Bonne fortune

On n’est pas obligé de s’ennuyer quand il s’agit de regarder de la peinture.

La « grande » histoire de l’art nous impose culture et silence, j’ai décidé de m’amuser, de détourner et d’animer un peu un milieu parfois poussiéreux.

J’aime marcher, c’est à ce moment que la pensée divague, ou l’on se fait des dialogues intérieurs, les faux-pas sont le résultat de ces cogitations, où, à la manière des surréalistes, je laisse mon esprit divaguer, je laisse les idées s’imbriquer, se suivre (3 ptits chats, chapeau d’paille, paillasson,…)

Le principe de ces rébus est de  raccrocher  des sons à des images issues de l’histoire de la peinture et que la succession de ces sons donne une phrase faisant référence à l’actualité.

Je me suis fixé plusieurs règles :

• Travailler autour de tableaux que j’aime
• Tacher de détourner leur sens premier par une intervention humoristique
• Faire que la réponse soit alambiquée et quasi introuvable (c’est à mon sens un des ressorts de l’humour), de toute façon, on a la réponse à la fin.

Grâce à tout cela, je peux enfin me voir en peinture !

François Duteurtre