était le seul média présent avec eux, alors qu’ils fuyaient cette fois la police française.

Alors que l’expulsion des résistants au projet d’aéroport semble imminente, LaTéléLibre vous propose ce reportage réalisé à l’occasion de la grande manif du 17 novembre dernier. Une immersion les pieds dans la boue et la tête dans les nuages au sein de ce mouvement d’opposition à une certaine idée du développement.